[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]
La Bible est le livre le plus influent de l’Histoire de l’humanité
La Bible est, sans aucun doute, le livre le plus influent de l’Histoire de l’humanité. Aujourd’hui, beaucoup la considèrent comme peu fiable, remplie de superstitions et qu’il vaudrait mieux ne pas la prendre au sérieux. Pourtant, si ce livre est vraiment ce qu’il affirme être – la parole de Dieu – alors il n’y a aucun livre sur Terre que vous ne devriez prendre plus au sérieux.
Rejoignez-moi dans cette émission du Monde de Demain pour démystifier cinq mythes relatifs à la Bible.
Bonjour et bienvenue au Monde de Demain, où nous vous aidons à donner un sens à votre monde à travers les pages de la Bible. Aujourd’hui, vous et moi allons réfuter cinq mythes concernant la parole de Dieu, la Sainte Bible, et démontrer qu’ils ne sont guère plus que des fantasmes, véhiculés par ceux qui ne sont pas à l’aise avec ce que Dieu a à dire sur ce monde – et sur leur façon de vivre.
Mythe n°1 : La Bible n’est pas fiable d’un point de vue historique
Beaucoup prétendent que la Bible est remplie de mythes et d’histoires inventées, mais rien n’est plus faux. À maintes reprises, lorsque les historiens se confrontent à la Bible, la confrontation tourne à l’avantage de la Bible.
Par exemple, de nombreux historiens sceptiques pensaient que les Hittites étaient un royaume fictif de l’Ancien Testament, jusqu’à ce qu’ils découvrent l’Empire hittite, exactement tel que la Bible le décrit ! Au 19e siècle, l’entière capitale du peuple hittite a été découverte, ainsi que ses archives royales contenant des milliers d’anciens documents relatifs à son vaste empire.
Les critiques se sont moqués de la Bible. Jusqu’à ce que, à force de creuser, l’Histoire réelle se révèle et donne raison à la Bible !
Voici le schéma : Les sceptiques doutent de la Bible et les faits démontrent qu’ils ont tort. Nous n’avons pas suffisamment de temps pour énumérer les innombrables façons dont l’archéologie prouve que la Bible est digne de confiance, mais examinons-en quelques-unes.
L’homme continue de déterrer des preuves archéologiques concernant des personnages importants de la Bible. Des personnages de l’Ancien Testament, tels que le roi Ézéchias, le roi Achaz et la tristement célèbre reine Jézabel, ainsi que des personnages du Nouveau Testament, comme Ponce Pilate et le souverain sacrificateur Caïphe. Tous apparaissent dans divers artefacts ou documents anciens, à mesure que les historiens continuent de fouiller le passé.
Pendant beaucoup de temps, le roi David de la Bible fut largement considéré comme un mythe, tel le roi Arthur d’Angleterre, jusqu’à ce que des fouilles mettent au jour une inscription en araméen dans l’ancienne ville de Dan, faisant référence au « roi de la maison de David ».
L’une de mes découvertes préférées n’est pas celle d’un personnage célèbre. En 2007, un professeur d’archéologie de Vienne examinait un petit fragment d’argile vieux de 25 siècles provenant de l’ancienne Babylone, un reçu pour un paiement effectué à un temple du culte du soleil. En écriture cunéiforme ancienne, il portait le nom de « Sarsekim-Nebu », un chef d’eunuques. Pourquoi s’en soucier ? Cet individu est mentionné détenant le même poste dans le livre biblique de Jérémie (39 :3) ! Et pensez-y… Il ne s’agit pas là d’un « notable ». Si la Bible était remplie de fictions, les mention des personnages célèbres seraient peut-être plus facile à les expliquer comme étant fortuites. Mais qu’en est-il des mentions des personnes non célèbres ? Il serait remarquable d’y parvenir également !
Il n’est jamais sage de parier contre la Bible lorsqu’il s’agit d’Histoire ! Si vous vous moquez de la Bible, les faits finiront par se moquer de vous.
Mythe n°2 : Le texte de la Bible fut considérablement modifié au cours des siècles
J’éprouve une certaine sympathie pour ceux qui croient à ce mythe sans avoir fait de recherches. Après tout, la Bible est un recueil de livres, dont le plus récent fut rédigé il y a près de deux mille ans – et le plus ancien fut écrit des milliers d’années auparavant !
