[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]
De tous les symboles mystérieux, de toutes les prophéties de la Bible, peu d’entre eux ont captivé l’imagination de la culture populaire autant que les quatre cavaliers de l’Apocalypse. Sortis tout droit des pages de l’Apocalypse, ces cavaliers et leurs chevaux de teintes différentes ont été utilisés pendant des siècles comme métaphores de la mort, de la destruction, de la calamité, et de la fin du monde. Mais ce ne sont pas des symboles allégoriques que l’on peut utiliser comme bon nous semble ou sur lesquels on peut spéculer. Jésus-Christ les révéla à Son serviteur Jean dans une vision décrivant un avenir très réel – l’avenir qui galope à toute vitesse vers nous.
Vous devez comprendre la signification des quatre cavaliers avant que leur arrivée ne vous prenne au dépourvu, vous et votre famille, sans vous être préparés. Rejoignez-nous aujourd’hui pour découvrir la révélation que Jésus-Christ donne au sujet des quatre cavaliers à venir.
Bonjour et bienvenue au Monde de Demain, où nous vous aidons à donner un sens à votre monde à travers les pages de la Bible. Aujourd’hui, nous allons parler des quatre cavaliers de l’Apocalypse – quelques-uns des symboles bibliques les plus sinistres et les plus intrigants dont est pénétrée notre culture.
Nous vous donnerons également l’occasion de demander l’une de nos ressources gratuites les plus utiles : Le mystère révélé de l’Apocalypse. N’oubliez pas de noter toutes les informations relatives à nos publications qui s’afficheront sur votre écran tout au long de l’émission.
Les quatre cavaliers de l’Apocalypse dans la culture populaire
Certains d’entre vous ont entendu parler peut-être des fameux « quatre cavaliers du nouvel athéisme » – Richard Dawkins, Daniel Dennett, Christopher Hitchens et Sam Harris. De même, Google, Amazon, Facebook et Apple sont appelés les « quatre cavaliers de la technologie ». Au cinéma, vous connaissez peut-être le film de Clint Eastwood intitulé « Le cavalier solitaire » – ou même le film des super-héros « X-Men : Apocalypse » et ses quatre cavaliers « mutants ».
De telles utilisations obscurcissent en fait la très importante réalité future que les quatre cavaliers représentent. C’est cette réalité de la vie et de la mort que nous allons vous exposer dans l’émission d’aujourd’hui. Pour ce faire, nous devons d’abord établir des bases importantes.
Les quatre cavaliers proviennent du chapitre 6 du livre prophétique de l’Apocalypse. Dans ce passage, l’apôtre Jean est en train d’avoir une vision d’événements qui se déroulent dans le ciel, y compris l’ouverture d’un rouleau scellé par sept sceaux. Ces sept sceaux représentent des événements futurs. Apocalypse 5 nous dit que, personne dans le ciel ni sur la Terre ne peut l’ouvrir, seul Jésus-Christ est jugé digne d’ouvrir ces sceaux et d’en révéler le contenu.
C’est Jésus-Christ qui révèle l’identité des quatre cavaliers
Cela nous amène à une information essentielle dont nous avons besoin pour découvrir l’identité de ces cavaliers dont Jésus-Christ est le révélateur. Le but entier du livre de l’Apocalypse n’est pas de cacher la vérité, mais de la révéler – après tout, ce livre est le livre de la « révélation », et non un livre caché ou secret. En fait, son nom est tiré de ses propres versets. Lisez-les avec moi dans l’Apocalypse 1 :1 : « Révélation de Jésus-Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt. »
Remarquez plusieurs éléments ici : Premièrement, il s’agit de la révélation de Jésus-Christ. Si nous voulons comprendre ce que dit l’Apocalypse, nous devons considérer ce que Jésus nous enseigne et nous révèle. Notez aussi que Dieu Lui confia ce message pour révéler à Ses serviteurs les choses qui doivent bientôt se produire, non pour les cacher et les rendre incompréhensibles, mais bien pour les révéler !
