| Le Monde de Demain

Les trois éléments cloués sur la croix

Tableau blanc : Les trois éléments cloués sur la croix

Le Bible mentionne trois éléments qui furent cloués à la croix lors de la crucifixion de Jésus. Deux d’entre eux sont évidents, mais le troisième pourrait vous surprendre.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de ce tableau blanc du Monde de Demain.]

La Bible mentionne trois éléments qui furent cloués à la croix lors de la crucifixion de Jésus. Deux d’entre eux sont évidents, mais le troisième pourrait vous surprendre. Ceux qui ont assisté à la crucifixion de Jésus de Nazareth en l’an 31 apr. J.-C. auraient pu lever les yeux et voir facilement deux des trois éléments cloués à la croix, ou au poteau.  Le troisième élément – qui était invisible à l’œil nu – est incroyablement important pour ceux qui vivaient à l’époque, mais aussi pour nous aujourd’hui. Alors, quels étaient ces trois éléments cloués à la croix ? Dans cette vidéo, nous allons répondre à cette question à partir des pages de la Bible.

1. Jésus, le Christ

Le premier élément qu’un témoin de la crucifixion aurait vu cloué sur la croix était : Jésus, le Christ. Jésus fut cloué par les mains et les pieds. Cette forme horrible d’exécution était une pratique courante dans l’Empire romain de l’époque. Lorsqu’Il fut suspendu à la croix, Il avait déjà été battu, flagellé, et était exsangue (Matthieu 26 :67 ; 27 :26-30 ; Marc 14 :65 ; 15 :15-20). Son passage à tabac fut prophétisé des siècles à l’avance par le prophète Ésaïe, qui dit :

« Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé ; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris » (Ésaïe 53 :4-5).

Alors qu’Il recevait des coups physiques, Il endura également des attaques psychologiques et des moqueries. Comme l’explique Matthieu : « Là-dessus, ils lui crachèrent au visage, et lui donnèrent des coups de poing et des soufflets en disant : Christ, prophétise ; dis-nous qui t’a frappé » (26 :67-68). Même après toutes ces souffrances, Jésus ne perdit jamais de vue la raison pour laquelle Il se soumit à la crucifixion. Les témoins présents ce jour-là auraient eu l’occasion d’entendre la réponse miséricordieuse de Jésus à cette torture injustifiée. Comme indiqué dans, Il dit : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font » (Luc 23 :34). Le premier élément cloué à la croix, ou au poteau, fut Jésus-Christ – le Fils de Dieu.

2. Une inscription

Le deuxième élément cloué à la croix qu’un témoin de la crucifixion aurait vu était une inscription au-dessus de la tête de Jésus. Placé juste au-dessus de Lui, il y avait une inscription décrivant l’accusation portée contre Lui. Chacun des quatre récits évangéliques fournit des détails qui permettent de comprendre pleinement ce qui était écrit.

Le rapport de Marc fournit la description la plus simple, en disant : « C’était la troisième heure, quand ils le crucifièrent. L’inscription indiquant le sujet de sa condamnation portait ces mots : Le roi des Juifs » (Marc 15 :25-26). L’Évangile de Matthieu explique également : « Pour indiquer le sujet de sa condamnation, on écrivit au-dessus de sa tête : Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs » (Matthieu 27 :37).

L’Évangile de Luc donne encore plus de détails, en disant : « Et il y avait cette inscription au-dessus de sa tête, en grec, en latin et en hébreu : Celui-ci est le roi des Juifs » (Luc 23 :38, Ostervald). L’Évangile de Jean ajoute :

« Pilate fit une inscription, qu’il plaça sur la croix, et qui était ainsi conçue : Jésus de Nazareth, roi des Juifs.  Beaucoup de Juifs lurent cette inscription, parce que le lieu où Jésus fut crucifié était près de la ville : elle était en hébreu, en grec et en latin. Les principaux sacrificateurs des Juifs dirent à Pilate : N’écris pas : Roi des Juifs. Mais écrit qu’il a dit : Je suis le roi des Juifs. Pilate répondit : Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit » (Jean 19 :19-22).

Mis bout à bout, les récits évangéliques montrent clairement que le signe au-dessus de Jésus disait à tous ceux qui le voyaient : « Celui-ci est Jésus de Nazareth, le roi des Juifs. » C’était le deuxième élément cloué sur la croix.

3. Les péchés de toute l’humanité

En revanche, le troisième élément cloué sur cette croix n’aurait PAS été visible pour les personnes présentes ce jour-là. Les péchés de toute l’humanité étaient placés sur l’Homme cloué sur cette croix. Le sacrifice du Christ fut préfiguré et symbolisé par l’agneau de la Pâque mentionné dans l’Ancien Testament (Exode 12).

