| Le Monde de Demain

D’autres bénéfices de l’allaitement maternel



L’allaitement maternel est reconnu depuis longtemps comme l’option la plus saine pour nourrir les nouveau-nés et les nourrissons. Des études récentes montrant les bénéfices de l’allaitement maternel continuent à valider cette méthode divinement conçue pour nourrir les bébés. Dans le passé, nombre des bénéfices de l’allaitement maternel étaient attribués au fait que la plupart des bébés allaités venaient de familles ayant des revenus et des niveaux d’éducation plus élevés.

La course à l’arsenal nucléaire reprend



Il n’y a pas si longtemps, les nations du monde entier étaient favorables au désarmement nucléaire. Cependant, l’atmosphère a radicalement changé. Dans les années à venir, l’arsenal nucléaire mondial devrait augmenter pour la première fois depuis la guerre froide (dw.com/fr, 13 juin 2022). Cette augmentation concerne les pays développés comme le Royaume-Uni et la France, et pas seulement les pays voyous comme la Corée du Nord et l’Iran.

Quel message Jésus prêcha-t-Il?

Tableau blanc : Quel message Jésus prêcha-t-Il?

Avant d’être crucifié et ressuscité, Jésus prêcha le message de Dieu, la bonne nouvelle. Pourtant, ce message, l’Évangile, est très différent de celui que beaucoup ont entendu ! Quelle était la bonne nouvelle proclamée par Jésus ? Prêchait-Il uniquement sur Son sacrifice qu’Il ferait pour le monde ? Demandait-Il aux gens de l’accepter dans leur cœur ?

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de ce tableau blanc du Monde de Demain.]

Avant d’être crucifié et ressuscité, Jésus prêcha le message de Dieu, la bonne nouvelle. Pourtant, ce message, l’Évangile, est très différent de celui que beaucoup ont entendu !

Quelle était la bonne nouvelle proclamée par Jésus ? Prêchait-Il uniquement sur Son sacrifice qu’Il ferait pour le monde ? Demandait-Il aux gens de l’accepter dans leur cœur ? Disait-Il simplement aux gens de croire en Lui ? Ou était-ce bien plus que cela ? De quoi s’agissait au juste, le message prêché par Jésus ?

Cela fait-il une différence si nous adhérons ou non au même Évangile prêché par Jésus ?

Tout d’abord, répondons à une question importante : Cela fait-il une différence pour Dieu que nous adhérions strictement ou non au même Évangile prêché par Jésus et Ses apôtres ? Eh bien, la Bible affirme que oui ! Après la mort et la résurrection de Jésus, Il apparut à Ses disciples, Il leur dit :

« Allez par tout le monde entier et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné » (Marc 16 :15-16).

Notre salut dépend de notre volonté à accepter et à croire au véritable Évangile – le même Évangile que Jésus et Ses disciples prêchèrent ! C’est pourquoi l’apôtre Paul mit fortement en garde les frères corinthiens de ne pas accepter un « évangile différent » (2 Corinthiens 11 :4, Darby). Dans l’épître aux Galates, il prononça une double malédiction, en disant :

« Mais quand nous-mêmes, ou un ange du ciel vous annoncerait un évangile différent de celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit anathème ! Comme nous l'avons déjà dit, je le dis encore maintenant : Si quelqu’un vous annonce un évangile différent de celui que vous avez reçu, qu'il soit anathème ! » (Galates 1 :8-9 Ostervald).

Depuis le premier siècle jusqu’à aujourd’hui, des ministres spirituellement aveugles ont prêché, selon les mots de Paul, « un autre évangile. Non pas qu’il y ait un autre » (Galates 1 :6-7). Ils répandirent un évangile différent en ignorant le message même que Jésus prêcha clairement. Ainsi, la Bible dit aux disciples d’être vigilants, et de suivre le véritable Évangile prêché par Jésus et Ses apôtres.

L’aspect le plus connu du message de l’Évangile

Or, quel était l’Évangile que Jésus vint prêcher ? L’aspect le plus connu de Son message est probablement résumé dans Jean 3 :16 : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. »

Jésus-Christ est venu ici-bas pour payer l’amende de nos péchés pour nous et nous racheter de la mort éternelle, et nous devrions en être reconnaissants de tout notre être. Nous ne méritons pas le sacrifice de Christ pour nous et nous ne pourrions jamais le rembourser. Cela nous a été accordé par Sa profonde grâce.

