| Le Monde de Demain

Baisse de la fréquentation des Églises et de la santé publique



Pendant des décennies, les Européens n’ont pas été ouvertement religieux, mais les États-Unis ont été différents – jusqu’à récemment. En 1975, la plupart des Américains (68%) considéraient la religion organisée avec confiance, mais ce chiffre est tombé à 36% (Christianity Today, 19 octobre 2021). Ce déclin de la confiance dans la religion organisée a également contribué à une baisse continue de la fréquentation des Églises.

La Barbade se détache de la couronne



« La Barbade est devenue mardi une république, nommant pour la première fois de son histoire son propre chef d’Etat en remplacement de la reine Elizabeth II et coupant ses derniers liens coloniaux avec la Grande-Bretagne près de 400 ans après que les navires britanniques ont débarqué sur l’île caribéenne » (Reuters, 30 novembre 2021). L’actuelle gouverneure générale vient de prêter serment en tant que nouvelle présidente de la Barbade.

Fixez-vous des limites?

Dieu est-Il réel pour vous ? Combien de vos croyances à Son sujet proviennent-elles réellement de la Bible qu’Il a inspirée ? Examinons de plus près qui est vraiment Dieu, ce qu’Il attend de chacun d’entre nous et à quel point nous sommes prêts à agir selon Ses instructions.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Pariez-vous pour ou contre l’existence de Dieu ? Pensez-y ! Vous ne vous considérez peut-être pas comme un joueur, mais la façon dont vous vivez votre vie est le plus grand pari que vous aurez jamais à faire. Soit Dieu existe, soit Il n’existe pas. Et s’Il existe, jusqu’où irez-vous pour vivre selon Sa volonté ? Allez-vous vous engager à fond avec Dieu ? Ou allez-vous fixer des limites en disant : « Jusqu’ici et pas plus loin » ?

Ce sont des questions auxquelles nous ferions bien de réfléchir, car nous parions, par la façon dont nous menons nos vies, sur les réponses à ces questions importantes.

Avez-vous une foi “à toute épreuve” ?

Bienvenue au Monde de Demain où nous aborderons les grandes questions de la vie, et je vous pose cette question aujourd’hui : « Jusqu’où irez-vous pour obéir à Dieu – jusqu’au bout, ou bien fixez-vous des limites ? » Pariez-vous pour ou contre l’existence de Dieu ? Vos actions en disent plus que ce que vous professez.

Aucun d’entre nous n’a vu Dieu en face à face, mais des milliards de personnes proclament croire en une certaine forme de Dieu. Mais à quel point est-Il réel pour vous ? Êtes-vous si sûr de Son existence que vous êtes prêt à tout mettre en jeu ? En d’autres termes, si vous êtes familier avec le poker, jouez-vous votre « va-tout » ? De peur que quelqu’un ne se méprenne, je ne fais pas la promotion de l’industrie des jeux de hasard, mais le fait est que vous effectuez par vos choix, par vos décisions, et par vos actions quotidiennes, un pari très réel sur l’existence, ou la non-existence de Dieu. Et lorsqu’il s’agit du Dieu de la Bible, vous devez faire « tapis ». C’est ce que dit Jésus : « Si quelqu’un vient à moi, et s’il ne hait pas [c.-à-d. aimer moins par comparaison] son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, et ses sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut être mon disciple » (Luc 14 :26, LSG).

Vous avez sans doute vu l’autocollant sur des pare-chocs utilisant divers symboles religieux pour épeler le mot « COEXISTER ». C’est une merveilleuse platitude, mais qu’est-ce que cela veut dire ? Prend-on Dieu au sérieux ou s’agit-il du « signalement moral » ? Cela ne veut-il pas dire : « Toutes les religions se valent, alors mettons-nous d’accord » ? Nous devrions nous entendre, c’est certain, mais est-il vrai que ce que nous croyons exactement, quand il s’agit de Dieu, n’a-t-Il pas d’importance ? Pas selon le Dieu de la Bible ! Le tout premier des Dix Commandements déclare catégoriquement : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » (Exode 20 :3) et Jésus proclama : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14 :6).

Lorsque les apôtres Pierre et Jean ont été traînés devant les chefs religieux de leur époque pour avoir enseigné au Nom de Jésus, Pierre leur a dit avec audace qu’ils étaient coupables d’avoir rejeté le Messie et qu’il n’y avait pas d’autre chemin vers le salut.

« Jésus est la pierre rejetée par vous qui bâtissez, et qui est devenue la principale de l’angle. Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4 :11-12).

Je pense que la plupart des téléspectateurs de cette émission sont au moins nominalement des croyants en Christ, mais quelle est la solidité de votre foi et jusqu’où êtes-vous prêt à aller ? Considérez ce qui suit.

