| Le Monde de Demain

La Russie et la Grande-Bretagne s’affrontent!



Le Figaro rapporte que les Russes affirment avoir « chassé » un destroyer de la Royal Navy britannique des eaux contestées de Crimée, alors que la Grande-Bretagne affirme que le navire, le HMS Defender, ne faisait qu’« un passage innocent dans les eaux territoriales ukrainiennes, conformément au droit international » (25 juin 2021).

Vous pouvez connaître la guérison divine

Beaucoup de gens acceptent que Jésus-Christ ait accompli des miracles de guérison, mais ils doutent que Dieu agisse encore aujourd’hui à travers des hommes pour faire de même. Pourtant, Jésus Lui-même fit une déclaration remarquable peu avant Sa crucifixion.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Vous avez probablement déjà vu cette scène. Une grande émotion plane dans l’air, sur fond d’un cantique sentimental, les gens regardent vers le haut, agitent les bras et des larmes coulent sur leurs joues en criant « Louez le Seigneur » et « Merci Jésus ». Puis un homme infirme est amené en fauteuil roulant. L’évangéliste bien connu lui demande depuis combien de temps il est infirme et s’il croit que Jésus va le guérir. Puis il frappe le pauvre homme sur le front en lui disant à haute voix : « Sois guéri ! » L’homme tombe en arrière, dans une sorte de transe, dans les bras d’un assistant. Lorsqu’il se réveille, il se lève et quitte la scène en louant le Seigneur sans l’aide de béquilles ou d’un fauteuil roulant.

De telles scènes se produisent régulièrement dans des Églises du monde entier, mais la question demeure : « S’agit-il de véritables guérisons de Dieu ? » De nombreux rapports au fil des ans indiquent que, dans la plupart des cas, ce n’était pas le cas. Des prédicateurs itinérants parcouraient autrefois les États-Unis en installant des tentes pour des réunions de « guérison ». Trop souvent, il n’y avait pas de véritable guérison. Des acteurs aidaient à duper de pauvres gens crédules qui étaient plus que disposés à faire des offrandes généreuses. Ceux qui avaient vraiment besoin de guérison étaient souvent tenus à l’écart de la scène, sous prétexte que le temps manquait pour s’occuper d’eux. Et même lorsque certaines de ces personnes montaient sur scène, elles étaient manipulées de manière à tromper le public en lui faisant croire qu’un miracle avait eu lieu alors qu’il n’en était rien.

Si certaines de ces personnes ont été vraiment guéries, Dieu seul le sait, mais nous pouvons être sûrs d’une chose, on ne trouve pas cette façon de procéder dans les Écritures. Certes, nous y lisons des histoires de guérison divine, mais pas de la manière décrite ci-dessus – pas dans la Bible !

Dans l’émission d’aujourd’hui, je pose des questions simples : « Dieu guérit-Il de nos jours ? » et plus important encore : « Pouvez-vous être divinement guéri(e) ? » Je vous donnerai également quatre clés essentielles que vous devez connaître si vous voulez obtenir la guérison divine dans votre vie. Je vous offrirai également un des ouvrages les plus équilibrés jamais écrits sur ce sujet, alors ne partez pas. Je reviens tout de suite avec les réponses à ces questions.

La guérison est-elle réelle ?

« Dieu guérit-Il de nos jours ? » Ce n’est pas une question anodine car votre vie peut dépendre de la réponse à cette question. Je vous proposerai également une publication gratuite qui vous donnera plus d’informations sur ce sujet que le temps ne me permet de couvrir dans l’émission d’aujourd’hui.

Je me souviens avoir entendu parler, à un âge relativement précoce, d’un célèbre guérisseur autoproclamé et j’ai été très réconforté de savoir que si je tombais gravement malade, je pourrais aller le voir. Enfin, c’est ce que je pensais naïvement. Quelques années plus tard, alors que je voyageais dans la région, près du lieu où opérait cet homme, je fus tristement déçu par ce que j’ai appris. Les habitants de la ville racontèrent des histoires de pauvres gens ignorants voyageant pour voir ce supposé grand guérisseur. Ils rapportèrent que beaucoup sont repartis avec rien de plus qu’un portefeuille vide. Les autorités locales devaient trop souvent fournir des bus pour les renvoyer chez eux. En plus des nombreux appels à l’argent, des livres et des enregistrements de prétendues guérisons et de démons chassés étaient partout en vente. Il était évident que ceux qui venaient se faire guérir étaient pauvres et sans instruction.

Un autre guérisseur célèbre construisit plus tard un grand hôpital de recherches, où il affirmait qu’ils allaient découvrir le remède au cancer. Bien sûr, ils utiliseraient les dernières méthodes scientifiques : chirurgie, radiothérapie et chimiothérapie. Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais si un homme pouvait m’imposer les mains et me guérir d’une maladie redoutable, je pense que je choisirais cela plutôt que des opérations douloureuses, des radiations et des intoxications. Qu’est-il arrivé à ce célèbre évangéliste ? A-t-il perdu sa capacité à guérir ? Ou bien ne l’a-t-il jamais eue ?

Aucun de nous ne peut savoir exactement ce qui se trouve dans l’esprit d’une personne et nous pouvons donc laisser ces questions délicates à Dieu pour qu’Il en juge. Mon but aujourd’hui est de regarder dans la Bible et de voir ce que ce manuel nous dit sur ce sujet très sérieux, car votre vie peut littéralement en dépendre !

Certains seront surpris d’apprendre que la Bible a beaucoup à dire sur la maladie et la guérison. Par exemple, un de mes Psaumes préférés est le Psaume 103. Je ne vais pas le lire en entier, mais notez ces paroles encourageantes : « Mon âme, bénis l’Éternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits ! C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies » (Psaume 103 :2-3).

