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Le monde connaît actuellement la plus grande récession financière depuis la Grande Dépression (1929-1939). Des millions de gens aux États-Unis, au Canada et en Grande-Bretagne sont au chômage. Et il leur est très difficile de retrouver un emploi. Les perspectives financières sont tristes. Pourquoi ?
Où allons-nous ? Quelle est la seule solution possible pour nos peuples – et pour vous-même, dans les années à venir ? Si nous nous contentons de regarder « autour » de nous – les circonstances et les indices financiers – nous passerons à côté de l’essentiel. Sachez que ces tests et ces épreuves font partie d’un grand ensemble – d’un but que notre Créateur est en train d’accomplir. Comme l’a dit Sir Winston Churchill, lors d’une session au Congrès américain le 26 décembre 1941 : « Il faut être aveugle pour ne pas voir qu’un grand plan, dont nous avons l’honneur d’être des serviteurs fidèles, est en train de se réaliser ici-bas » (c’est nous qui traduisons). Pourtant, bien qu’il fût conscient qu’une Puissance suprême était en charge des événements, Churchill n’avait pas été appelé à comprendre ce plan auquel il faisait allusion.
Mais nous espérons que vous le comprendrez !
Sivous avez prouvé l’existence d’un Dieu réel – d’un Dieu suprême qui possède toute puissance et toute intelligence – vous êtes sur la voie de la compréhension. Et si vous avez prouvé que la Bible est véritablement inspirée par Dieu, alors lisez la suite de cet article ! En effet, le Dieu de la Bible prédit des malédictions physiques et financières si Son peuple se détourne de Lui. Nous l’avons déjà expliqué à maintes reprises dans nos articles. Les peuples anglo-saxons des États-Unis et des nations d’origine britannique font partie des « dix tribus perdues » d’Israël. La parole inspirée de Dieu a prophétisé que ces nations subiraient des châtiments colossaux, parce qu’elles se détourneront de Lui « dans la suite des temps ». Et Dieu leur enlèverait les grandes richesses qu’Il leur avait données. Après avoir été individuellement bénis, ces peuples seront abaissés et humiliés comme ils ne l’ont jamais été.
Dans un avertissement donné à nos ancêtres – qui nous concerne aussi aujourd’hui, selon le principe de la dualité des prophéties – Dieu déclara : « Mais si tu n’obéis point à la voix de l’Éternel, ton Dieu, si tu n’observes pas et ne mets pas en pratique tous ses commandements et toutes ses lois que je te prescris aujourd’hui, voici toutes les malédictions qui viendront sur toi et qui seront ton partage : Tu seras maudit dans la ville, et tu seras maudit dans les champs. Ta corbeille et ta huche seront maudites. Le fruit de tes entrailles, le fruit de ton sol, les portées de ton gros et de ton menu bétail, toutes ces choses seront maudites » (Deutéronome 28 :15-18). Cette prophétie implique une catastrophe nationale et individuelle sur tous les peuples qui refusent d’obéir à leur Créateur !
Plus loin dans cette même prophétie, Dieu poursuit : « L’étranger qui sera au milieu de toi s’élèvera toujours plus au-dessus de toi, et toi, tu descendras toujours plus bas ; il te prêtera, et tu ne lui prêteras pas ; il sera la tête, et tu seras la queue » (versets 43-44).
Comme vous le savez si vous suivez l’actualité, il y a vingt ans encore, les États-Unis étaient la nation la plus riche au monde et le plus grand prêteur mondial. Aujourd’hui, ils sont devenus le plus grand emprunteur – avec une dette nationale de plusieurs trillions de dollars ! Des nations comme la Chine, le Japon et l’Allemagne détiennent maintenant la plus grande partie de la dette américaine. Et elles peuvent détruire économiquement l’Amérique en très peu de temps si elles le voulaient !
La parole de Dieu est puissante ! Nous devons l’écouter. Dieu nous dit : « Le riche domine sur les pauvres, et celui qui emprunte est l’esclave de celui qui prête » (Proverbe 22 :7). Nous deviendrons bientôt, de plusieurs manières, les « esclaves » des nations auxquelles nous devons des milliards de dollars !
Pourquoi ?
