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La société moderne laïque diffuse la notion erronée que la théorie de l’évolution est une science établie, mais la vérité est bien différente et vous devez la connaître !
En décembre 2022, la célèbre maison d’enchères britannique Sotheby’s a mis en vente une lettre manuscrite de Charles Darwin, écrite en 1865, défendant la théorie de l’évolution qu’il avait expliquée en 1859 dans son ouvrage intitulé L’origine des espèces au moyen de la sélection naturelle ou la préservation des races favorisées dans la lutte pour la vie. L’enchère victorieuse s’éleva à 719.000£ (soit 810.000€ ou presque 1,2 million de dollars canadiens). Pourquoi un simple feuillet a-t-il atteint un tel prix ?
Plusieurs facteurs entrent en jeu, mais le rôle emblématique de Darwin dans l’histoire humaine est probablement le plus important. Sotheby’s qualifia L’origine des espèces de Darwin comme « un des plus grands aboutissements de la découverte scientifique ». L’historien des sciences Bern Dibner écrivit que ce livre est « l’ouvrage le plus important de l’histoire des sciences ».1 Assurément des louanges très élevées.
Depuis la première publication de ce livre par Darwin, il y a plus de 160 ans, la théorie de l’évolution par la sélection naturelle est devenue une des théories scientifiques les plus significatives au cours de l’Histoire, au point qu’elle a façonné presque tous les domaines de connaissance de la vie moderne. Avec son impact incommensurable sur la science, la philosophie, l’éducation, la politique et même la religion, elle a exercé une puissante influence dans la composition de la société et de la civilisation.
Beaucoup de voix influentes nous assurent que la véracité de cette théorie est prouvée, qu’elle ne peut être remise en cause et qu’aucune personne intelligente ou éduquée n’oserait la remettre en question. Un grand nombre d’individus intelligents affirmeront que l’évolution a été prouvée des milliers de fois et que les preuves dont nous disposons en font un fait de la nature. Selon au moins un des partisans les plus ardents de cette théorie, douter de la véracité de l’évolution montre que vous êtes ignorant, stupide, fou ou malade.
Nous devrions peut-être commencer par vérifier ce que nous entendons vraiment par le terme évolution. En affirmant que la vie a commencé il y a très longtemps, sous une forme beaucoup plus simple, peut-être celle d’une bactérie microscopique, la théorie de l’évolution affirme qu’au cours de millions, voire de milliards, d’années la lutte pour la survie a octroyé des variations minimes et aléatoires chez les descendants de cette première forme de vie – des variations qui leur ont donné un avantage, peut-être le fait de trouver leur alimentation plus rapidement ou de se reproduire avec plus de réussite – tout en punissant les autres descendants chez qui ces adaptations aléatoires entravèrent leur survie.
L’évolution déclare qu’à travers ce processus simple, naturel, dénué d’intelligence et sans direction – une sélection naturelle basée sur des variations aléatoires – pendant des milliards d’années, ces organismes bactériologiques microscopiques devinrent l’époustouflante variété de vies que nous voyons autour de nous, y compris les êtres humains, sans que l’intervention d’un Concepteur ou d’un Créateur ne soit nécessaire.
Mais est-ce exact ? Les preuves sont-elles solides ? La théorie de l’évolution est-elle vraiment indéniable ?
Si toutes les formes de vie que nous connaissons de nos jours sont le résultat d’un processus aveugle, alors oui, l’ouvrage de Darwin est un gigantesque accomplissement dans l’histoire humaine, une découverte monumentale qui place l’homme à sa place, qui n’aurait rien de spécial ni de remarquable, juste une forme de vie aléatoire sur une planète quelconque et sans finalité. Si cette théorie est véridique, alors la vie n’aurait aucun sens.
Beaucoup clament haut et fort que la théorie de l’évolution est réelle. Le défenseur de l’évolution Jerry Coyne l’a écrit dans son livre Évolution – les preuves :
« L’évolution est un fait. Loin de jeter le doute sur le darwinisme, les données rassemblées par les scientifiques au cours des 150 dernières [années] conspirent toutes à le confirmer. Elles montrent que l’évolution a eu lieu et qu’elle s’est déroulée en grande partie de la manière dont Darwin l’avait proposé, suivant les mécanismes de la sélection naturelle. »2
L’assurance de Coyne est très commune dans les cercles scientifiques. En fait, beaucoup de gens veulent que l’évolution soit véridique.
