[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]
Nos peuples souffrent sous le poids des dettes exorbitantes
Aux États-Unis, la dette nationale s’élève aux 34.000 milliards de dollars. Dans une mesure plus ou moins grande, le Royaume-Uni, le Canada et l’Australie ont leurs propres problèmes d’endettement, comme la plupart des pays. Pourquoi nos nations sont-elles si lourdement endettées ? Comment notre monde s’est-il retrouvé dans ce marasme financier ?
Mais, qu’en est-il de vous ? Comment allez-vous financièrement ? Faites-vous partie des nombreuses personnes qui craignent ce que l’avenir leur réserve et qui vivent d’un salaire à l’autre ? Partout, l’inflation pèse sur les budgets personnels, mais savez-vous que le Dieu de la création veut que vous prospériez ? Ne me croyez pas sur parole. Croyez les paroles de Jésus-Christ : « Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance » (Jean 10 :10).
Bien que cette vie abondante concerne bien plus que votre portefeuille, il y est certainement inclus. Alors, comment Dieu nous octroie-t-Il une vie plus abondante ? S’agit-il seulement du pardon des péchés ? Ou y a-t-il plus que cela ? Dans l’émission du Monde de Demain d’aujourd’hui, je vais vous exposer une loi de Dieu qui nous concerne en tant qu’individus et qui concerne nos nations dans leur ensemble. Je vous offrirai également notre brochure la moins médiatisée, alors assurez-vous d’avoir de quoi noter nos coordonnées pour commander notre brochure. Restez à l’écoute, car je reviendrai tout de suite pour vous parler d’une loi qui contribue à une vie plus abondante selon Dieu.
Jésus est venu pour que nous ayons la vie en abondance
Je vous souhaite une chaleureuse bienvenue de la part de nous tous ici au Monde de Demain, où je vous parlerai aujourd’hui d’une loi qui contribue à une vie abondante. Lorsque Jésus a dit qu’Il était venu pour que nous ayons la vie en abondance, Il en parlait au sens large. Il est venu nous montrer un meilleur mode de vie, un mode de vie qui évite les souffrances causées par la transgression des lois divines. Contrairement à ce que beaucoup pensent, Il n’est pas venu abolir les lois immuables de Dieu. Comme Il l’a dit dans Matthieu 5 :17 : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. »
Il est venu, de plus, effacer la souillure du péché par Son sacrifice, nous libérant ainsi de la culpabilité des péchés passés. Il a également apporté la bonne nouvelle du Royaume de Dieu à venir, donnant de fait, un but à nos vies. Tout cela contribue à une vie plus abondante.
Deux modes de vie symbolisés par deux arbres
Dieu donna à nos premiers parents un choix entre deux modes de vie, symbolisés par deux arbres. Le fruit de l’un, conduirait à de merveilleuses bénédictions, aboutissant à la vie. Mais le fruit de l’autre arbre, conduirait à des malédictions, aboutissant à la mort. Ces deux arbres nous sont présentés dans Genèse 2 :9, mais reprenons-les aux versets 16 et 17 :
« L’Éternel Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement. »
Ce dernier arbre interdit symbolisait l’homme lui-même choisissant de déterminer le bien et le mal, le bon et le mauvais. D’ailleurs, Dieu ne l’a pas empêché de prendre cette décision désastreuse. Comme vous le savez sans doute, Adam et Ève choisirent de désobéir. Le résultat ? Ils furent chassés d’un magnifique jardin paradisiaque où la nourriture était abondante et la vie agréable. Après cela, ils furent condamnés aux difficultés, à la souffrance et à la mort. Malheureusement, leurs enfants, y compris vous et moi, ont suivi la même voie – rejetant la révélation de Dieu et déterminant par eux-mêmes le bien et le mal – ils ont connu les mêmes résultats. Dieu rappela ce choix au peuple d’Israël :
« Vois, je mets aujourd’hui devant toi la vie et le bien, la mort et le mal. Car je te prescris aujourd’hui d’aimer l’Éternel, ton Dieu, de marcher dans ses voies, et d’observer ses commandements, ses lois et ses ordonnances, afin que tu vives et que tu multiplies, et que l’Éternel, ton Dieu, te bénisse dans le pays dont tu vas entrer en possession » (Deutéronome 30 :15-16).