Soit cette affirmation est vraie, soit elle ne l’est pas ! Dieu guérit-Il toutes les maladies ? Est-ce qu’Il vous guérira ?

C’était le cas lorsque Jésus vécut ici-bas. Les quatre Évangiles du Nouveau Testament, ceux de Matthieu, Marc, Luc et Jean, sont pleins d’exemples de guérison. Une des premières guérisons réalisées par Jésus fut celle de la belle-mère de Pierre. D’ailleurs, combien de gens se proclamant chrétiens savent-ils que Pierre était marié ? Lisons le récit de cette guérison dans Matthieu 8 :14-15 : « Jésus se rendit ensuite à la maison de Pierre, dont il vit la belle-mère couchée et ayant la fièvre. Il toucha sa main, et la fièvre la quitta ; puis elle se leva, et le servit. »

La lèpre était une malédiction redoutée, mais apparemment courante, au Moyen-Orient au premier siècle. Il y eut un certain nombre d’occasions où Jésus guérit des individus atteints de cette maladie. Un autre exemple se trouve dans l’Évangile de Luc où nous y lisons l’histoire d’un homme « couvert de lèpre » :

« Jésus était dans une des villes ; et voici, un homme couvert de lèpre, l’ayant vu, tomba sur sa face, et lui fit cette prière : Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. Jésus étendit la main, le toucha, et dit : Je le veux, sois pur. Aussitôt la lèpre le quitta » (Luc 5 :12-13).

À une autre occasion, Jésus guérit dix lépreux, mais un seul est revenu vers Lui pour rendre grâce. Le Nouveau Testament est rempli de guérisons de maladies. Il est impossible de le lire sans en rencontrer. Nous voyons que Jésus guérit un homme paralytique, un homme à la main sèche, une femme qui avait une perte de sang depuis douze ans.

Un récit célèbre relate celui d’un homme aveugle de naissance. Il s’agit d’un miracle étonnant, mais les pharisiens ne pouvaient pas le croire. Ils ont rigoureusement interrogé l’homme. Comment cela s’était-il produit ? Qui en était responsable ? Que pensait-il de Celui qui l’avait guéri ? Lisons ce récit :

« Les Juifs ne crurent point qu’il avait été aveugle et qu’il avait pu voir, jusqu’à ce qu’ils aient fait venir ses parents. Et ils les interrogèrent, disant : Est-ce là votre fils, que vous dites être né aveugle ? Comment donc voit-il maintenant ? Ses parents répondirent : Nous savons que c’est notre fils, et qu’il est né aveugle ; mais comment il voit maintenant, ou qui lui a ouvert les yeux, c’est ce que nous ne savons. Interrogez-le lui-même, il a de l’âge, il parlera de ce qui le concerne » (Jean 9 :18-21).

Il y a une note d’humour dans cette histoire, car les pharisiens ne pouvaient pas accepter ce qu’ils voyaient de leurs propres yeux. Continuons à partir du verset 24 :

« Les pharisiens appelèrent une seconde fois l’homme qui avait été aveugle, et ils lui dirent : Donne gloire à Dieu ; nous savons que cet homme est un pécheur. Il répondit : S’il est un pécheur, je ne sais ; je sais une chose, c’est que j’étais aveugle et que maintenant je vois. Ils lui dirent : Que t’a-t-il fait ? Comment t’a-t-il ouvert les yeux ? Il leur répondit : Je vous l’ai déjà dit, et vous n’avez pas écouté ; pourquoi voulez-vous l’entendre encore ? Voulez-vous aussi devenir ses disciples ? » (Jean 9 :24-27).

Vous n’êtes peut-être pas aveugle, et la lèpre n’est probablement pas votre plus grande crainte, mais le cancer, le diabète, les maladies rénales ou cardiaques le sont peut-être. Vous pouvez croire que lorsque Jésus vécut ici-bas, Il pouvait les guérir, mais qu’en est-il de nos jours ? Va-t-Il vous guérir de ces maladies et d’une foule d’autres affections effrayantes à notre époque ? Je vous donnerai la réponse dans un instant, mais d’abord, j’aimerais vous offrir notre brochure intitulée Dieu guérit-Il de nos jours ? Roderick Meredith y proposait une approche honnête, équilibrée et encourageante de ce sujet. Alors, contactez-nous et réclamez votre exemplaire de Dieu guérit-Il de nos jours ?

Des guérisons à notre époque ?

Beaucoup de gens acceptent que Jésus-Christ ait accompli des miracles de guérison, mais ils doutent que Dieu agisse encore aujourd’hui à travers des hommes pour faire de même. Pourtant, Jésus Lui-même fit cette déclaration remarquable la nuit où Il fut trahi :

« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père ; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. Si vous m’aimez, gardez mes commandements » (Jean 14 :12-15).

Le récit biblique est clair à ce sujet : Jésus n’était pas le seul à accomplir des miracles de guérison. Comme nous le lisons dans Matthieu 10 :1 : « Puis, ayant appelé ses douze disciples, il leur donna le pouvoir de chasser les esprits impurs, et de guérir toute maladie et toute infirmité. » Puis, aux versets 7 et 8 : « Allez, prêchez, et dites : Le royaume des cieux est proche. Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, chassez les démons. »

Mes amis, ce même commandement a été donné à 70 autres disciples, en plus des apôtres. Et nous ne connaissons même pas les noms de ces 70 disciples !

« Après cela, le Seigneur désigna encore soixante-dix autres disciples, et il les envoya deux à deux devant lui dans toutes les villes et dans tous les lieux où lui-même devait aller […] [Et Jésus leur a dit] guérissez les malades qui s’y trouveront, et dites-leur : Le royaume de Dieu s’est approché de vous » (Luc 10 :1, 9).