La Bible explique que le Christ est l’Agneau de Dieu et notre Pâque (1 Corinthiens 5 :7 et Jean 1 :29). Il fut offert, par Dieu le Père, comme « victime propitiatoire » pour nos péchés (Romains 3 :25). La vie de Jésus avait plus de valeur que toute l’humanité réunie, car Il est le Créateur de toutes choses (Jean 1 :1-3). Et étant parfait, sans péché, Il était le seul qualifié pour payer l’amende pour tous les péchés.

Ainsi, c’est par Son sacrifice et Son sang versé que nous pouvons être pardonnés de nos péchés (Colossiens 1 :14). Il paya la peine de mort pour nous tous. Tout comme Dieu l’a prophétisé des siècles plus tôt par le prophète Ésaïe : « Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie ; et l’Éternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous » (Ésaïe 53 :6).

Les péchés de toute l’humanité furent placés sur Jésus, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu (2 Corinthiens 5 :21). Et par Sa vie parfaite, Jésus nous laissa également un exemple de la manière dont Dieu s’attend à ce que nous nous efforcions de vivre. Si nous devons demeurer en Jésus, alors nous devons marcher comme Il marcha (1 Jean 2 :6). Et comme l’apôtre Pierre l’a déclaré :

« Et c’est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces, lui qui n’a point commis de péché, et dans la bouche duquel il ne s’est point trouvé de fraude ; lui qui, injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement ; lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris. Car vous étiez comme des brebis errantes. Mais maintenant vous êtes retournés vers le pasteur et le gardien de vos âmes » (1 Pierre 2 :21-25).

Ce troisième élément cloué sur la croix était extrêmement important à l’époque de Christ et l’est tout autant aujourd’hui. Ceux qui connaissent vraiment Jésus-Christ comme étant à la fois notre Pâque et le Roi des rois peuvent dire :

« À celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles ! Amen ! » (Apocalypse 1 :5-6).

Pour avoir une compréhension approfondie de ce qu’est l’amour de Dieu pour nous et comment nous pouvons Lui rendre cet amour, commandez notre brochure Jean 3 :16 – les vérités cachées du verset d’or. Pour mieux comprendre la chronologie entourant la crucifixion et la résurrection de Jésus, consultez notre vidéo « 3 jours et 3 nuits… La Pâque ou les Pâques ? ».

 

Jésus enseigna-t-Il Ses disciples à observer les Dix Commandements?

Tableau blanc : Jésus enseigna-t-Il Ses disciples à observer les Dix Commandements?

Avez-vous entendu parler des Dix Commandements – les dix grandes règles gravées par Dieu sur des tables de pierre que Moïse rapporta d’une montagne ? 

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de ce tableau blanc du Monde de Demain.]

Avez-vous entendu parler des Dix Commandements – les dix grandes règles gravées par Dieu sur des tables de pierre que Moïse rapporta d’une montagne ?  Ils étaient évidemment très importants. Mais ne concernaient-ils que l’Israël antique ? Les chrétiens d’aujourd’hui devraient-ils respecter les Dix Commandements ? Que dit Jésus ? Enseigna-t-Il Ses disciples à les respecter ?

Des exemples des enseignements de Jésus sur les Dix Commandements

Certains disent que les chrétiens aujourd’hui n’ont pas besoin de se soucier des Dix Commandements. Mais Jésus enseigna quelque chose de très différent.  Examinons des exemples des enseignements de Jésus concernant les Dix Commandements.

Le premier commandement dit : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » (Exode 20 :3). Lorsqu’on Lui demanda quel était le plus grand commandement de la loi, Jésus répondit : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée » (Matthieu 22 :37. Voir aussi : Marc 12 :28-30 et Luc 10 :25-28). Quand Satan tenta Jésus pour qu’Il l’adore, Jésus répondit : « Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul » (Matthieu 4 :8-10). Il est clair que Jésus veut que Ses disciples respectent le premier commandement et n’aient pas d’autres dieux devant le vrai Dieu.

Le deuxième commandement explique : « Tu ne te feras point d’image taillée » (Exode 20 :4-6). Jésus mit en garde Ses disciples contre l’idolâtrie, tant les idoles physiques que spirituelles, en disant : « Nul ne peut servir deux maîtres... vous ne pouvez servir Dieu et Mammon » (Matthieu 6 :24). Consacrer trop de temps, d’attention et d’énergie à l’acquisition de richesses matérielles revient à servir un faux dieu. Les richesses et les grandes possessions peuvent devenir des idoles dans le cœur d’une personne. De même, tout ce qui prend la place de Dieu, ou qui prend la priorité sur Dieu, devient une idole. C’est une chose contre laquelle Jésus mit en garde :

 « Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ; celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n’est pas digne de moi » (Matthieu 10 :37-38).