La théorie de Darwin est devenue une échappatoire pour ceux qui espèrent expliquer la formidable diversité et complexité de la vie en l’absence d’un Créateur. Comme le biologiste Richard Dawkins l’a écrit : « C’est grâce à Darwin que l’athéisme a pu être une solution pleinement satisfaisante pour l’intellect. »3
A-t-il raison ? Encore une fois, la réponse est « oui », mais à condition que la preuve ait été faite que l’évolution soit véridique. Or, ce n’est pas le cas.
Malgré les allégations disant que toutes les preuves soutiennent l’évolution, la vérité est que cette théorie renferme un grand nombre de petits secrets bien gardés dont les programmes scolaires et scientifiques ne parlent pas ouvertement. Cet article lèvera le voile sur certains d’entre eux.
Le premier petit secret est que la structure unicellulaire la plus simple et la plus basique discrédite la théorie de l’évolution.
À l’époque de Darwin, les scientifiques savaient peu de choses sur les cellules. Des organismes unicellulaires comme les amibes furent décrits par George Henry Lewes, un contemporain de Darwin, telle « une masse microscopique à la substance semblable à de la gelée, ou du protoplasme […] entièrement dénué de texture et, par conséquent, dénué d’organes. »4 Dans d’autres cellules, comme celles du corps humain, il est possible d’observer un noyau, mais son but était un mystère et la cellule semblait généralement n’avoir aucune particularité, car presque aucun détail n’était visible.
À cette époque, lorsque l’unité de vie la plus petite et la plus simple semblait aussi basique – un morceau de gelée avec quelques fonctions inintéressantes – il était facile d’imaginer que, d’une manière ou d’une autre, quelque chose puisse avoir lieu dans cette mystérieuse gelée « générant de la vie ». Mais avec l’amélioration des microscopes et de la technologie, il est devenu possible de percer les secrets à l’intérieur des cellules. Nous avons alors découvert que cette substance basique « semblable à de la gelée » était constituée d’une machinerie complexe et d’une fonctionnalité à couper le souffle, d’une ingénierie remarquable et d’une conception magistrale.
Par exemple, environ un milliard de réactions chimiques ont lieu chaque seconde dans une cellule humaine. Et ces réactions chimiques ne sont pas aléatoires. Chaque cellule humaine contient des dizaines de milliers de protéines, elles-mêmes de milliers de variétés différentes – des machines moléculaires conçues pour travailler ensemble afin d’atteindre des objectifs spécifiques, manipulant leur environnement pour créer de nouvelles structures ou pour démanteler d’anciennes structures dans une danse dynamique de complexité qui, en comparaison, ferait passer une navette spatiale pour un engin archaïque.
Certaines bactéries contiennent des protéines motrices qui les aident à se déplacer. L’une d’entre elles, celle de type IVa pilus, est composée de 78.216 atomes différents. Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres montrant la vaste complexité de la machinerie cellulaire que Darwin et ses contemporains n’auraient même pas osé imaginer. La vie serait impossible sans ces machines complexes et le moindre changement évolutif hypothétique impliquerait une modification de celles-ci, voire la création de nouvelles machines.
C’est aussi improbable que cela en a l’air. Le biochimiste Douglas Axe a examiné la probabilité qu’une seule protéine, accomplissant une fonction significative, puisse se former par hasard. Son estimation est de 1 sur 1064, c’est-à-dire un 1 suivi de 64 zéros.5
Avec sa collègue Ann Gauger, Axe a exploré la possibilité qu’une protéine évolue depuis une autre protéine similaire, impliquant des changements minimes de l’ADN. Avec les taux de mutation actuellement compris, ils ont trouvé qu’il faudrait 1027 années pour qu’un tel changement ait lieu, c’est-à-dire un 1 suivi de 27 zéros. À titre de comparaison, le consensus de la communauté scientifique établit que notre Univers serait vieux de 13,7 milliards d’années. Songez qu’un milliard est un 1 suivi de seulement neuf zéros. Autrement dit, le fait qu’une protéine évolue d’une forme à une autre ne peut pas se produire sans une intervention intelligente.
Même la structure unicellulaire la plus simple et la plus basique discrédite la théorie de l’évolution.