En l’absence de disques durs numériques et de photocopieuses, les mots de la Bible furent méticuleusement recopiés à la main d’un rouleau à l’autre, siècle après siècle.
Comment est-il possible que le texte ait été fidèlement préservé ? Pourtant, un examen impartial des preuves montre que c’est exactement ce qui s’est passé.
Par exemple, avant la découverte des célèbres manuscrits de la mer Morte à la fin des années 1940 et au début des années 1950, la plus ancienne copie du livre d’Ésaïe ne remontait qu’à l’an 1000 de notre ère. La découverte de rouleaux contenant le livre d’Ésaïe parmi les manuscrits de la mer Morte, y compris une copie presque complète du livre, repousse cette date d’un millier d’années ou plus, au siècle précédant le Christ. Le niveau de précision des copies faites au cours de ce millier d’années est remarquable.
Dans Romains 3 :2, l’apôtre Paul note que Dieu confia la transmission et la préservation des écrits de l’Ancien Testament aux Juifs, et que leurs traditions méticuleuses quant à la reproduction des textes nous ont bien servi. En comptant les mots dans chaque livre, les occurrences de chaque lettre dans chaque livre, et en effectuant d’autres vérifications minutieuses et fastidieuses, leurs pratiques ont été conçues pour garantir l’exactitude des mots d’un parchemin à l’autre, avec le soin et la dévotion que mérite la parole de Dieu.
Qu’en est-il du Nouveau Testament ? Il est évident qu’il contient lui aussi un enregistrement fidèle, préservé au fil des siècles. Même des fragments tels que le papyrus de la bibliothèque Rylands, qui contient un fragment de l’Évangile de Jean qui date de moins de 50 ans de la rédaction originale de cet Évangile, confirment la qualité de la copie du texte.
Oui, des erreurs de traduction et des fautes des scribes furent commises. Pourtant, il existe beaucoup plus de copies manuscrites du Nouveau Testament que de tout autre document ancien. Dans cette vaste collection de copies, le fait que le même message original soit parvenu haut et fort jusqu’à notre époque est évident.
Même les détracteurs de la Bible admettent ce fait. Comme l’admet Bart Ehrman, spécialiste de la Bible, critique et sceptique :
« Il est certain que sur les centaines de milliers de modifications textuelles trouvées dans nos manuscrits [du Nouveau Testament], la plupart sont totalement insignifiantes, immatérielles, sans réelle importance pour autre chose que de montrer que les scribes ne savaient pas mieux épeler ou rester concentrés que le reste d’entre nous » (Misquoting Jesus, page 207).
Le grand nombre de manuscrits montre qu’au lieu de changer radicalement en deux mille ans, le message originel du Nouveau Testament et les enseignements de Jésus-Christ continuent de briller, sans être endommagés par le temps. Cela ne devrait pas nous surprendre le moins du monde, puisque Jésus Lui-même le déclara dans Sa célèbre prophétie du mont des Oliviers : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point » (Matthieu 24 :35).
Donc, non, le texte de la Bible ne fut pas radicalement modifié au cours des siècles. En fait, il fut miraculeusement préservé.
Mythe n°3 : La Bible fut assemblée par l’Église catholique romaine
C’est ce qu’affirment souvent les personnes qui veulent dire que l’Église catholique romaine a choisi les livres qui feraient partie de la Bible, pour des raisons politiques, afin d’écraser les idées opposées ou les versions indésirables de la foi. Pourtant, cette affirmation n’est qu’un fantasme sans fondement.
Tout d’abord, il est clair que les 66 livres de la Bible furent reconnus comme inspirés bien avant que les conciles catholiques romains n’aient pu prétendre les rendre « officiels ». L’historien juif Josèphe, du premier siècle, écrit à propos de l’Ancien Testament et des Juifs de son époque – de l’époque de Jésus :
« Il n’existe pas chez nous une infinité de livres en désaccord et en contradiction [comme chez les Grecs], mais vingt-deux seulement qui contiennent les annales de tous les temps et obtiennent une juste créance » (Contre Apion 1.8, Josèphe, traduction René Harmand).