Il est évident, d’après ces deux passages, que la guérison des malades accompagnait la prédication de l’Évangile. Mais c’était à l’époque. Qu’en est-il aujourd’hui ? Dieu guérit-Il de nos jours ?

Tout d’abord, il est important de noter que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement comme cela est rappelé dans Hébreux 13 :8. Notez-le ! Voyez-le et lisez-le par vous-même ! C’est dans Hébreux 13 :8. Deuxièmement, Jésus chargea Ses disciples, à travers les siècles, de prêcher l’Évangile du Royaume de Dieu au monde entier, et le signe de la guérison devait accompagner la prédication de l’Évangile. Vous pouvez lire cela dans Marc 16 :15-18.

Dieu n’a jamais voulu que la guérison devienne un cirque. Au contraire, nous trouvons les serviteurs de Dieu évitant les foules. Il est vrai que Jésus guérissait des gens sur place alors qu’une foule le suivait, mais rien n’indique qu’Il dressait une tente ou construisait un grand espace de réunion pour donner un spectacle de guérison. À une occasion, des gens vinrent dans une maison où Il séjournait et il est évident que les gens étaient autorisés à entrer, de manière ordonnée. Nous voyons que Sa mère et Ses frères n’ont pu entrer à cause de la foule à l’extérieur.

Une autre fois, Il ne prit avec Lui qu’un petit nombre de Ses disciples lorsqu’Il vint guérir la fille de Jaïrus : « Et il ne permit à personne de l’accompagner, si ce n’est à Pierre, à Jacques, et à Jean, frère de Jacques » (Marc 5 :37).

Puis, au verset 40, nous lisons comment Il mit les gens dehors avant de guérir la jeune fille : « Alors, ayant fait sortir tout le monde, il prit avec lui le père et la mère de l’enfant, et ceux qui l’avaient accompagné, et il entra là où était l’enfant » (Marc 5 :40).

Lorsqu’on Lui amena un homme sourd et qui avait un trouble de la parole, nous lisons que Jésus « le prit à part loin de la foule » (Marc 7 :33). Ce n’est qu’ensuite qu’Il le guérit.

Mais ramenons cela à vous personnellement. Peut-être souffrez-vous en ce moment d’une maladie pour laquelle vous aimeriez être soulagé. Vous êtes allé chez le médecin et c’est très bien, mais avez-vous laissé Dieu de côté ? Savez-vous que la Bible donne des instructions précises sur ce qu’il faut faire pour rechercher la guérison ? Avez-vous suivi ces instructions ?

Je répondrai à ces questions dans les plus brefs délais, mais je tiens à vous rappeler l’offre précieuse d’aujourd’hui intitulée : Dieu guérit-Il de nos jours ? Cette brochure d’une importance vitale qui examine la situation dans son ensemble et répond à la question à partir de la Bible elle-même. M. Meredith, l’auteur de cette brochure claire et nette, passa toute sa vie d’adulte, pendant plus de 67 ans, à s’efforcer de vivre selon le christianisme originel, le christianisme de Jésus-Christ et des apôtres

Comment pouvez-vous être guéri(e) par Dieu ?

Mes amis, Dieu guérit de nos jours, mais vous devez savoir ce que Dieu attend de vous si vous souhaitez Son intervention dans votre vie. Et la première exigence est que vous devez demander à un vrai ministre de Dieu de prier pour vous.

Beaucoup de chrétiens lisent rarement, voire jamais, la Bible et n’ont aucune idée que Jacques 5 :14 se trouve dans les Écritures :

« Quelqu’un parmi vous est-il malade ? Qu’il appelle les anciens de l’Église, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur. »

Donc, si vous êtes souffrant, si vous avez une infirmité tenace dont vous n’avez pas pu trouver de soulagement durable, avez-vous suivi ce commandement ? Je ne parle pas d’aller à un faux service de guérison semblable à un spectacle de cirque. Je parle d’aller voir un vrai serviteur de Dieu qui s’agenouillera avec vous pour prier humblement en demandant l’intervention divine.

La guérison des malades faisait partie du ministère de Jésus. Il ordonna Ses disciples, appelés plus tard apôtres, de guérir les malades lorsqu’ils prêchaient l’Évangile du Royaume de Dieu. Il envoya 35 équipes de deux hommes pour Lui préparer le chemin et leur ordonna de guérir les malades. Et Il nous dit que l’un des signes de Ses vrais ministres est qu’ils guérissent les malades.

Parfois, il n’est pas possible de trouver un ministre à proximité qui a une foi vivante et qui est capable de vous oindre, mais cela ne doit pas être un problème.

« Et Dieu faisait des miracles extraordinaires par les mains de Paul, au point qu’on appliquait sur les malades des linges ou des mouchoirs qui avaient touché son corps, et les maladies les quittaient, et les esprits malins sortaient » (Actes 19 :11-12).

Ici, à l’Église du Dieu Vivant, qui réalise cette émission, nous avons de nombreuses demandes de téléspectateurs, tout comme vous, qui demandent l’onction et nous envoyons de petits linges sur  (lesquels on prie et qui sont oints d’huile. Donc, si vous avez besoin de l’intervention divine pour vous en ce qui concerne une quelconque affection physique, vous devez commencer par suivre la première clé :

  1. Demander à un vrai ministre de Jésus-Christ de prier pour vous.

Voici la deuxième clé :

  1. Éprouver une foi authentique pour la guérison.

Revenons aux instructions de Jacques concernant les malades. Après nous avoir exhortés de demander aux anciens de l’Église de nous oindre d’huile et de prier pour nous, il nous dit au verset suivant : « La prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera » (Jacques 5 :15).

Le ministre qui effectue l’onction doit avoir la foi. Il doit croire aux promesses de Dieu et les revendiquer avec assurance, mais vous, en tant que personne ointe, devez également avoir la foi. Paul en parle dans Hébreux 11 : 6 : « Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. »

En parlant de demander la sagesse, Jacques met aussi en évidence le principe selon lequel nous ne devons pas penser que nos demandes à Dieu seront satisfaites si nous ne demandons pas avec foi.

