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Alors que les crises économiques secouent l’Union européenne, une nation se tient prête à assumer un rôle dominant comme jamais auparavant. L’Allemagne se pose maintenant en « sauveur » d’un continent affaibli. Que déclarent les prophéties bibliques à ce sujet ?
L’Europe n’a cessé d’endurer des guerres dévastatrices au cours des siècles. Des royaumes et des alliances de nations se sont combattus pour prendre le pouvoir. Pendant plus d’un millénaire, la « chrétienté » européenne a combattu les envahisseurs musulmans en Espagne, en France, en Italie et en Autriche.
Pendant ce temps, le peuple allemand était assez inconfortablement « pris en sandwich » entre deux grandes puissances : la Russie à l’est et la France à l’ouest. De nos jours, les historiens militaires considèrent souvent que l’agressivité et le malaise général de l’Allemagne avec ses voisins sont en partie dus à ce manque de sécurité géographique naturelle. À trois reprises dans l’histoire récente – en 1871, 1914 et 1939 – une Allemagne agressive et ambitieuse décida d’attaquer premièrement la France pour éviter de devoir mener ensuite une guerre sur deux fronts.
Certains stratèges allemands rêvent depuis longtemps de dominer l’Europe au sein d’un projet controversé appelé Mitteleuropa, mais sa réalisation par des moyens militaires a toujours échoué. Le mot Mitteleuropa définit à la fois un lieu et une idéologie. Géographiquement, il s’agit de la région de la grande Allemagne en Europe centrale, et conceptuellement, il s’agit du premier projet de domination de la région par l’Allemagne, présenté vers 1915.
En utilisant des moyens économiques, les Allemands sont-ils désormais capables d’accéder à la domination qu’ils n’ont jamais réussi à obtenir par des moyens militaires ? De plus en plus d’analystes pensent que cette issue est la seule possible, depuis l’adoption de l’euro comme monnaie unique européenne. Mais les facteurs économiques qui renforcent l’économie allemande par rapport aux autres pays européens créent également un déséquilibre monétaire en Europe. Quel sera l’avenir de l’euro et de l’Union européenne ? Et quelles sont les perspectives bibliques sur le développement rapide de ces événements ?
L’euro a été créé pour unifier les différentes nations européennes dans une union économique qui rendrait obsolète les guerres perpétuelles sur le continent. L’interdépendance économique suscitée par l’euro, ainsi que les marchés communs en Europe, sont là pour empêcher les conflits militaires entre les pays. Pour les Français, l’euro était le moyen idéal pour contenir leur ancien adversaire, l’Allemagne, et pour former une grande union politique.
On a donné le nom de zone euro aux pays qui utilisent officiellement cette monnaie – 16 des 27 membres de l’Union européenne. Ces pays sont : l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, Chypre, l’Espagne, la Finlande, la France, la Grèce, l’Irlande, l’Italie, le Luxembourg, Malte, les Pays-Bas, le Portugal, la Slovaquie et la Slovénie. D’autres pays, notamment la Grande-Bretagne, la Suède et le Danemark, ont décidé ne pas rejoindre l’euro, préférant garder leurs monnaies nationales. Mais il y a aussi des pays hors de la zone euro qui utilisent l’euro, comme Andorre, le Kosovo, le Monténégro, Monaco, Saint-Marin et le Vatican. D’après les estimations, environ 327 millions d’Européens utiliseraient l’euro au quotidien. Bien que l’euro soit seulement la deuxième monnaie de réserve dans le monde (après le dollar), en 2009 il y avait plus de billets et de pièces en circulation en euro qu’en dollar américain. Après avoir été introduit en 1999, l’euro est rapidement devenu un élément fort avec lequel il fallait compter.
Mais au sein de l’Union européenne, certaines nations sont économiquement beaucoup plus fortes que d’autres. La rentabilité industrielle allemande dépasse largement les économies agraires de l’Espagne, du Portugal et de la Grèce. Grâce à la forte industrialisation de l’Allemagne, les ouvriers allemands produisent plus de valeur ajoutée par heure de travail. Sous le régime de l’euro, l’Allemagne est inévitablement devenue l’une des principales économies exportatrices et elle a dégagé un excédent commercial nettement supérieur aux autres nations européennes.
« Une chose est certaine, les salaires sont élevés en Allemagne, mais sa forte productivité signifie qu’il reste moins cher d’employer des ouvriers sur place et de fabriquer des produits à haute valeur ajoutée, plutôt que d’employer une main d’œuvre traditionnellement bon marché en Grèce, au Portugal ou en Espagne […] Cela ne signifie pas que les ouvriers allemands coûtent moins chers […] Leurs salaires et leurs avantages sont parmi les plus élevés en Europe, dans les 34€ de l’heure […] C’est moitié moins en Grèce, et encore moins au Portugal » (“Europe’s Stragglers Find Villain”, Wall Street Journal, 22 mars 2010. C’est nous qui traduisons tout au long de cet article).