La Bible nous dit qu’un homme nommé Jésus parcourait les collines arides d’Israël il y a environ deux mille ans. Il déclarait avoir été envoyé par Dieu et qu’Il retournerait à Lui. Il fut torturé et crucifié, et des centaines de témoins ont affirmé l’avoir vu après Sa résurrection. De plus, Jésus proclama qu’Il reviendrait pour régner sur toute la Terre et donner le pouvoir à un groupe de personnes qui, dans cette vie, sont appelés, élus et fidèles.

Soyons honnêtes. C’est beaucoup à accepter. Même Ses plus proches disciples, qui ont vu tous Ses miracles et qui ont été entraînés par Lui pendant trois ans et demi, ont eu du mal à croire la résurrection. Thomas, l’un de Ses disciples, a même dit : « Montre-moi les preuves. »

« Si je ne vois dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets ma main dans son côté, je ne croirai point » (Jean 20 :25).

Cela montre clairement que Thomas était convaincu de Sa mort. Il n’était pas question que cela soit simulé. Bien sûr, une fois que Jésus lui apparut, Thomas crut. Mais il y a là un message pour nous tous lorsque nous lisons la suite de la conversation. « Jésus lui dit : Parce que tu m’as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru ! » (Jean 20 :28-29).

Qu’en est-il de vous ? Croyez-vous, sans l’avoir vu ? Jusqu’où êtes-vous prêt à aller dans votre croyance ? Le placerez-vous avant tout, comme nous l’avons lu précédemment ? Ou allez-vous fixer des limites en disant « pas plus loin » ? Malheureusement, la plupart de ceux qui se disent chrétiens fixent des limites, en raisonnant autour de déclarations claires des Écritures, pour éviter d’aller à l’encontre des traditions humaines.

Voire signifie-t-il croire ?

Nos actions révèlent la profondeur de notre conviction. Il est facile de professer sa foi en Dieu, mais les choix que nous faisons racontent souvent une histoire bien différente. L’exemple de l’ancien Israël concluant une alliance avec Dieu est instructif : « Moïse vint appeler les anciens du peuple, et il mit devant eux toutes ces paroles, comme l’Éternel le lui avait ordonné. Le peuple tout entier répondit : Nous ferons tout ce que l’Éternel a dit. Moïse rapporta les paroles du peuple à l’Éternel » (Exode 19 :7-8).

C’était leur mission – ils devaient obéir. Mais dans quelle mesure le faisaient-ils lorsqu’ils étaient confrontés à des choix difficiles ? Faisaient-ils confiance à Dieu ou à eux-mêmes ? Tous ceux qui étudient la Bible savent que l’ancien Israël a échoué lamentablement lorsqu’il s’agissait d’obéir à Dieu, mais quelle était la cause fondamentale de leur problème ?

« Contre qui Dieu fut-il irrité pendant quarante ans, sinon contre ceux qui péchèrent, et dont les cadavres tombèrent dans le désert ? Et à qui jura-t-il qu’ils n’entreraient pas dans son repos, sinon à ceux qui avaient désobéi ? Aussi voyons-nous qu’ils ne purent y entrer à cause de leur incrédulité. (Hébreux 3 :17-19).

Comme il est facile de professer une croyance, mais de la traduire en actes, c’est autre chose. Même les disciples de Jésus n’ont pas compris Ses déclarations selon lesquelles Il mourrait et serait ressuscité après trois jours et trois nuits dans un sépulcre. Cela est surprenant, étant donné qu’ils savaient que d’autres personnes avaient été ressuscitées.

Ce n’était pas comme si une résurrection d’entre les morts n’avait jamais eu lieu auparavant. Les disciples de Jésus connaissaient le récit de l’homme qui revint à la vie après avoir été jeté dans le sépulcre d’Élisée. Vous pouvez lire ce récit dans 2 Rois 13 :21. Et ils connaissaient les Écritures qui prophétisaient une résurrection des morts :

  • Job 14 :15.15
  • Psaume 17 :15
  • Daniel 12 :1-2

Mais lire au sujet de quelque chose qui s’est passé il y a longtemps, ou entendre parler de quelque chose qui se réalisera dans le futur, ce n’est pas le même que de le vivre dans le présent. Et même l’expérience d’un événement vécu de son vivant s’efface rapidement de la mémoire. Par exemple, les disciples de Jésus connaissaient un homme qui fut ressuscité des morts peu de temps avant la crucifixion.

Lazare, le frère de Marthe et de Marie, était mort et Jésus vint au tombeau où il avait été mis. « Jésus dit : Ôtez la pierre. Marthe, la sœur du mort, lui dit : Seigneur, il sent déjà, car il y a quatre jours qu’il est là » (Jean 11 :39). Puis, « ayant dit cela, il cria d’une voix forte : Lazare, sors ! Et le mort sortit, les pieds et les mains liés de bandes, et le visage enveloppé d’un linge. Jésus leur dit : Déliez-le, et laissez-le aller » (versets 43-44).