Le reste du message – souvent ignoré

Mais cet aspect de l’Évangile n’est pas la totalité du vaste message qu’Il prêcha. Marc 1 :14 explique clairement : « Après que Jean eut été livré, Jésus alla dans la Galilée, prêchant l’Évangile de Dieu. Il disait : Le temps est accompli, et le royaume de Dieu est proche. Repentez-vous, et croyez à la bonne nouvelle. »

Dans Matthieu 4 :23, nous lisons : « Jésus parcourait toute la Galilée, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume ». Plus tard, dans Matthieu 9 :35, nous voyons encore : « Jésus parcourait toutes les villes et les villages, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume ».

Verset après verset, la Bible montre que Jésus prêcha l’Évangile de l’avènement du Royaume de Dieu. Son message était la bonne nouvelle concernant l’établissement d’un gouvernement tout nouveau. Il s’agit du gouvernement de Dieu sur Terre. Jésus montra que c’était un élément majeur de Son ministère : 

« Une foule de gens se mirent à sa recherche, et arrivèrent jusqu’à lui ; ils voulaient le retenir, afin qu’il ne les quitte point. Mais il leur dit : Il faut aussi que j’annonce aux autres villes la bonne nouvelle du royaume de Dieu ; car c’est pour cela que j'ai été envoyé » (Luc 4 :42-43).

De plus, « Jésus allait de ville en ville et de village en village, prêchant et annonçant la bonne nouvelle du royaume de Dieu » (Luc 8 :1). La Bible montre clairement que le message et que le ministère de Jésus étaient axés sur l’instauration du Royaume de Dieu ici-bas. C’est pourquoi Il enseigna constamment sur le Royaume.

Il dit à Ses disciples « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu » (Matthieu 6 :33). Il enseigna de nombreuses paraboles où Il compara le Royaume à une graine de moutarde, à du levain, à un trésor caché dans un champ, à une perle de grand prix et à un champ de blé. Il parla à de nombreuses reprises de ceux qui entreront dans ce Royaume (Marc 10 :14-15 ; 10 :23-25 ; Matthieu 21 :31 ; Luc 13 :28). Il donna même des signes montrant quand le Royaume serait sur le point d’arriver (Luc 21 :31 ; Matthieu 24 :33). C’est avec cet Évangile du Royaume que Jésus envoya Ses disciples prêcher :

« Jésus, ayant assemblé les douze, leur donna force et pouvoir sur tous les démons, avec la puissance de guérir les maladies. Il les envoya prêcher le royaume de Dieu, et guérir les malades » (Luc 9 :1-2).

Même après Sa mort et Sa résurrection, Jésus passa du temps avec Ses disciples pour leur parler du Royaume. « Il leur apparut vivant, et leur en donna plusieurs preuves, se montrant à eux pendant quarante jours, et parlant des choses qui concernent le royaume de Dieu » (Actes 1 :3).

Ce même Évangile, relatif à l’avènement du Royaume de Dieu, fut prêché par Philippe (Actes 8 :12), Paul (Actes 19 :8 ; 20 :25 ; 28 :31), Pierre (Galates 2 :7-8), Jacques (Jacques 2 :5), Jean (Apocalypse 1 :9) et par l’Église du Nouveau Testament. Voilà cet Évangile que les apôtres prêchèrent dans le monde entier (Colossiens 1 :6). Il y aura un royaume, un gouvernement, très réel de Dieu qui s’établira sur Terre. Jésus-Christ, est le Roi de ce Royaume, et Il l’établira à Son retour. Le livre de l’Apocalypse explique :

« Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient : Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux siècles des siècles » (Apocalypse 11 :15).

C’est pourquoi Jésus promet « À celui qui vaincra, et qui gardera jusqu’à la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur les nations » (Apocalypse 2 :26).

