Voir la reine Élisabeth II et le prince Philippe à quelques mètres de distance, à Sandringham, est un souvenir d’enfance qui m’est cher, mais pas le fait de visiter de vieilles églises sombres. Dans mon adolescence, j’étais plus intéressé à faire du sport, aller à la pêche et explorer la campagne. C’est peut-être la raison pour laquelle j’ai aussi peu de souvenirs de ma visite à l’abbaye de Westminster, à Londres, où j’ai probablement vu le trône du couronnement et la célèbre pierre de la destinée.