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Qui décide de ce qui est bien ou mal?

Les changements sociaux, l’intolérance, la justice sociale, les accusations, le parti pris des médias, les projets sociaux… La réponse à une seule question résoudrait la plupart de toutes ces problématiques : qui détermine le bien et le mal ? Dans cette vidéo du Monde de Demain, nous allons examiner ensemble la réponse présente dans la Bible et nous allons voir quelles sont les conséquences pour ceux qui décident de faire ce qui est juste à leurs propres yeux.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Des nations jadis grandes se détériorent sous nos yeux. Il semble que la moitié des gens qui nous entourent soient irrités contre l’autre moitié, et que cette dernière soit plus qu’heureuse de répondre par la colère et la haine. Les voix qui crient le plus fort pour la tolérance se trouvent être parmi les plus Intolérantes de toutes. Mais par-dessus tout, les normes sociales et les valeurs fondamentales, en place depuis des siècles – voire des millénaires, sont en train d’être renversées. Ce qui était autrefois vertueux est aujourd’hui ridiculisé et considéré, au mieux, comme hors de propos et, au pire, comme carrément mauvais, tandis que ce qui était autrefois considéré comme pervers ou moralement mauvais est aujourd’hui acclamé et encouragé.

Le monde est sens dessus dessous. Et bien que cela surprenne la plupart des gens, cette confusion trouve son origine dans l’incapacité croissante de l’humanité à répondre à une question simple : Qui décide de ce qui est bien ou mal ? 

C’est un privilège de discuter avec vous du sujet de cette semaine, car c’est vraiment la seule question autour de laquelle tourne le monde entier aujourd’hui : Qui décide de ce qui est bien ou mal ?

La moralité est-elle une invention humaine ?

Aujourd’hui, nous examinerons trois réponses terribles mais courantes à notre question, et nous parlerons de la seule vraie réponse qui puisse exister. Vous avez sûrement remarqué : Nous vivons dans un monde de confusion morale.

Comprenez-moi bien : je ne suis PAS en train de dire que nous vivons dans un monde où il n’y a pas de « morale » d’aucune sorte. Bien au contraire, le monde semble rempli de « guerriers de la morale », prêts à vous fustiger pour votre manque de moralité et prêts à épingler une médaille sur leur propre veste pour leur comportement exemplaire.

Des comédiens reçoivent des prix et passent la plupart de leur temps à faire la leçon aux téléspectateurs sur l’indignation morale du moment. Des politiciens cherchent à nous convaincre que tout désaccord avec les lois et les règlements qu’ils cherchent à faire passer est l’équivalent moral d’un soutien à Adolf Hitler. Et la neutralité stoïque que les générations précédentes voyaient chez leurs présentateurs de journaux télévisés est une relique du passé. Les présentateurs d’aujourd’hui sont parmi les prédicateurs les plus passionnés que l’on puisse trouver à la télévision – plus intéressés à porter un jugement qu’à transmettre les nouvelles.

Dans toute cette moralisation, quelle morale sert de base à tous ceux qui font ces déclarations moralisatrices ? Eh bien, c’est là le problème. Chacun est occupé à déterminer son PROPRE code moral – c’est-à-dire, sa propre liste de vertus et de vices. D’une certaine manière, la civilisation occidentale en est venue à refléter l’ancienne époque des Juges décrite dans la Bible. Nous y trouvons cette description faite de manière très concise : « En ce temps-là, il n’y avait point de roi en Israël. Chacun faisait ce qui lui semblait bon » (Juges 21 :25).

Exactement – tout le monde aujourd’hui fait ce qui lui semble bon.

Mais un monde dans lequel la moralité de chaque homme ne dépend que de lui-même et de son propre code d’éthique, revient à vivre dans un monde avec lequel il n’y a PAS de fondement moral du tout. Si vous avez déjà lu le livre des Juges, vous savez quel genre de monde résulte d’un tel état : un monde cruel, chaotique, dans lequel chaque homme ne pense qu’à lui.

Bien sûr, un monde cruel et chaotique à l’image de ce que nous voyons se former autour de nous – correspond de plus en plus au monde des animaux plutôt qu’à une quelconque société civilisée.

Le monde a besoin d’une réponse à la question de savoir qui décide du bien et du mal.

Consacrons donc le temps qui nous est imparti aujourd’hui à examiner certains courants – certaines sources possibles de moralité que beaucoup considèrent comme les guides dont nous avons besoin.

Peut-être devrions-nous commencer par souligner que beaucoup désignent l’évolution comme la source de la « morale » de l’humanité – mais pas de la manière dont la plupart d’entre nous pensent à la « morale ». L’évolution, telle qu’elle est expliquée par les biologistes qui souscrivent à cette théorie, ne s’intéresse qu’à la « survie du plus apte », de sorte que ceux qui affirment que la moralité humaine est simplement un produit de l’évolution disent en réalité que la moralité, le bien et le mal, n’est qu’une illusion. Ils disent que les humains ont une morale uniquement parce que l’évolution nous a génétiquement programmés pour, disons-le, être civilisés et polis les uns envers les autres.

C’est, bien sûr, absolument faux pour toute une série de raisons. Tout d’abord, la théorie de l’évolution est un conte de fées, avec peu de preuves réelles à l’appui. Nous disposons d’une abondante documentation à ce sujet sur notre site internet MondeDemain.org.

Mais même en mettant cela de côté, prenez un moment pour considérer à quel point il est ridicule de penser que la théorie brutale et sanglante de Darwin sur la « loi du plus fort » pourrait produire des nobles qualités que nous considérons comme un comportement moral – comme l’humilité, l’honnêteté et la protection des faibles.