En gardant à l’esprit que l’Apocalypse représente la propre Révélation de Jésus sur l’avenir, reportons-nous à Matthieu 24. Il s’agit d’un autre passage de la Bible où Jésus parlait des événements de la fin des temps. Nous trouvons là un modèle qui nous aidera énormément à saisir l’identité des quatre cavaliers.
Dans cette prophétie, donnée par le Christ sur le mont des Oliviers, Jésus expliqua les conditions mondiales qui précèderont Son second Avènement et la fin de cette ère. Nous y voyons se profiler les grandes lignes. Commençons par le verset 4. Ici, Il répondit aux questions de Ses disciples au sujet de Son retour :
« Et Jésus, répondant, leur dit : Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront en mon nom, disant : Je suis le Christ, et ils séduiront beaucoup de gens. Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres ; prenez garde de ne pas vous troubler, car il faut que toutes ces choses arrivent ; mais ce ne sera pas encore la fin. Car une nation s’élèvera contre une autre nation, et un royaume contre un autre royaume ; et il y aura des famines, des pestes et des tremblements de terre en divers lieux. Mais tout cela ne sera qu’un commencement de douleurs » (Matthieu 24 :4-8, Ostervald).
Bien qu’Il mentionne plusieurs éléments dans cette prophétie, notez que quatre d’entre eux selon les paroles de Jésus se dérouleront dans cet ordre :
- La fausse religion
- La guerre
- La famine
- La peste
Il est important de remarquer que Jésus dit au verset 6 : « Mais ce ne sera pas encore la fin », parce que, dans une large mesure, les problèmes qu’Il mentionna ici se produisent depuis la nuit des temps. Pourtant, le scénario des événements établit par Jésus ici s’avérera fondamental pour confirmer les futurs événements à la fin de l’Histoire mondiale, car ils se répèteront à plus grande échelle avec les quatre cavaliers à venir qu’Il révéla à l’apôtre Jean – puis, à nous.
Les quatre cavaliers représentent les extrêmes cataclysmiques de quatre situations
Notons que les quatre cavaliers de l’Apocalypse représentent des extrêmes cataclysmiques de la fin des temps. Ce sont quatre situations qui s’empileront les unes sur les autres. Mais jusqu’à quel point ? Apocalypse 6 :8 dit : « Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre. »
Au moment où nous enregistrons cette émission, la population mondiale devrait bientôt atteindre les 8 milliards d’habitants, ce qui signifie qu’un quart de la population représenterait environ deux milliards d’habitants – un nombre vraiment très important !
Le premier cavalier : la dernière incarnation du christianisme contrefait, plus agressive et militant
Alors, que représente chaque cavalier ? Commençons par le premier cavalier, qui fait son entrée à l’ouverture du premier sceau prophétisé :
« Je regardai, quand l’Agneau ouvrit un des sept sceaux, et j’entendis l’un des quatre êtres vivants qui disait comme d’une voix de tonnerre : Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre » (Apocalypse 6 :1-2).
Voici la vision d’un cheval blanc, dont le cavalier porte une couronne, tient un arc, et part à la conquête. Ce cavalier correspond au premier élément de la liste d’événements mentionnés par Jésus dans Matthieu 24 caractérisé par une fausse religion d’ordre mondial.
Bien sûr, la fausse religion est présente dans l’humanité pratiquement depuis ses débuts. Satan avait séduit Ève pour qu’elle et Adam consomment le fruit défendu. Lorsque l’apôtre Jean mit en garde les chrétiens du premier siècle contre la venue de l’Antéchrist final, dans 1 Jean 2 :18, il note également que de nombreux antéchrists étaient déjà présents en ce bas monde, en son temps. Le christianisme contrefait de Satan existe depuis le tout début.
Pourtant, dans les jours à venir, cette dernière incarnation du christianisme contrefait du diable deviendra beaucoup plus agressive et militante, décrite dans Apocalypse 6 comme partant en « conquête ». Non seulement désireuse de « gagner les cœurs et les esprits », mais elle cherchera à convertir de force le monde entier.