Cela a dû être surréaliste ! Mais est-ce vraiment arrivé ? La résurrection de Lazare suscita un grand émoi parmi les habitants de Judée. Même les détracteurs de Jésus ne pouvaient pas le nier. Remarquez ce que nous lisons un peu plus loin :

« Une grande multitude de Juifs apprirent que Jésus était à Béthanie ; et ils y vinrent, non pas seulement à cause de lui, mais aussi pour voir Lazare, qu’il avait ressuscité des morts. Les principaux sacrificateurs délibérèrent de faire mourir aussi Lazare, parce que beaucoup de Juifs se retiraient d’eux à cause de lui, et croyaient en Jésus » (Jean 12 :9-11).

Malgré cela, les propres disciples de Jésus avaient du mal à croire en Sa propre résurrection. Cela pourrait être dû à une différence fondamentale. Ils étaient là lorsque Jésus fit sortir Lazare du tombeau. Ils ont vu de nombreux autres miracles accomplis par Jésus, mais lorsque le faiseur de miracles était tué, vers qui se tourner alors ? Jésus est venu leur révéler le Père. Ils ont vu Jésus – mais personne n’a jamais vu le Père, comme il est dit dans Jean 1 :18 : « Personne n’a jamais vu Dieu ; Dieu, le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l’a fait connaître. »

Jésus accomplit de nombreux autres miracles. Il guérit toutes sortes de maladies, chassa les démons, changea l’eau en vin, calma une mer agitée et marcha sur l’eau. De nombreuses personnes étaient encore en vie et se souvenaient de ces miracles lorsque les Évangiles furent rédigés. Ils savaient que ces choses étaient arrivées ! Et même les pharisiens contestataires ont dû admettre que ces miracles de guérison étaient réels, comme le montre cette confession de Nicodème : « Mais il y eut un homme d’entre les pharisiens, nommé Nicodème, un chef des Juifs, qui vint, lui, auprès de Jésus, de nuit, et lui dit : Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu ; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n’est avec lui » (Jean 3 :1-2).

Donc, des questions demeurent. Croyez-vous que ces miracles se sont produits ? Croyez-vous qu’il existe un Dieu tout-puissant qui travaille avec l’humanité sur cette petite planète, qui tourne autour d’une étoile de taille moyenne – l’une des dizaines de milliards d’étoiles de notre galaxie, une seule galaxie parmi les quelque deux mille milliards de milliard de galaxies qui composent actuellement notre Univers ?

En vérité, nous devrions nous interroger comme le roi David lorsqu’il regardait le ciel nocturne en méditant : « Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, la lune et les étoiles que tu as créées : Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ? » (Psaume 8 :4-5).

Voilà, chers amis, une question de grande envergure ! Si Dieu existe, quel EST Son plan pour vous et pour moi ? Nous devons savoir, et être convaincus, que nous sommes le fruit d’un Esprit Supérieur, d’un grand Dieu créateur. Et si nous le croyons vraiment, cette croyance doit guider nos décisions.

Quelle preuve vous convaincra ?

La plupart d’entre nous pensent que nous croirons si seulement nous pouvions témoigner d’un miracle, mais c’est un faux raisonnement, qui ne s’appuie pas sur les faits. Les enfants d’Israël témoignèrent des miracles après miracles. Ils traversèrent la mer Rouge et furent nourris de façon surnaturelle grâce à la manne, mais le miracle de la manne était bien plus grand que ce que la plupart des gens comprennent. Pendant quarante ans, elle tomba du ciel six jours par semaine, mais jamais le septième. De toute évidence, Dieu leur enseignait une leçon concernant l’un de Ses Dix Commandements ! Mais avons-nous appris cette leçon ?

Les miracles sont comme la nourriture et l’eau. Ils ne survivent que peu de temps dans notre esprit, jusqu’à ce que le prochain défi apparaisse. Ceux qui s’appuient sur les miracles, doivent avoir miracle après miracle pour satisfaire leur faim. Cela ne veut pas dire que les miracles ne sont pas importants, et nous en trouvons beaucoup dans la Bible. Peut-être en avez-vous fait l’expérience. En fait, c’est le cas, car la vie elle-même est un miracle, si nous voulons bien ouvrir les yeux. Paul nous dit que « les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables » (Romains 1 :20).

Et comme le roi David l’écrivit en considérant sa propre existence : « C’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, et mon âme le reconnaît bien » (Psaume 139 :13-14).

Pensez-y ! Votre âme le reconnaît-elle bien ? La foi de certains est éphémère. La foi ne doit pas être aveugle, mais notre nature est telle que l’évidence des miracles ne demeure pas longtemps.

Il est naturel de penser que l’Église primitive avait une grande foi, contrairement à aujourd’hui. C’est peut-être vrai, mais peut-être pas au niveau que nous imaginons. On trouve un récit plutôt drôle lorsque Pierre fut jeté en prison. Hérode était bien décidé à l’exécuter, comme il l’avait fait avec l’apôtre Jacques. De nombreuses personnes étaient réunies et priaient pour que Pierre soit libéré d’une mort certaine, et Dieu envoya un ange pour le sauver. Lorsque Pierre arriva à la porte après cette délivrance miraculeuse, ceux qui priaient ne semblaient pas pouvoir accepter qu’un tel miracle se trouvait à la porte d’entrée.