Un athée d’une honnêteté rafraîchissante l’a fait remarquer par écrit à l’apologiste James Warner Wallace, admettant qu’il n’y a pas de lien réel entre la moralité et l’évolution. L’athée déclara, entre autres :

« Nous sommes athées […] Bien que nous reconnaissions que des concepts tels que la moralité, la politesse, la civilité semblent exister, nous savons qu’ils n’existent pas […] Ma seule directive est d’obéir à mes gènes. Manger, dormir, se reproduire, mourir. C’est notre bible […] En dehors du besoin de reproduction de mon petit gène avide, il n’y a rien dans mon monde qui m’empêche de te tuer et de me reproduire avec ta compagne. »

Cet athée poursuivit en disant :

  • « Seule la peur d’être incarcéré et d’être ainsi privé de la possibilité de faire la même chose avec la compagne de mon prochain m’arrête […] Alors soyez gentil si vous le voulez. Impliquez-vous, ayez des conversations polies, soyez un citoyen modèle. Sachez simplement que, bien que techniquement athée, vous êtes un inférieur. Vous êtes juste un peu moins évolué, c’est tout. Quand vous serez prêt à me rejoindre, faites-le-moi savoir, je serai en train de me reproduire avec votre compagne […] Il est peut-être temps que nous, les athées, soyons un peu plus honnêtes et que nous laissions les choses suivre leur cours. En tout cas, c’est ce que mes gènes me disent de dire » (“The Inevitable Consequence of an Atheistic Worldview”, ColdCaseChristianity.com, 13 juillet 2018).

Maintenant, je sais que de nombreux athées ne seraient pas d’accord avec cet individu – mais sur quelle base peuvent-ils être en désaccord ? Même si elle était vraie, l’évolution ne servirait pas de guide pour ce qui est moralement bon et juste. La survie du plus apte, du plus fort et du plus rusé, n’est pas une source de moralité. Nous devons donc chercher ailleurs.

La science et l’évolution n’ont pas d’autorité morale

Nous avons déjà vu que, même si l’évolution était vraie (et elle ne l’est pas !), il n’y a aucune raison de penser qu’un système de vertu morale naîtrait de la lutte brutale pour la survie et la reproduction.

Mais qu’en est-il de la science ? La science pourrait-elle nous aider à découvrir les lois morales du « bien » et du « mal » ?

La science a permis à l’humanité de découvrir de nombreuses lois de la nature elle-même, et une grande partie de ce que nous apprécions dans le monde moderne a été construite sur la base de ces découvertes ! Nous avons les lois de la physique et de la chimie. La science nous a permis de sonder les endroits les plus profonds de l’Univers, ainsi que le monde infime de l’atome. La science peut-elle nous révéler au-delà des lois naturelles de ce monde – ce qui est et ce qui n’est pas ? La science peut-elle nous révéler les lois morales de la vie – ce qui devrait se faire et ce qui ne devrait pas se faire ? La science peut-elle nous dire ce qui est moralement bon et mauvais – bien et mal ?

C’est ce que pense le célèbre athée et neuroscientifique Sam Harris.

Dans son livre Le paysage moral : Comment la science peut-elle déterminer les valeurs humaines, Harris affirme que les valeurs morales peuvent être découvertes par la science, sans qu’il soit nécessaire de recourir à Dieu ou à la religion :

« Le sens, les valeurs, la moralité et la bonne vie doivent se rapporter à des faits concernant le bien-être des créatures conscientes – et, dans notre cas, doivent légalement dépendre des événements du monde et des états du cerveau humain […] Je soutiens que la science peut, en principe, nous aider à comprendre ce que nous devrions vouloir faire – et, par conséquent, ce que les autres personnes devraient vouloir faire, afin de vivre la meilleure vie possible » (The Moral Landscape, Sam Harris, pages 6, 28, 2010).

Harris affirme que la science nous aide à comprendre ce qui peut aider les créatures conscientes à s’épanouir, être en bonne santé et productives – dans une certaine mesure, c’est vrai. Tout comme la science peut nous aider à fabriquer des aliments les plus sains pour nos animaux de compagnie, elle peut nous aider à examiner les effets de nos divers choix sur nos vies et celles des autres.

Mais elle ne peut pas nous dire pourquoi nous devrions nous préoccuper, ni pourquoi nous devrions nous sentir obligés de faire quoi que ce soit. La science peut explorer et examiner l’impact de mes choix sur mon prochain, mais elle ne peut pas me dire pourquoi je devrais me soucier de prime abord de mon prochain.

En fait, la science ne peut même pas me dire pourquoi je devrais plus m’occuper de mon prochain que je ne m’occupe de mon chien ou de mon chat. Pourquoi le bénéfice de l’humanité serait un « bien moral » ? Pourquoi devrais-je moralement rechercher le bénéfice de l’humanité par rapport au bénéfice de toute autre espèce – chimpanzés, zèbres ou, même des cafards ? De nombreux scientifiques, comme l’homologue athée de Harris, Richard Dawkins, ont soutenu que les humains n’ont aucune priorité ou valeur morale par rapport aux animaux, comme les grands singes.

Mais nous savons qu’il y a des différences, n’est-ce pas ? Y compris une différence morale… Certains chimpanzés tuent et mangent leurs petits, et nous sommes tous d’accord pour dire que ce serait un scandale pour un être humain de le faire. Mais pourquoi ? Qu’est-ce qui en ferait un mal ? La science ne peut pas nous le dire. Parce que la science est limitée à nous expliquer seulement les faits naturels – ce qui est et ce qui n’est pas un fait naturel – et elle ne peut pas accéder aux faits moraux à ce qui devrait et ce qui ne devrait pas se faire.

Les faits de l’Histoire relatent les terribles expériences scientifiques que le régime nazi réalisa sur des Juifs captifs au sein des camps de concentration. Pourtant, la science est impuissante à vous dire pourquoi de telles expériences constituent des abominations. Après tout, selon de nombreux scientifiques, nous ne sommes qu’une espèce animale de plus. Et si ses expériences devaient finalement profiter à l’humanité dans son ensemble, alors, hé, qui peut dire qu’ils avaient tort ?

Et c’est là le problème : la science ne peut pas nous le dire. Pourtant, heureusement, la plupart d’entre nous comprennent que ces expériences horribles étaient, en effet, condamnables, peu importe ce qu’elles auraient pu nous apprendre !

Non, la « science » n’est pas la réponse à notre question : « Qui décide de ce qui est bien ou mal ? »

Mais nous avons quand même besoin d’une réponse ! Après tout, si la science ne peut pas nous dire pourquoi les expériences des camps de concentration nazis étaient un mal, quelque chose d’autre doit sûrement le faire, car nous savons qu’elles l’étaient – tout comme nous savons que des actes tels que le viol et le meurtre sont mauvais. Alors, qui décide qu’ils sont immoraux ?