L’Ancien Testament parle aussi du Royaume de Dieu à venir

Non seulement le Royaume de Dieu à venir est mis en évidence tout au long du Nouveau Testament, mais de nombreuses prophéties de l’Ancien Testament s’y réfèrent également. En parlant de Jésus-Christ, en tant que Roi des rois, le prophète Ésaïe dit : « Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera sur son épaule » (Ésaïe 9 :5). Zacharie 14 :4 décrit Jésus se tenant debout sur le mont des Oliviers, disant au verset 9 : « L’Éternel sera roi de toute la terre ».

Ainsi, la Bible montre clairement qu’il y a environ deux mille ans, Dieu le Père envoya la Parole faite chair, Son Fils, Jésus-Christ, ici-bas avec un merveilleux message. Ce message est une bonne nouvelle pour tous. De quoi s’agit-il ? C’est la bonne nouvelle concernant le gouvernement parfait à venir de Dieu – l’Évangile du Royaume de Dieu !

Le désir de tous les peuples – un gouvernement parfait qui apporte le bonheur durable pour tous !

Génération après génération, les peuples ont espéré que leurs dirigeants, leurs réformes, et leurs gouvernements apportent une paix durable, l’équité et la sécurité pour toutes les nations. Tous ont échoué, mais le Royaume de Dieu viendra et apportera enfin un tout nouveau gouvernement d’amour, de paix et de prospérité pour toute l’humanité.

La vérité inspirante du message de Jésus concerne littéralement un Royaume qui changera le monde et qui existera ici même sur Terre. Ce Royaume littéral, qui arrivera très bientôt, aura un Roi, un territoire, des citoyens, et un code de lois. Les disciples du Christ ont l’incroyable opportunité de rejoindre le Christ dans ce Royaume lorsqu’Il reviendra pour l’établir.  Cela n’est possible que grâce au Roi de ce Royaume qui S’est donné Lui-même pour que nous puissions y être avec Lui. Telle est la bonne nouvelle qui donne à chacun un réel espoir d’un avenir meilleur !

Pour avoir une explication détaillée de la bonne nouvelle prêchée par Jésus-Christ, commandez notre brochure Croyez-vous au véritable Évangile ?

Les trois éléments cloués sur la croix

Tableau blanc : Les trois éléments cloués sur la croix

Le Bible mentionne trois éléments qui furent cloués à la croix lors de la crucifixion de Jésus. Deux d’entre eux sont évidents, mais le troisième pourrait vous surprendre.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de ce tableau blanc du Monde de Demain.]

La Bible mentionne trois éléments qui furent cloués à la croix lors de la crucifixion de Jésus. Deux d’entre eux sont évidents, mais le troisième pourrait vous surprendre. Ceux qui ont assisté à la crucifixion de Jésus de Nazareth en l’an 31 apr. J.-C. auraient pu lever les yeux et voir facilement deux des trois éléments cloués à la croix, ou au poteau.  Le troisième élément – qui était invisible à l’œil nu – est incroyablement important pour ceux qui vivaient à l’époque, mais aussi pour nous aujourd’hui. Alors, quels étaient ces trois éléments cloués à la croix ? Dans cette vidéo, nous allons répondre à cette question à partir des pages de la Bible.

1. Jésus, le Christ

Le premier élément qu’un témoin de la crucifixion aurait vu cloué sur la croix était : Jésus, le Christ. Jésus fut cloué par les mains et les pieds. Cette forme horrible d’exécution était une pratique courante dans l’Empire romain de l’époque. Lorsqu’Il fut suspendu à la croix, Il avait déjà été battu, flagellé, et était exsangue (Matthieu 26 :67 ; 27 :26-30 ; Marc 14 :65 ; 15 :15-20). Son passage à tabac fut prophétisé des siècles à l’avance par le prophète Ésaïe, qui dit :

« Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé ; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris » (Ésaïe 53 :4-5).

Alors qu’Il recevait des coups physiques, Il endura également des attaques psychologiques et des moqueries. Comme l’explique Matthieu : « Là-dessus, ils lui crachèrent au visage, et lui donnèrent des coups de poing et des soufflets en disant : Christ, prophétise ; dis-nous qui t’a frappé » (26 :67-68). Même après toutes ces souffrances, Jésus ne perdit jamais de vue la raison pour laquelle Il se soumit à la crucifixion. Les témoins présents ce jour-là auraient eu l’occasion d’entendre la réponse miséricordieuse de Jésus à cette torture injustifiée. Comme indiqué dans, Il dit : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font » (Luc 23 :34). Le premier élément cloué à la croix, ou au poteau, fut Jésus-Christ – le Fils de Dieu.