Certains de ces 22 livres des Écritures hébraïques furent ensuite divisées en plusieurs parties, comme 1 et 2 Chroniques, Esdras et Néhémie, et les douze petits prophètes pour donner un total de 39 livres inspirés de l’Ancien Testament.
Quant aux 27 livres du Nouveau Testament, tous écrits par des apôtres et des disciples du premier siècle et se terminant par l’Apocalypse, le témoignage de leur authenticité est ancien. Les conciles ultérieurs des différentes branches du christianisme n’acceptèrent que les livres déjà reconnus et ne pouvant être réfutés. En fait, comme le disait mon ancien pasteur John Ogwyn, l’une des meilleures preuves que l’Église catholique romaine n’ait pas décidé du canon du Nouveau Testament, est qu’elle n’aurait jamais approuvé autant de livres qui contredisent directement ses doctrines !
La Bible elle-même met en évidence que les auteurs du Nouveau Testament étaient conscients qu’ils recueillaient la parole de Dieu. L’apôtre Pierre, par exemple, qualifie les lettres de Paul d’« Écritures » (2 Pierre 2 :15-16) et précise à ses propres lecteurs dans 2 Pierre 1 :15 : « Mais j’aurai soin qu’après mon départ vous puissiez toujours vous souvenir de ces choses. »
Un examen attentif de l’histoire de la Bible, et de ses propres preuves internes, montre que ses livres furent déterminés bien avant qu’un quelconque concile catholique romain ne se réunisse pour statuer sur quoi que ce soit.
Le prochain mythe est particulièrement répandu.
Mythe n°4 : La Bible est raciste et misogyne
Là encore, ces affirmations n’ont aucun rapport avec la réalité. La Bible est très claire à ce sujet. Consultez Colossiens 3 :11. L’enseignement de la Bible y est limpide comme de l’eau de roche : « Il n’y a ici ni Grec ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni esclave ni libre ; mais Christ est tout et en tous. »
Pour beaucoup, au premier siècle, l’idée que Juifs et Grecs puissent être considérés comme égaux aux yeux de Dieu était scandaleuse. Pourtant, les mots de la Bible sont clairs : le salut qu’elle décrit est ouvert à tous les êtres humains, sans distinction de race, de tribu, de nationalité ou d’ethnie !
En effet, en 1807, lorsque William Wilberforce publia sa célèbre lettre pour l’abolition de l’esclavage qui joua un rôle crucial pour mettre fin à cette terrible pratique en Occident, il cita ce passage des Colossiens, ainsi que d’autres dans le livre des Actes, les Évangiles et d’autres Écritures pour étayer son affirmation.
Loin d’être raciste, la Bible est le seul témoignage irrévocable du potentiel divin de chaque être humain, quelle que soit sa race.
Quant à l’idée que la Bible est en quelque sorte « anti-femme », ce mensonge ignoble est toléré depuis bien trop longtemps ! Dans un passage similaire à celui des Colossiens, l’apôtre Paul écrit dans Galates 3 :28 : « Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. »
Aux yeux de Dieu, les hommes et les femmes ont un potentiel égal pour devenir Ses enfants dans Son Royaume. L’apôtre Pierre écrit au sujet des maris et des femmes « comme étant […] ensemble héritiers de la grâce de la vie » (1 Pierre 3 :7, Darby).
D’où viennent donc ces mensonges sur une supposée misogynie de la Bible ?
Certains sont fondés sur une mauvaise compréhension des lois, des statuts et des jugements de Dieu dans l’Ancien Testament. Les accusateurs, qui veulent discréditer la Bible qui protège les femmes contre le mal et les abus, ne reconnaissent pas que les lois de Dieu obligent les hommes à les traiter avec dignité et non comme des biens, comme le faisaient tant de cultures anciennes, et qu’ils reconnaissent que les femmes, comme les hommes, sont créées à l’image de Dieu. L’Ancien Testament n’est pas seulement l’histoire de Dieu œuvrant avec les hommes dans le monde, c’est aussi le récit de femmes courageuses que Dieu utilisa et inspira, telles que Sara, Débora, Ruth et Esther.
Il est vrai que la Bible enseigne que les hommes et les femmes ont des rôles différents et complémentaires à jouer, telle la famille traditionnelle. Il est vrai que de nombreux universitaires féministes modernes décrivent le mariage et la vie de famille comme de simples obstacles les empêchant d’être satisfaites et heureuses. Mais est-ce vrai ?