Une réponse de plus en plus courante à cette question est : la société. En d’autres termes, on nous dit que nous nous accordons, en tant que société civilisée, sur des choses telles que le viol, le meurtre, les tortures sur des êtres humains emprisonnés sont « mauvaises », et que c’est la société, en tant qu’ensemble collectif, qui détermine ce qui est bien et mal.

Le bien et le mal est-il le résultat d’un simple consensus social ?

Selon cette idée, des actes tels que le viol, le meurtre, la traite des êtres humains ou l’esclavage sont mauvais parce que la société les rejette et les déclare « immoraux ». Ils enfreignent le concept que la société se construit de ce qui est juste et bon, et donc – selon cette théorie, en tout cas – c’est la société qui les déclare mauvais et immoraux. Aux yeux de ceux qui croient en cette idée, la société devient alors l’ultime autorité morale.

Ils déclarent que la société décide collectivement que le viol est mal et que nous ne voulons pas que les gens s’entretuent, alors nous adoptons des lois pour rendre ces choses illégales et emprisonner ou exécuter ceux qui les commettent.

Tout cela semble très démocratique, n’est-ce pas ? Et, franchement, cela a un certain attrait pour notre nature humaine charnelle. Cela implique que nous ne sommes pas responsables devant un quelconque Être divin, comme Dieu – que nous ne sommes responsables que devant nous-mêmes. Et depuis la création de l’humanité, c’est ce que les humains ont recherché : la liberté de définir par eux-mêmes ce qui est bien et ce qui est mal.

Dans Genèse 2, on nous dit que Dieu a créé le premier être humain et l’a placé dans le jardin d’Éden avec des instructions très précises :

« L’Éternel Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement » (Genèse 2 :16-17).

Dieu dit à l’humanité ce qui était bien – ne pas manger de cet arbre – et ce qui était mal – manger de cet arbre. Mais Adam et Ève ont décidé d’ignorer les instructions de Dieu et de manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal – c’est-à-dire, de choisir de décider par eux-mêmes ce qui est bien et ce qui est mal. Depuis plusieurs milliers d’années, nous avons tous répété le choix d’Adam et Ève à notre manière, individuellement.

Le concept de la société comme décideur du bien et du mal illustre ce mode de pensée. Nous, le peuple, décidons de ce qui est bien et mal, et nous utilisons nos gouvernements pour faire respecter notre moralité collective.

Pourtant, une telle approche est pleine de contradictions et produit des conséquences vraiment horribles. Prenons par exemple les horreurs de l’esclavage dans le sud-américain d’avant la guerre civile. Nous reconnaissons aujourd’hui universellement que l’esclavage était une tache morale dans l’histoire américaine. Mais si c’est la société qui détermine ce qui est « bien » et « mal », alors l’esclavage était censé être moral dans les années 1700 et 1800 parce que la société l’approuvait, mais il est maintenant immoral parce que la société ne l’approuve pas ? C’est un non-sens total.

Considérez également la Shoah de la Seconde Guerre mondiale – l’un des plus grands génocides de l’Histoire, au cours de laquelle des millions d’êtres humains ont été exterminés systématiquement comme des animaux. L’Holocauste était-il en quelque sorte un bien moral dans l’Allemagne nazie ? Mais est-il à présent un mal abominable parce que les nazis ont perdu ? Serait-il resté un bien moral si l’Allemagne avait gagné la guerre ? La moralité change-t-elle en fonction de celui qui gagne et qui dirigera la société ?

Bien sûr que non ! L’esclavage dans le Sud des États-Unis était immoral, et l’Holocauste était un grand méfait, et peu importe que les sociétés de ces nations aient été d’accord ou non à l’époque !

Aujourd’hui encore, il existe dans le monde des sociétés qui tolèrent de contraindre les femmes et les enfants à la prostitution et à la servitude sexuelle – et pourtant elles sanctionnent moralement le viol et le meurtre.

Et pourtant, nous savons que ces sociétés ont tort ! Le viol est injuste ! Le meurtre est injuste ! Et ne pas protéger les femmes et les enfants des abus sexuels, est injuste !

Nous savons que ces choses sont vraies, sans tenir compte indépendamment de ce que les sociétés pourraient approuver dans leurs propres pays.

Le fait est que les sociétés changent au fil du temps, et même à un moment donné, les sociétés diffèrent d’une localité à l’autre. Ce qui est considéré comme « mauvais » et « immoral » par une société à un endroit ou à un moment donné peut être considéré comme « bon » et « vertueux » dans un autre.

Mais cela signifie-t-il que ce qui est moralement bon ou mauvais varie au cours du temps ou selon l’endroit où vous vous trouvez ? Le viol, le meurtre, le vol ou la torture de personnes faibles et sans défense peuvent-ils jamais être considérés comme « bon » dans n’importe quelle société et à n’importe quelle époque ? Ne devrions-nous jamais accepter l’Holocauste, les champs d’extermination des Khmers rouges ou l’esclavage d’avant la guerre de Sécession aux États-Unis comme autre chose que des crimes contre l’humanité, peu importe les décisions de leurs gouvernements ou de leurs sociétés – peu importe la façon dont notre propre société pourrait changer à l’avenir ?

Bien sûr que non. Nous ne déterminons pas les normes du « bien » et du « mal » en fonction des modes de la société. Au contraire, nous jugeons les sociétés en fonction de ces normes. Les sociétés et les cultures changent, mais ce qui est bien ou mal ne change jamais.

Par exemple, c’est ainsi que l’esclavage fut aboli dans la civilisation occidentale : Des hommes tels que William Wilberforce, au début du 19ème siècle, ont comparé les pratiques de la société aux principes moraux éternels de la Bible et ont considéré la traite des esclaves comme le terrible crime qu’il était réellement.

Non, la société n’est pas l’autorité finale de ce qui est bien ou mal. Nous allons révéler cette autorité ultime et indéniable dans un instant.

