Pour faire une recherche avancée (rechercher des termes dans un type de publication précis), entrez les mots en suivant la syntaxe présentée dans les exemples ci-dessous :
L’un des plus grands obstacles à la croissance et au progrès de l’Union européenne réside dans sa structure : chacune des 27 nations membres doit s’entendre sur presque chaque décision. Un bon exemple de deux nations seules qui ralentissent les progrès internes réside dans le pouvoir de la Pologne et de la Hongrie à bloquer les plans de reprise suite au coronavirus de l’UE (L’Écho, 26 novembre 2019). En d’autres termes, les décisions sont prises par un trop grand nombre de personnes qui ne peuvent pas toutes être d’accord. C’est pourquoi certains analystes estiment que l’UE doit créer une « alliance des volontaires » pour pouvoir réellement progresser (Carnegie Europe, 17 septembre 2020). Une « alliance des volontaires » impliquerait un petit nombre d’États membres ayant des ressources à déployer et motivés pour agir ensemble afin d’apporter des changements. Les experts tentent de trouver comment y parvenir sans détruire l’UE dans le processus. Comme l’a récemment fait remarquer un auteur d’un groupe d’experts, « la France et l’Allemagne doivent aller de l’avant avec de plus petites constellations ad hoc d’États membres pour faire avancer des questions particulières où davantage d’actions sont nécessaires [...] Pour réussir, ces “alliances flexibles” doivent impliquer le haut représentant de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité afin de garantir la légitimité et de ne pas miner la cohésion des vingt-sept États membres de l’UE ». Aujourd’hui, les nations membres de l’UE ne parviennent pas à s’entendre sur des questions aussi simples que celle de savoir qui doit prendre la tête de la Conférence sur l’avenir de l’Europe (Politico, 21 septembre 2020 ; Le vif, 28 novembre 2020). Parce qu’ils ne peuvent pas se mettre d’accord ou même « s’entendre pour s’entendre », des appels ont été lancés pour éliminer les pays « perturbateurs » comme la Pologne et la Hongrie (euractiv.fr, 3 décembre 2020).
L’UE va-t-elle créer une coalition de volontaires ? L’Union va-t-elle s’amoindrir ? Ou alors le bloc se dissoudra-t-il et les nations suivront-elles leur propre voie ? La prophétie biblique nous donne un aperçu de la situation. Dans le livre de l’Apocalypse, l’apôtre Jean a écrit qu’une puissance européenne de la fin des temps appelée la « bête » sera composée de dix rois (éventuellement des nations ou des entités politiques) qui ont un « même dessein » et « donnent leur puissance » à une figure centrale pendant une courte période (Apocalypse 17 :12-14). Les détails de la manière dont cela se déroulera restent à voir, mais la prophétie est claire : l’Europe ira dans la direction décrite dans les pages de la Bible. Pour en savoir plus sur les prophéties bibliques qui concernent l’Europe, lisez ou écoutez La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?