Dieu répond : « Toutes ces malédictions viendront sur toi, elles te poursuivront et seront ton partage jusqu’à ce que tu sois détruit, parce que tu n’auras pas obéi à la voix de l’Éternel, ton Dieu, parce que tu n’auras pas observé ses commandements et ses lois qu’il te prescrit » (Deutéronome 28 :45).
Alors que notre Créateur intervient de plus en plus puissamment dans les affaires de ce monde, et que les nations s’enfoncent inexorablement à cause de leur rébellion contre Dieu et Sa parole inspirée, sommes-nous vraiment disposés, individuellement ou en tant que nation, à « écouter » notre Créateur et à prêter attention à Ses instructions ?
Ecoutez donc !Dieu veut que nous soyons prospères et heureux dans la vie. Le Fils de Dieu déclara : « Je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance » (Jean 10 :10). Le mot grec traduit ici par « abondance » signifie une existence riche et complète. Les véritables chrétiens ne deviendront pas tous millionnaires pour autant ! Mais notre Père céleste a promis, à maintes reprises, de protéger et de « prendre soin » de tous ceux qui Le servent, qui Lui obéissent et qui gardent Ses lois.
Après une brève description des soucis naturels de la plupart des gens pour se nourrir et se vêtir, Jésus-Christ nous exhorte : « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus » (Matthieu 6 :33). L’apôtre Paul écrivit sous l’inspiration divine : « Ne vous livrez pas à l’amour de l’argent ; contentez-vous de ce que vous avez ; car Dieu lui-même a dit : Je ne te délaisserai point, et je ne t’abandonnerai point » (Hébreux 13 :5). Oui, Dieu n’oublie jamais ceux qui Le servent véritablement.
Quelle est la « volonté divine » sur notre responsabilité financière envers notre Créateur qui nous donne le souffle et la vie ? Que révèle Dieu dans Sa parole inspirée ? Après avoir décrit la sortie d’Égypte des enfants d’Israël, les épreuves, les tests et les châtiments dont Dieu les frappa, l’apôtre Paul ajoute : « Ces choses leur sont arrivées pour servir d’exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui sommes parvenus à la fin des siècles » (1 Corinthiens 10 :11).
L’un des premiers exemples de l’Ancien Testament est celui d’Abraham, appelé « le père de tous [ceux] qui croient » (Romains 4 :11). Il est aussi appelé, à trois reprises, « l’ami de Dieu » (Jacques 2 :23), celui qui aimait Dieu (2 Chroniques 20 :7) et que Dieu aimait (Ésaïe 41 :8).
En acceptant de sacrifier son fils unique, Abraham fut en quelque sorte une préfiguration de Dieu Lui-même, comme aucun autre homme dans la Bible ne l’a jamais été (Genèse 22).
Nous devrions être disposés à suivre l’exemple d’Abraham !
Bien qu’Abraham fût incontestablement un grand homme, un Personnage encore plus grand apparaît dans Genèse 14 : 18-20 – « Melchisédek », Roi de Salem. Hébreux 7 :1-3 décrit cette grande Personnalité : « En effet, ce Melchisédek était roi de Salem, sacrificateur du Dieu Très-Haut ; il alla au-devant d’Abraham lorsqu’il revenait de la défaite des rois, il le bénit, et Abraham lui donna la dîme de tout ; il est d’abord roi de justice, d’après la signification de son nom, ensuite roi de Salem, c’est-à-dire roi de paix ; il est sans père, sans mère, sans généalogie, il n’a ni commencement de jours ni fin de vie, mais il est rendu semblable au Fils de Dieu ; ce Melchisédek demeure sacrificateur à perpétuité ».
Si vous lisez attentivement tout le chapitre, Melchisédek ne pouvait pas être un homme, mais Celui qui devint Jésus-Christ dans le Nouveau Testament ! Dieu ajoute au verset 9 : « De plus, Lévi, qui perçoit la dîme, l’a payée, pour ainsi dire, par Abraham ».