Dans le livre de l’Apocalypse, qui est la révélation de Jésus-Christ (Apocalypse 1 :1), les idolâtres sont inclus dans la liste de ceux qui ne recevront pas la vie éternelle :

« Les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les débauchés, les magiciens, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort » (Apocalypse 21 :8).

Le troisième commandement stipule : « Tu ne prendras point le nom de l’Éternel, ton Dieu, en vain » (Exode 20 :7). Jésus enseigna à Ses disciples à révérer Dieu et Son nom en disant :

« Je vous dis de ne jurer aucunement, ni par le ciel, parce que c’est le trône de Dieu ; ni par la terre, parce que c’est son marchepied ; ni par Jérusalem, parce que c’est la ville du grand roi » (Matthieu 5 :33-35).

Lorsqu’Il leur enseigna à prier, Il les instruisit à commencer leurs prières en sanctifiant le nom de Dieu : « Notre Père qui es aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié » (Matthieu 6 :9). Il leur dit de faire attention à leurs paroles dans la prière, en disant : « Mais quand vous priez, n’utilisez pas de vaines répétitions comme font les païens : car ils croient qu’ils seront entendus en parlant beaucoup » (Matthieu 6 :7, King James Française). Cela inclurait de ne pas utiliser le nom de Dieu sans réfléchir ou de manière répétitive ou vide.

Le quatrième commandement déclare : « Souviens-toi du jour de repos, pour le sanctifier » (Exode 20 :8). La Bible montre que Jésus avait l’habitude d’observer le sabbat (Luc 4 :16). Dans Marc 2 :28 et Luc 6 :5, il est écrit que le Fils de l’homme est le maître du sabbat. Jésus enseigna également à Ses disciples comment observer le sabbat plus fidèlement (ou de façon correcte). Par exemple, Il montra que « le sabbat a été fait pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat » (Marc 2 :27). Par conséquent, il est légitime de guérir et de faire du bien le jour du sabbat (voir Matthieu 12 :11-13, Luc 6 :9-11).

Il dit également à Ses disciples : « Priez pour que votre fuite n’arrive pas en hiver, ni un jour de sabbat », montrant que Ses disciples devront respecter le sabbat même au temps de la fin, juste avant Son retour (Matthieu 24 :20).

Concernant le cinquième jusqu’au neuvième commandement (Exode 20 :12-16), lorsque Jésus fut approché par un jeune homme qui Lui demanda comment obtenir la vie éternelle, voici ce qu’Il répondit : « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements » (Matthieu 19 :17). Le jeune homme Lui demanda : « Lesquels ? » Jésus répondit :

« Tu ne tueras point ; tu ne commettras point d’adultère ; tu ne déroberas point ; tu ne diras point de faux témoignage ; honore ton père et ta mère ; et : Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Matthieu 19 :18-19).

Dans ce seul passage, Jésus enseigna clairement l’obéissance du cinquième au neuvième commandement !

Pour le dixième commandement, qui dit : « Tu ne convoiteras point » (Exode 20 :17), Luc rapporte un incident au cours duquel Jésus instruit un homme de prendre garde à ne pas enfreindre le dixième commandement :

« Quelqu’un dit à Jésus, du milieu de la foule : Maître, dis à mon frère de partager avec moi notre héritage. Jésus lui répondit : Ô homme, qui m’a établi pour être votre juge, ou pour faire vos partages ? Puis il leur dit : Gardez-vous avec soin de toute avarice ; car la vie d’un homme ne dépend pas de ses biens, serait-il dans l’abondance » (Luc 12 :13-15).

Ces exemples, et d’autres énumérés ici, montrent clairement que Jésus enseigna l’obéissance aux Dix Commandements !

Jésus respecta parfaitement la loi

Jésus Lui-même respecta la loi lorsqu’Il fut ici-bas, enseignant et observant à la fois la lettre et l’esprit des Dix Commandements. Il respecta parfaitement la loi. Ce faisant, Il put payer l’amende de nos péchés (Jean 3 :16 ; Romains 5 :8 ; Éphésiens 1 :7 ; 1 Pierre 2 :24). Nous pouvons être rachetés de la peine de mort pour le péché grâce au sacrifice parfait de Jésus.

La grâce n’est pas une licence pour transgresser la loi

Le salut est un don gratuit de Dieu par la foi en Jésus-Christ. Nous ne pouvons pas gagner le salut par l’obéissance. Pourtant, dans tout pays civilisé, une personne graciée d’un crime devrait retourner dans la société en tant que citoyen respectueux des lois. De même, les chrétiens doivent toujours observer les Dix Commandements de Dieu. Comme le dit Jésus : « Si vous m’aimez, gardez mes commandements » (Jean 14 :15).