La nature de l’ADN, la molécule que je viens de mentionner, est un autre petit secret de l’évolution, car l’ADN représente un système de codification abstrait qui implique une intelligence supérieure. L’acide désoxyribonucléique, ou ADN, était inconnu à l’époque de Darwin, or il a la responsabilité de véhiculer les informations nécessaires pour construire chacune des protéines rendant la vie possible. Chaque noyau de chaque cellule dans le corps humain contient environ deux mètres d’ADN entassés dans un point microscopique. Chacun d’entre eux contient les informations nécessaires pour vous construire et pour me construire.
L’ADN utilise des paires de bases, combinant quatre composés, qui agissent comme les 0 et les 1 dans un code informatique, donnant à notre machinerie cellulaire les informations détaillées nécessaires pour construire les protéines complexes nécessaires à la vie. Les protéines lisent notre code ADN et, en fonction de cette information, assemblent de nouvelles protéines à partir d’acides aminés séquencés avec précision. Ainsi, chaque cellule est une usine chimique complexe, créant une machinerie nanoscopique conçue dans un but précis, ainsi que certains des composés chimiques les plus complexes de tout l’Univers.
Mais quelle est l’origine de cette information, de ce code de programmation abstrait ? L’évolution ne peut pas s’attribuer ce mérite, puisqu’elle ne serait qu’un processus aveugle et sans objectif. Et d’où vient l’ADN ? Vous ne pouvez pas construire des protéines sans ADN, or l’ADN lui-même est formé par des protéines.
La découverte de l’ADN aurait dû être un grand succès pour l’évolution : le secret révélant finalement comment les caractéristiques de la vie sont transmises à nos descendants. Mais l’ADN s’est avéré être une catastrophe pour l’évolution. L’idée d’une molécule massive, riche en informations, contenant un code de programmation abstrait et permettant de maintenir et d’organiser l’information nécessaire pour construire la machinerie complexe de la vie est incompatible avec l’idée évolutionniste affirmant que la vie est devenue complexe au travers de processus naturels aveugles et dénués d’informations.
Les évolutionnistes ne peuvent pas nier que l’ADN représente un système de codification abstrait qui implique une intelligence supérieure.
Le prochain petit secret de l’évolution nous permet de renvoyer la balle à ceux qui se moquent de la foi « aveugle » placée dans un Créateur. Le secret est que les lacunes dans les fossiles découverts n’ont cessé de croître depuis l’époque de Darwin, au lieu de diminuer.
La théorie de l’évolution dépend de l’accumulation lente et progressive de légères variations, tandis que de grands « bonds » impliqueraient qu’il y ait un concepteur ou un planificateur. Selon l’évolution, le résultat devrait montrer une transition régulière dans les fossiles : des animaux se « transformant » graduellement, presque imperceptiblement, en de nouvelles espèces à travers des changements minimes et progressifs.
Mais ce n’est pas ce que montrent les fossiles retrouvés. Au lieu d’observer une transition progressive et régulière entre les créatures, nous voyons des lacunes, ou des chaînons manquants, entre les différentes espèces animales. Charles Darwin était bien conscient de ce problème et il en parla même dans son livre emblématique : « La géologie ne révèle assurément pas une série organique bien graduée, et c’est en cela, peut-être, que consiste l’objection la plus sérieuse qu’on puisse faire à ma théorie. Je crois que l’explication se trouve dans l’extrême insuffisance des documents géologiques. »6 Autrement dit, Darwin espérait que d’autres fossiles soient découverts afin de combler ces lacunes, alors que les paléontologues continuaient leur travail.
Ils ont effectivement découvert un grand nombre de fossiles et il y a une pléthore de documents géologiques. Mais Darwin serait bien déçu. Les lacunes ont persisté, comme Michael Denton l’a fait remarquer dans son ouvrage précurseur Évolution : Une théorie en crise :
« Comme nous le rappelle Steven Stanley dans son récent livre Macro-évolution, l’image globale de la vie sur Terre est à tel point discontinue, les fossés entre les types tellement évidents, que si nos connaissances en biologie s’arrêtaient aux espèces actuellement existantes, “nous devrions nous demander si la doctrine de l’évolution n’est pas autre chose qu’une hypothèse excessive”. Sans formes transitoires pour combler les énormes fossés qui séparent les espèces et les groupes d’organismes existants, on ne pourrait pas vraiment envisager le concept d’évolution comme une hypothèse scientifique. »7
Bien entendu, des semblants de lignes « continues » de progression évolutive sont souvent présentées pour prétendre que les lacunes ne sont pas aussi problématiques qu’elles en ont l’air. Dans les manuels et les articles défendant les théories évolutionnistes, vous verrez des séquences théoriques pour l’évolution des baleines, des chevaux et même des humains. Non seulement ces séquences sont trompeuses et n’apportent pas de preuves, mais si l’évolution était réelle, de telles séquences seraient la norme, pas l’exception. C’était une épine dans le pied de Darwin et, 160 ans plus tard, c’est toujours un problème épineux de nos jours.