Pas si l’on en croit la recherche ! Comme l’indique un article paru dans Newsweek en octobre 2022, rédigé par Brad Wilcox et Alysse Elhage, respectivement professeur de sociologie à l’université de Virginie et rédacteur en chef de Family Studies, les mères de famille mariées sont « plus prospères financièrement » et plus susceptibles d’être « totalement satisfaites » de leur vie que les femmes célibataires sans enfant, qui sont « environ 60% plus susceptibles de faire état d’un sentiment de solitude par rapport aux mères mariées » (“Why Conservative Women Report Being the Happiest-and How You Can Be, Too”, Newsweek, 4 octobre 2022).
Les auteurs concluent :
« Si vous voulez être une femme heureuse et prospère, n’écoutez pas l’évangile du “moi d’abord”, proclamé par notre classe dirigeante, qui vous encourage à retarder le mariage, voire à l’écarter complètement. Au contraire, soyez ouverte aux dons du mariage et des enfants et cherchez des occasions de considérer la vie de famille comme un élément clé d’une vie riche et pleine de sens. C’est là où se trouve la meilleure voie vers un avenir plus prospère et plus heureux pour les femmes d’aujourd’hui » (ibid.).
La famille traditionnelle recommandée aux femmes dans les pages de la Bible, par opposition à la dynamique antifamille prônée par notre culture, tend à rendre les femmes plus heureuses, plus satisfaites et plus sûres financièrement. Donc, si vous voulez des attitudes misogynes et anti-femmes, vous pouvez les chercher à Hollywood ou dans les universités modernes. Inutile de les chercher dans la Bible, vous ne les trouverez pas.
Mythe n°5 : La Bible est dépassée et ne correspond pas à la vie moderne
Oui, nombreux sont ceux qui aiment se moquer de la Bible, affirmant qu’elle n’est rien d’autre qu’un texte écrit par des bergers de l’âge du bronze, remplie d’idées ignorantes et dépassées qui ne s’appliquent tout simplement pas à notre monde moderne.
Pour autant, nous avons déjà vu un exemple sur lequel la Bible est en avance sur notre monde moderne : ses conseils concernant la structure de la famille et le chemin vers une féminité heureuse et épanouie.
Peu importe les efforts déployés par notre société pour imposer à l’humanité de nouvelles valeurs créées par l’homme, les aspirations profondes de nos cœurs sont toujours conformes aux desseins de notre Créateur.
Ce n’est pas une coïncidence si les femmes qui cherchent à aligner leur vie sur les modèles de vie révélés dans les lois de Dieu et les enseignements de Jésus-Christ et de Ses disciples, tels qu’ils sont consignés dans Sa parole, sont généralement les plus épanouies. Les livres de la Bible furent inspirés par le Concepteur et le Créateur de l’humanité. Il sait comment nous fonctionnons, comment notre esprit et notre cœur fonctionnent et comment nous avons été conçus pour interagir les uns avec les autres.
Les souffrances que nous voyons autour de nous dans nos relations modernes – des familles brisées, une épidémie croissante de tristesse et dépression, des tensions dans la société – toutes sont abordées directement dans ses pages.
Dans les pages des Écritures, vous trouverez des instructions inspirées du Créateur omnipotent et omniscient de la vie, à savoir :
- Comment construire un mariage heureux et joyeux
- Comment élever de bons enfants et leur donner des bases pour leur avenir
- Comment établir des relations avec vos collègues, votre patron et vos employés
- Comment être optimiste, paisible, et même reconnaissant, dans les moments difficiles
- Comment interagir avec ceux qui sont désagréables avec vous
- Et même comment aimer et tolérer ceux qui vous haïssent et qui vous veulent du mal
Lequel de ces domaines de la vie ne s’applique plus ?