Comme l’expliqua l’apôtre Paul : « Annulons-nous donc la loi par la foi ? Loin de là ! Au contraire, nous confirmons la loi » (Romains 3 :31). Et comme le conclut également l’apôtre Jean : « Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles » (1 Jean 5 :3).

Pour en apprendre davantage sur la loi vivante et inexorable de Dieu, commandez votre exemplaire gratuit de notre brochure Les Dix Commandements.

 

Une "OTAN du Moyen-Orient" est-elle en vue?



Est-il possible que les nations arabes du Moyen-Orient créent une alliance militaire ? Jusqu’à récemment, cette idée aurait été ridicule pour beaucoup, étant donné les siècles de querelles intestines entre ces nations. Mais aujourd’hui, cette possibilité a beaucoup plus de chances de devenir une réalité.

Un groupe de nations dirigé par l’Allemagne signe un accord sur l’énergie



« L’Allemagne, l’Autriche, la République tchèque, la Hongrie, la Pologne et la Slovaquie ont signé un protocole d’accord sur la préparation aux risques et la solidarité dans le secteur de l’électricité, alors que le risque de pannes d’électricité est de plus en plus réel compte tenu de la diminution des approvisionnements énergétiques en provenance de Russie » (Euractiv.fr, 28 juin 2022).

Le sabbat chrétien: samedi ou dimanche?

Si Jésus-Christ établit l’observance du dimanche comme jour de culte, pourquoi fallut-il la déclaration d’un Empereur romain 300 ans après Sa mort et Sa résurrection pour le fixer comme le jour de culte pour les chrétiens ? Et comment se fait-il que les premiers apôtres et disciples – même ceux d’origine païenne – gardaient-ils le sabbat du septième jour ? Prenez votre Bible et lisez-la avec nous dans cet épisode du Monde de Demain où nous examinerons ce que Jésus-Christ et Ses apôtres enseignèrent réellement au sujet du sabbat.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Quel jour de repos ?

Plus de deux milliards de ceux qui se disent chrétiens observent le dimanche comme jour de culte. Pourtant, des millions d’autres observent le samedi, le septième jour de la semaine, comme jour de culte. Quel jour est véritablement le sabbat chrétien ? La plupart des chrétiens connaissent les Dix Commandements. En fait, des plaques et des stèles des Dix Commandements ont été placés même dans des bâtiments publics pendant des siècles, jusqu’à ces dernières années.

Le 4e commandement commence ainsi : « souviens-toi du jour du sabbat, pour le sanctifier » (Exode 20 :8, Darby). Ce commandement figurait sur les tables en pierre que Dieu remit à Moïse au XVe siècle av. J.-C. Mais quand Dieu établit-Il le sabbat du septième jour dont il fallait se souvenir ? Nous répondrons à cette question dans l’émission d’aujourd’hui.

Lorsque l’Église chrétienne du Nouveau Testament commença le jour de la Pentecôte en l’an 31 de notre ère, les chrétiens du premier siècle observaient déjà le sabbat du septième jour. Ce n’est qu’au concile de Laodicée, en l’an 363 de notre ère que l’Église romaine interdit l’observation du sabbat du septième jour, faisant du dimanche le jour officiel de culte, à la suite de l’édit de l’empereur Constantin en l’an 321.

Alors, le Dieu du ciel veut-Il que vous L’adoriez n’importe quel jour ? Que dit vraiment la Bible ? Quel est le jour du sabbat chrétien ? Le samedi ou le dimanche ?

Paul enseigna le jour du sabbat, tant aux Juifs comme aux Gentils

Le monde est secoué par les perturbations, les troubles et les stress prophétisés des temps de la fin. Jésus de Nazareth prédit ces troubles dans la prophétie du mont des Oliviers :

« Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines, et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des douleurs » (Matthieu 24 :7-8).

Mais Il fournit également un moyen de faire face à ces tensions lorsqu’Il déclara : « Par votre persévérance vous sauverez vos âmes » (Luc 21 :19). En ces temps agités, beaucoup recherchent la paix en pratiquant leur culte un jour particulier de la semaine.

Diverses religions célèbrent des fêtes religieuses ou des Jours saints. Les musulmans pratiquent leur culte le vendredi et suivent l’appel à la prière cinq fois par jour. Les Juifs du monde entier pratiquent leur culte depuis des milliers d’années le Jour du sabbat, qui commence au coucher du soleil le vendredi soir et se poursuit jusqu’au coucher du soleil le samedi. Des centaines de millions d’autres chrétiens se réunissent pour des cultes religieux le dimanche, proclamant que leur jour est le vrai jour de culte.