Aujourd’hui, certains confondent ce premier cavalier monté sur un cheval blanc avec Jésus-Christ, affirmant que ce cavalier représente la vraie religion qui conquiert le monde. Ont-ils raison ?
Considérez cette description de Jésus dans Apocalypse 19 :
« Puis je vis le ciel ouvert, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait s’appelle Fidèle et Véritable, et il juge et combat avec justice. Ses yeux étaient comme une flamme de feu ; sur sa tête étaient plusieurs diadèmes ; il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n’est lui-même ; et il était revêtu d’un vêtement teint de sang. Son nom est la Parole de Dieu. Les armées qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs, revêtues d’un fin lin, blanc, pur. De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations ; il les paîtra avec une verge de fer ; et il foulera la cuve du vin de l’ardente colère du Dieu tout-puissant. Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs » (Apocalypse 19 :11-16).
Il est évident que ce cavalier dans Apocalypse 19 représente Jésus-Christ ! Un cheval blanc, des diadèmes, une arme, la conquête… Ce cavalier ne saurait être le même que le premier cavalier d’Apocalypse 6, n’est-ce pas ? Faux !
Le diable séduit de manière subtile, et c’est dans les détails que nous voyons la différence. Lorsque vous lisez attentivement ces versets, vous remarquez que ces deux cavaliers chevauchent tous deux un cheval blanc. Mais que le second porte une épée, qui représente la parole de Dieu, tandis que le premier cavalier utilise un arc. De même, le premier cavalier est décrit comme portant une couronne, mais le second cavalier est décrit comme portant de nombreuses couronnes – étant non seulement un Roi, mais le Roi des rois, Christ.
Le premier cavalier représente un christianisme contrefait, militant et dangereux, qui se répandra agressivement sur Terre et conquerra de nouveaux adeptes d’une manière que le monde n’aura jamais vue auparavant. Il est dirigé par un personnage que l’apôtre Jean appelle « l’Antéchrist », qui est l’aboutissement des nombreux antéchrists qui l’ont précédé. Sa religion est déjà présente dans le monde, mais dans les dernières années précédant le retour du Christ, elle exercera une influence et une puissance inouïes.
Le deuxième cavalier : un niveau extrême de guerre, différent de tout ce que l’humanité aura connu
Alors, qui est le prochain cavalier, c’est-à-dire le deuxième cavalier ? Il est décrit dans Apocalypse 6 :3-4 :
« Quand il ouvrit le second sceau, j’entendis le second être vivant qui disait : Viens. Et il sortit un autre cheval, roux. Celui qui le montait reçut le pouvoir d’enlever la paix de la terre, afin que les hommes s’égorgent les uns les autres ; et une grande épée lui fut donnée. »
Là encore, cela correspond au scénario mentionné dans Matthieu 24, et ce cavalier représente la guerre. Mais la chevauchée de ce cavalier de la fin des temps indique un niveau extrême de guerre, différent de tout ce que l’humanité aura connu auparavant. Notez que le cavalier est doté d’une « grande épée », et qu’il lui est accordé d’enlever la paix sur la Terre.
Cela correspond bien à la description de la bête de l’Apocalypse 13. Au verset 4, nous lisons que les peuples du monde l’adorent et, par conséquent, le diable qui lui octroie son pouvoir : « Et ils adorèrent le dragon, parce qu’il avait donné l’autorité à la bête ; ils adorèrent la bête, en disant : Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ? »
L’ampleur de la guerre à la fin des temps, représentée par ce dangereux deuxième cavalier, est presque inimaginable. Même pour un monde qui a connu deux Guerres mondiales dont le point culminant se solda par deux champignons atomiques, les conflits passés ne seront rien en comparaison de la Guerre mondiale à venir. Ce n’est pas sans raison que Jésus dit dans Matthieu 24 :22 : « Et, si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés. »
Le troisième cavalier : la famine et la pénurie à une échelle que l’humanité n’a jamais connue auparavant
Les premier et deuxième cavaliers de l’Apocalypse vont déchaîner des forces terrifiantes sur la planète Terre, mais le récit de leur chevauchée à venir ne s’arrête pas là. Après le deuxième cavalier, les troisième et quatrième cavaliers suivent peu après :
« Quand il ouvrit le troisième sceau, j’entendis le troisième être vivant qui disait : Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval noir. Celui qui le montait tenait une balance dans sa main. Et j’entendis au milieu des quatre êtres vivants une voix qui disait : Une mesure de blé pour un denier, et trois mesures d’orge pour un denier ; mais ne fais point de mal à l’huile et au vin » (Apocalypse 6 :5-6).