Il résuma au verset 19 : « J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité. »
Ce choix semble être, comme ils l’appellent, une évidence ; mais si c’est le cas, pourquoi la majorité de l’humanité opte-t-elle pour la mort ? L’Amérique était autrefois la plus grande nation créancière du monde, aujourd’hui, elle est la plus grande nation débitrice. Pourquoi ?
Dieu a mis en place des lois spirituelles qui apportent la prospérité
Il existe des lois spirituelles qui, si elles sont respectées, apportent la prospérité, mais qui, si elles sont enfreintes, entraînent un désastre financier. À la nation d’Israël, Dieu déclara :
« Si tu obéis à la voix de l’Éternel, ton Dieu, en observant et en mettant en pratique tous ses commandements que je te prescris aujourd’hui, l’Éternel, ton Dieu, te donnera la supériorité sur toutes les nations de la terre. […] Tu seras béni dans la ville, et tu seras béni dans les champs. Le fruit de tes entrailles, le fruit de ton sol, le fruit de tes troupeaux, les portées de ton gros et de ton menu bétail, toutes ces choses seront bénies » (Deutéronome 28 :1, 3-4).
Dieu donna ensuite une longue liste de malédictions qui s’abattraient sur le peuple en cas de désobéissance. Parmi elles, nous lisons aux versets 43-44 :
« L’étranger qui sera au milieu de toi s’élèvera toujours au-dessus de toi, et toi, tu descendras toujours plus bas ; il te prêtera, et tu ne lui prêteras pas ; il sera la tête, et tu seras la queue. »
Nous allons au contre-courant de ce monde en enseignant le respect des lois divines
Les téléspectateurs de longue date au Monde de Demain savent que nous ne craignons pas de dire la vérité. Nous montrons à partir de la Bible ce que peu de gens semblent réaliser. Comparé à notre société actuelle, nous allons à contre-courant en enseignant le sabbat du septième jour et les Jours saints bibliques, à la place des observances païennes auxquelles le nom du Christ est attaché de manière blasphématoire. Mais il y a une loi que nous pratiquons et que nous ne mentionnons presque jamais dans cette émission, c’est la loi de la dîme. Cela pour une raison évidente. Nous suivons le commandement de Jésus dans Matthieu 10 :8 : « Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement. »
C’est pourquoi toutes nos ressources sont distribuées gratuitement. Nous nous chargeons de l’affranchissement et de la production des publications que vous demandez. Je pense que vous savez que notre émission est différente. Nous refusons de commercialiser la parole de Dieu. C’est pourquoi, afin d’éviter ne serait-ce que l’apparence d’une contradiction avec notre désir sincère de donner la vérité gratuitement, nous évitons généralement le sujet biblique de la dîme. Cependant, lorsque l’apôtre Paul réunit les anciens d’Éphèse, il expliqua dans Actes 20 :20 : « Vous savez que je n’ai rien caché de ce qui vous était utile, et que je n’ai pas craint de vous prêcher et de vous enseigner publiquement et dans les maisons. » Puis, au verset 27, il dit : « car je vous ai annoncé tout le conseil de Dieu, sans en rien cacher. »
La loi de la dîme fait partie de l’ensemble du conseil de Dieu
La loi de la dîme fait partie de l’ensemble du conseil de Dieu. Elle est enseignée dans l’Ancien Testament et affirmée par Jésus. Dieu veut ce qu’il y a de mieux pour nous. Mais pour que cela se produise, nous devons choisir le chemin de l’amour et de la sollicitude sincère envers autrui, plutôt qu’une voie de vie égoïste. Ce mode de vie égoïste est illustré dans Matthieu 23 :23. Jésus y fustige les scribes et les pharisiens qui comptaient méticuleusement les graines et les feuilles pour payer la dîme, mais qui dédaignaient la manière avec laquelle ils traitaient les autres :
« Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin, et que vous laissez ce qui est plus important dans la loi, la justice, la miséricorde et la fidélité : C’est là ce qu’il fallait pratiquer, sans négliger les autres choses » (Matthieu 23 :23).