Mais d’abord, prenons un moment pour vous donner l’occasion de demander la brochure gratuite d’aujourd’hui. La plupart des gens n’ont aucune idée de la façon dont Jésus-Christ se concentra sur les Dix Commandements lors de Son ministère en nous enseignant à les observer. C’est le Christ Lui-même qui dit : « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements » (Matthieu 19 :17).

Les lois divines définissent la vérité morale suprême

La seule réponse à la question « Qui décide de ce qui est bien ou mal ? », c’est le Dieu éternel de la création qui le décide ! Son caractère même est moralement pur et bon et Ses commandements reflètent ce caractère parfait !

L’apôtre Paul, parlant des commandements et de la loi divine, dit que « la loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon » (Romains 7 :12).

Les commandements de Dieu découlent de Son caractère parfait et de Sa bonté. Il nous montre ce qui est juste et bon. Comme le roi David l’a écrit dans Psaume 25 : « L’Éternel est bon et droit : C’est pourquoi il montre aux pécheurs la voie » (Psaume 25 :8).

C’est pourquoi nous avons un certain sens naturel, limité, du bien et du mal que l’on retrouve dans les cultures du monde entier… Non pas à cause de l’évolution, mais à cause de notre Créateur. Paul dit dans Romains 2 :14-15, que dans une certaine mesure, les êtres humains ont un sens naturel du bien et du mal, grâce à leur Créateur. Mais ce sentiment naturel n’est pas absolu.

Pour comprendre l’ensemble du bien et du mal, il faut avoir une relation avec notre Créateur – Lui permettre de nous instruire et laisser Jésus-Christ nous guider.

La Bible prophétise un temps où le monde entier cherchera la connaissance de Dieu, pour comprendre ce qui est bon et ce qui est mauvais. Dans Michée 4 :2, nous lisons une de ces prophéties :

« Des nations s’y rendront en foule, et diront : Venez, et montons à la montagne de l’Éternel, à la maison du Dieu de Jacob, afin qu’il nous enseigne ses voies, et que nous marchions dans ses sentiers. Car de Sion sortira la loi, et de Jérusalem la parole de l’Éternel » (Michée 4 :2).

Ce temps viendra avec le retour de Jésus-Christ. Mais vous et moi n’avons pas besoin d’attendre jusque-là. Nous pouvons commencer à apprendre le discernement divin entre le bien et le mal et le mettre en pratique dans nos vies dès maintenant si nous laissons Dieu nous apprendre ce discernement.


Le gouvernement écossais compromet l’autorité parentale



Le Parti national écossais a récemment publié des directives demandant aux enseignants, à la police et aux travailleurs sociaux de respecter la vie privée des enfants dès l’âge de 13 ans en n’informant pas les parents des relations sexuelles de leurs enfants (Telegraph, 20 février 2022). La raison d’être de ces directives repose sur la confidentialité.

Les comportements extrêmes sataniques de l’entraînement des cartels



Au Mexique, les cartels de la drogue deviennent de plus en plus cruels. Dans un jeu de surenchère, lorsqu’un gang fait quelque chose d’horrible, le gang suivant doit faire quelque chose d’encore plus horrible (booska-p.com, 17 février 2022). Ce scénario a conduit les membres des gangs à mutiler ceux qu’ils tuent dans les gangs rivaux.

Qu’est-ce que la réalité ultime?

La téléréalité, les jeux vidéo, les « fake news »… Des millions de gens dans le monde ont du mal à faire la différence entre la fiction et la réalité. Beaucoup d’entre eux chercher à s’échapper de la réalité du monde actuel. Voyons comment accepter et gérer notre réalité personnelle et découvrons l’espérance dans les véritables promesses de Dieu.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

La « réalité » serait-elle devenue une sorte d’échappatoire pour certains ? Le dictionnaire nous dit que les « émissions de téléréalité » sont « des programmes de télévision qui n’utilisent pas d’acteurs professionnels mais montrent des événements et des situations réels impliquant des gens ordinaires » (“Reality TV”, MacMillanDictionary.com).

L’Encyclopédie Britannica commente qu’à la fin du 20ème siècle, « le genre de la téléréalité avait plus tendance au voyeurisme qu’à la réalité » (“Reality TV”, Britannica.com).

Les programmes de télévision et les informations dépeignent à la fois la fantaisie et la réalité. Mais nous devons faire face à la réalité dans les domaines majeurs de la vie : affaires, science, industrie, éducation et religion. Dans le domaine de la santé mentale, la conscience de la réalité devient souvent un élément majeur. Par exemple, la définition juridique de « folie » est la suivante : « Maladie mentale d’une nature si grave qu’une personne ne peut distinguer la fantaisie de la réalité, ne peut pas diriger ses affaires en raison d’une psychose, ou est sujette à un comportement impulsif incontrôlable » (“Insanity”, Dictionary.law.com).

Combien de millions de personnes dans le monde ont du mal à distinguer la fantaisie de la réalité ? Dans le monde actuel, nous sommes confrontés à de nombreux événements et tendances bouleversants et désastreux. Nous sommes confrontés à la pandémie de Covid-19, à des incendies ravageurs qui détruisent des villes et des vastes zones, anéantissant un milliard d’animaux en Australie ainsi que consumant des bâtiments et tuant des humains ; nous sommes confrontés à des crises dramatiques au Moyen-Orient et en Afghanistan. Les inondations, les sécheresses, les typhons, les ouragans, les séismes, les éruptions volcaniques, les guerres et les conflits affectent également des millions de personnes dans le monde.

Ce sont des réalités auxquelles nous sommes tous confrontés. Le magazine Scientific American a consacré un numéro à « La recherche de la réalité dans des temps irréels » (septembre 2019). Mais quelle est la réalité la plus ultime ? Mes amis, il y a un nouveau monde qui est à venir, un nouveau gouvernement mondial appelé le Royaume de Dieu. Nous l’appelons le monde de demain. Vous pouvez trouver du courage, du confort et de l’assurance dans les promesses de la Bible. Vous devez savoir quelle est la réalité ultime !

Dans quelle réalité vivez-vous ?