« Revenu à lui-même, Pierre dit : Je vois maintenant d’une manière certaine que le Seigneur a envoyé son ange, et qu’il m’a délivré de la main d’Hérode et tout ce que le peuple juif attendait. Après avoir réfléchi, il se dirigea vers la maison de Marie […] où beaucoup de personnes étaient réunies et priaient. Il frappa à la porte du vestibule, et une servante, nommée Rhode, s’approcha pour écouter. Elle reconnut la voix de Pierre : et, dans sa joie, au lieu d’ouvrir, elle courut annoncer que Pierre était devant la porte. Ils lui dirent : Tu es folle. Mais elle affirma que la chose était ainsi. Et ils dirent : C’est son ange. Cependant Pierre continuait à frapper. Ils ouvrirent, et furent étonnés de le voir » (Actes 12 :11-16).

Sommes-nous, vous et moi, meilleurs que ces personnes dévouées ? Serions-nous aussi incrédules dans une situation similaire ?

Je vais vous montrer pourquoi il est impossible de plaire à Dieu sans une foi vivante. Et il ne s’agit pas de mon opinion, mais d’une déclaration des Écritures. Hébreux 11 est connu comme le chapitre de la foi. Nous y lisons cette déclaration profonde que nous ferions bien de considérer : « Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent » (Hébreux 11 :6).

Pourquoi en est-il ainsi ? Un examen de ce chapitre révèle que toutes les personnes qui y sont citées entretenaient le genre de foi qui génère des actions. Nous lisons l’histoire de Noé, qui construisit un énorme bateau pour préserver la vie au cours d’un déluge mondial – ses voisins se moquèrent probablement de lui, jusqu’à ce que le déluge les emportât tous.

Abraham fit preuve d’obéissance à Dieu lorsqu’il quitta son confortable foyer pour aller dans un pays où il serait un étranger, et il crut que Dieu lui donnerait un fils dans sa vieillesse. Puis il y eut Moïse :

« C’est par la foi que Moïse, devenu grand, refusa d’être appelé fils de la fille de Pharaon ; il préféra être maltraité avec le peuple de Dieu que d’avoir pour un temps la jouissance du péché ; il regarda l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Égypte, car il avait les yeux fixés sur la rémunération. C’est par la foi qu’il quitta l’Égypte, sans être effrayé de la colère du roi ; car il se montra ferme, comme voyant celui qui est invisible » (Hébreux 11 :24-27).

Remarquez que chacun de ces personnages fit plus que professer la foi. Ils agirent par la foi. Lequel d’entre nous aurait fait la même chose ? Certains pensent : « Eh bien, si Dieu me parlait directement, je le ferais. » Mais n’est-ce pas ce qu’Il fait à travers Sa parole, la Bible ? Alors, le croyons-nous ?

Si Dieu parla directement à certains par des songes et des visions, beaucoup d’autres, à travers les siècles, n’ont eu que la parole à s’accrocher. Et tous n’ont pas été épargnés :

« Ils furent lapidés, sciés, torturés ; ils moururent tués par l’épée ; ils allèrent çà et là, vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, dénués de tout, persécutés, maltraités – eux dont le monde n’était pas digne, – errants dans les déserts et les montagnes, dans les cavernes et les antres de la terre. Tous ceux-là, à la foi desquels il a été rendu témoignage, n’ont pas obtenu ce qui leur était promis. Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour nous, afin qu’ils ne parviennent pas sans nous à la perfection » (Hébreux 11 :37-40). 

Dieu était réel pour eux ! Et si Dieu est réel pour nous, et nous croyons vraiment que notre obéissance est récompensée, nous observerons nous aussi Ses commandements. Chers amis, observez-vous le sabbat hebdomadaire, tel que décrit dans Genèse 2, tel que consigné dans les Dix autres Commandements, et tel que Dieu l’a révélé à Israël pendant quarante ans en retenant la manne chaque septième jour ? Ou bien suivez-vous les traditions des hommes et choisissez-vous le jour que Constantin décréta pour l’Église ? Observez-vous les mêmes Jours saints que Jésus, Ses apôtres et les chrétiens du premier siècle célébrèrent ? Ou suivez-vous les traditions humaines de fêtes païennes sur lesquelles le nom du Christ a été apposé ? Faites-vous ce que Jésus dit de faire dans Matthieu 19 :17 ? « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements. »

Ou faites-vous des compromis pour ne pas créer de vagues au travail ou dans votre famille ? Rappelez-vous les paroles de Jésus dans Matthieu 10 :

« Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée. Car je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère ; et l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison. Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ; celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n’est pas digne de moi » (Matthieu 10 :34-38).

Mes amis, c’est là où la théorie devient réalité. Mettez-vous le Christ en premier dans tout ? Mettez-vous tout en jeu ? Ou fixez-vous des limites et dites-vous, par vos actions, que vous irez jusqu’à un certain point, mais pas plus loin ?