Oui, la justice, la miséricorde et la foi sont des questions « plus importantes » que le comptage méticuleux de chaque dixième en graine, mais notez ce que Jésus dit : « sans négliger les autres choses [c’est-à-dire la dîme]. » Tenons-nous compte ici au Monde de Demain de cette loi lorsque nous enseignons la justice ? Nous voulons que tout le monde sache que nous ne demandons pas de dons au public.
Comme nous l’avons déjà vu, nos premiers parents ont choisi de faire confiance à leur propre jugement plutôt qu’à celui de leur Créateur. Nous avons également vu que Dieu présenta à Israël le même choix dans des termes les plus simples. Chacun de ces deux choix produirait des résultats radicalement différents, comme le montre Deutéronome 30 :19 :
« J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité. »
Dieu leur laissa bien le libre arbitre, Il les exhorta à faire le bon choix – choisir la vie et la bénédiction. Même si l’obéissance était pour leur bien, Dieu se plaint que l’humanité n’a pas à cœur de Lui obéir. Nous le voyons dans Deutéronome 5 :29 : « Oh ! s’ils avaient toujours ce même cœur pour me craindre et pour observer tous mes commandements, afin qu’ils soient heureux à jamais, eux et leurs enfants ! »
Les commandements auxquels Dieu se réfère sont clairement les Dix Commandements. Ils sont énumérés dix versets avant cette déclaration. Et l’un de ces commandements est clair : « Tu ne déroberas point » (Deutéronome 5 :19).
Jacques nous enseigne que nous ne devons pas sélectionner les commandements à respecter et ceux à ignorer. Il fit clairement référence à tous les Dix Commandements lorsqu’il écrivit :
« Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. En effet, celui qui a dit : Tu ne commettras point d’adultère, a dit aussi : Tu ne tueras point. Or, si tu ne commets point d’adultère, mais que tu commettes un meurtre, tu deviens transgresseur de la loi. Parlez et agissez comme devant être jugés par une loi de liberté » (Jacques 2 :10-12).
Choisir la vie selon Dieu, c’est choisir le mode de vie révélé par Dieu. Ici, au Monde de Demain, nous enseignons tout le conseil de Dieu, ce qui inclut toutes les lois de Dieu, même une loi dont nous parlons rarement au public concernant la dîme. Nous voulons que tout le monde sache que nous ne vendons pas notre littérature. Nous dépendons des membres de l’Église du Dieu Vivant et des co-ouvriers qui choisissent, de leur propre gré, de soutenir cette Œuvre par leurs dîmes et leurs offrandes.
Enfreindre la loi de la dîme équivaut à voler Dieu
Mais comment pouvons-nous, en bonne conscience, ne pas vous dire, à vous, nos auditeurs, si possiblement vous êtes en train de pécher, alors qu’Ésaïe nous ordonne de le faire dans Ésaïe 58 :1 : « Crie à plein gosier, ne te retiens pas, élève ta voix comme une trompette, et annonce à mon peuple ses iniquités, à la maison de Jacob ses péchés ! » Encore une fois, le 6ème des Dix Commandements est le suivant : « Tu ne déroberas point » (Deutéronome 5 :19).
La majorité des gens comprennent que nous ne devons pas voler notre prochain, mais est-ce un moindre péché de voler Dieu ? Trop d’hommes se disent : « Mais Dieu comprend ». Oui, chers amis, Il le comprend. Mais nous, le comprenons-nous ? Malachie pose la question : « Un homme peut-il voler Dieu ? » (Malachie 3 :8, Semeur).
C’est une question assez simple. Il est certain que nous ne ferions jamais cela ! Ou le ferions-nous ? Lisons la suite : « Pourtant, vous me volez, et puis vous demandez : “En quoi t’avons-nous donc volé ?” » (Malachie 3 :8, Semeur). La réponse de Dieu ? « Vous me volez sur les dîmes et sur les offrandes ! » (Malachie 3 :8, Semeur). Tout comme à cette époque, aujourd’hui, les hommes argumentent autour des lois de Dieu.