Nous vivons dans un monde en proie au chaos, à la confusion, au désastre et à la décadence. Y a-t-il un espoir pour l’avenir ? Nous avons documenté cette espérance sur Le Monde de Demain. Mais nous avons des défis à relever pour nous préparer au nouveau monde à venir. L’une des meilleures façons de se préparer à ce merveilleux avenir est de faire face aux réalités de notre époque. Nous devons faire face à nos réalités personnelles en matière de finances, de scolarité, de relations familiales, d’emploi et de santé ! Nous connaissons la douleur des blessures corporelles, des migraines et des maladies mortelles. Et parfois, ces épreuves nous incitent à rechercher Dieu et Son aide.

Connaître la réalité ultime peut nous aider tous à traverser les temps difficiles qui sont devant nous.

Nous avons décrit l’époque dans laquelle nous vivons comme chaotique, dangereuse et divisée. Le magazine Scientific American l’a qualifié de « temps irréels ». Dans un numéro spécial, la couverture présentait ce titre : « Vérité, mensonges et incertitudes : à la recherche de la réalité à une époque irréelle » (septembre 2019). Les éditeurs ont déclaré : « Dans ce numéro spécial de Scientific American, nous avons entrepris d’explorer comment il se fait que nous puissions tous vivre dans le même Univers et pourtant voir la réalité si différemment » (“Truth, Lies & Uncertainty, Searching for Reality in UNREAL TIMES”, Scientific American, septembre 2019, page 27).

Il existe différentes perceptions de la réalité, ou différents éléments de la réalité. Le magazine Scientific American explore le sujet de la vérité à travers trois thèmes : la physique, les mathématiques et les neurosciences.

  • PHYSIQUE : « La réalité virtuelle. Dans quelle mesure la physique – la plus fondamentale des sciences – peut-elle nous permettre de comprendre les fondements de la réalité ? », par George Musser.
  • MATHÉMATIQUES : « Les mathématiques sont-elles réelles ? », par Kelsey Houston-Edwards.
  • NEUROSCIENCE : « En un sens, nous vivons tous dans des mondes différents : la “réalité” est construite par le cerveau et il n’y a pas deux cerveaux exactement semblables », par Anil Seth.

Nous sommes témoins de la réalité de la physique et des mathématiques à notre époque technologiquement avancée : dans la communication instantanée à travers le monde, dans les transports, dans les voyages spatiaux. Les calculs, la planification et les conceptions sont basés sur des lois prévisibles de cause à effet. C’est pourquoi douze hommes ont pu marcher sur la Lune et des véhicules spatiaux se sont posés sur Mars pour l’explorer.

Les lois de la physique sont une réalité ! Ont-elles existé au début de l’Univers ? Et comment la vie peut-elle subsister dans ce vaste Univers, uniquement, pour autant que nous le sachions, sur cette petite planète appelée Terre ? Carl Sagan a qualifié la planète Terre de « point bleu pâle » dans l’obscurité cosmique. Devons-nous en conclure que nous sommes si insignifiants que la vie n’a aucune raison d’être ? Devons-nous en conclure que l’Univers est dénué de sens ? Considérez la précision requise pour l’existence de l’Univers et l’existence de la vie humaine intelligente.

Les astrophysiciens Stephen Hawking et Roger Penrose ont commenté sur la précision requise à l’origine de l’Univers :

« Si le taux d’expansion une seconde après le big bang avait été inférieur d’une fraction 10-10 de sa valeur, l’Univers se serait effondré au bout de quelques millions d’années. S’il avait été supérieur dans la même proportion, il aurait été pratiquement vide au bout de quelques millions d’années. Dans un cas comme dans l’autre, l’univers n’aurait pas duré assez longtemps pour que la vie s’y développe. On doit donc ou bien faire appel au principe anthropique ou bien trouver une explication physique au fait que l’univers est tel qu’il est » (La nature de l’espace et du temps, Stephen Hawking et Roger Penrose, page 139).

D’où viennent les lois de l’Univers ? La Bible déclare : « Un seul est législateur et juge, c’est celui qui peut sauver et perdre » (Jacques 4 :12).

Une réalité conçue pour la vie, mais par qui ?

Nous avons abordé l’une des réalités immuables sur lesquelles nous pouvons tous nous accorder : l’existence de lois de la nature absolues et prévisibles, telles que les lois de la physique. Si nous devons faire face à la réalité de leur existence, nous devons également répondre à la question de leur origine. La brochure gratuite que nous vous proposons aujourd’hui répond à cette question. Nous devons également répondre à la question de l’origine de la vie. Votre existence est une réalité. Mais d’où vient la vie ? Les évolutionnistes spéculent avec des théories non prouvées et ne peuvent tout simplement pas répondre à la question : « Quelle est l’ORIGINE de la VIE ? » Les êtres humains ont-ils été capables de prouver que la vie provient de la non-vie ? Gerald Weston, présentateur et rédacteur en chef de la revue du Monde de Demain, a mis nos lecteurs au défi de considérer les preuves scientifiques dans son article intitulé « Trois piliers de la stabilité dans les moments difficiles ». En voici un bref extrait :

« Bill Bryson est un auteur prolifique et captivant [il] écrit régulièrement au sujet du miracle de la vie et de l’impossibilité que celle-ci soit apparue par hasard. Allez comprendre ! Dans son livre Une histoire du corps humain à l’usage de ses occupants, il écrit : “Même si vous réunissiez la totalité du savoir humain au travers des plus grands génies de notre temps et du passé, vous ne parviendriez pas à fabriquer ne serait-ce une seule cellule vivante” (éditions Payot, 2020, page 17, traduction Françoise Bouillot et Mario Pasa) » (Le Monde de Demain, janvier-février 2021.)

C’est bien vrai ! Les êtres humains ont démontré qu’il est impossible que la vie évolue à partir de la non-vie. L’étonnante complexité des processus vitaux humains devrait nous aider à comprendre que la vie exige un Créateur donneur de vie. Et si les évolutionnistes croient en une telle impossibilité, est-ce qu’ils acceptent la réalité ? Douglas Winnail discute de l’origine de la vie dans la brochure essentielle que nous proposons aujourd’hui, Le Dieu réel : Preuves et promesses. Il déclare :

« Les êtres humains peuvent bien spéculer que la vie puisse être générée de la matière sans vie, mais les faits n’étayent pas de telles spéculations. L’homme n’a pas été capable de produire la vie – en dépit des efforts considérables fournis par les plus grands cerveaux. Les Écritures dépeignent Dieu créant la vie. Dans Genèse 2 :7 nous lisons : “L’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint une âme vivante”– quelque chose que les laboratoires les plus sophistiqués du monde ont toujours été incapables de commencer à copier. La vie a besoin d’un Donneur de vie. Il n’y a pas moyen de faire autrement » (page 12).