2. Une inscription

Le deuxième élément cloué à la croix qu’un témoin de la crucifixion aurait vu était une inscription au-dessus de la tête de Jésus. Placé juste au-dessus de Lui, il y avait une inscription décrivant l’accusation portée contre Lui. Chacun des quatre récits évangéliques fournit des détails qui permettent de comprendre pleinement ce qui était écrit.

Le rapport de Marc fournit la description la plus simple, en disant : « C’était la troisième heure, quand ils le crucifièrent. L’inscription indiquant le sujet de sa condamnation portait ces mots : Le roi des Juifs » (Marc 15 :25-26). L’Évangile de Matthieu explique également : « Pour indiquer le sujet de sa condamnation, on écrivit au-dessus de sa tête : Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs » (Matthieu 27 :37).

L’Évangile de Luc donne encore plus de détails, en disant : « Et il y avait cette inscription au-dessus de sa tête, en grec, en latin et en hébreu : Celui-ci est le roi des Juifs » (Luc 23 :38, Ostervald). L’Évangile de Jean ajoute :

« Pilate fit une inscription, qu’il plaça sur la croix, et qui était ainsi conçue : Jésus de Nazareth, roi des Juifs.  Beaucoup de Juifs lurent cette inscription, parce que le lieu où Jésus fut crucifié était près de la ville : elle était en hébreu, en grec et en latin. Les principaux sacrificateurs des Juifs dirent à Pilate : N’écris pas : Roi des Juifs. Mais écrit qu’il a dit : Je suis le roi des Juifs. Pilate répondit : Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit » (Jean 19 :19-22).

Mis bout à bout, les récits évangéliques montrent clairement que le signe au-dessus de Jésus disait à tous ceux qui le voyaient : « Celui-ci est Jésus de Nazareth, le roi des Juifs. » C’était le deuxième élément cloué sur la croix.

3. Les péchés de toute l’humanité

En revanche, le troisième élément cloué sur cette croix n’aurait PAS été visible pour les personnes présentes ce jour-là. Les péchés de toute l’humanité étaient placés sur l’Homme cloué sur cette croix. Le sacrifice du Christ fut préfiguré et symbolisé par l’agneau de la Pâque mentionné dans l’Ancien Testament (Exode 12).

La Bible explique que le Christ est l’Agneau de Dieu et notre Pâque (1 Corinthiens 5 :7 et Jean 1 :29). Il fut offert, par Dieu le Père, comme « victime propitiatoire » pour nos péchés (Romains 3 :25). La vie de Jésus avait plus de valeur que toute l’humanité réunie, car Il est le Créateur de toutes choses (Jean 1 :1-3). Et étant parfait, sans péché, Il était le seul qualifié pour payer l’amende pour tous les péchés.

Ainsi, c’est par Son sacrifice et Son sang versé que nous pouvons être pardonnés de nos péchés (Colossiens 1 :14). Il paya la peine de mort pour nous tous. Tout comme Dieu l’a prophétisé des siècles plus tôt par le prophète Ésaïe : « Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie ; et l’Éternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous » (Ésaïe 53 :6).

Les péchés de toute l’humanité furent placés sur Jésus, afin que nous devenions en Lui justice de Dieu (2 Corinthiens 5 :21). Et par Sa vie parfaite, Jésus nous laissa également un exemple de la manière dont Dieu s’attend à ce que nous nous efforcions de vivre. Si nous devons demeurer en Jésus, alors nous devons marcher comme Il marcha (1 Jean 2 :6). Et comme l’apôtre Pierre l’a déclaré :

« Et c’est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces, lui qui n’a point commis de péché, et dans la bouche duquel il ne s’est point trouvé de fraude ; lui qui, injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement ; lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris. Car vous étiez comme des brebis errantes. Mais maintenant vous êtes retournés vers le pasteur et le gardien de vos âmes » (1 Pierre 2 :21-25).