Ironiquement, les évolutionnistes accusent souvent les croyants d’avoir foi en un « Dieu des lacunes » qui effectuerait par magie tout ce qu’ils n’arrivent pas à expliquer. Cependant, les lacunes inexplicables dans les fossiles renvoient la balle aux évolutionnistes et exposent le fait qu’ils doivent exercer une foi aveugle et croire à leur propre « dieu des lacunes », ou plus précisément à leur « Darwin des lacunes ».
Pour découvrir le dernier secret bien gardé de l’évolution présenté dans cet article, vous n’avez pas besoin d’être un spécialiste en biochimie cellulaire, un généticien ou un paléontologue en quête de fossiles. Tout ce dont vous avez besoin est de regarder vos yeux dans un miroir. Ils sont un défi remarquable à l’évolution, car celle-ci n’offre aucune explication crédible montrant comment de nouveaux organes peuvent se former.
Des organes comme les yeux représentent non seulement des tissus spécialisés, mais aussi des systèmes interconnectés – souvent une imbrication de systèmes – finement ajustés et parfaitement structurés pour travailler ensemble. S’il manque un seul élément, l’ensemble de la structure peut tomber en panne. Et l’amélioration de l’organe impliquerait que chaque pièce ou chaque élément évolue conjointement avec toutes les autres pièces. Cela requiert un niveau de coordination que l’évolution est totalement incapable d’atteindre.
L’année dernière, le journal britannique The Guardian résuma ce problème dans un article. Celui-ci commençait avec l’explication traditionnelle de l’évolution de l’œil. Il s’agit de la théorie donnée depuis plusieurs décennies par des milliers d’enseignants à d’innombrables étudiants. Ils expliquent que, pour une raison ou une autre, les animaux qui ont des cellules sensibles à la lumière ont connu une série de légères mutations leur conférant des avantages croissants de survie. Peut-être qu’une légère excavation de la chair autour des cellules a aidé à focaliser la lumière et, au fil du temps, une protection transparente a fini par sceller cet espace afin de devenir lentement une lentille. Puis, les muscles ont réussi à mieux configurer cette lentille et à lui permettre d’en régler la focale. L’article continue :
« C’est l’histoire basique de l’évolution, comme le rapportent d’innombrables manuels et best-sellers de vulgarisation scientifique. Le problème, selon un nombre croissant de scientifiques, est que c’est ridiculement grossier et trompeur.
D’une part, [cette hypothèse] prend l’histoire en cours de route, tenant pour acquis l’existence des cellules photosensibles, des lentilles et des iris, sans expliquer d’où ils viennent en premier lieu. Cela n’explique pas non plus comment des composants aussi délicats, et facilement perturbables, se sont harmonisés pour former un organe distinct. Et cette théorie traditionnelle ne se heurte pas qu’aux yeux. Comme l’explique Armin Moczek, biologiste à l’université de l’Indiana : “Le premier œil, la première aile, le premier placenta. La façon dont ils apparaissent. Expliquer cela est la motivation fondamentale de la biologie évolutionniste. Cependant, nous n’avons toujours pas une réponse satisfaisante. L’idée classique d’un changement graduel, ou d’un accident heureux se produisant à un moment donné, est tombée à plat.” »8
En bref, l’évolution promet de pouvoir expliquer comment notre corps et nos organes, précisément organisés et remarquablement fonctionnels, sont supposés s’être formés graduellement pendant des millénaires, mais en réalité, elle n’en a aucune idée. Le fait que l’évolution n’offre toujours pas une explication valable montrant comment de nouveaux organes peuvent se former est un petit secret bien gardé qui détruit une théorie développée depuis plus de 160 ans et destinée à répondre précisément à cette question.
