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Quelles sont les promesses faites au père des fidèles, Abraham ? Si vous devinez qu’il s’agit du « salut par Jésus-Christ », c’est certainement l’une des promesses. Mais savez-vous quelles autres promesses l’accompagnaient ? Et savez-vous que ces autres promesses expliquent ce qui se passe géopolitiquement dans notre monde aujourd’hui ? Dans cet épisode, nous allons examiner les promesses de Dieu à Abraham.
[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]
L’hymne chrétien de Russell Carter, Me fiant aux promesses, est connu de la plupart des fidèles en Amérique. Mais quelles sont les promesses faites au père des fidèles ? Le savez-vous ? Si vous devinez qu’il s’agit du « salut par Jésus-Christ », c’est certainement l’une des promesses. Mais savez-vous à qui cette promesse fut donnée, et quelles autres promesses l’accompagnaient ? Et savez-vous que ces autres promesses expliquent ce qui se passe géopolitiquement dans notre monde aujourd’hui ?
Nous lisons dans Genèse 12 :2-3, qu’un homme nommé Abram reçut l’ordre de quitter son pays et de se rendre dans un lieu que Dieu avait choisi pour lui, et qu’il serait grandement béni s’il le faisait :
« Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai ; je rendrai ton nom grand, et tu seras une source de bénédiction. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi » (Genèse 12 :2-3).
Il est notoire que la promesse « toutes les familles de la terre seront bénies en toi », est une prophétie au sujet du Messie, Jésus-Christ. Mais qu’en est-il de la promesse de grandeur nationale ? Celle-ci est-elle accomplie par le petit État que nous appelons aujourd’hui Israël ? Ou s’agit-il du royaume d’Israël sous les rois David ou Salomon ? Ou cela signifie-t-il bien plus que cela ?
La promesse d’un Sauveur est généralement bien comprise, mais nous verrons dans l’émission d’aujourd’hui l’une des vérités les plus remarquables des Écritures. Il s’agit d’une vérité si simple qu’un enfant peut la comprendre, alors que les théologiens ne parviennent pas à expliquer. Cette vérité est la promesse de grandeur nationale faite à Abraham, et elle explique ce que nous voyons dans notre monde aujourd’hui. Restez avec moi maintenant, car nous allons examiner les promesses de Dieu à Abraham – des promesses que Dieu ne veut pas rompre, et qu’Il n’a pas rompues.
Nous vous souhaitons chaleureusement la bienvenue à tous, ici au Monde de Demain, où nous expliquons sans crainte, à partir des pages de la Bible, les promesses et les prophéties que d’autres ne comprennent pas ou ignorent tout simplement. Vous rendez-vous compte, chers amis, que Dieu fit de grandes promesses au patriarche Abraham, qu’Il transmit à ses descendants et les réalisa des milliers d’années plus tard ?
La plupart des croyants connaissent l’une de ces promesses, mais ignorent totalement l’autre. Pourquoi ? Et pourquoi cela devrait-il être important pour vous ? Lorsque les Américains chantent Me fiant aux promesses, sont-ils conscients des promesses nationales qui les concernent ? Les promesses de Dieu à Abraham se trouvent dans le livre de la Genèse. Commençons donc par Genèse 12 :1-3, où l’on nous présente un homme répondant au nom d’Abram :
« L’Éternel dit à Abram : Va-t’en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai. Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai ; je rendrai ton nom grand, et tu seras une source de bénédiction. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi » (Genèse 12 :1-3).