L’espérance dont vous avez besoin

Notre existence, notre santé, notre emploi et nos relations sont de plus en plus sous pression. Et les exigences qui nous incombent pour que « tout fonctionne », d’une manière ou d’une autre, semblent impossibles à satisfaire. Pourtant, il existe une véritable espérance. Il existe de solides raisons pour lesquelles vous devriez regarder vers l’avenir avec confiance et faire face à vos défis avec courage et espoir.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Pour beaucoup d’entre nous, la vie semble parfois n’être qu’une « machine à stresser ». L’actualité nous rappelle que nos structures sociales et nos systèmes de gouvernement se désagrègent. Le monde qui nous entoure semble presque être une planète différente à bien des égards depuis le début de la pandémie. Nos vies personnelles, notre santé, nos emplois, nos relations sont tous soumis à des pressions croissantes qui semblent incessantes. Et les exigences qui nous incombent pour que « tout fonctionne », d’une manière ou d’une autre, semblent impossibles à satisfaire.

Ce dont nous avons désespérément besoin pour aller de l’avant, d’un jour à l’autre, c’est de l’espérance. Mais il semble que, peu importe où nous regardons, il y a peu de vrai espoir à trouver. Pourtant, je suis ici pour vous dire aujourd’hui qu’il y a de l’espérance – une réelle espérance. Il existe de solides raisons pour lesquelles vous devriez regarder vers l’avenir avec confiance et faire face à vos défis avec courage et espoir.

Laissez-nous vous expliquer pourquoi vous n’avez pas besoin de porter vos fardeaux tout seul. Rejoignez-nous dès maintenant sur Le Monde de Demain alors que nous partageons avec vous « L’espérance dont vous avez besoin » !

La situation actuelle du monde

N’y a-t-il plus aucune raison d’espérer dans le monde ?

On pourrait être pardonné de poser cette question, alors que le monde qui nous entoure semble s’effondrer.

Mais il y a des raisons d’espérer. Il ne s’agit pas d’une espérance « illusoire » issue de la fantaisie et ignorant la réalité. Mais une vraie espérance, cimentée dans les vérités les plus fondamentales que nous puissions jamais espérer apprendre ou comprendre. Nous allons aborder trois de ces sources d’espérance aujourd’hui.

Mais d’abord, parlons un peu de la réalité. Parce que la véritable espérance n’est pas fondée sur la fantaisie. Il ne se trouve pas dans le fait d’éviter la vie ou de fuir nos problèmes… que nous les fuyions littéralement en évitant les choses que nous craignons, ou que nous cherchions à nous évader de différentes manières, par exemple en abusant de l’alcool ou des drogues, ou en saturant nos esprits de toutes les distractions que ce monde a à offrir, de sorte qu’il n’y a pas de place pour que la réalité s’y glisse et nous rappelle ce à quoi nous sommes confrontés dans le monde réel.

Non, si nous voulons entretenir une véritable espérance, nous devons ouvrir les yeux à la réalité et l’accepter telle qu’elle est.

Non pas que je blâmerais quiconque de vouloir se cacher.  Notre monde n’est pas l’endroit le plus encourageant où vivre !

Nos flux d’informations quotidiens ont peu de choses à offrir qui soient encourageantes. C’est en partie parce que les nouvelles négatives font vendre plus de journaux et captivent plus de téléspectateurs. Mais, franchement, c’est aussi parce que notre monde est vraiment en difficulté. Les systèmes de gouvernement des pays qui ont servi de modèles de stabilité et de délibération pacifique s’effondrent. Bien sûr, dans les démocraties, le caractère des gouvernements reflète le caractère de leurs citoyens. Et, bien sûr, les problèmes que nous voyons dans les gouvernements reflètent les problèmes de la population. Colère, violence, troubles – les symptômes de l’instabilité et de l’incertitude sont en hausse.

Notre émission est regardée dans le monde entier, mais je vis aux États-Unis, et je peux témoigner que notre société commence à prendre des directions qui la rendent méconnaissable. Les lignes de faille s’élargissent et les différences les plus minimes entre les gens incitent les voisins à se traiter comme des ennemis – attisant la haine avec une méchanceté presque animale.

Oui, les tensions sont fortes entre les nations, les États-Unis, la Russie et la Chine se disputant le plus de contrôle possible sur un monde de plus en plus instable et imprévisible. Mais nous n’avons pas besoin de regarder les nouvelles internationales pour témoigner des conflits, des querelles et de la haine. Nous le voyons dans nos propres villes et chez nos voisins.

Il n’y a pas beaucoup d’espérance à retrouver là.

Et tout cela sans compter le stress et les soucis fréquents de notre vie personnelle. Les problèmes de santé, les défis au travail, les problèmes financiers et les difficultés relationnelles – parfois, même lorsque nous essayons de faire ce qu’il faut, nous avons l’impression que cela ne fait aucune différence… Comme si personne ne voyait nos luttes et ne se souciait de ce que nous traversions… Comme si nos efforts semblaient inutiles et que nous n’avions aucun espoir que tout cela ait un sens.