Une fois encore, conformément à la séquence révélée par Jésus dans Matthieu 24, le cavalier suivant décrit une grande famine – un manque total de produits de première nécessité. Vous savez, comme cela fut le cas tout récemment à Madagascar et en Éthiopie, l’humanité est confrontée à la famine par intermittence depuis des siècles. Mais ce troisième cavalier représente la famine et la pénurie à une échelle que l’humanité n’a jamais connue auparavant – et par des peuples et des nations qui ne l’ont jamais connue.
Apocalypse 6 dit que le troisième cavalier, tenant une balance à la main, annonce qu’un quart de blé coûtera un denier, ce qui, au premier siècle, représentait le salaire d’une journée entière de travail – le travail de toute une journée pour l’achat d’un peu de pain. Ce que nous voyons ici, c’est le fléau de la famine qui s’abattra sur le monde entier. Les denrées alimentaires les plus élémentaires – le grain et l’orge – deviendront rares et précieuses.
Certains habitants de l’Occident aisé ont récemment fait l’expérience d’un tout petit avant-goût de ce que c’est que d’avoir des étalages vides et des produits de première nécessité trop chers ou difficiles à trouver. Que feront ces mêmes nations lorsque le troisième cavalier arrivera, entraînant des étalages, des champs, et des estomacs vides ?
Le quatrième cavalier : des maladies et des épidémies à une échelle inédite
Bien sûr, les famines et les pénuries succèdent souvent aux guerres, et les circonstances engendrées par le quatrième cavalier découlent souvent de la famine :
« Quand il ouvrit le quatrième sceau, j’entendis la voix du quatrième être vivant qui disait : Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval d’une couleur verdâtre. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l’accompagnait » (Apocalypse 6 :7-8).
Une fois de plus, nous constatons que le scénario correspond à la séquence révélée par Jésus-Christ lue dans Matthieu 24. Là, notre Seigneur mentionne la « peste » après la « famine », et la couleur pâle et maladive de ce cheval correspond exactement aux paroles de Jésus, tout comme le nom du cavalier, « la mort », et le fait qu’il soit accompagné du « séjour des morts », la tombe. Bien sûr, à notre époque, le Covid-19 a amené beaucoup de gens à réfléchir à l’ampleur que pourraient prendre les maladies et les pandémies.
Pourtant, le témoignage de la prophétie – et donc de Jésus-Christ, puisque le témoignage de Jésus représente l’esprit de la prophétie (Apocalypse 19 :10) – est clair par rapport à la peste et aux maladies à venir. Le Covid-19 est à peine un coup de semonce à l’échelle mondiale. L’arrivée du quatrième cavalier annonce des maladies qu’aucun médecin, aucune organisation sanitaire, aucun gouvernement mondial n’est prêt à affronter.
Mettons ces quatre cavaliers en perspective. Selon les estimations les plus courantes, le Covid-19 aurait tué près de sept millions de personnes. Certains estiment que la peste bubonique aurait tué 25 millions de personnes au Moyen-Âge. La plus grande famine de l’histoire, celle du « Grand Bond en avant » en Chine, aurait tué 20 à 40 millions de personnes entre 1959 et 1961. Les deux Premières Guerres mondiales, selon certaines estimations, auraient tué 70 à 80 millions de personnes.