Les ouvriers allemands et les industriels ont travaillé pour atteindre cette place. Un ouvrier allemand gagne plus, mais il produit aussi davantage de valeur ajoutée par heure de travail que dans les autres pays, donnant à l’économie allemande un avantage significatif. Les Allemands en sont conscients et ils s’efforcent de maintenir cet état de fait.
« En maîtrisant le coût de la main d’œuvre, les exportations allemandes arrivent à être compétitives, malgré un euro fort. Mais cela se fait au détriment des marchés communs pour les autres membres de la zone euro, avancent les détracteurs. Alors que l’Allemagne a dégagé un excédent commercial de 136 milliards d’euros l’année dernière, l’Espagne, la Grèce et le Portugal font face à de larges déficits […] Les pays ont trois possibilités pour rendre leurs produits attractifs : contrôler le coût de la main d’œuvre ; améliorer la productivité ; dévaluer leur monnaie. La dernière option n’est plus possible au sein de la zone euro puisqu’elle utilise une monnaie unique » (ibid.).
Ainsi, l’Allemagne garde son avantage – en grande partie grâce à l’euro.
La Grèce a longtemps élu des gouvernements de gauche. Leur politique a engendré un déficit budgétaire très élevé et de grands emprunts publics pour financer la faiblesse de son économie et la générosité de ses aides sociales. Les Grecs et leurs politiciens sont devenus dépendants de ce système et il est très difficile d’en changer. Mais la dette grecque est insoutenable. La dette nationale est plus élevée que la production annuelle du pays, et cette tendance continue de s’accroître, pire elle s’accélère. À présent, le gouvernement a atteint les limites d’endettement fixées par les créanciers, et le refinancement des dettes arrivant à échéance est devenu très difficile et coûteux. Quand d’autres pays avaient affronté un problème similaire, ils avaient dévalué leur monnaie, afin de pouvoir aménager leur dette. Mais les Grecs sont membres de la zone euro et leur monnaie est l’euro. Ils ne peuvent donc pas dévaluer leur monnaie. Le risque de défaut de souveraineté de la Grèce a créé une onde de choc dans l’Union européenne.
Et ce ne sont que les moins mauvaises nouvelles. Le pire reste à venir, les problèmes de la Grèce ne sont que la première vaguelette d’un tsunami de problèmes de la dette qui s’apprête à déferler sur les côtes de l’Union européenne. Quatre autres pays européens, et non des moindres, s’apprêtent à connaître le même sort. Le Portugal, l’Italie, l’Irlande et l’Espagne ont tous des déficits énormes se rapprochant des limites de ce qui peut être financé – ces pays, ainsi que la Grèce, sont aussi désignés sous l’acronyme PIIGS (signifiant littéralement “cochons” en anglais : Portugal,Italy, Ireland, Greece et Spain [Espagne]). Ces nations vont devoir effectuer d’importantes coupes budgétaires dans la fonction publique et les aides sociales si elles veulent garder le contrôle des dépenses et des déficits nationaux. Le ministre de l’Economie allemand, Rainer Brüderle, a déclaré que certaines nations européennes avaient « vécu au-dessus de leurs moyens en négligeant leur compétitivité » (ibid.).
« De nombreux responsables européens ont fait part de leurs craintes de voir ces problèmes nationaux s’étendre à d’autres nations européennes, si l’Europe ne réagissait pas pour sauver la Grèce, mettant ainsi l’euro en danger » (“Greek Debt Crisis Seen Getting Worse”, Wall Street Journal, 20 avril 2010). L’Espagne et le Portugal sont particulièrement visés. Un défaut de paiement grec serait un choc. Mais un défaut de paiement de l’Espagne ou d’une autre nation de la zone euro serait une catastrophe – début juin, la valeur de l’euro était déjà retombée à son plus bas niveau depuis quatre ans, et l’avenir est incertain.
Les économistes ont déjà prévenu que l’aide d’urgence proposée par l’Union européenne et le Fond monétaire international permettra de retarder la propagation du problème grec pendant quelque temps, mais cela ne sera pas suffisant pour empêcher des défauts de paiement similaires – ou pires – d’autres nations du PIIGS au bord de la faillite. Au milieu de tout cela, l’Allemagne s’impose comme la puissance économique qui mène la danse et qui établit les règles de partage de l’aide économique pour les autres nations.