Ce troisième élément cloué sur la croix était extrêmement important à l’époque de Christ et l’est tout autant aujourd’hui. Ceux qui connaissent vraiment Jésus-Christ comme étant à la fois notre Pâque et le Roi des rois peuvent dire :

« À celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles ! Amen ! » (Apocalypse 1 :5-6).

Pour avoir une compréhension approfondie de ce qu’est l’amour de Dieu pour nous et comment nous pouvons Lui rendre cet amour, commandez notre brochure Jean 3 :16 – les vérités cachées du verset d’or. Pour mieux comprendre la chronologie entourant la crucifixion et la résurrection de Jésus, consultez notre vidéo « 3 jours et 3 nuits… La Pâque ou les Pâques ? ».

 

Jésus enseigna-t-Il Ses disciples à observer les Dix Commandements?

Tableau blanc : Jésus enseigna-t-Il Ses disciples à observer les Dix Commandements?

Avez-vous entendu parler des Dix Commandements – les dix grandes règles gravées par Dieu sur des tables de pierre que Moïse rapporta d’une montagne ? 

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de ce tableau blanc du Monde de Demain.]

Avez-vous entendu parler des Dix Commandements – les dix grandes règles gravées par Dieu sur des tables de pierre que Moïse rapporta d’une montagne ?  Ils étaient évidemment très importants. Mais ne concernaient-ils que l’Israël antique ? Les chrétiens d’aujourd’hui devraient-ils respecter les Dix Commandements ? Que dit Jésus ? Enseigna-t-Il Ses disciples à les respecter ?

Des exemples des enseignements de Jésus sur les Dix Commandements

Certains disent que les chrétiens aujourd’hui n’ont pas besoin de se soucier des Dix Commandements. Mais Jésus enseigna quelque chose de très différent.  Examinons des exemples des enseignements de Jésus concernant les Dix Commandements.

Le premier commandement dit : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » (Exode 20 :3). Lorsqu’on Lui demanda quel était le plus grand commandement de la loi, Jésus répondit : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée » (Matthieu 22 :37. Voir aussi : Marc 12 :28-30 et Luc 10 :25-28). Quand Satan tenta Jésus pour qu’Il l’adore, Jésus répondit : « Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul » (Matthieu 4 :8-10). Il est clair que Jésus veut que Ses disciples respectent le premier commandement et n’aient pas d’autres dieux devant le vrai Dieu.

Le deuxième commandement explique : « Tu ne te feras point d’image taillée » (Exode 20 :4-6). Jésus mit en garde Ses disciples contre l’idolâtrie, tant les idoles physiques que spirituelles, en disant : « Nul ne peut servir deux maîtres... vous ne pouvez servir Dieu et Mammon » (Matthieu 6 :24). Consacrer trop de temps, d’attention et d’énergie à l’acquisition de richesses matérielles revient à servir un faux dieu. Les richesses et les grandes possessions peuvent devenir des idoles dans le cœur d’une personne. De même, tout ce qui prend la place de Dieu, ou qui prend la priorité sur Dieu, devient une idole. C’est une chose contre laquelle Jésus mit en garde :

 « Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ; celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n’est pas digne de moi » (Matthieu 10 :37-38).

Dans le livre de l’Apocalypse, qui est la révélation de Jésus-Christ (Apocalypse 1 :1), les idolâtres sont inclus dans la liste de ceux qui ne recevront pas la vie éternelle :

« Les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les débauchés, les magiciens, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort » (Apocalypse 21 :8).

Le troisième commandement stipule : « Tu ne prendras point le nom de l’Éternel, ton Dieu, en vain » (Exode 20 :7). Jésus enseigna à Ses disciples à révérer Dieu et Son nom en disant :

« Je vous dis de ne jurer aucunement, ni par le ciel, parce que c’est le trône de Dieu ; ni par la terre, parce que c’est son marchepied ; ni par Jérusalem, parce que c’est la ville du grand roi » (Matthieu 5 :33-35).