Oui, le Dieu Créateur est celui qui donne la vie. Nous décrirons davantage la puissance de Dieu plus tard dans cette émission. Lorsque nous considérons la conception et la complexité du corps humain, sans parler du vaste Univers, que nous avons commenté plus tôt, nous voyons une intelligence et un pouvoir de l’Esprit qui dépassent de loin ceux des humains.

Stephen Meyer, du Discovery Institute, a étudié en profondeur les preuves de la présence d’un dessein intelligent dans la création. Il a déclaré :

« Tout ce que nous retenons de notre expérience, suggère que les systèmes riches en informations, proviennent d’un dessein intelligent. Mais que faisons-nous du fait qu’il y a de l’information dans la vie, dans chaque cellule vivante, dans chaque organisme vivant ? C’est le mystère fondamental. D’où vient cette information ? » (DVD “Unlocking the Mystery of Life”).

Notre ADN humain est l’un de ces systèmes riches en informations. Mais à quel point l’ADN est-il riche en informations ? Dans le magazine Science, Robert Service rapporte que « l’ADN pourrait stocker toutes les données du monde dans une seule pièce ». Il explique ce phénomène étonnant :

« L’humanité a un problème de stockage de données : plus de données ont été créées au cours des deux dernières années que dans toute l’histoire précédente. Et ce torrent d’informations pourrait bientôt dépasser la capacité des disques durs à les enregistrer. Aujourd’hui, des chercheurs annoncent qu’ils ont trouvé une nouvelle façon d’encoder les données numériques dans l’ADN pour créer le système de stockage de données à grande échelle le plus dense jamais inventé. Capable de stocker 215 pétaoctets (215 millions de giga-octets) dans un seul gramme d’ADN, le système pourrait, en principe, stocker chaque bit de données jamais enregistré par les humains dans un conteneur de la taille et du poids de quelques camionnettes » (Science, 2 mars 2017)

Les scientifiques trouvent un dessein intelligent dans la complexité de la vie, dans le remarquable mode d’emploi de l’ADN et dans l’Univers glorieux. Ce dessein révèle également la réalité d’un but. Quel est le but de l’Univers ? Mes amis, nous vivons dans un Univers impressionnant. Certains d’entre vous ont peut-être vu le film « Une merveilleuse histoire du temps ». Il s’agit de l’histoire fascinante de l’astrophysicien Stephen Hawking et du défi qu’il a dû relever pour combattre une maladie dévastatrice qui l’a laissé presque complètement paralysé. Malgré ses limites physiques, il a pu prouver que l’Univers n’a pas toujours existé, que l’Univers a eu un début et que le temps lui-même a eu un début. L’un des objectifs de sa vie était de proposer une théorie fondamentale pour expliquer l’Univers. Et il a écrit ce qui suit :

« Si nous découvrons une théorie complète, elle devrait un jour être compréhensible dans ses grandes lignes par tout le monde, et non par une poignée de scientifiques. Alors, nous tous […] serons capables de prendre part à la discussion sur la question de savoir pourquoi l’Univers et nous-mêmes, nous existons […] à ce moment, nous connaîtrons la pensée de Dieu » (La théorie de tout, Sciences et Avenir, pages 72-73).

Mes amis, pouvez-vous connaître la pensée de Dieu ?

La réalité ultime

Le monde est saturé de fraudes, de tromperies, de contrefaçons et de désinformation. Lorsque vous trouvez la vérité, vous trouverez la réalité qui produit la sagesse, la vraie connaissance, la compréhension et une vie abondante. Où pouvez-vous trouver la vérité et la réalité ?

La revue du Monde de Demain a publié un article passionnant intitulé « Qu’est-ce que la vérité ? » (mai-juin 2014). Vous pouvez y accéder sur le site MondeDemain.org : « Peut-on trouver la vérité grâce à la science, la philosophie ou le matérialisme ? La vérité absolue existe-t-elle ? Vous devez connaître la réponse ! » Un de nos coprésentateurs et rédacteur exécutif de notre revue, Wallace Smith, a écrit :

« La science nous a apporté une incroyable connaissance sur de nombreux aspects du fonctionnement du monde – mais lorsque nous cherchons à l’utiliser comme la seule véritable “source” de vérité, nous nous rendons compte que c’est une source plutôt médiocre. Les vérités mathématiques, les vérités esthétiques, les vérités sur le but et la signification de nos vies – même les vérités morales fondamentales et le concept de base du bien et du mal – aucune de ces vérités n’est visible dans le microscope d’un biologiste ou le télescope d’un astronome. Il nous faut donc trouver ailleurs la réponse à la question : “Qu’est-ce que la vérité ?” » (Le Monde de Demain, mai-juin 2014, pages 17-18).

Nous avons parlé des preuves de la vraie science et des lois immuables de la physique, mais la vérité sur la vie ouvre nos esprits à une connaissance et une compréhension des plus profondes. Les téléspectateurs de longue date du Monde de Demain connaissent bien la vérité solide révélée dans la Bible. Il y a la vérité scientifique et il y a la vérité spirituelle. Laquelle est la plus importante ? Si vous avez une Bible, consultez le huitième chapitre de Jean. Le Messie, Jésus de Nazareth, a dit à ceux qui seraient Ses disciples : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira » (Jean 8 :32).

Où peut-on trouver la vérité spirituelle ? Ici, dans ce livre mystérieux, la Sainte Bible. L’apôtre Paul a écrit au jeune évangéliste Timothée, soulignant que les Écritures révélaient la voie du salut :

« Toi, demeure dans les choses que tu as apprises, et reconnues certaines, sachant de qui tu les as apprises : dès ton enfance, tu connais les saintes lettres, qui peuvent te rendre sage à salut par la foi en Jésus-Christ. Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre » (2 Timothée 3 :14-17).

