Depuis les années 1960, le monde anglophone surnomme l’Australie le « pays chanceux ». Beaucoup de gens pense que ce surnom provient de ses grandes ressources naturelles et de la fertilité de sa terre agricole. Cependant, la « chance » n’a rien à voir avec la prospérité de l’Australie. Mais très peu de gens connaissent, ou considèrent, l’origine de cette prospérité.

Au départ, c’était une simple visite chez un libraire avec un ami qui souhaitait acheter un livre. Qui pouvait deviner que ce serait une expérience révélatrice ? Si vous n’allez pas cinéma, regardez peu la télévision ou ne prêtez pas attention aux livres populaires, vous n’avez peut-être pas remarqué l’obsession actuelle autour des vampires, des zombies et des autres créatures macabres. En parcourant les rayons, il y avait un impressionnant ensemble de livres regroupés sous le label « histoires paranormales ». D’autres rayons mettaient en avant des livres et des jeux autour des « morts-vivants » ou des personnages démoniaques.

Il y a près de 2000 ans, Jésus avait annoncé à l’avance à Ses disciples certains événements qui se produiraient avant Son retour sur terre, à la fin de cette ère (Matthieu 24 :3-13).

D’une certaine manière, une étape vient d’être franchie. Il reste moins d’un mois avant la soi-disant « fin du monde maya », le 21 décembre de cette année (ou 23 décembre, selon votre interlocuteur). L’humanité doit-elle craindre cette date qui fait couler beaucoup d’encre ? Comment les chrétiens devraient-ils réagir ?

Un magazine allemand a récemment fait sa couverture sur le triste état de la situation aux États-Unis (Der Spiegel, 5 novembre 2012).