« Mais qu’il la demande avec foi, sans douter ; car celui qui doute est semblable au flot de la mer, agité par le vent et poussé de côté et d’autre. Qu’un tel homme ne s’imagine pas qu’il recevra quelque chose du Seigneur » (Jacques 1 :6-7).

Nous voyons la foi en action lorsque deux aveugles supplièrent Jésus pour qu’Il ouvre leurs yeux. Comme nous l’avons mentionné plus haut dans cette émission, cela ne s’est pas fait dans le cadre d’une assemblée de guérison où les gens agitent leurs bras, au son d’un orgue pour susciter des émotions et des larmes coulant sur leurs joues. Ce n’était pas un spectacle de cirque ! Jésus les emmena à l’écart, dans une maison, et leur posa une question pertinente.

« Lorsqu’il fut arrivé à la maison, les aveugles s’approchèrent de lui, et Jésus leur dit : Croyez-vous que je puisse faire cela ? Oui, Seigneur, lui répondirent-ils. Alors il toucha leurs yeux, en disant : Qu’il vous soit fait selon votre foi. Et leurs yeux s’ouvrirent » (Matthieu 9 :28-30).

Il est également important de savoir que Dieu nous guérit selon Sa volonté et non la nôtre. Notez l’exemple de l’apôtre Paul :

« Trois fois j’ai prié le Seigneur de l’éloigner de moi, et il m’a dit : Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi. C’est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les outrages, dans les calamités, dans les persécutions, dans les détresses, pour Christ ; car, quand je suis faible, c’est alors que je suis fort » (2 Corinthiens 12 :8-10).

Il y a des moments où Dieu dit « Oui », d’autres fois « Non ». Parfois aussi, il répond : « Oui, mais pas tout de suite. » Souvent, le problème repose simplement sur un manque de foi. La foi est très importante !

Les deux premières clés pour la guérison sont :

  1. Demander à un vrai ministre de Jésus-Christ de prier pour vous.
  2. Éprouver une foi authentique pour la guérison.

Obéir à Dieu et se repentir du péché

Je ne fais qu’effleurer la surface dans cette émission et de nombreux autres points pourraient être abordés, mais il nous reste juste assez de temps pour deux autres points. La prochaine clé est :

  1. Obéir à Dieu !

L’apôtre Jean est souvent considéré comme l’apôtre de l’amour, et c’était le cas. Il parle d’amour dans son Évangile relatant la vie de Jésus, ainsi que dans ses trois épîtres qui se trouvent vers la fin du Nouveau Testament. Il est généralement admis qu’il écrivit à la fin du premier siècle, après que la plupart, sinon la totalité, du reste du Nouveau Testament eut été rédigée.

Contrairement à ce qu’enseignent de nombreux ministres et Églises, Jean enseignait que la loi était toujours en vigueur. Et comment pourrait-on l’affirmer plus clairement ?

« Si nous gardons ses commandements, nous savons par cela que nous l’avons connu. Celui qui dit : Je l’ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n’est point en lui. Mais l’amour de Dieu est véritablement parfait en celui qui garde sa parole : par cela nous savons que nous sommes en lui. Celui qui dit qu’il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même » (1 Jean 2 :3-6).

Mais ne vous a-t-il été dit que le fait d’observer les commandements de Dieu constitue un fardeau ? J’ai assurément entendu cela quand j’étais jeune ! Mais que nous dit l’apôtre que Jésus aimait ? Ne me croyez pas sur parole ! Lisez-le dans la Bible :

« Nous connaissons que nous aimons les enfants de Dieu, lorsque nous aimons Dieu, et que nous pratiquons ses commandements. Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles » (1 Jean 5 :2-3).

Mes amis, quel est le lien entre cela et la guérison ? La réponse est : Tout ! Notez encore ce que Jean nous dit : « Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable » (1 Jean 3 :22).

La troisième clé est donc :

  1. Obéir à Dieu.

La dernière et quatrième clé est :

  1. Se repentir d’avoir transgressé les lois divines.

De nombreuses maladies et blessures surviennent parce que nous avons transgressé les lois divines. La toxicomanie, la gloutonnerie et l’imprudence en général entraînent souvent des maladies et des blessures. « Brûler la chandelle par les deux bouts », comme le dit le dicton, a des conséquences néfastes sur notre corps. Trop peu d’exercice et trop de sucreries et d’aliments transformés engendrent des maladies. Le tabagisme, les drogues, l’excès d’alcool et les relations sexuelles en dehors du mariage ont des conséquences physiques. Voyez l’exhortation de l’apôtre Paul dans 1 Corinthiens 6 :18-20 : « Fuyez la débauche. Quelque autre péché qu’un homme commette, ce péché est hors du corps ; mais celui qui se livre à la débauche pèche contre son propre corps. »

Pour en revenir aux instructions de Jacques qui nous exhorte de demander à des ministres fidèles de prier pour nous et de nous oindre d’huile, il nous donne également ces consignes :

« Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière agissante du juste a une grande efficacité » (Jacques 5 :16).

Il ne s’agit pas d’un confessionnal. Il nous dit d’être honnêtes sur ce qui a pu causer notre maladie. Car ce n’est que lorsque nous confessons nos péchés à Dieu et que nous nous en repentons, en nous détournant de la chose même qui nous a rendus malades, que Dieu sait que nous sommes sérieux à ce sujet.

Pourquoi le repentir est-il si important dans la guérison ?

Notre brochure Dieu guérit-Il de nos jours ? donne une réponse surprenante, tirée directement des pages de la Bible.