Au verset 7, nous lisons ce qui suit : « L’Éternel apparut à Abram, et dit : Je donnerai ce pays à ta postérité ». Comment se fait-il qu’une promesse faite il y a près de quatre mille ans puisse nous affecter au XXIème siècle ? Aujourd’hui, nous assistons à une lutte au Moyen-Orient pour la Terre promise à Abram et à ses descendants. Mais les promesses faites à Abraham sont bien plus larges. Dans Genèse 13, Dieu promet à cet homme, alors sans enfant, qu’il serait le père de millions de personnes et que sa descendance s’étendrait dans toutes les directions :
« L’Éternel dit à Abram […] Lève les yeux, et, du lieu où tu es, regarde vers le nord et le midi, vers l’orient et l’occident ; car tout le pays que tu vois, je le donnerai à toi et à ta postérité pour toujours. Je rendrai ta postérité comme la poussière de la terre, en sorte que, si quelqu’un peut compter la poussière de la terre, ta postérité aussi sera comptée » (Genèse 13 :14-16).
Les gens pensent souvent que la Terre promise se limite à la région située entre le Jourdain et la mer Méditerranée, comme nous l’entendons aujourd’hui dans les chants de colère : « Du fleuve à la mer ». Mais la Terre promise comprenait bien plus de territoire, comme nous le voyons dans Genèse 15 :18, où Dieu dit à Abram. « […] Je donne ce pays à ta postérité, depuis le fleuve d’Égypte jusqu’au grand fleuve, au fleuve d’Euphrate. »
L’Euphrate prend sa source en Turquie, traverse la Syrie et l’Irak moderne et se jette dans le golfe Persique. Cela ne signifie pas que tout le territoire au sud et à l’ouest de l’Euphrate fut donné à Israël. Mais il est clair que c’est bien plus que ce que la plupart des gens pensent. Même dans l’Antiquité, Israël possédait des terres à l’est du Jourdain. Lorsqu’Abram eut 99 ans et avant la naissance d’Isaac, Dieu lui révéla ce qui suit :
« Voici mon alliance, que je fais avec toi. Tu deviendras père d’une multitude de nations. On ne t’appellera plus Abram ; mais ton nom sera Abraham, car je te rends père d’une multitude de nations. Je te rendrai fécond à l’extrême, je ferai de toi des nations ; et des rois sortiront de toi » (Genèse 17 :4-6).
Remarquez que le nom même d’Abraham signifie « père d’une multitude de nations ». Et son épouse Sarah, comme l’indique le verset 16, elle deviendrait : « la mère de plusieurs nations ; des rois de plusieurs peuples sortiront d’elle » (Semeur).
En parcourant le livre de la Genèse, nous constatons que Dieu élargit les promesses bien au-delà d’un minuscule pays situé sur la rive orientale de la mer Méditerranée. Cependant, Sarah était stérile et, au fil du temps, Abraham et Sarah firent preuve d’impatience. Sarah proposa à Abraham de faire naître un enfant par l’intermédiaire d’une mère porteuse. C’est ainsi que naquit Ismaël.
Nous lisons que Dieu mit Abraham à l’épreuve pour savoir que ferait-il passer en premier – Dieu ou son fils ? Il réussit ce test et Dieu lui répondit en rendant Ses promesses inconditionnelles et en donnant plus de détails :
« Je le jure par moi-même, parole de l’Éternel ! parce que tu as fait cela, et que tu n’as pas refusé ton fils, ton unique, je te bénirai et je multiplierai ta postérité, comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est sur le bord de la mer ; et ta postérité possédera la porte de ses ennemis. Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité, parce que tu as obéi à ma voix » (Genèse 22 :16-18).
Jusqu’à présent, nous avons vu que Dieu a promis ce qui suit à Abraham :
L’apôtre Paul explique que cette première promesse, c’est-à-dire, « toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité », se réfère au Messie :
« Or, les promesses ont été faites à Abraham et à sa descendance. Il n’est pas dit : Et aux descendances, comme s’il s’agissait de plusieurs, mais comme il s’agit d’une seule : Et à ta descendance, c’est-à-dire à Christ » (Galates 3 :16).
Cette Semence unique, qui apporterait une bénédiction au monde entier, est la promesse de Jésus-Christ, qui donna Sa vie pour les péchés du monde en offrant le salut et la vie éternelle à l’humanité. Cette promesse est généralement comprise, mais qu’en est-il des autres aspects des promesses faites à Abraham ? Qu’en est-il des rois, des territoires, des descendants par millions et en possession des portes de leurs ennemis ?