Mes amis, je vous mets au défi de prouver la véracité des Écritures. Notre site MondeDemain.org propose de nombreuses ressources gratuites auxquelles vous pouvez accéder. Et n’oubliez pas que « toute Écriture est inspirée de Dieu ».

Lorsque Jésus-Christ fut confronté à la crucifixion, la nuit précédente, Il fit une prière fervente. Il nous donna cette assurance dans sa prière : « Sanctifie-les par ta vérité : ta parole est la vérité »(Jean 17 :17).

Oui, vous pouvez chercher Dieu en lisant la vérité révélée, la Sainte Bible. Vous pouvez chercher Dieu en Le priant et en confessant vos péchés. Il nous est dit dans 1 Jean 1 :9-10 : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous le faisons menteur, et sa parole n’est point en nous. »

Dans cette brochure informative, Le Dieu réel : Preuves et promesses, M. Winnail commente la preuve n°6 intitulée la réponse aux prières : « C’est par la Bible que nous pouvons apprendre ce qu’il faut savoir au sujet de la prière ; les sciences naturelles ne sont pas capables d’enseigner cette matière. Les Écritures abondent d’exemples de prières exaucées » (page 28).

La Bible contient de nombreuses promesses encourageantes concernant la prière. Jésus fit cette promesse :

« Demandez, et l’on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l’on ouvre à celui qui frappe. Lequel de vous donnera une pierre à son fils, s’il lui demande du pain ? Ou, s’il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent ? Si donc, méchants comme vous l’êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent. Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux, car c’est la loi et les prophètes » (Matthieu 7 :7-12).

Oui, Dieu nous dit de l’invoquer pendant qu’Il est proche. Il y a un temps à venir où la prophétie biblique révèle que la voie pour échapper sera fermée. Le prophète Amos parle d’un temps futur où la vérité divine ne sera plus disponible :

« Voici, les jours viennent, dit le Seigneur, l’Éternel, où j’enverrai la famine dans le pays, non pas la disette du pain et la soif de l’eau, mais la faim et la soif d’entendre les paroles de l’Éternel. Ils seront alors errants d’une mer à l’autre, du septentrion à l’orient, ils iront çà et là pour chercher la parole de l’Éternel, et ils ne la trouveront pas » (Amos 8 :11-12).

Un avenir et un espoir véritables

Mes amis, nous avons discuté des réalités physiques et des réalités spirituelles. Donc, en conclusion, quelle est la plus grande réalité ?

« Et j’entendis comme la voix d’une foule nombreuse, comme un bruit de grosses eaux, et comme un bruit de forts coups de tonnerre, disant : Alléluia ! Car le Seigneur notre Dieu tout-puissant est entré dans son règne » (Apocalypse 19 :6).

Oui, Dieu est omnipotent, tout-puissant et Il règne sur l’Univers et sur toute la création. En trois mots seulement, la réalité ultime est que « Dieu règne en maître ». Il nous dit, par exemple :

« Voici, les nations sont comme une goutte d’un seau, elles sont comme de la poussière sur une balance […] toutes les nations sont devant lui comme un rien, elles ne sont pour lui que néant et vanité » (Ésaïe 40 :15-17).

Il nous dit dans Psaume 24 : « À l’Éternel la terre et ce qu’elle renferme, le monde et ceux qui l’habitent ! Car il l’a fondée sur les mers, et affermie sur les fleuves » (Psaume 24 :1-2).

Et dans Psaume 103 :19 : « L’Éternel a établi son trône dans les cieux, et son royaume domine sur tout » (Darby).

Les évolutionnistes et les athées nient la réalité du monde spirituel. Dieu les blâme pour leur rejet de la vérité.

« La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, car ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître. En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables » (Romains 1 :18-20).

Dieu déclare également dans Psaume 14 :1 et dans Psaume 53 :2 : « L’insensé dit en son cœur : Il n’y a point de Dieu ! »

Mes amis, considérez les preuves impressionnantes que Dieu nous a données dans la création et dans Ses prophéties bibliques accomplies. Considérez Son plan d’amour pour pardonner nos péchés par le sang de Jésus-Christ. Comme Il nous est dit dans 1 Jean 1 :7 : « Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. »

La Bible révèle la réalité ultime que Dieu est souverain et règne en maître sur toute la création. Mais elle révèle également la réalité sublime de Son amour pour les êtres humains. Nous pourrions également affirmer que la plus grande réalité est que « Dieu est amour », comme le dit à deux reprises 1 Jean 4 : 8, 16.

Que Dieu vous bénisse alors que vous cherchez le vrai Dieu de la création et de l’amour. Prouvez à vous-même quelle est la réalité ultime


La Terre n’a-t-elle que 6000 ans?

Tableau blanc : La Terre n’a-t-elle que 6000 ans?

De nombreux versets bibliques laissent entendre l’âge très ancien de la planète Terre, ce qui est constamment prouvé par les découvertes scientifiques.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription du tableau blanc du Monde de Demain.]

La Bible révèle-t-elle que notre planète n’a que 6000 ans ?

Dans cette vidéo, nous verrons ce que la Bible dit sur l’âge de ce joyau bleu et vert que nous appelons notre demeure.

Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, si vous appréciez ces vidéos, assurez-vous de les « liker » et de vous abonner à notre chaîne. Nous faisons ces vidéos pour expliquer les sujets bibliques d’une manière facile à comprendre, car il n’y a qu’une seule vérité, et nous aimerions que tout le monde la connaisse.

Maintenant, nous allons commencer par le début : « Au commencement… » (Genèse 1 :1). Non, pas celui-là ! Nous y reviendrons dans un instant.

Tout d’abord, reportons-nous à Jean 1, qui fait référence à une époque avant la création même de la Terre.

En lisant le verset 1, il est dit : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle. »

Les versets 14 à 18 expliquent ensuite que la « Parole » était l’Être divin qui est devenu Jésus-Christ. Jésus-Christ était avec le Père dès toute l’éternité. Ils existaient en dehors du temps. Il y avait (à défaut d’un meilleur mot) un temps avant le temps (2 Timothée 1 :9). Et c’est par Jésus-Christ que toutes choses ont été faites – y compris la Terre et l’Univers entier.