Mais saviez-vous qu’il y a aussi des millions de chrétiens qui gardent le sabbat du septième jour ? Pourquoi observent-ils le samedi comme jour de culte ? Le quatrième commandement dans la Bible enseigne l’observance du septième jour de la semaine en tant que repos sabbatique. Comme il est dit : « Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l’Éternel, ton Dieu » (Exode 20 :8-10).

Quel jour de la semaine les chrétiens du premier siècle observaient-ils ? La réponse se trouve ici, dans la Bible. Dans l’émission Le Monde de Demain, nous vous demandons de ne pas vous contenter de nous croire sur parole, mais de vérifier par vous-même ce que dit réellement la Bible.

Les spécialistes de la Bible admettent que l’Église chrétienne du premier siècle observait le sabbat du septième jour. Mais beaucoup affirment à tort que c’était uniquement parce qu’ils étaient des chrétiens d’origine juive. Alors, les chrétiens d’origine païenne du premier siècle observaient-ils le dimanche comme jour de culte ? Que dit la Bible comme vérité historique ?

Prenez l’apôtre Paul. Il reçut une formation de pharisien, et connaissait fort bien les Écritures hébraïques, les livres de l’Ancien Testament. Dans la ville de Thessalonique, Paul prêcha aux Juifs dans la synagogue trois sabbats de suite. Remarquez que c’était sa coutume – il prêchait régulièrement le jour du sabbat :

« Paul y entra, selon sa coutume. Pendant trois sabbats, il discuta avec eux, d’après les Écritures, expliquant et établissant que le Christ devait souffrir et ressusciter des morts. Et Jésus que je vous annonce, disait-il, c’est lui qui est le Christ » (Actes 17 :2-3).

Paul prêchait régulièrement aux Juifs le jour du sabbat. Mais s’adressait-il également aux Gentils le jour du sabbat ? Regardez le chapitre suivant. L’apôtre Paul se trouve dans la ville païenne de Corinthe, en Grèce : « Paul discourait dans la synagogue chaque sabbat, et il persuadait des Juifs et des Grecs » (Actes 18 :4) ! 

On pourrait penser que si les chrétiens observaient le dimanche, plutôt que le sabbat du septième jour, l’apôtre Paul pourrait parler aux Juifs le samedi et aux païens le dimanche. Est-ce bien ce que dit la Bible ?  Consultez Actes 13. Paul se trouvait à Antioche, dans ce qui est actuellement la Turquie. Après le sermon habituel de Paul à la synagogue pour les Juifs et les Gentils, remarquez ce qui se passa. « Lorsqu’ils sortirent, on les pria de parler le sabbat suivant sur les mêmes choses » le jour suivant, le dimanche ? Non ! Les Gentils supplièrent Paul de leur prêcher « le sabbat suivant » (v. 42).

Si Jésus, ou les apôtres, avaient changé le jour de culte prescrit par Dieu, c’était l’occasion rêvée pour Paul de dire aux Gentils : « Non, vous ne devez pas attendre jusqu’à samedi prochain, nous, les chrétiens, nous adorons maintenant le dimanche. Rencontrez-moi demain ! » Mais non, l’apôtre Paul ne fit pas cela. Que dit la Bible ? « Le sabbat suivant, presque toute la ville se rassembla pour entendre la parole de Dieu » (Actes 13 :44).

Paul enseignait aux chrétiens d’origine païenne le jour du sabbat ! Il ordonna également aux Gentils de Corinthe de suivre Son exemple. Rappelez-vous l’instruction de Paul : « Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même de Christ » (1 Corinthiens 11 :1). Ou comme la Bible des Peuples (1998) le traduit : « Suivez mon exemple comme je suis celui du Christ. » Oui, Paul et Jésus donnèrent l’exemple à tous les chrétiens en observant le sabbat du septième jour !

À quelle époque le christianisme traditionnel commença-t-il à observer le dimanche comme le jour de repos au lieu du sabbat ? L’Encyclopédie catholique, sur le sujet du « dimanche », déclare ceci : « Tertullien (202 apr. J.-C.) fut le premier auteur à mentionner expressément le repos du dimanche » (Encyclopédie catholique, article “Dimanche”, 1912, volume 14, page 335). Tertullien a écrit :

« Pour nous, suivant la tradition, le seul jour de la résurrection nous devons éviter ce geste [l’agenouillement à la prière] comme tout ce qui exprime l’angoisse et la douleur et ce qui est de même nature, pour ne pas donner prise au diable » (“La Prière en Afrique chrétienne”, éditions Migne, page 31, traduction Adalbert-Gautier Hamman). 

L’observance du dimanche n’était même pas mentionnée avant l’an 202 de notre ère ! Cependant, de petits groupes de vrais chrétiens continuèrent à observer le sabbat du septième jour, même après que l’empereur romain Constantin eut imposé le culte du dimanche. Au XVIIe siècle, lorsque les chrétiens sabbatariens ont été persécutés en Angleterre, certains ont cherché la liberté religieuse dans de nouvelles terres, les colonies d’Amérique du Nord.