Genèse 24 :60 montre comment ces promesses furent répétées à la belle-fille d’Abraham : « Ils donnèrent à Rebecca leur bénédiction en ces termes : Deviens, toi notre sœur, ancêtre de millions d’hommes. Et que tes descendants (au pluriel) s’emparent des cités de leurs ennemis ! » (Bible en Français courant).
Mes amis, ce sont des promesses remarquables, si elles sont vraies ! Et nous allons voir qu’elles sont vraies, qu’elles se sont réalisées et sont toujours en train de se réaliser sous nos yeux ! De plus, ces promesses ont un impact sur votre vie !
Nous arrivons à présent à une partie de l’histoire qui explique ce qui se passe au Moyen-Orient au moment même où je vous parle. Nous découvrons que la belle-fille d’Abraham, Rebecca, était enceinte de jumeaux qui se bousculaient dans son ventre. Lorsqu’elle demanda à Dieu pourquoi il y avait une telle lutte en elle, Il lui répondit :
« Deux nations sont dans ton ventre, et deux peuples se sépareront au sortir de tes entrailles ; un de ces peuples sera plus fort que l’autre, et le plus grand sera assujetti au plus petit » (Genèse 25 :23).
Les deux fils s’appelaient Jacob et Ésaü. Vous rendez-vous compte que ce qui se passe dans cette partie du monde commença avec ce que nous lisons ici dans le livre de la Genèse ? Les luttes entre les descendants de Jacob et d’Ésaü, furent prédites près de quatre mille ans à l’avance, mais ce qui reste de cette histoire est encore plus remarquable.
Ésaü était l’aîné des deux et devait recevoir une double portion de l’héritage du fait de son rang de naissance. Mais Jacob était un homme rusé et il incita Ésaü à lui vendre son droit d’aînesse :
« Comme Jacob faisait cuire un potage, Ésaü revint des champs, accablé de fatigue. Et Ésaü dit à Jacob : Laisse-moi, je te prie, manger de ce roux, de ce roux-là, car je suis fatigué. C’est pour cela qu’on a donné à Ésaü le nom d’Édom. Jacob dit : Vends-moi aujourd’hui ton droit d’aînesse. Ésaü répondit : Voici, je m’en vais mourir ; à quoi me sert ce droit d’aînesse ? » (Genèse 25 :29-32).
La suite des événements montre qu’il n’était pas vraiment prêt à mourir :
« Et Jacob dit : Jure-le-moi d’abord. Il le lui jura, et il vendit son droit d’aînesse à Jacob. Alors Jacob donna à Ésaü du pain et du potage de lentilles. Il mangea et but, puis se leva et s’en alla. C’est ainsi qu’Ésaü méprisa le droit d’aînesse » (Genèse 25 :33-34).
Au fil du temps, le nom de Jacob fut changé en Israël, et les promesses devinrent siennes. Reprenons l’histoire dans Genèse 35, où Dieu apparut au petit-fils d’Abraham, Jacob.
« Dieu lui dit : Ton nom est Jacob ; tu ne seras plus appelé Jacob, mais ton nom sera Israël. Et il lui donna le nom d’Israël. Dieu lui dit : Je suis le Dieu tout-puissant. Sois fécond, et multiplie : une nation et une multitude de nations naîtront de toi, et des rois sortiront de tes reins. Je te donnerai le pays que j’ai donné à Abraham et à Isaac, et je donnerai ce pays à ta postérité après toi » (Genèse 35 :10-12).