 


Israël et la vache rousse



Selon l’Ancien Testament, une vache rousse est nécessaire pour purifier l’autel des sacrifices à Jérusalem (voir Nombres 19 :1-10). L’Institut du Temple en Israël travaille depuis des décennies à la préparation d’ustensiles, de tuniques de sacrificateurs et même d’un autel portable qui peut être placé sur ou à côté du Mont du Temple lorsque les sacrifices quotidiens [le sacrifice perpétuel] sont prêts à reprendre. Une vache rousse est essentielle à la reprise des sacrifices quotidiens.

Une transformation radicale en Israël?



Après douze ans sous la direction de Benjamin Netanyahou, 71 ans, Israël a un nouveau Premier ministre – l’ancien allié de Netanyahou, Naftali Bennett, 49 ans (AFP, 14 juin 2021).

Le Covid-19 pourrait-il n’être que le début?

Et si la pandémie de Covid se prolongeait plus longtemps que prévu ? Et si de nouvelles souches plus contagieuses, résistantes aux vaccins, se développaient ? Et si ce n’était que le début de maladies bien pires que toutes celles que nous ayons jamais eues ?

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

La pandémie de Covid a fait des ravages dans le monde entier. Pensez à l’ampleur de ses effets dans un laps de temps relativement court. Elle a causé la faillite des entreprises, affaibli les économies de pays, et les plans de relance ont fait grimper les dettes nationales à des sommets jamais atteints. Les effets du Covid ont également été observés dans l’arène politique. Les règlements liés au Covid ont suscité la controverse dans la politique locale et nationale. La frustration s’est traduite par des protestations publiques, voire des émeutes. Et bien sûr, la maladie a coûté la vie à des millions de personnes. Elle a causé la souffrance de personnes dans pratiquement tous les pays du monde, en étant particulièrement dure pour les personnes âgées et celles qui souffrent de pathologies préexistantes. 

Actuellement, nombreux sont ceux qui placent leur espoir dans les vaccins pour inverser le cours de cette crise. Et les vaccins sont en voie de déploiement et de distribution, pour le plus grand soulagement de beaucoup. D’autres se résignent à attendre que les populations atteignent l’immunité collective, lorsque la plupart des gens auront été exposés à la maladie. Dans les deux cas, beaucoup pensent qu’à un moment donné, les choses reviendront à la normale.

Mais cela sera-t-il le cas ?

Et si la pandémie de Covid se prolongeait plus longtemps que prévu ? Et si de nouvelles souches plus contagieuses, résistantes aux vaccins, se développaient ? Et si ce n’était que le début de maladies bien pires que toutes celles que nous ayons jamais eues ? 

Cette émission ne va pas parler d’un pessimisme sans fin. Ce n’est pas notre conviction ni notre objectif. Il y a beaucoup de bonnes nouvelles dont nous pouvons parler. Dieu a un plan pour le monde. Mais nous devons aussi être réalistes et affronter l’avenir honnêtement. Une chose qui est bien trop rare aujourd’hui.

Au Monde de Demain, nous vous disons la vérité. Celle-ci implique des avertissements sur les temps périlleux à venir et l’espoir qui jaillit des pages de la Bible.

Les effets de la pandémie de Covid-19

Début 2020, la pandémie de Covid a frappé de plein fouet. En l’espace de quelques mois, les nations du monde entier se sont démenées pour réagir à la crise. La pandémie a été accusée d’être à l’origine d’une multitude de problèmes, notamment d’un pic de maladies mentales. Notez ce que le New York Times rapporta en janvier 2021 :

« Avant même que nous n’entrions dans cet hiver des plus sombres, au moment où le Covid-19 provoque implacablement de plus en plus de maladies et de décès – sans parler du stress supplémentaire, de l’isolement et de la souffrance économique – des indices suggéraient que beaucoup plus de personnes ont pensé à mettre fin à leur vie pendant la pandémie que lors des dernières années » (“Will the Pandemic Result in More Suicides?”, The New York Times, 21 janvier 2021).

Seul le temps nous dira dans quelle mesure cette pandémie a affecté la santé mentale des populations du monde entier. Mais les premiers signes ne sont pas bons.

La pandémie de Covid a également fait des trous béants dans les économies du monde entier. Quelle est la gravité de la situation ? Notez ce qu’a rapporté la revue The Economist en janvier 2021 :

« Le bilan économique de la pandémie de Covid-19 est incalculable […] Le rapport semestriel Global Economic Prospects publié cette semaine […] calcule que l’économie mondiale a probablement reculé de 4,3% en 2020, un revers qui n’a d’égal que la Dépression et les deux Guerres mondiales. Mais ce chiffre spectaculaire sous-estime encore le coût. Il mesure la chute de l’économie mondiale par rapport à ce qu’elle était avant la pandémie, et non par rapport à ce qu’elle aurait été si le virus ne s’était pas propagé » (“What’s the economic cost of Covid-19?, The Economist, 9 janvier 2021).

Alors, quelle sera l’ampleur de la crise ? L’article poursuit en disant que la crise pourrait finalement être responsable d’un manque à gagner de 10.000 milliards de dollars dans les économies du monde entier en 2020 et 2021. Ce ne sont pas des chiffres théoriques. La plupart d’entre nous ont des amis ou de la famille qui ont perdu des entreprises ou des salaires. Nous l’avons vu de nos propres yeux ou nous l’avons vécu nous-mêmes. Il s’agit d’une crise grave.

Et, bien sûr, la maladie elle-même a coûté la vie à des personnes partout dans le monde. Le site Internet « Our World in Data » en fait le suivi. D’après leurs chiffres, 2,47 millions de personnes sont décédées dans le monde à cause du Covid, au 21 février 2021 (https://ourworldindata.org/coronavirus).