La charte royale de 1663, accordée par Charles II d’Angleterre, garantissait la liberté de religion à la colonie du Rhode Island. Cette charte peut être vue aujourd’hui dans la maison d’État de Providence, au Rhode Island.

Des précédents historiques de l’observance du sabbat du septième jour

Nous avons vu que les chrétiens du premier siècle observaient le sabbat du septième jour. Non seulement les chrétiens de racine juive observaient le samedi comme sabbat, mais les chrétiens d’origine païenne aussi. Nous avons également vu que même les premiers observateurs du dimanche n’ont pas pris le contrôle avant le troisième siècle de notre ère.

Nous avons également vu que c’est l’empereur romain, et non l’Église originelle, qui imposa le culte du dimanche dans l’Empire. Enfin, le concile de Laodicée déclara le dimanche comme jour de culte pour la religion catholique au quatrième siècle de notre ère.  N’est-ce pas étonnant ? Si le Christ établit le dimanche comme Son jour de culte, pourquoi fallut-il plus de 300 ans pour que l’Église déclare officiellement le dimanche comme jour de culte après Sa mort et Sa résurrection ?

Malgré les persécutions, les vrais observateurs du sabbat continuèrent à respecter le quatrième commandement tout au long des siècles. Lorsqu’ils furent persécutés dans l’Angleterre du XVIIe siècle, certains fuirent pour chercher la liberté religieuse en Amérique du Nord. En 1663, le roi Charles II garantit la liberté de religion dans la colonie du Rhode Island, et les observateurs du sabbat du septième Jour furent les bienvenus.

Les archives historiques montrent qu’un certain Stephen Mumford et son épouse arrivèrent à Newport, dans le Rhode Island, en 1665, en quête de liberté religieuse. Ils furent les premiers chrétiens à observer le sabbat en Amérique. Comme leur congrégation grandissait, ils avaient besoin d’une plus grande salle de réunion. Les sabbatariens bâtirent une grande salle de réunion en 1729. Elle est aujourd’hui conservée par la Société historique de Newport. Si vous vous trouvez un jour à Newport, Rhode Island, ne manquez pas de visiter ce bâtiment historique. Il est intéressant de noter que la plus ancienne synagogue juive d’Amérique est située juste à côté de la salle de réunion chrétienne du sabbat.

Dans la salle de réunion sabbatique de Newport se trouve une chaire surélevée. Derrière la chaire se trouvent deux grandes stèles sur lesquelles sont inscrits les Dix Commandements. Au bas de la deuxième stèle, on peut lire la déclaration directe de l’apôtre Paul dans Romains 3 :31 : « Annulons-nous donc la loi par la foi ? Loin de là ! Au contraire, nous confirmons la loi. »

Oui, ces chrétiens du Nouveau Testament affirmèrent leur allégeance à la déclaration du Christ : « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements » (Matthieu 19 :17). Jésus enseigna l’obéissance et l’observation des Dix Commandements.

Dans le Rhode Island du XVIIIe siècle, il y avait d’autres sabbatariens éminents, dont deux gouverneurs de la colonie du Rhode Island, Richard Ward et son fils Samuel – et même le premier président de l’université Brown, James Manning, était sabbatarien.

Les registres de l’Église sabbatarienne, conservés au Musée historique de Newport, renferment les noms des membres et leurs contributions. De manière plus significative, l’Église se décrit dans ces registres comme « gardant les commandements de Dieu, et la foi de Jésus, et en particulier le sabbat du 7ème Jour du Seigneur ».

Au fil des siècles, les chrétiens du septième jour ont continué à observer le sabbat. Ils le considèrent comme un merveilleux jour de repos et de culte. Aujourd’hui encore, de nombreux groupes restent fidèles à leur croyance dans le respect du sabbat chrétien du premier siècle.

Maintenant, laissez-moi vous demander : pouvez-vous prouver à partir de la Bible quel jour un chrétien doit sanctifier ? C’est une question extrêmement importante. Celui qui devrait répondre à cette question pour nous est le fondateur du christianisme Lui-même, Jésus-Christ !

Les pharisiens reprochèrent à Jésus d’avoir transgressé leurs restrictions qui avaient été ajoutées au sabbat. Jésus n’enfreignit pas le quatrième commandement, sinon Il aurait péché. Il a rejeté la halakha rabbinique, les restrictions des rabbins. Mais, en même temps, Jésus affirma le caractère sacré du sabbat et exemplifia Sa bonne observance. Ses disciples ont profité de la liberté du sabbat en grignotant des épis de blé des champs – ils avaient faim et ont profité de ce qui était vraiment légitime de faire.