Nous avons besoin d’espérer que nos efforts comptent dans ce monde. Mais où trouverons-nous cette espérance ?

La science n’en fournit aucune. Nous avons levé le rideau sur le monde naturel et appris des choses merveilleuses, mais rien qui permette de nourrir une espérance durable ou de donner un véritable sens à la vie. Et comme nous l’avons noté précédemment, le monde de la sphère politique semble être le lieu où l’espérance est vouée à mourir.

La vie moderne dans les nations développées offre des divertissements et des distractions pratiquement ininterrompus pour ceux qui peuvent se le permettre – et s’ils peuvent nous faire oublier nos problèmes pendant un certain temps, en fin de compte, sans véritable espérance, ces distractions nous procurent une sensation de vide encore plus grande qu’auparavant.

Nous avons besoin d’une vraie espérance. D’un espoir réel, durable, significatif et profond. Une espérance enracinée dans des choses qui dépassent le monde qui nous entoure et qui donnent un sens profond, une portée révélatrice, à nos vies et à nos expériences.

Et, mes amis, cette espérance existe vraiment.

Dieu est réel

Nous allons maintenant examiner trois sources de l’espérance dont nous avons besoin. À première vue, elles peuvent sembler insignifiantes, mais elles représentent les fondements du seul véritable espoir qui puisse réellement changer nos vies. Lorsque nous embrassons ces vérités et tout ce qu’elles impliquent, cette vie et chaque aspect de notre existence commencent à avoir un sens différent. Et dans ce sens, nous trouvons l’espérance dont nous avons besoin.

La première source d’espérance est cette vérité sublime : Dieu est réel.

Une lignée de scientifiques, de philosophes et d’ingénieurs sociaux aimeraient vous convaincre qu’il n’y a pas de Dieu, pas de Concepteur, pas de Créateur – que l’existence ne se résume qu’à ce que vous pouvez voir.

Mes amis, c’est un mensonge. Ceux qui le proclament peuvent y croire sincèrement, mais un mensonge auquel on croit sincèrement reste toujours un mensonge.

Dans la Bible, le roi David décrit le manque de sagesse de ceux qui nient la vérité évidente de l’existence d’un Créateur tout-puissant. David a écrit que « l’insensé dit en son cœur : Il n’y a point de Dieu ! » (Psaume 14 :1).

Certaines des preuves les plus claires de l’existence de Dieu peuvent être regardées aujourd’hui tout aussi facilement que le roi David a pu les voir. Considérez les remarques de l’apôtre Paul dans l’épître aux Romains :

« La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, car ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître. En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, car ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces ; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres » (Romains 1 :18-21).

Notez que Paul parle de ceux qui regardent clairement l’évidence que nous vivons dans un Univers créé par un Dieu omnipotent et omniscient – les étoiles au-dessus de notre tête, l’ordre de la nature qui nous entoure, les formes de vie complexes. Il note que, tout comme on peut détecter les empreintes digitales d’un maître artisan dans son œuvre, ceux qui regardent la création avec des yeux ouverts et considèrent les preuves avec un cœur humble peuvent saisir les empreintes digitales du Créateur.

En fait, Paul condamne ceux qui essaient de supprimer la vérité qui ressort et la substituent par des mensonges, notant qu’ils sont sans excuse pour leur rejet du Dieu qu’ils n’ont pas voulu glorifier.

Il s’agit d’une attitude très répandue envers les preuves évidentes de l’existence du Créateur. Elle se reflète dans les paroles de Francis Crick, biologiste légendaire et co-découvreur de la structure merveilleuse de la molécule d’ADN. Évolutionniste pur et dur, Crick a écrit sur l’état d’esprit que ses collègues biologistes doivent adopter lorsqu’ils examinent la conception et l’ingénierie remarquables de la vie : « Les biologistes doivent constamment garder à l’esprit que ce qu’ils voient n’a pas été conçu, mais a plutôt évolué » (What Mad Pursuit : A Personal View of Scientific Discovery, 1988, page 138).

De même, le célèbre évolutionniste Richard Dawkins a écrit que « la biologie est l’étude des choses compliquées qui ont l’apparence d’avoir été conçues avec un but » (The Blind Watchmaker, 1986, page 1).

Pourquoi les biologistes doivent-ils, je cite, « garder constamment à l’esprit » que ce qu’ils observent n’a pas été conçu ? Pourquoi devons-nous supposer que la vie n’a, je cite, « que l’apparence d’avoir été conçue avec un but » précis ?

Parce que les preuves montrent de façon écrasante que la vie a été conçue dans un but précis !

Les preuves de l’existence de Dieu sont profondes et plus nombreuses que ce que nous pouvons couvrir dans cette brève émission. Mais je vous encourage à explorer notre site Internet MondeDemain.org, où vous trouverez beaucoup de ressources pour vous aider à prouver l’existence de Dieu par vous-même !

Alors pourquoi l’existence de Dieu est-elle une source de l’espérance dont nous avons besoin ?