Certains pays européens veulent que l’Allemagne augmente sa consommation et réduise son avantage économique durement acquis. La France a blâmé la forte dépendance aux exportations allemandes dans la crise actuelle. Les Allemands ont vivement réagi. La chancelière allemande, Angela Merkel, a clairement déclaré que « l’Allemagne n’abandonnera pas sa puissance à l’exportation » (“Merkel Floats Option of Euro-Zone Expulsion”, Wall Street Journal, 18 mars 2010).
Il reste à voir si le peuple grec – et leurs politiciens – accepteront l’ingérence allemande dans leurs dossiers économiques. Cela étant, même dans le meilleur des cas, les mesures à court terme comme les plans de sauvetage ne permettront de résoudre que les problèmes à court terme. L’Union européenne et l’Allemagne feront rapidement face au même problème, cumulé aux problèmes de l’Espagne, du Portugal et de l’Italie. L’Allemagne voudrait se servir de son influence pour engager des réformes structurelles à long terme en Europe, comme un contrôle commun de la fiscalité européenne pour tous les états-membres. L’Allemagne devra sortir de l’argent à court terme, mais elle en tirera des bénéfices à long terme.
Tout cela cause un grand problème politique pour la chancelière allemande Angela Merkel, car les contribuables allemands sont réticents à aider les travailleurs grecs qui peuvent partir à la retraite plus tôt que les Allemands. En fin de compte, la chancelière Merkel exigera des changements de grande ampleur en échange des largesses allemandes. Pour le moment, l’Allemagne est en position de force dans les négociations.
« Des voix se sont élevées pour appeler l’Allemagne à “rééquilibrer” la situation – en achetant davantage de biens chez ses voisins européens en mauvaise posture, afin qu’ils puissent garder l’argent sur le marché intérieur. Des responsables allemands, comme le ministre des Finances Wolfgang Schäuble, sont inflexibles sur le fait qu’il vaut mieux être la “locomotive” de l’Europe que son mécène » (“Smaller euro nations trail Germany’s ‘locomotive’”, Washington Post, 2 juin 2010). Dans la pratique, que cela signifie-t-il ? « Sans monnaie nationale, la Grèce et les autres économies criblées de dettes, comme l’Espagne, ont perdu un outil important – la possibilité de dévaluer leur monnaie pour rendre leur production moins chère et plus compétitive. En Allemagne, la situation est renversée – cela permet à sa puissance industrielle de récolter de l’argent des pays européens qui sont pris dans l’orbite de la monnaie unique » (ibid.).
L’époque des crédits bon marché et du gaspillage est révolue pour les nations du PIIGS. L’Allemagne est en position de force pour négocier et, avec le temps, elle essaiera probablement d’imposer sa vision des choses dans la restructuration des moyens d’actions européens pour lutter contre la récurrence probable de la crise de la dette grecque.
Voici le commentaire d’Irwin Stelzer, de l’Institut Hudson : « Les politiciens européens semblent avoir tiré des leçons de leurs homologues de l’administration Obama. Rahm Emanuel, chef de cabinet de Barack Obama, a dirigé une enquête sur les ruines de l’économie américaine dont ils ont héritée et il déclara au Président : “Il faut savoir profiter d’une crise grave”. Personne ne peut accuser les politiciens européens et leurs bureaucrates de ne pas profiter de la grave crise de la zone euro provoquée par les excès de la Grèce » (“Greek Problems Will Drive Integration”, Wall Street Journal, 19 avril 2010).
Stelzer ajoute : « Pour les défenseurs d’une intégration européenne plus profonde, la crise de la Grèce est une opportunité pour accélérer leur programme, au-delà ce qu’ils avaient pu imaginer, si la Grèce n’avait pas falsifié ses comptes et vécu à crédit pour supporter son train de vie fastueux en embauchant toujours davantage de fonctionnaires » (ibid.).
Stelzer met en exergue le fait que la crise grecque a donné aux partisans d’une intégration européenne plus profonde une nouvelle opportunité d’accélérer leur programme. De nombreux observateurs s’étaient déjà rendu compte que des problèmes éclateraient si l’on utilisait une monnaie unique et des taux d’intérêts communs européens, sans une politique fiscale unifiée. Stelzer fait aussi remarquer : « Tant que les économies mondiales étaient prospères, cette faille dans l’armure des intégrationnistes de l’Europe était sans conséquence. Les exportations allemandes allaient bon train, les consommateurs grecs continuaient d’importer et d’emprunter à des taux attractifs pour payer leurs importations, et tout semblait aller pour le mieux […] Mais c’était une illusion. Ainsi, la zone euro traverse actuellement la crise dont il faut savoir profiter » (ibid.).