Remarquez ce détail supplémentaire donné ici. Le nom d’Abram fut changé en Abraham, ce qui signifie père d’une multitude de nations. Mais ici, nous voyons que la promesse faite à son petit-fils incluait une nation spécifique et une multitude ou compagnie de nations. Que devons-nous en penser ? Cela devrait-il avoir de l’importance pour vous ? Absolument, comme nous allons le voir ! Allons à la fin de la Genèse et lisons quelques prophéties remarquables. Ceux qui étudient la Bible connaissent l’histoire des 12 fils de Jacob et savent qu’ils finirent tous par se retrouver en Égypte. L’un des fils de Jacob ou d’Israël était Juda, le père des Juifs. Un autre était Joseph. À la fin de sa vie, Jacob « adopta » les deux fils de Joseph, Manassé et Éphraïm. Nous lisons dans Genèse 48. Après avoir confirmé ce que Dieu lui avait promis, Israël dit quelque chose que presque personne ne comprend, et pourtant il n’y a rien de difficile là-dedans :
« Maintenant, les deux fils qui te sont nés au pays d’Égypte avant mon arrivée vers toi en Égypte, seront à moi ; Éphraïm et Manassé seront à moi, comme Ruben et Siméon. Mais les enfants que tu as engendrés après eux seront à toi ; ils seront appelés du nom de leurs frères dans leur héritage » (Genèse 48 :5-6).
Cette adoption des fils de Joseph par Israël est confirmée au verset 16 : « Qu’ils soient appelés de mon nom [c’est-à-dire du nom d’Israël] et du nom de mes pères, Abraham et Isaac, et qu’ils multiplient en abondance au milieu du pays ! »
Ce point est d’une importance capitale. Le nom d’Israël fut placé non pas seulement sur les fils de Juda, les Juifs, mais aussi sur les fils de son frère Joseph. Il faut maintenant bien comprendre. Je le répète, le nom d’Israël fut placé, non pas seulement sur les fils de Juda, les Juifs, mais aussi sur les fils de son frère Joseph. Et comme le démontrent les versets suivants, les bénédictions du droit d’aînesse, la promesse d’une grande nation et d’une multitude de nations, reviennent aux fils de Joseph, Manassé et Éphraïm. Les versets qui suivent le prouvent !
Jacob, c’est-à-dire Israël, ordonna à Joseph de lui présenter ses fils, afin que la bénédiction du droit d’aînesse leur soit transmise. Joseph plaça alors l’aîné, Manassé, devant son père de manière que la main droite d’Israël soit sur sa tête, et le cadet, Éphraïm, devant la main gauche d’Israël. Cependant, Israël croisa ses mains et octroya la plus grande bénédiction au frère cadet. Joseph protesta ici :
« Pas ainsi, mon père, car celui-ci est le premier-né ; pose ta main droite sur sa tête. Son père refusa, et dit : Je le sais, mon fils, je le sais ; lui aussi deviendra un peuple, lui aussi sera grand ; mais son frère cadet sera plus grand que lui, et sa postérité deviendra une multitude de nations » (Genèse 48 :18-19).
Remarquez-le ! Le fils aîné deviendrait une grande nation, mais son frère cadet deviendrait une multitude ou une compagnie de nations. Cela devrait être une preuve suffisante que ces bénédictions du droit d’aînesse ne furent jamais accordées aux Juifs. Dans 1 Chroniques 5 nous voyons une déclaration claire que le droit d’aînesse n’est allé ni au premier-né d’Israël, Ruben, ni aux Juifs :
« Fils de Ruben, premier-né d’Israël. – Car il était le premier-né ; mais, parce qu’il souilla la couche de son père [par une inconduite sexuelle immorale], son droit d’aînesse fut donné aux fils de Joseph [Éphraïm et Manassé], fils d’Israël ; toutefois Joseph ne dut pas être enregistré dans les généalogies comme premier-né. Juda fut, à la vérité, puissant parmi ses frères, et de lui est issu un prince [qui est le Messie – Jésus-Christ] ; mais le droit d’aînesse [les bénédictions nationales] est à Joseph » (1 Chroniques 5 :1-2).