Il existe de nombreuses réponses à cette question, et certaines d’entre elles sont liées à ce qui va suivre dans l’émission d’aujourd’hui. Mais réfléchissez-y un instant.

De nos jours, une grande partie de la science – même lorsqu’elle ne le dit pas explicitement – tend à communiquer un sentiment que tout est dénué de sens. C’est le désespoir. S’il n’y a pas de Dieu, il n’y a rien à comprendre – nous sommes vraiment seuls dans un monde cruel où personne ne se soucie.

Mais, si Dieu existe vraiment – et Il existe ! – alors nous n’avons jamais à nous sentir seuls. Si Dieu existe vraiment, alors même dans nos plus grands moments de découragement, nous avons quelqu’un à qui demander de l’aide, de la miséricorde, de la compassion ! Nous avons quelqu’un qui comprend ce que nous traversons, qui voit nos épreuves, et qui est prêt à nous secourir.

En fait, dans Genèse 16 :13, lorsque la servante égyptienne Agar fuit la colère de sa maîtresse, Saraï, elle remarqua la présence encourageante de Dieu et l’appela « Atta-El-roï » – ce qui signifie « l’Éternel qui voit ».

Le désir de Dieu de nous soutenir à travers nos épreuves les plus difficiles est exemplifié dans la vie de Son Fils, Jésus-Christ, qui est Dieu tout comme Son Père. Dieu ne se tient pas à l’écart de nos souffrances. Au contraire, Jésus-Christ est venu dans ce monde pour vivre parmi nous et expérimenter ce que nous vivons. Le livre des Hébreux explique cet aspect de la vie de Jésus, en notant que « c’est lui qui, dans les jours de sa chair, ayant présenté avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé à cause de sa piété, a appris, bien qu’il fût Fils, l’obéissance par les choses qu’il a souffertes » (Hébreux 5 :7-8).

Dieu est réel. Il connaît nos souffrances, nos épreuves et nos fardeaux. Rien de ce que nous faisons n’arrive dans un vide solitaire – au contraire. Celui qui a façonné notre existence comprend ce que nous traversons et est prêt à entendre les cris, les craintes et les prières de tous ceux qui sont prêts à s’ouvrir à Lui.

Vous n’êtes pas seul. Dieu est très réel.

La réalité de l’existence de Dieu a des implications profondes et c’est une source majeure d’espérance dans nos vies.

Jésus-Christ revient bientôt

La deuxième source d’espérance est la belle vérité que Jésus-Christ revient bientôt.

De nombreuses Églises se proclamant « chrétiennes » sont égarées. Soit elles sont submergées dans les rituels et la cérémonie qu’elles ne servent pas à grand-chose sur le plan terrestre, soit elles s’efforcent de changer ce monde par la politique et l’élaboration de stratégies humaines, comme si Jésus-Christ était intéressé à diriger ce monde dysfonctionnel par ses mécanismes défaillants et charnels. Les premières font paraître les vérités de la Bible déconnectées du monde d’aujourd’hui et de la vie que nous y menons, et les deuxièmes finissent inévitablement par se corrompre comme des politiciens. Le vrai Jésus-Christ nous appelle à quelque chose de très différent que de participer aux voies de ce monde.

Pourtant, Jésus-Christ n’a pas abandonné ce monde à son triste sort. Les actualités peuvent nous affliger, nous frustrer, voire nous mettre en colère. Tout autour de nous, nous voyons les coupables en liberté – ceux qui font du mal ne sont pas tenus de rendre des comptes – et des sociétés de plus en plus brutales, qui ressemblent davantage au monde animal qu’au monde des êtres humains.

Après Sa résurrection, Jésus-Christ, alors qu’Il montait au ciel depuis le mont des Oliviers, Ses disciples ont reçu une promesse très importante – la seule véritable source d’espérance pour l’avenir de ce monde.

Alors que le Sauveur de l’humanité montait au ciel et que les disciples le regardaient, des anges sont apparus à côté d’eux pour annoncer une remarquable bonne nouvelle : « Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l’avez vu allant au ciel » (Actes 1 :11).

Cela est important, car cette vérité fondamentale du vrai christianisme a été diluée et altérée par tant de différentes souches de christianisme de contrefaçon qui remplissent actuellement les Églises de ce monde.

Les anges étaient explicites : de la même manière qu’Il est monté au ciel, Il va un jour redescendre sur cette Terre. Tout comme Il est monté littéralement, Il reviendra un jour littéralement !

Et cet événement, le retour de Jésus-Christ, sera le point tournant de toute l’humanité ! C’est le cœur du vrai Évangile – ou la bonne nouvelle – prêché par Jésus-Christ pendant Son ministère de trois ans et demi sur Terre. Car lorsqu’Il reviendra, Il établira le Royaume de Dieu ici sur Terre, qui s’étendra pour régner sur chaque centimètre carré de cette planète !