Que celui qui craint Dieu suive ce puissant exemple d’Abraham, le « père des croyants » qui paya la dîme à Melchisédek – si toutefois il désire être fidèle à son Créateur ! Et comme nous le voyons dans Hébreux 7 :8, il ne s’agit pas simplement de « donner » une dîme à Dieu – car Lévi « paya » la dîme par Abraham. Cet exemple nous apprend qu’Abraham reconnaissait que Dieu était le « Propriétaire des cieux et de la terre ». Il est notre Créateur et notre Soutien. C’est Lui qui nous donne l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons et la nourriture que nous mangeons. La plupart des êtres humains ne pensent tout simplement pas à ces choses ! Mais Dieu – par Sa parole – nous demande de Lui verser une dîme – un « dixième » – de notre revenu, car Il est notre Maître et notre Dieu.
Ceux qui prétendent, à tort, que la dîme appartient à la « loi de Moïse », ne peuvent même pas réfuter cet exemple magnifique d’Abraham ! Car Moïse n’était pas encore né quand Abraham versa la dîme. Plus loin, nous lisons que le patriarche Jacob s’engagea à donner une « dîme » ou un « dixième » à Dieu (Genèse 28 :22).
Dans Genèse 26 :3-5, Dieu décrit à Isaac comment Il lui accordera une prospérité nationale impressionnante et des millions de descendants, « parce qu’Abraham a obéi à ma voix, et qu’il a observé mes ordres, mes commandements, mes statuts et mes lois ». Et la dîme est l’un de ces statuts (Lévitique 26 :46 ; 27 :30). Abraham a donc obéi aux commandements et aux statuts, que Dieu lui avait révélés bien avant que Moïse ne les entende ! Et Abraham devint ainsi « l’ami de Dieu » !
À la fin de l’Ancien Testament, dans le livre de Malachie – qui est une sorte de « livre passerelle » vers le Nouveau Testament – Dieu dit à nos ancêtres : « Car je suis l’Éternel, je ne change pas » (Malachie 3 :6). Il a établi certains commandements et statuts fondamentaux qui sont toujours en vigueur pour nous aujourd’hui. La dîme en fait partie. Malachie poursuit : « Un homme trompe-t-il Dieu ? Car vous me trompez, et vous dites : En quoit’avons-nous trompé ? Dans les dîmes et les offrandes. Vous êtes frappés par la malédiction, et vous me trompez, la nation tout entière ! Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison ; mettez-moi de la sorte à l’épreuve, dit l’Éternel des armées. Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance » (versets 8-10).
Les êtres humains, et beaucoup de ministres même, trouvent toutes sortes d’excuses pour ne pas payer la dîme, parce que la nature humaine est égoïste et Dieu n’est pas « réel » pour la plupart des gens. Pourquoi ? La Bible répond : « Car l’affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu’elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu’elle ne le peut même pas » (Romains 8 :7). Généralement, les gens charnels n’acceptent pas qu’un Dieu puissant leur dise, par Sa « loi », ce qu’ils doivent faire ! L’un des arguments typiques est que la dîme est une loi de l’Ancien Testament, qui n’est plus requise dans le Nouveau Testament. Pourtant Jésus Lui-même a bien expliqué : « Celui donc qui supprimera l’un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux ; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux » (Matthieu 5 :19). Nous voyons bien que Jésus révèle que Ses véritables disciples doivent aussi obéir aux « plus petits » commandements de Dieu ; cela devrait être évident pour tous ceux qui ont des yeux pour voir !
Jésus a-t-Il affirmé clairement que la dîme était toujours en vigueur ?
Oui ! Il l’a fait. « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin, et que vous laissez ce qui est plus important dans la loi, la justice, la miséricorde et la fidélité : c’est là ce qu’il fallait pratiquer, sans négliger les autres choses » (Matthieu 23 :23). Dans ce passage, Jésus montre que ceux qui pratiquent l’amour, la justice, la miséricorde et la fidélité doivent aussi respecter la dîme ! Tout grammairien de bonne foi vous dira que, dans cette phrase, le Christ ne nous donne pas la permission de ne plus payer la dîme ! Nous ne devons pas supprimer la dîme !
Il n’y a rien de plus clair !