Pour autant, à maintes reprises, l’expérience nous enseigne que les principes de la Bible fonctionnent. Loin d’être une simple compilation de récits de bergers, vous trouverez parmi ceux qui écrivirent la Bible des personnes provenant de tous horizons : rois, roturiers, érudits, ouvriers, gouverneurs, pêcheurs, et même un médecin et un collecteur d’impôts. Le Dieu de la Création, qui est à l’origine de la vie elle-même, et qui nous aime, Lui dont le caractère est le summum de ce qui est bon et juste, envoya Son Fils dans le monde pour que nous ayons la vie et que nous l’ayons en abondance et inspira toutes ces paroles pour qu’elles soient consignées par ces hommes à jamais.
Franchement, il n’y a pas de livre ici-bas qui soit plus pertinent que la Bible.
En outre, bien que les pages de la Bible aient été rédigées il y a des milliers d’années, le Dieu qui inspira Ses mots est Celui qui décrypte l’avenir encore plus clairement que nous ne puissions le voir aujourd’hui sans Lui.
Comme le déclare l’auteur vivant et éternel de la Bible dans Ésaïe 46 : 9-11 :
« Souvenez-vous de ce qui s’est passé dès les temps anciens ; car je suis Dieu, et il n’y en a point d’autre, je suis Dieu, et nul n’est semblable à moi. J’annonce dès le commencement ce qui doit arriver, et longtemps d’avance ce qui n’est pas encore accompli ; je dis : Mes arrêts subsisteront, et j’exécuterai toute ma volonté. C’est moi qui appelle de l’orient un oiseau de proie, d’une terre lointaine un homme pour accomplir mes desseins, je l’ai dit : et je le réaliserai ; je l’ai conçu ; et je l’exécuterai. »
En vérité, l’avenir est déjà une réalité pour Dieu. Par rapport à Son discernement d’aujourd’hui et de demain, c’est nous qui sommes « dépassés » !
C’est pourquoi nous disons ici, au Monde de Demain, que notre but est de vous aider à donner un sens à votre monde à travers les pages de la Bible. Parce que la Bible est le mode de penser de Dieu retranscrit par écrit, et ce n’est que dans ses pages inspirées que le monde prend tout son sens.
Les principes, les promesses et les prophéties de la Bible apportent à ceux qui veulent marcher à leur lumière une compréhension puissante de la vie et de la manière de la vivre – et du but même de notre existence. Vous ne trouverez cette compréhension dans aucun autre livre.
Alors, l’idée que la Bible est dépassée et sans rapport avec la vie moderne ? Un mythe insensé s’il en est.
La parole de Dieu perdure à jamais
Avant de nous quitter, examinons les implications de tout ce dont nous avons parlé. Les mythes que nous avons réfutés aujourd’hui, et bien d’autres du même genre, ont tendance à être avancés par ceux qui essaient de discréditer la parole de Dieu. Parfois, ils sont lancés à la légère par ceux qui sont censés être mieux informés, et d’autres fois, ils sont revendiqués par des personnes ignorantes qui répètent simplement les choses entendues sans prendre le temps d’effectuer des recherches, voire d’apprendre par elles-mêmes.
De telles allégations ont été formulées depuis des siècles par toutes sortes de détracteurs. Ils mènent des vies déréglées résultant de l’ignorance des instructions divines, et ils meurent comme tous les hommes, mais la Bible survit à tous. Elle demeure, inébranlable, immuable, siècle après siècle, génération après génération. La parole de Dieu perdure.
Jésus-Christ nous dit que Ses enseignements, consignés tels quels dans la Bible, survivraient à tous leurs détracteurs. Une fois de plus, nous voyons que Sa promesse prophétique nous attend, comme elle le fait depuis deux mille ans, dans Matthieu 24 :35 : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. »
Cette promesse est rapportée à trois reprises dans les pages des Saintes Écritures. Elle est véridique depuis ces 20 derniers siècles et elle le restera à jamais.
Peut-on dire la même chose de n’importe quel texte écrit par l’homme ? Existe-t-il un autre livre dont les mots dureront pour l’éternité ? Ou dont les mots peuvent nous mettre en contact avec l’éternité ? Existe-t-il donc un autre livre plus digne de notre temps pour nous apprendre à le connaître et à le comprendre ?
J’espère que l’épisode d’aujourd’hui vous incitera à vous plonger dans la parole de Dieu, à vouloir l’ouvrir, à l’apprécier à nouveau et à la comprendre pour ce qu’elle est : un don de votre Créateur, pour vous, qui porte les paroles de la vie éternelle.