La plupart d’entre nous ont été touchés par cette maladie, à un degré ou à un autre. Vous avez peut-être vu un ami souffrir ou même mourir. Peut-être votre propre conjoint, ou un parent. Vous l’avez peut-être vous-même contractée. On ne saurait trop insister sur les souffrances que certains ont endurées à cause de cette maladie.

Nous pouvons tous convenir que cette crise a été un coup dur pour des millions de personnes dans le monde. L’espoir est que le pire est derrière nous. Mais même si c’est le cas, même si de nouveaux variants ne surgissent pas, qu’en est-il de l’avenir ? Cela sera-t-il vraiment terminé ?

Comme je l’ai dit au début, nous devons regarder la réalité en face. Les scientifiques s’attendent à des maladies plus dangereuses à venir, provenant de virus auxquels nous n’avons jamais été confrontés. En 2018, The Economist a publié un article qui parlait de la « maladie X ». La maladie X est un agent pathogène théorique, nommé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), pour représenter une maladie encore inconnue. L’auteur déclare :

« En inscrivant la maladie X, une maladie indéterminée, l’OMS reconnaît que les épidémies ne proviennent pas toujours d’une source identifiée et que, comme elle l’admet, “une grave épidémie internationale pourrait être causée par un agent pathogène actuellement inconnu comme cause de maladie humaine” » (What is Disease X?, The Economist, 23 mars 2018).

Quelle déclaration ! Qui aurait pu savoir, en 2018, ce que nous subirions aujourd’hui ? Ce que l’OMS essayait de faire, c’était de se préparer non seulement aux maladies qu’elle connaissait, mais aussi à celles qui sont encore inconnues. Mais qu’est-ce que cela veut dire ? Ce que cela signifie, c’est qu’ils s’attendaient à ce que de nouvelles maladies apparaissent. Et l’Histoire récente nous a appris qu’un nouveau virus peut déferler sur le monde comme une tornade. Qu’en sera-t-il du prochain ?

Plus récemment, d’autres chasseurs de virus se sont fait l’écho de la même chose. Peter Piot est conseiller spécial sur le coronavirus auprès du président de la Commission européenne. C’est un microbiologiste belge réputé qui a passé une grande partie de sa vie à étudier les virus. Son travail le plus remarquable a été de jouer un rôle dans la découverte du virus Ébola. En septembre 2020, une interview de lui fut publiée sur le site Internet Politico. Elle était intitulée : « Le chasseur de virus belge avertit de l’imminence de “l’ère des pandémies”. » Notez ce que M. Piot déclara dans cette interview :

« La fréquence des épidémies est “vraiment en augmentation”, a-t-il noté, et nombre de ces virus – comme le SRAS et l’Ébola – proviennent d’animaux. Des virus qui auraient pu rester locaux pourraient être en train de se propager plus facilement en raison de l’ampleur des voyages, a-t-il suggéré. “Mais de nos jours, quelque chose se produit dans une ville dont la plupart des gens n’ont jamais entendu parler – Wuhan – et du coup cela se propage dans le monde entier”, a-t-il déclaré… M. Piot mentionna qu’il a passé les six dernières années à délivrer des discours intitulés : “Sommes-nous prêts pour la prochaine pandémie ?” » (“Belgian virus hunter warns of looming ‘age of pandemics’”, Politico, 23 septembre 2020).

Vous vous souvenez peut-être que notre présentateur principal, Gerald Weston, a également expliqué la source de bon nombre de ces virus lors d’une émission précédente, intitulée « Pourquoi Dieu permet-Il les pandémies ? » Il y expliquait que de nombreux virus proviennent non seulement des animaux, mais du fait que les gens consomment des animaux que Dieu n’a jamais destinés à être ingérés. La Bible les définit comme étant des « animaux impurs ». Si vous souhaitez revoir cette émission, vous pouvez la trouver sur MondeDemain.org.

M. Piot a averti le monde pendant des années. Étions-nous prêts pour le Covid ? A-t-il raison lorsqu’il dit que nous entrons peut-être dans une ère de pandémies ?

Ce n’est pas la première fois que l’on nous met en garde contre les maladies qui se profilent à l’horizon. Au début des années 1990, mon épouse a entendu un professeur en microbiologie confier à sa classe qu’il s’inquiétait de l’avenir. La préoccupation était liée à la surutilisation des antibiotiques et la multiplication de virus résistants aux antibiotiques. Il dit : « Nous pourrions en arriver à un point où nous serions obligés de recommencer à prier au chevet des malades. »

Quelle déclaration ! Réalisez-vous que vous n’avez pas besoin d’attendre une maladie mortelle pour demander la guérison miséricordieuse de Dieu ?

De futures épidémies sont prophétisées

Les spécialistes nous disent que nous devons nous attendre à des maladies inconnues dans le futur. Et franchement, ils nous avertissent depuis des années. Il ne s’agit pas de savoir si, mais quand. Et en raison de nos moyens de transport modernes, il est très difficile de limiter une épidémie à un seul endroit. Elle se répand rapidement dans le monde entier.

J’ai cité des experts scientifiques dans le dernier segment. Examinons maintenant la prophétie biblique. Que nous apprend la Bible ?

À l’époque de Moïse, Dieu adressa des avertissements sévères à l’ancienne nation d’Israël, si elle Lui désobéissait. Notez cette déclaration :

« Si tu n’observes pas et ne mets pas en pratique toutes les paroles de cette loi, écrites dans ce livre, si tu ne crains pas ce nom glorieux et redoutable de l’Éternel, ton Dieu, l’Éternel te frappera miraculeusement, toi et ta postérité, par des plaies grandes et de longue durée, par des maladies graves et opiniâtres » (Deutéronome 28 :58-59).

Les téléspectateurs de longue date du Monde de Demain savent que la Bible montre que beaucoup de nos nations occidentales actuelles sont en fait des descendants de l’ancienne nation d’Israël. Et une grande partie de la prophétie a une dualité. Il y a aussi un accomplissement à la fin des temps.