Comprenons bien. Jacob, dont le nom fut changé en Israël, eut douze fils. Parmi les douze, on trouve Juda, le père des Juifs, mais aussi Joseph, dont les descendants, par l’intermédiaire d’Éphraïm et de Manassé, étaient destinés à devenir une grande nation individuelle et une compagnie de nations. Ce sont des Juifs que viendrait le Messie, mais la promesse de grandeur nationale a été donnée à son frère Joseph et à ses fils. Ce n’est pas seulement ce que nous disent les Écritures, c’est aussi ce que nous dit l’Histoire ! Les Juifs ont-ils jamais été une grande nation et un groupe de nations possédant les richesses de la Terre ? Certains pensent que la division entre la maison de Juda et la maison d’Israël accomplit cette prophétie, mais ce n’est pas possible, car la maison d’Israël n’était pas composée de Juifs. Et les Juifs ne constituaient qu’une nation individuelle, jamais une multitude de nations.
Avant sa mort, Jacob (c’est-à-dire Israël) appela ses douze fils et leur prédit ce qu’il adviendrait d’eux au temps de la fin : « Jacob appela ses fils, et dit : Assemblez-vous, et je vous ferai savoir ce qui vous arrivera à la fin des jours » (Genèse 49 :1, Darby).
Pour Juda (c’est-à-dire les Juifs), nous lisons la promesse d’une lignée de rois qui culminera avec le retour du Messie. « Le sceptre ne s’éloignera point de Juda, ni le bâton souverain d’entre ses pieds, jusqu’à ce que vienne le Schilo, et que les peuples lui obéissent » (Genèse 49 :10).
Nous voyons également que les Juifs constitueront une force militaire puissante au temps de la fin, et n’est-ce pas exactement ce que nous voyons dans nos actualités ?
« Juda […] ta main sera sur la nuque de tes ennemis […] Juda est un jeune lion. Tu reviens du carnage, mon fils ! Il ploie les genoux, il se couche comme un lion, comme une lionne : Qui le fera lever ? » (Genèse 49 :8-9).
Cela est confirmé par une prophétie concernant les Juifs et Jérusalem, que l’on trouve dans Zacharie 12 :6 :
« En ce jour-là, je ferai des chefs de Juda comme un foyer ardent parmi du bois, comme une torche enflammée parmi des gerbes ; ils dévoreront à droite et à gauche tous les peuples d’alentour, et Jérusalem restera à sa place, à Jérusalem. »
Mais qu’en est-il des descendants de Joseph, détenteurs du droit d’aînesse, au temps de la fin – ces temps mêmes que nous vivons aujourd’hui ?
« Joseph est le rejeton d’un arbre fertile […] les branches s’élèvent au-dessus de la muraille. Ils l’ont provoqué, ils ont lancé des traits ; les archers l’ont poursuivi de leur haine. Mais son arc est demeuré ferme, et ses mains ont été fortifiées par les mains du Puissant de Jacob […] C’est l’œuvre du Dieu de ton père, qui t’aidera ; c’est l’œuvre du Tout-Puissant, qui te bénira des bénédictions des cieux en haut, des bénédictions des mamelles et du sein maternel. Les bénédictions de ton père s’élèvent au-dessus des bénédictions de mes pères jusqu’à la cime des antiques collines : Qu’elles soient sur la tête de Joseph, sur le sommet de la tête du prince de ses frères ! » (Genèse 49 :22-26).
Chers amis, il y a beaucoup plus dans cette histoire qui implique les peuples descendants des Britanniques et le peuple américain. Ce n’est qu’en comprenant les prophéties de la Bible que vous pourrez comprendre ce que nous voyons dans les nouvelles d’aujourd’hui et ce qui en résultera.
J’espère que cette vidéo vous a été utile. Si vous l’avez trouvée utile et que vous voulez en savoir plus, assurez-vous d’obtenir votre DVD gratuit sur « L’ascension et la chute de la Grande-Bretagne et des États-Unis » sur notre site Internet MondeDemain.org.