Ces chiffres sont terrifiants. Pourtant, nous devons nous rappeler qu’Apocalypse 6 :8 dit que les quatre cavaliers à venir – la fausse religion, la guerre, la famine et la peste – auront le pouvoir sur un quart de l’humanité. Actuellement, cela correspondrait à environ deux milliards de personnes. Ce sont des « milliards » avec un grand « M ». Les conflits, les famines et les maladies du passé et du présent ne sont guère comparables à la chevauchée des quatre cavaliers à venir.
Le cinquième cavalier nous apporte de l’espérance au-delà des quatre cavaliers
Voilà, mes amis, un tableau fort sombre, je le sais. Pourtant, Jésus-Christ révèle cette connaissance pour une raison, et ce n’est pas pour nous déprimer ou nous jeter dans le désespoir ! Que pouvez-vous faire, vous et votre famille, pour vous préparer aux temps à venir ? Y a-t-il quelque chose que quelqu’un puisse faire ?
Mes amis, je sais que la chevauchée des quatre cavaliers semble terrifiante, et il est clair que Jésus-Christ voulait nous en avertir. Mais Dieu ne nous a pas laissés sans espérance. Car il y a plus que quatre cavaliers mentionnés dans le livre de l’Apocalypse !
Précédemment dans l’émission, nous avons mentionné le cinquième cavalier quand nous avons lu Apocalypse 19. Jésus-Christ reviendra sur un cheval blanc. Et Il ne sera pas seul ! Il sera accompagné de Ses saints ressuscités et glorifiés qui seront sur leurs propres chevaux blancs, et ensemble ils vaincront les ennemis de Dieu et inaugureront le règne du Royaume de Dieu ici-bas !
Nous avons parlé des quatre cavaliers à venir dont le monde fera l’expérience. La récente pandémie nous a donné un avant-goût, et nous commençons à voir les prix des produits alimentaires flambés en raison de l’inflation et d’autres causes. Les guerres font la une de l’actualité – l’invasion de l’Ukraine n’est qu’un récent exemple. Si nous avons des yeux pour voir et des oreilles pour entendre, ce faux christianisme du monde peut être vu et entendu pour ce qu’il est. Il est prêché derrière le lutrin des dénominations et des Églises les plus populaires de ce monde.
Agissez dès à présent pour être préparé avant l’arrivée des quatre cavaliers
Ces circonstances devraient nous inciter à agir dès à présent, avant que les quatre cavaliers ne soient lâchés sur ce monde pour apporter l’apostasie, le carnage, la famine et la peste dans toute leur ampleur. C’est le moment maintenant de nous mettre sous la protection du cinquième cavalier, afin de nous retrouver un jour à Ses côtés pour guérir le monde.
Pour ceux qui soumettent leur vie à Son autorité dès aujourd’hui, Il offre une protection contre ce qui est à venir. Pour ces personnes, les signes avant-coureurs de la chevauchée des quatre cavaliers que nous voyons tout au long de nos actualités – les rappels quotidiens de ce qu’ils apporteront – ne doivent pas être des signes de désespoir. Bien au contraire, ils peuvent être des signes d’espérance. Jésus Lui-même nous le dit, tout comme Il le révéla à Ses disciples il y a 2000 ans. À ceux qui s’engagent aujourd’hui à Lui obéir et qui persévèrent jusqu’à la fin, Il dit dans Luc 21 :36 : « Veillez donc et priez en tout temps, afin que vous ayez la force d’échapper à toutes ces choses qui arriveront, et de paraître debout devant le Fils de l’homme. »
Puissions-nous tous prier pour le retour de ce cinquième cavalier, Jésus-Christ, pour inaugurer le Royaume de Dieu, pour toujours ! Et puissions-nous chercher Sa face dès à présent – Son mode de vie, Son œuvre et Sa volonté – pour pouvoir l’accompagner à Son retour sur nos propres chevaux blancs, l’aider à mettre les quatre cavaliers hors de nuisance.