Je ne saurais trop insister sur le fait que toutes nos ressources sont envoyées gratuitement. Nous prenons en charge la production et l’affranchissement des ouvrages que vous nous demandez. Comme le savent tous nos téléspectateurs de longue date, nous ne vous demandons pas de faire des dons. Cela ne signifie pas que nous n’enseignons pas tout le conseil de Dieu. Cela ne signifie pas que nous ne crions pas à plein gosier et que nous ne révélons pas les péchés à nos nations. Cela ne veut pas dire que nous enseignons qu’il ne faut pas voler son prochain, mais que nous omettons d’enseigner qu’il est possible de voler Dieu. Nous vous exposons la vérité et vous pouvez agir comme bon vous semble. Mais je vous encourage vivement à obéir aux lois de Dieu – toutes Ses lois – mais vous seul pouvez déterminer si vous aller payer la dîme et à qui la remettre.
Dieu est Celui qui nous donne la vie et tout ce que nous avons
Nous sommes en vie ici, non pas à cause d’une évolution aveugle, mais parce qu’il y a un Dieu dans les cieux qui a créé toutes choses. Cet Univers, ce système solaire, cette merveilleuse planète sur laquelle nous vivons, y compris l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, et même la poussière sous nos pieds, sont le résultat de la création divine. Nous Lui devons tout, littéralement tout. Comme l’a écrit le roi David dans Psaume 24 :1 : « À l’Éternel la terre et ce qu’elle renferme, le monde et ceux qui l’habitent ! » Ou, comme nous le lisons dans le Psaume 50 :10-12 :
« Car tous les animaux des forêts sont à moi, toutes les bêtes des montagnes par milliers ; je connais tous les oiseaux des montagnes, et tout ce qui se meut dans les champs m’appartient. Si j’avais faim, je ne te le dirais pas, car le monde est à moi et tout ce qu’il renferme. »
Tout a été créé par Dieu. Nous Lui devons notre existence même. À présent, réfléchissez. Si vous louez un appartement ou une maison, vous devez payer le loyer au bailleur. Il ne s’agit pas de donner, mais de payer pour avoir le privilège de vivre dans sa propriété. De la même manière, Dieu nous offre une belle maison, mais nous demande de payer un forfait de 10% pour notre nourriture, notre logement, nos vêtements et nos commodités. Que l’on soit riche ou pauvre, le pourcentage du forfait est le même. Quand on y pense, c’est plutôt une très bonne affaire !
Mais allons plus loin. Dieu, et Lui seul, a le pouvoir de prolonger notre vie dans l’éternité. Il nous recommande de choisir Sa voie plutôt que la nôtre. Cependant, ce n’est pas seulement la vie éternelle qu’Il nous offre. Il nous offre une vie meilleure dès maintenant – des bénédictions de toutes sortes, par opposition à des malédictions. Comme nous le lisons dans Deutéronome 30 :19 : « J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité. »
Comme nous l’avons lu précédemment, Jésus déclare : « Moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance » (Jean 10 :10). Et l’apôtre Jean écrit : « Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme » (3 Jean 1 :2).
L’obéissance aux lois de Dieu produit des bénédictions dans cette vie
Oui, Dieu veut que nous prospérions. Il veut que nous obéissions à toutes Ses lois, parce qu’Il sait que c’est la voie qui produit des bénédictions dans cette vie et, en fin de compte, la voie qui mène à la vie éternelle. Dieu nous donne le temps sur cette Terre pour choisir l’arbre de la vie (lequel représente Sa voie révélée de l’amour et de la sollicitude), plutôt que le choix de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, qui représente la voie du raisonnement humain influencé par Satan le diable.