Je sais que Le magicien d’Oz est un classique, mais je ne suis pas particulièrement amateur de cette histoire. Lorsque je l’ai vu pour la première fois, je n’étais qu’un petit enfant et, franchement, j’avais trouvé les singes ailés plutôt effrayants ! Mais en grandissant, une scène que j’aime beaucoup resta dans ma mémoire.
Elle se situe vers la fin du film, lorsque Dorothée et son groupe confrontent le terrifiant magicien d’Oz car il n’a pas tenu ses promesses. Des flammes jaillissent, le tonnerre gronde et le magicien leur parle sous la forme d’une énorme et monstrueuse tête verte qui les surplombe, en leur criant : « N’irritez pas le grand et redoutable Oz ! » Dans le même temps, Toto, le chien de Dorothée, s’écarte vers la gauche et tire un rideau vert afin de révéler un vieil homme aux cheveux blancs utilisant une machine pour créer l’illusion qu’ils étaient tous en train de regarder et parlant dans un microphone pour amplifier sa voix et la rendre terrifiante.
Mon moment favori est lorsque le vieil homme regarde dans leur direction, se rend compte qu’ils peuvent le voir, mais se tourne à nouveau vers le microphone et demande : « Ne faites pas attention à cet homme derrière le rideau ! »
Les forces déployées pour convaincre les gens de ne pas remettre en question la théorie de l’évolution sont très similaires. Il y a du tonnerre et des flammes, des proclamations impressionnantes à propos des « preuves », et beaucoup de théâtre destiné à vous faire penser qu’il n’y pas l’ombre d’un doute, sans oublier la pression exercée sur ceux qui oseraient remettre tout cela en question. Mais comme le magicien d’Oz, l’évolution n’a pas tenu ses promesses. Cette théorie promet une explication de vos origines, une explication qui n’a besoin ni de Dieu ni d’une intelligence quelconque, juste d’un microbe initial, d’un processus naturel et aveugle, et de quelques milliards d’années. Mais ce ne sont que des paroles en l’air.
Nous devons avoir la volonté d’ouvrir le rideau, de ne pas être impressionnés par tout ce théâtre, de remettre en question ce qui nous est présenté et d’être suffisamment forts pour décrier l’évolution car elle ne tient pas ses promesses. Pour faire référence à une autre fiction, ce fut peut-être difficile le jour où vous avez appris que le Père Noël n’existait pas, mais cette prise de conscience vous a fait avancer dans le monde réel et vous a éloigné d’un monde imaginaire. Reconnaître les petits secrets bien gardés de l’évolution peut également vous aider à vous éloigner d’un monde imaginaire.
Cependant, les questions que les évolutionnistes se posent demeurent : D’où venons-nous ? Comment la vie est-elle apparue ? L’existence a-t-elle un but ? Dans l’affirmative, quel est-il ?
En vous débarrassant de la fumée, des flammes et du tonnerre du théâtre évolutionniste, vous pourrez voir les véritables réponses à ces questions. Ce faisant, si vous cherchez vraiment des réponses avec un esprit et un cœur ouverts, grâce à l’aide de Dieu, vous trouverez la voie vers le seul point de départ possible, qui est le tout premier verset de la Bible : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Genèse 1 :1).
Ici, au Monde de Demain, nous espérons tous que vous trouverez le courage de regarder plus souvent derrière le rideau.
1 Heralds of Science, 1955, page 62, cité dans Les collections Aristophil, catalogue Drouot, Aguttes, page 72
2 Évolution : les preuves, Jerry Coyne, édition Markus Haller, pages 14-15, traduction Florian Cova
3 L’horloger aveugle, Richard Dawkins, éditions Robert Laffont, page 21, traduction Bernard Sigaud
4 Problems of Life and Mind, George Henry Lewes, page 38
5 Journal of Molecular Biology, volume 341, n°5, août 2004, pages 1295-1315
6 L’origine des espèces, Charles Darwin, éditions Flammarion, page 344, traduction Edmond Barbie
7 Évolution : Une théorie en crise, Michael Denton, éditions Flammarion, pages 163-164, traduction Nicolas Balbo
8 “Do we need a new theory of evolution ?”, The Guardian, 28 juin 2022