Tout au long de la Bible, Dieu déclare : « Tes greniers seront remplis d’abondance, et tes cuves regorgeront de moût » (Proverbes 3 :9-10), si nous L’honorons avec nos biens. Méditons cet enseignement inspiré de l’apôtre Paul : « Sachez-le, celui qui sème peu moissonnera peu, et celui qui sème abondamment moissonnera abondamment. Que chacun donne comme il l’a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte ; car Dieu aime celui qui donne avec joie. Et Dieu peut vous combler de toutes ses grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne œuvre » (2 Corinthiens 9 :6-8).
Encore une fois, comme dans tant d’autres passages bibliques, notre Père céleste nous révèle qu’Il répandra sur nous les bénédictions des cieux, si nous sommes généreux envers Lui et Son œuvre. Car le Créateur peut nous « combler de toutes ses grâces », afin que nous ayons toujours suffisamment à manger et de quoi prendre soin de notre famille – si nous Le servons et si nous Lui obéissons, car Il nous donne la vie et l’air que nous respirons.
Même au milieu des plus terribles épreuves et tests qui frapperont nos nations – dans tous les domaines (matériel, financier, etc.) – ceux qui « marchent avec Dieu » et qui obéissent à leur Créateur surmonteront les épreuves physiques et personnelles, et ils bénéficieront de la protection divine dans les temps dangereux à venir. Tout dépendra à quel point Dieu sera « réel » dans votre vie ! Êtes-vous prêt à accepter le plan magistral de Dieu qui intervient dans les affaires humaines, qui contrôle l’ascension et la chute des nations, et qui répand Ses bénédictions surnaturelles sur tous ceux qui Le servent et Lui obéissent ? Payer la dîme n’est pas « trop difficile » ! Les lois divines ne peuvent produire que des bonnes choses au final – car elles sont soutenues par le Créateur vivant !
Voilàla clé ! Vers la fin du Nouveau Testament, Jean, l’apôtre bien-aimé, écrit : « Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles » (1 Jean 5 :3). Oui – s’ils sont correctement compris et mis en pratique – les commandements et les lois de Dieu ne sont pas « pénibles » ! Car ils nous rapprochent et nous rappellent constamment la réalité de notre Créateur. Nous sommes plus proches de Lui lorsque nous « marchons » avec Lui, en gardant Ses lois et Ses commandements comme une façon de vivre. Alors, par la foi, nous « voyons » les bénédictions qu’Il répand sur nous de diverses manières. Il ne nous rendra pas tous millionnaires, mais Il veillera à ce que nous ayons toujours « suffisamment ». Il prendra soin de nous, et Il veillera sur nous pendant les temps difficiles à venir.
Si nous laissons Jésus-Christ vivre en nous par le Saint-Esprit (Galates 2 :20), nous serons en mesure d’obéir à toutes Ses lois. C’est par le Christ qui vit en nous, que nous développerons le véritable caractère de Dieu, et le désir de donner, d’aider et de servir. Nous serons disposés à faire notre part avec zèle, dans la prédication du message du Christ à ce monde confus des temps de la fin. Jésus a dit : « Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son œuvre » (Jean 4 :34).
C’est grâce au Christ en nous, que nous nous impliquerons totalement pour supporter généreusement l’œuvre, que le Christ accomplit aujourd’hui à travers Ses fidèles serviteurs, qui prêchent toute Sa vérité. Par la foi, nous attendons ardemment le retour du Christ, et ces paroles merveilleuses qu’Il prononcera alors : « C’est bien, bon et fidèle serviteur ; tu as été fidèle en peu de chose, je te confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton maître » (Matthieu 25 :21).
Si nous laissons le Christ vivre Sa vie d’obéissance en nous, et si nous supportons fidèlement la véritable œuvre de Dieu en versant nos dîmes et nos offrandes – comme Il nous l’ordonne – nous verrons les bénédictions divines dans tous les aspects de notre vie. C’est aussi simple que cela. Ne croyez pas aux arguments ridicules que vous « ne pouvez pas vous permettre » de payer la dîme ! Au contraire, la vérité biblique c’est que vous ne pouvez pas vous permettre de ne pas payer la dîme ! Ce simple geste d’adoration envers votre Créateur vous rendra plus proche de Lui, de Sa façon de vivre, et des innombrables bénédictions qu’Il répandra alors sur vous, maintenant et à jamais.