De plus en plus de cultures occidentales ignorent de manière flagrante les valeurs bibliques de la vie humaine, de la sexualité et de la moralité. La cupidité, l’orgueil et la violence constituent la norme. Alors que nos péchés s’accumulent, Dieu peut permettre que davantage de maladies s’abattent sur nous pour nous réveiller.

Maintenant, cela signifie-t-il que chaque fois que quelqu’un tombe malade et même meurt, que c’est un jugement divin ? Non. Nous prenons tous de l’âge et nous vieillirons si nous vivons assez longtemps ! Et nous souffrirons tous d’un problème de santé, à un moment ou à un autre de notre vie. Et nous mourrons même. Cela fait partie de la vie.

En même temps, nous devons réaliser que Dieu, dans Sa parole, dit qu’Il se sert parfois des épidémies pour attirer l’attention de Son peuple. Notez ce qu’Il déclara un peu plus loin :

« Il amènera sur toi toutes les maladies d’Égypte, devant lesquelles tu tremblais ; et elles s’attacheront à toi. Et même, l’Éternel fera venir sur toi, jusqu’à ce que tu sois détruit, toutes sortes de maladies et de plaies qui ne sont point mentionnées dans le livre de cette loi » (Deutéronome 28 :60-61).

La prophétie biblique montre également que des jugements s’abattront sur le monde entier, à cause du péché. Vers la fin du ministère de Jésus, Ses disciples Lui ont demandé quel serait le signe de Sa venue. Après avoir mis en garde contre la séduction et les guerres, remarquez ce qu’Il déclara :

« Car une nation s’élèvera contre une autre nation, et un royaume contre un autre royaume ; et il y aura des famines, des pestes et des tremblements de terre en divers lieux. Mais tout cela ne sera qu’un commencement de douleurs » (Matthieu 24 :7-8, Ostervald)

Le dictionnaire Larousse définit une peste comme une « maladie infectieuse contagieuse, endémique et épidémique » (“peste”, Larousse.fr).

Notez bien ceci. Ce n’est pas nous qui déclarons ce que l’avenir nous réserve. Il s’agit d’une prophétie provenant directement des paroles de notre Sauveur, Jésus de Nazareth. Ce sont Ses paroles. Si nous croyons en Jésus-Christ, nous devons le prendre au sérieux. Des épidémies vont survenir.

Maintenant, Il n’a pas dit que nous devrions être anxieux et inquiets à ce sujet. Au verset 6, Il dit : « Gardez-vous d’être troublés ». Par l’intermédiaire du Christ, nous pouvons avoir la paix d’esprit, même dans les temps difficiles à venir. Mais nous devons également prendre Son avertissement au sérieux.

Vers la fin du premier siècle de notre ère, l’apôtre Jean eut une vision de l’avenir. Il la consigna dans le livre de l’Apocalypse. Après les sept sceaux, et les sept trompettes, « sept derniers fléaux » sont mentionnés. Remarquez comment le cinquième fléau est décrit :

« Le cinquième versa sa coupe sur le trône de la bête. Et son royaume fut couvert de ténèbres ; les hommes se mordaient la langue de douleur ; ils blasphémèrent le Dieu du ciel, à cause de leurs douleurs et de leurs ulcères, et ils ne se repentirent pas de leurs œuvres » (Apocalypse 16 :10-11).

Nous, les êtres humains, pouvons être extrêmement obstinés. Même lorsque les derniers fléaux seront déversés pour réveiller l’humanité pécheresse, certains refuseront dans leur entêtement de se repentir de leurs péchés.

Alors, que devons-nous faire ?

Se tourner vers Dieu pour la guérison

Admettons-le. Nous sommes tous physiques. Nous sommes tous soumis aux aléas du temps, de l’âge et de la maladie. À un moment donné, nous mourrons. C’est le cycle normal de la vie et de la mort. Mais parce que nous sommes physiques, et que notre Dieu est amour, Il nous a aussi donné la bénédiction de la guérison divine.

Lorsque Jésus débuta Son ministère, Il a immédiatement commencé à prêcher l’Évangile du Royaume de Dieu. Mais Il chassait aussi les démons et guérissait les malades. Les gens venaient de partout pour être guéris. Il voyait leur souffrance et éprouvait de la compassion pour eux.

Examinons un cas particulier. Un dignitaire est venu Lui demander d’aider sa fillette. Elle était malade et proche de la mort. Jésus accepta de l’accompagner. Mais en chemin, il se passa autre chose :

« Or, il y avait une femme atteinte d’une perte de sang depuis douze ans. Elle avait beaucoup souffert entre les mains de plusieurs médecins, elle avait dépensé tout ce qu’elle possédait, et elle n’avait éprouvé aucun soulagement, mais était allée plutôt en empirant » (Marc 5 :25-26).

Il y a toujours ceux qui sont prêts à abuser de personnes vulnérables. Cela n’a pas changé, n’est-ce pas ? En même temps, nous connaissons des personnes remarquables dans le domaine médical qui utilisent leur expertise et leur formation pour vraiment servir leur prochain. Nombre d’entre eux mettent actuellement leur vie en danger en combattant des maladies infectieuses. Nous leur en sommes reconnaissants.

Mais pensez-y. Quel que soit le dévouement des médecins, ils sont malgré tout limités. Il y a des moments où ils ont fait tout ce qu’ils pouvaient faire et ne peuvent pas faire plus. Ils ne peuvent pas guérir au sens absolu du terme. Dieu seul peut guérir. Et Jésus a effectivement guéri cette femme :

« Ayant entendu parler de Jésus, elle vint dans la foule par derrière, et toucha son vêtement. Car elle disait : Si je puis seulement toucher ses vêtements, je serai guérie » (Marc 5 :27-28).