Toutes les horreurs, les injustices et les souffrances déchirantes que nous voyons défiler dans nos bulletins d’information deviendront des choses du passé, jetées dans la poubelle de l’Histoire et remplacées par le règne glorieux de Jésus-Christ et de Ses saints glorifiés sous Dieu le Père !

L’horrible souffrance de ce monde actuel – une souffrance qui nous brise le cœur et nous pousse à chercher la moindre raison d’espérer que les choses vont changer – est causée, en fin de compte, par Satan le diable, appelé par Jésus-Christ Lui-même le « prince de ce monde » à trois reprises dans l’évangile de Jean.

 En fait, c’est l’apôtre Jean qui souligne cet aspect essentiel de la mission de Jésus-Christ, en notant que « c’est pour ceci que le Fils de Dieu a été manifesté, afin qu’il détruisît les œuvres du diable » (1 Jean 3 :8, Darby).

Toutes les souffrances, toutes les injustices, toutes les guerres, toute la cupidité, la saleté et la méchanceté qui corrompent ce monde et nous causent tant de peine – tout cela disparaîtra avec l’avènement du Royaume de Dieu et le règne du Fils de Dieu !

Le prophète Ésaïe a décrit ce règne, notant que ceux qui vivront dans le Monde de Demain contempleront leur nouveau dirigeant et seront poussés à le louer à cause des vies abondantes qu’ils mèneront à ce temps-là : « On l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix » (Ésaïe 9 :5).

Plus loin, au chapitre 35, Ésaïe parle de ce Monde à Venir en décrivant les grands miracles, les guérisons et même la restauration géologique qui auront lieu, en disant : « Alors s’ouvriront les yeux des aveugles, s’ouvriront les oreilles des sourds. Alors le boiteux sautera comme un cerf, et la langue du muet éclatera de joie. Car des eaux jailliront dans le désert, et des ruisseaux dans la solitude » (Ésaïe 35 :5-6).

Lorsque les informations que nous regardons sur nos écrans semblent glisser vers un état de désespoir quasi permanent, et que nous commençons à penser qu’il n’y a plus rien à faire, nous pouvons être assurés que rien n’échappe au regard de Dieu et de Jésus-Christ ! Aucune injustice, aucun tort, aucun mal, aucune souffrance, et nous pouvons prier Dieu avec d’autant plus de ferveur, comme Jésus nous l’a enseigné, en disant : « QUE TON RÈGNE VIENNE » !

Jésus reviendra dans ce monde. Il ne l’abandonnera pas à la folie de l’humanité. Et cela est, en effet, une grande source d’espérance.

Votre vie a un but

Aujourd’hui, nous avons abordé deux sources fondamentales de l’espérance dont vous avez besoin pour faire face à l’avenir – et au présent – avec courage et confiance :

  1. Dieu est réel
  2. Jésus-Christ revient bientôt

Mais il y a une autre source d’espérance dont nous voulons parler qui est complètement liée aux deux premières – et à votre avenir personnel :

  1. Votre vie a un but

Vous avez été créé(e) par Dieu pour devenir un jour un membre de Sa propre famille – ayant la vie éternelle tout comme Lui et Son Fils, et héritant non seulement de la Terre, mais de l’Univers entier comme votre possession, régnant et gouvernant en tant qu’un des enfants de Dieu pour toujours.

Cela semble incroyable – du domaine de la science-fiction ! Mais je me tiens ici aujourd’hui pour vous dire que c’est la déclaration ferme de la parole de Dieu – peu importe combien de philosophes, de prédicateurs et de théologiens malavisés essaient de la cacher ou de la diluer, et peu importe combien cela puisse sembler incroyablement choquant !

Cette compréhension est validée par les deux premières sources d’espérance. Puisque Dieu est réel, Son plan et Son dessein pour nous sont aussi réels – et si quelqu’un a le pouvoir de faire en sorte que Ses desseins pour nous se réalisent, c’est le Dieu tout-puissant ! Lorsque Jésus-Christ reviendra, Il apportera avec Lui notre récompense : notre transformation en enfants de Dieu glorifiés, avec le pouvoir divin de changer les choses – d’abord dans ce monde, en régnant sous Jésus pendant 1000 ans, puis dans toute la Création, alors que nous héritons de toutes choses, pour toujours.

Vous avez été créé pour tellement plus que cette vie physique !

Le but époustouflant que Dieu a pour votre vie a été caché à la vue de tous, dans la Bible, et n’attend que vous pour le découvrir.

Découvrez votre destinée et découvrez une source inépuisable et immuable de l’espérance dont vous avez besoin.


Des émeutes secouent l’Europe et au-delà



Des émeutes liées au Covid-19 ont éclaté en Europe en réaction aux confinements nationaux et à l’isolement des personnes non vaccinées. La police anti-émeute de Bruxelles « a ensuite utilisé des canons à eau et des gaz lacrymogènes face à un groupe de personnes lançant des projectiles » (bfmtv, 21 novembre 2021). La police néerlandaise a ouvert le feu sur une foule, blessant quatre personnes.

Pages