Remarquez la réponse de Jésus aux pharisiens : « …Le sabbat a été fait pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat » (Marc 2 :27). Remarquez également ce que Jésus ne dit pas. Il ne dit pas : « Le sabbat a été créé uniquement pour les Juifs. » Car, en fait, le sabbat fut créé pour toute l’humanité – pour chaque homme, chaque femme et chaque enfant sur la planète Terre ! C’est ce que le Christ proclama ! Maintenant, à quel moment le sabbat fut-il établi ? Dans la Bible, Genèse 1, qui décrit ce qu’on appelle la « semaine de la création ».  Dieu créa l’homme et la femme le sixième jour de la semaine. Que s’est-il passé le lendemain, le septième jour ?

« Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée. Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu’il avait faite : et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu’il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu’en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu’il avait créée en la faisant » (Genèse 2 :1-3).

Le sabbat est une commémoration de la création et révèle le Dieu réel, le Créateur de tout l’Univers. Le livre des Hébreux, dans le Nouveau Testament, met également l’accent sur le sabbat en tant que préfiguration du sabbat millénaire, le règne de 1 000 ans de Jésus-Christ ici-bas. Le sabbat du septième jour a une signification profonde pour les disciples du Christ.

Jésus fit une autre affirmation étonnante. A-t-Il dit qu’Il était le Maître du dimanche, que le dimanche était Son jour ? « Le sabbat a été fait pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat, de sorte que le Fils de l’homme est maître même du sabbat » (Marc 2 :27-28). Si Jésus est le Maître du sabbat, quel jour est Son jour ? Le dimanche ? Non ! Le sabbat est le jour du Maître – c’est Jésus qui le dit Lui-même !

Jésus observait le sabbat. En fait, c’est Lui qui proclama les Dix Commandements sur le mont Sinaï. Rappelez-vous la déclaration claire de l’apôtre Paul concernant le Rocher spirituel de l’ancien Israël. Qui était ce Rocher qui les suivait dans le désert ? Les anciens Israélites, ceux-là mêmes qui ont entendu le tonnerre des Dix Commandements sur le mont Sinaï, ces anciens Israélites « ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ » (1 Corinthiens 10 :4).

Nous avons vu que Jésus enseigna à Ses disciples à respecter les Dix Commandements. Il observa Lui-même le sabbat du septième jour, comme les apôtres. Mais existe-t-il d’autres preuves dans le Nouveau Testament que les chrétiens doivent observer le sabbat ?

L’observance du sabbat est basée sur la Bible

Dans Hébreux 4, le sabbat est décrit comme un type du repos millénaire, ainsi qu’une commémoration du repos de Dieu à la création. Parlant de l’incrédulité des anciens Israélites en route vers la Terre promise, ce passage déclare : « Car, si Josué leur avait donné le repos, Dieu ne parlerait pas après cela d’un autre jour. Il y a donc un repos de sabbat [ou sabbatismos] réservé au peuple de Dieu » (Hébreux 4 :8-9).

S’agit-il d’un repos symbolique ou d’un repos sabbatique littéral ? Le dictionnaire biblique Anchor cite plusieurs écrits grecs profanes, non dépendants de ce verset d’Hébreux, où le mot grec « sabbatismos » signifie « observance du sabbat » ou « célébration du sabbat » littéralement. Il ne fait aucun doute que ce verset est une déclaration du Nouveau Testament sur l’observance chrétienne littérale du sabbat. Remarquez cette importante déclaration dans le verset 10 : « Car celui [le chrétien individuel] qui entre dans le repos de Dieu [la conversion, symboliquement parlant] se repose de ses œuvres, [remarquez] comme Dieu s’est reposé des siennes. »

Si nous, en tant que chrétiens convertis, devons cesser nos œuvres comme Dieu cessa les siennes, nous devons simplement nous poser une question : Comment Dieu a-t-Il cessé de faire Ses œuvres ? « Car il a parlé quelque part ainsi du septième jour : Et Dieu se reposa de toutes ses œuvres le septième jour » (Hébreux 4 :4).

Il n’y a aucune confusion ! Les chrétiens du Nouveau Testament doivent se reposer, tout comme Dieu le fit, le septième jour ! La Bible est très claire à ce sujet. Tant l’Ancien que le Nouveau Testament, ils donnent aux disciples des exemples clairs et l’instruction de sanctifier le jour du sabbat ! Comme le dictionnaire biblique Anchor le déclare :

« Le respect physique du sabbat de la part du croyant de la nouvelle alliance tel qu’affirmé par le “repos du sabbat”, est caractérisé par la cessation des “œuvres” (4 :10) en commémoration du repos de Dieu à la création (4 :4 = Genèse 2 :2) et manifeste la foi dans le salut apporté par le Christ. »