Et Il l’a guérie. C’est le pouvoir qu’avait Jésus. C’est le pouvoir de notre Sauveur. Et Il continue à guérir – j’en ai été personnellement témoin dans ma vie. Et peut-être en avez-vous été témoin vous aussi. Il faut que cela soit réel pour nous. Parce qu’Il est réel.

Jésus se rendit à la maison de ce chef de la synagogue qui avait fait appel à Son aide. Sur le chemin, Il apprit la triste nouvelle que la fillette était déjà morte. En fait, il y avait déjà des personnes en pleurs dans la maison. Reprenons le récit à partir du verset 36 :

« Mais Jésus, sans tenir compte de ces paroles, dit au chef de la synagogue : Ne crains pas, crois seulement. […] Ils arrivèrent à la maison du chef de la synagogue, où Jésus vit une foule bruyante et des gens qui pleuraient et poussaient de grands cris […] Et ils se moquèrent de lui. Alors, ayant fait sortir tout le monde, il prit avec lui le père et la mère de l’enfant, et ceux qui l’avaient accompagné, et il entra là où était l’enfant » (Marc 5 :36, 38, 40).

Remarquez que lorsque Jésus guérissait, Il ne S’en vantait pas. Il n’y eut ni fanfare, ni projecteurs, ni tours de passe-passe. En fait, comme nous le voyons ici, Il fit sortir de la maison tous ceux qui gémissaient et se lamentaient. Puis, ceux qui restaient n’étaient que quelques-uns, avec les parents. C’était une affaire privée. Et voici ce qu’Il fit :

« Il la saisit par la main, et lui dit : Talitha koumi, ce qui signifie : Jeune fille, lève-toi, je te le dis. Aussitôt la jeune fille se leva, et se mit à marcher ; car elle avait douze ans. Et ils furent dans un grand étonnement. Jésus leur adressa de fortes recommandations, pour que personne ne sache la chose ; et il dit qu’on donne à manger à la jeune fille » (Marc 5 :41-43).

Il l’a guérie. En réalité, Il l’a ressuscitée des morts, sans tambour ni trompette. En fait, Il leur a dit de ne pas en parler. Il ne cherchait pas à attirer les foules. La guérison faisait partie de Son ministère, comme un signe de qui Il était. Et Il l’a fait simplement par compassion pour ces gens désespérés.

Dieu guérit-Il de nos jours ? Absolument. Notez ce que l’apôtre Jacques a écrit :

« Quelqu’un parmi vous est-il malade ? Qu’il appelle les anciens de l’Église, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur ; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera… » (Jacques 5 :14-15).

L’Église du Dieu Vivant a des ministres dévoués dans le monde entier. L’une de leurs tâches consiste à prier pour les malades et à les oindre d’huile. Il ne s’agit pas d’un rituel étrange ou inhabituel. Il s’agit simplement d’une prière avec le malade et de l’onction de la personne avec un peu d’huile d’olive. C’est fait exactement comme mentionné ici dans Jacques 5 :14. Dieu guérit vraiment. Je l’ai vu moi-même, de mes propres yeux.

Mais, y a-t-il des moments où nous demandons la guérison à Dieu et où nous ne sommes pas guéris immédiatement ? Absolument. Nous devons comprendre que Dieu a un plan pour nous. Et Sa priorité principale est de nous faire entrer dans Son Royaume. Cela signifie qu’Il permet parfois que nous souffrions, pour apprendre à Lui faire confiance et à avoir foi en Lui. Paul apprit cela lorsqu’il demanda à Dieu d’être délivré d’une épreuve et qu’il n’en fut pas délivré. Remarquez la réponse de Dieu à Paul : « Et il m’a dit : Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse » (2 Corinthiens 12 :9).

C’est parfois en apprenant à attendre et en faisant preuve de patience que nous apprenons le plus. Malgré tout, Dieu veut que nous fassions appel à Lui lorsque nous avons besoin d’aide.

Et remarquez autre chose. Comme cela est décrit dans Actes 19, il y avait des moments où Paul ne pouvait pas prier en personne pour quelqu’un. Dans ces cas-là, on prenait des linges ou des mouchoirs qui avaient touché le corps de Paul et ils étaient ensuite appliqués sur les malades.

« Et Dieu faisait des miracles extraordinaires par les mains de Paul, au point qu’on appliquait sur les malades des linges ou des mouchoirs qui avaient touché son corps, et les maladies les quittaient, et les esprits malins sortaient » (Actes 19 :11-12).

L’Église du Dieu Vivant suit également cette pratique, en faisant parvenir des linges oints à ceux qui demandent, avec une foi authentique, à être guéris.

Jésus se préoccupe de votre santé et de votre avenir

Plus tôt dans cette émission, j’ai cité un professeur en microbiologie disant qu’il y aurait un temps où nous devrions à nouveau prier au chevet des malades. Mais réfléchissez-y. Allons-nous le faire uniquement lorsque nous y serons absolument contraints ? Ou pouvons-nous commencer à chercher Dieu d’ores et déjà pour qu’Il nous guide et nous enseigne – et nous guérisse – lorsque nous sommes malades ? La réponse est évidente. Dieu veut que nous Le cherchions dès à présent.

Remarquez ce que Jésus-Christ révèle et que l’apôtre Jean nous rapporta : « Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance » (Jean 10 :10).

Dieu veut que nous ayons la vie éternelle, grâce à la résurrection. Mais Il veut aussi que nous jouissions des bénédictions de la vie dès à présent. Et cela inclut la guérison divine.

Mettez votre confiance en Dieu. Comprenez que le Covid n’est peut-être qu’une pandémie parmi toutes celles à venir. Mais nous pouvons être préparés pour tout ce qui va arriver si nous avons foi et confiance en Dieu.

 


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