Maintenant, allons à l’autre commencement, dans Genèse 1 :1 : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. » Nous voyons qu’à un moment donné, Dieu décida de créer la Terre et l’Univers entier. Les anges en furent témoins et se réjouirent, comme nous le voyons dans Job 38 :7 : « Alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse, et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie… »

Quand Il créa la Terre au commencement, elle était parfaite. Ésaïe 45 :18 dit : « Car ainsi dit l’Éternel qui a créé les cieux, le Dieu qui a formé la terre et qui l’a faite, celui qui l’a établie, qui ne l’a pas créée [pour être] vide, qui l’a formée pour être habitée : Moi, je suis l’Éternel, et il n’y en a point d’autre » (Darby).

Dieu n’a pas formé la Terre vide, ou tohu, en hébreu. Tohu signifie « informe, désert ou vide ». Dieu créa la Terre comme étant habitable, telle une oasis de vie. Pensez aux dinosaures et aux mégalodons qui existaient des millénaires avant les êtres humains.

Pourtant, Genèse 1 :2 dit ensuite : « La terre était informe et vide ; il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’Esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. » Le mot traduit par « informe » est le mot hébreu tohu. Alors, attendez un peu ! Comment la Terre pourrait-elle être informe (tohu) si, comme nous venons de le lire dans Ésaïe, Dieu « ne l’a pas créée tohu » ?

Eh bien, comme le reconnaissent de nombreux érudits, l’hébreu hayah – traduit par « était » dans Genèse 1 :2 – peut exprimer ailleurs le concept de « devint ». On en trouve un exemple dans Genèse 2 :7, où il est dit que « l’homme hayah [“devint”] un être vivant » (Louis Segond).

Il serait donc plus approprié de traduire littéralement Genèse 1 :2 par « la terre devint » une ruine – le texte en hébreux ne sous-entend pas que la Terre a était créée dans cet état !

Ainsi, la création initiale de Dieu était parfaite, mais il y eut un événement crucial qui fit que la création devint chaotique et informe. Cet événement eut lieu entre Genèse 1 :1-2.

La Bible montre que cet événement catastrophique fut la rébellion angélique contre Dieu, menée par l’archange Lucifer. Ce qui a fait de lui « Satan, l’adversaire de Dieu ». Nous trouvons des détails au sujet de Satan et de sa rébellion dans Ézéchiel 28 :15-16 : « Tu fus parfait dans tes voies depuis le jour où tu fus créé, jusqu’à ce que l’iniquité s’est trouvée en toi. Par l’abondance de ton trafic, ton intérieur a été rempli de violence, et tu as péché » (Darby).

Satan pécha contre Dieu. Il tenta même de s’emparer du trône de Dieu. Ésaïe 14 :12-15 dit : « Comment es-tu tombé du ciel, ô Lucifer, fils du matin ! […] Car tu disais en ton cœur : Je monterai au ciel, j’élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu […] Je monterai au-dessus des hauteurs des nuages, je serai semblable au Très-Haut » (King James française).

Dans cette rébellion, Satan entraîna avec lui un tiers des anges (Apocalypse 12 :4). Cet événement cataclysmique plongea la création parfaite dans le tohu, c’est-à-dire dans le chaos et le désordre le plus total. La Terre devint désolée et dévastée à la suite du péché et de la rébellion de Satan. En fait, Romains 8 :20 dit : « Car la création a été soumise à la vanité, non pas volontairement, mais à cause de celui qui l’y a soumise, avec espérance » (Neuchâtel).

Mais il y a combien de temps exactement que cela s’est produit ? Combien de temps a duré la rébellion de Satan ? Sur ces détails, la Bible reste muette. Cela a certainement pu se produire il y a des milliards d’années, ce qui signifie que la Terre pourrait avoir des milliards d’années !

À présent en revenant à la Genèse, nous voyons que Genèse 1 :3 commence ce qu’on pourrait appeler avec justesse la semaine de la « recréation », car la Terre avait besoin d’être remodelée avant la création de l’homme ! Le Psaume 104 :30 dit même : « Tu envoies ton Esprit : ils sont créés, et tu renouvelles la face de la terre. »

Ainsi, en 7 jours, Dieu restaura la Terre et donna le coup d’envoi de Son plan de 7000 ans pour l’humanité. Genèse 1 :26-27 dit qu’au sixième jour « Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tout reptile qui rampe sur la terre. Dieu donc créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il les créa mâle et femelle » (Martin).

La Bible fournit ensuite suffisamment d’informations généalogiques et une chronologie générale qui montrent que la semaine de la recréation a eu lieu il y a environ 6000 ans. Par conséquent, l’humanité vit sur Terre depuis environ 6000 ans, ou en d’autres termes, depuis 6 jours-millénaires.

Le principe du jour-millénaire est bien établi dans les Écritures. Par exemple, dans le Psaume 90 :4, nous lisons : « Car mille ans sont, à tes yeux, comme le jour d’hier, quand il n’est plus. » Et 2 Pierre 3 :8 dit que « pour le Seigneur un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour » (Ostervald).

La Bible montre également que le plan de Dieu pour l’humanité consiste en 7 jours-millénaires, ou 7 périodes de 1000 ans. La période finale de 1000 ans commencera avec le retour de Jésus-Christ, qui régnera sur la Terre en tant que Roi des rois et Seigneur des seigneurs pendant mille ans (Apocalypse 19 :11-16 ; 20 :4-6 ; Hébreux 4 :1-11).

Alors, la Terre a-t-elle plus de 6000 ans ? Affirmatif !

Bien que la Bible n’indique pas explicitement l’âge de la Terre, elle montre que l’humanité est présente sur Terre depuis environ 6000 ans. La Bible montre également qu’après la création de la Terre par Dieu, mais avant la création de l’homme, il y a eu une période pendant laquelle Satan se rebella et la Terre devint chaotique. Cela aurait pu facilement se passer il y a des milliards d’années.

Nous voyons donc clairement qu’il y a beaucoup de versets dans la Bible qui laissent entendre l’âge très ancien de la planète Terre – ce qui est constamment prouvé par les découvertes scientifiques.

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