Un jour, un jeune homme riche est venu poser une question importante à Jésus. Nous le lisons dans Matthieu 19 :16 : « Et voici, un homme s’approcha, et dit à Jésus : Maître, que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle ? » Jésus lui répond en lui disant d’observer les commandements. Le jeune homme demanda : « Lesquels ? » Et Jésus répondit en énumérant plusieurs des Dix Commandements, y compris l’interdiction de voler. Poursuivons au verset 20 : « Le jeune homme lui dit : j’ai observé toutes ces choses ; que me manque-t-il encore ? »
C’est alors que Jésus aborda le cœur du problème perçu chez le jeune homme. Il transgressait l’esprit du premier commandement parce qu’il faisait passer sa richesse avant Dieu, et il transgressait l’esprit, ou l’intention, du dixième commandement, qui interdit la convoitise. Cela est devenu évident lorsque Jésus lui dit de vendre tout ce qu’il possédait, de le donner aux pauvres. Comprenez bien, il ne s’agit pas d’un commandement pour tout le monde, mais seulement pour ceux qui placent leur confiance dans leurs richesses avant de placer leur confiance en Dieu, comme le montre le récit parallèle de Marc 10 :24 :
« Les disciples furent étonnés de ce que Jésus parlait ainsi. Et, reprenant, il leur dit : Mes enfants, qu’il est difficile à ceux qui se confient dans les richesses d’entrer dans le royaume de Dieu ! »
Toute la Bible montre que Dieu ne s’oppose pas à ce que vous prospériez. En fait, Dieu promet de bénir ceux qui obéissent à Son commandement sur la dîme. Je vous le montrerai dans la dernière partie de cette émission, mais ne vous méprenez pas. Il ne s’agit pas d’un appel au soutien, ni d’une promotion d’un évangile de la prospérité. Si c’est ce que vous cherchez, vous devrez aller ailleurs. Ici, au Monde de Demain, nous enseignons tout le conseil de Dieu. Nous enseignons les Dix Commandements, y compris le commandement du sabbat, le commandement interdisant d’adorer des idoles, et bien d’autres choses encore. Tout le conseil de Dieu inclut le commandement contre le vol – que ce soit de votre prochain ou de Dieu.
Pourquoi nos nations rencontrent des difficultés financières ?
Par l’intermédiaire de Malachie, Dieu s’est adressé à un peuple cynique, qui argumentait et se justifiait lui-même, lorsqu’Il posa la question suivante : « Un homme peut-il voler Dieu ? » La réponse était qu’ils ne payaient pas leur dîme, ce que nous pourrions considérer comme leur juste loyer sur la belle planète de Dieu. En conséquence, il est précisé dans Malachie 3 :
« Vous êtes sous le coup d’une malédiction parce que tout ce peuple, vous tous, vous me volez. Apportez donc vos dîmes dans leur totalité au trésor du Temple pour qu’il y ait des vivres dans ma demeure ! De cette façon-là, mettez-moi à l’épreuve, déclare l’Éternel, le Seigneur des armées célestes : alors vous verrez bien si, de mon côté, je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, et ne vous comble pas avec surabondance de ma bénédiction » (versets 9-10, Semeur).
Faut-il s’étonner que nos nations rencontrent des difficultés financières ? Faut-il s’étonner que tant d’individus traversent des remous financiers ? Pensons-nous vraiment que nous pouvons voler Dieu sans en subir les conséquences ? Je sais que certains pensent qu’ils ne peuvent pas se permettre de payer la dîme, mais peuvent-ils se permettre de ne pas payer la dîme ? Vous souvenez-vous de ce que Jésus a dit à propos des questions les plus importantes de la loi : « La justice, la miséricorde, et la fidélité » (Matthieu 23 :23) ?
Abraham, le père des fidèles, paya la dîme
La Bible désigne Abraham comme le père des fidèles dans Romains 4 :16. Outre d’autres actes de foi, la dîme nous est présentée pour la première fois dans la Genèse 14 :19-20, lorsque Abraham montra l’exemple en versant la dîme au « Dieu Très-Haut, maître du ciel et de la terre » :
« Il bénit Abram, et dit : Béni soit Abram par le Dieu Très-Haut, maître du ciel et de la terre ! Béni soit le Dieu Très-Haut, qui a livré tes ennemis entre tes mains ! Et Abram lui donna [à Melchisédek] la dîme de tout. »
L’exemple remarquable de la veuve de Sarepta
Avez-vous la foi d’Abraham ? Une veuve de l’époque d’Élie en fit la preuve. Elle en avait à peine pour son ultime repas lorsqu’elle choisit de faire passer Dieu en premier. Remarquez aussi comment Jésus la loua pour sa foi :
« Je vous le dis en vérité : Il y avait plusieurs veuves en Israël du temps d’Élie, lorsque le ciel fut fermé trois ans et six mois et qu’il y eut une grande famine sur toute la terre ; et cependant Élie ne fut envoyé vers aucune d’elles, si ce n’est vers une femme veuve, à Sarepta, dans le pays de Sidon » (Luc 4 :25-26).