C’est une déclaration remarquablement claire ! La question fondamentale est la suivante : qui ou qu’est-ce que vous reconnaissez comme faisant autorité ? Est-ce la Bible ? Ou une Église, voire une religion en dehors de la Bible ? Le célèbre théologien catholique, James Cardinal Gibbons, rédigea cette audacieuse déclaration :

« Vous pouvez lire la Bible depuis la Genèse jusqu’à l’Apocalypse, et vous ne trouverez pas une seule ligne autorisant, [ni] établissant la sanctification du dimanche. Les Écritures ordonnent la religieuse observance du Sabbat, jour que nous ne sanctifions jamais » (La foi de nos pères, James Gibbons, éditions Retaux-Bray, p. 107, traduction Adolphe Saurel).

C’est une citation tirée de l’ouvrage de Gibbons intitulé La foi de nos pères, imprimé pour la première fois en 1876. Voici un aveu de Harold Lindsell, rédacteur en chef du magazine Christianity Today et ministre de l’Église baptiste : « Les Écritures ne nous ordonnent à aucun endroit d’observer le dimanche au lieu du samedi, en tant que jour saint » (“Consider the Case for Quiet Saturdays”, Christianity Today, 5 novembre 1976, p. 42).

Il y a beaucoup d’autres aveux de ce genre sur ce point que vous pouvez lire dans notre brochure gratuite : Quel est le jour du sabbat chrétien ?

Mais laissez-moi en partager une autre avec vous. Cette déclaration est de l’anglican Isaac Williams, Docteur en théologie :

« Où voyons-nous dans les Écritures que nous devrions observer le premier jour ? Il nous est ordonné d’observer le septième jour ; mais nous n’avons aucun commandement nous disant d’observer le premier jour […] La raison pour laquelle nous observons le premier jour de la semaine, au lieu du septième, est la même raison pour laquelle nous observons beaucoup d’autres choses : non parce que la Bible nous le dit, mais parce que l’Église nous l’ordonne » (Plain Sermons on the Catechism, Isaac Williams, volume 1).

Ce sont des aveux étonnants – et il y en a d’autres. Encore une fois, mes amis, je vous demande : quelle est la source de votre foi ? Est-ce la Bible ? Ou bien est-ce les coutumes et les traditions en dehors de la Bible ? Jésus émit un très fort avertissement lorsque les traditions entrent en conflit avec les commandements de Dieu.

De nombreuses Églises ont suivi cette mauvaise voie, tout comme les pharisiens de l’époque de Jésus. Jésus dit :

« C’est en vain qu’ils m’honorent, en donnant des préceptes qui sont des commandements d’hommes. Vous abandonnez le commandement de Dieu, et vous observez la tradition des hommes [...] Vous rejetez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition » (Marc 7 :7-9).

C’est un avertissement dont je l’espère, nous tiendrons tous compte. Jésus déclara être le Maître du sabbat. Il observa le sabbat et Il n’enfreignit pas la loi comme certains théologiens l’affirment à tort. Comme Il le dit dans Jean 15 :10 : « J’ai gardé les commandements de mon Père ». Mes amis, allez-vous suivre l’exemple de Jésus-Christ et les instructions bibliques ? Ou vous y opposerez-vous afin de suivre les traditions des hommes ?

Une restauration à venir du culte véritable

En parlant du Monde à Venir, du Monde de Demain, Dieu annonce cette bonne nouvelle :

« Car, comme les nouveaux cieux et la nouvelle terre que je vais créer subsisteront devant moi, dit l’Éternel, ainsi subsisteront votre postérité et votre nom. À chaque nouvelle lune et à chaque sabbat, toute chair viendra m’adorer, dit l’Éternel » (Ésaïe 66 :22-23).

Quel merveilleux monde ce sera ! « Le temps est venu de rassembler toutes les nations et toutes les langues ; elles viendront et verront ma gloire » (v. 18). Croyez-le ou non, toutes les nations de la Terre un jour viendront ensemble pour glorifier le vrai Dieu, le Créateur de toutes choses, et Son Fils Jésus-Christ comme Roi des rois et Seigneur des seigneurs. Et tous les peuples L’adoreront, comme Il le proclame « à chaque sabbat ».

Mes amis, saviez-vous qu’il y a des millions de chrétiens qui gardent le sabbat du septième jour ? Pourquoi observent-ils le samedi comme jour de culte ? Avez-vous prouvé à vous-même quel est le jour du sabbat chrétien ? Si vous souhaitez obtenir un exemplaire de notre brochure gratuite pour vous aider à répondre à ces questions, cliquez simplement sur le lien dans la description. Elle est entièrement gratuite. Elle vous montrera, directement à partir des pages de la Bible, Quel est le jour du sabbat chrétien.


Pages