Lorsqu’Il leur enseigna à prier, Il les instruisit à commencer leurs prières en sanctifiant le nom de Dieu : « Notre Père qui es aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié » (Matthieu 6 :9). Il leur dit de faire attention à leurs paroles dans la prière, en disant : « Mais quand vous priez, n’utilisez pas de vaines répétitions comme font les païens : car ils croient qu’ils seront entendus en parlant beaucoup » (Matthieu 6 :7, King James Française). Cela inclurait de ne pas utiliser le nom de Dieu sans réfléchir ou de manière répétitive ou vide.

Le quatrième commandement déclare : « Souviens-toi du jour de repos, pour le sanctifier » (Exode 20 :8). La Bible montre que Jésus avait l’habitude d’observer le sabbat (Luc 4 :16). Dans Marc 2 :28 et Luc 6 :5, il est écrit que le Fils de l’homme est le maître du sabbat. Jésus enseigna également à Ses disciples comment observer le sabbat plus fidèlement (ou de façon correcte). Par exemple, Il montra que « le sabbat a été fait pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat » (Marc 2 :27). Par conséquent, il est légitime de guérir et de faire du bien le jour du sabbat (voir Matthieu 12 :11-13, Luc 6 :9-11).

Il dit également à Ses disciples : « Priez pour que votre fuite n’arrive pas en hiver, ni un jour de sabbat », montrant que Ses disciples devront respecter le sabbat même au temps de la fin, juste avant Son retour (Matthieu 24 :20).

Concernant le cinquième jusqu’au neuvième commandement (Exode 20 :12-16), lorsque Jésus fut approché par un jeune homme qui Lui demanda comment obtenir la vie éternelle, voici ce qu’Il répondit : « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements » (Matthieu 19 :17). Le jeune homme Lui demanda : « Lesquels ? » Jésus répondit :

« Tu ne tueras point ; tu ne commettras point d’adultère ; tu ne déroberas point ; tu ne diras point de faux témoignage ; honore ton père et ta mère ; et : Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Matthieu 19 :18-19).

Dans ce seul passage, Jésus enseigna clairement l’obéissance du cinquième au neuvième commandement !

Pour le dixième commandement, qui dit : « Tu ne convoiteras point » (Exode 20 :17), Luc rapporte un incident au cours duquel Jésus instruit un homme de prendre garde à ne pas enfreindre le dixième commandement :

« Quelqu’un dit à Jésus, du milieu de la foule : Maître, dis à mon frère de partager avec moi notre héritage. Jésus lui répondit : Ô homme, qui m’a établi pour être votre juge, ou pour faire vos partages ? Puis il leur dit : Gardez-vous avec soin de toute avarice ; car la vie d’un homme ne dépend pas de ses biens, serait-il dans l’abondance » (Luc 12 :13-15).

Ces exemples, et d’autres énumérés ici, montrent clairement que Jésus enseigna l’obéissance aux Dix Commandements !

Jésus respecta parfaitement la loi

Jésus Lui-même respecta la loi lorsqu’Il fut ici-bas, enseignant et observant à la fois la lettre et l’esprit des Dix Commandements. Il respecta parfaitement la loi. Ce faisant, Il put payer l’amende de nos péchés (Jean 3 :16 ; Romains 5 :8 ; Éphésiens 1 :7 ; 1 Pierre 2 :24). Nous pouvons être rachetés de la peine de mort pour le péché grâce au sacrifice parfait de Jésus.

La grâce n’est pas une licence pour transgresser la loi

Le salut est un don gratuit de Dieu par la foi en Jésus-Christ. Nous ne pouvons pas gagner le salut par l’obéissance. Pourtant, dans tout pays civilisé, une personne graciée d’un crime devrait retourner dans la société en tant que citoyen respectueux des lois. De même, les chrétiens doivent toujours observer les Dix Commandements de Dieu. Comme le dit Jésus : « Si vous m’aimez, gardez mes commandements » (Jean 14 :15).

Comme l’expliqua l’apôtre Paul : « Annulons-nous donc la loi par la foi ? Loin de là ! Au contraire, nous confirmons la loi » (Romains 3 :31). Et comme le conclut également l’apôtre Jean : « Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles » (1 Jean 5 :3).

Pour en apprendre davantage sur la loi vivante et inexorable de Dieu, commandez votre exemplaire gratuit de notre brochure Les Dix Commandements.

 

Pages