Les Allemands – à qui l’on a demandé de débourser 100€ par personne pour permettre aux Grecs de partir à la retraite à un âge qu’aucun Allemand ne peut espérer – pourraient bientôt se voir demander la même chose pour aider l’Espagne, le Portugal ou un autre pays du sud de l’Europe. Est-il crédible d’espérer demander à l’Allemagne de payer de plus en plus, sans qu’elle puisse s’ingérer en retour dans les politiques fiscales des pays bénéficiaires ? Stelzer observe : « Nous sommes sur le point de savoir quelle part de souveraineté chaque nation de la zone euro est prête à céder, alors que l’Europe fait un nouveau pas – un pas de géant – vers une intégration économique complète » (ibid.).
Une Union européenne fédérale, avec un gouvernement centralisé, est plus que jamais à l’ordre du jour. Lors d’une conférence, l’auteur du livre The Principality and Power of Europe [La principauté et la puissance de l’Europe], Adrian Hilton, a clairement expliqué la situation : « Il y aura une politique fiscale unique […]et une imposition commune ». Les 27 pays de l’Union européenne, malgré leurs conflits internes, mettent en place les bases d’une superpuissance composée de dix nations (ou dix royaumes) prophétisée dans les Écritures.
Les grandes crises peuvent devenir des vecteurs de grands changements. Mais il faudra une crise encore plus grande pour arriver au dénouement final de ces événements prophétisés dans la Bible.
Que les dirigeants allemands décident ou non de poursuivre le vieux rêve de la Mitteleuropa, ils sont en mesure de commencer à réclamer une hégémonie économique pour le reste de l’Europe. Quels changements allons-nous voir en Europe ? Nous pouvons trouver la réponse dans les Écritures.
La Bible est un livre unique en son genre, qui se concentre principalement sur une période de 7000 ans – sur l’histoire de l’humanité – selon le point de vue divin. Ce Dieu n’est pas une quelconque force abstraite ; Il est le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, et Il explique dès le commencement ce qui arrivera à la fin (Ésaïe 46 :8-10). Les Écritures – Sa parole – mettent en lumière à la fois les événements passés et à venir dans le contexte de Son plan pour l’humanité, qu’Il a mis en place dans une « semaine » prophétique de sept millénaires.
Il est important de garder cette structure à l’esprit quand nous lisons les prophéties. Dans la chronologie biblique, nous sommes proches de la fin du sixième millénaire. Le septième millénaire à venir sera celui du repos sabbatique, avec l’établissement du Royaume de Dieu (Hébreux 4 :1-11). Quand nous lisons la Bible dans ce contexte, il est facile de voir que la parole de Dieu est autant valable de nos jours que dans le passé. Une personne vivant à n’importe quelle époque peut en être informée. Le plan de Dieu est constant, il ne change pas et il est important pour chaque individu à travers l’Histoire.
La plupart des prophéties bibliques parlent des événements qui auront lieu à la fin de la période actuelle de 6000 ans et au début du dernier jour de la « semaine » prophétique – le règne millénaire de Jésus-Christ sur Terre comme Roi des rois. Mais avant que le Christ ne s’asseye sur Son trône comme Dirigeant de cette planète, des gouvernements humains s’opposeront à Lui – y compris ceux de la superpuissance européenne qui s’élèvera à la fin de notre ère. Cette superpuissance sera composée de dix rois, ou dix gouvernements, sous l’influence d’une puissante entité religieuse.
Depuis longtemps, le Monde de Demain a expliqué que l’Allemagne était identifiée dans la prophétie sous le nom d’Assyrie. Bien que ce peuple remarquable ait été écrasé par les Alliés à la fin de la Seconde Guerre mondiale, il sera à nouveau très puissant et jouera un rôle moteur en Europe. Attendez-vous à voir l’Allemagne dominer les échanges commerciaux, la finance, l’économie, la politique et les forces militaires au sein d’une Europe fédérale.
Par l’intermédiaire du prophète Ésaïe, Dieu déclare : « Malheur à l’Assyrien, verge de ma colère ! La verge dans sa main, c’est l’instrument de ma fureur. Je l’ai lâché contre une nation impie, je l’ai fait marcher contre le peuple de mon courroux, pour qu’il se livre au pillage et fasse du butin, pour qu’il le foule aux pieds comme la boue des rues. Mais il n’en juge pas ainsi, et ce n’est pas là la pensée de son cœur ; il ne songe qu’à détruire, qu’à exterminer les nations en foule. Car il dit : Mes princes ne sont-ils pas autant de rois ? » (Ésaïe 10 :5-8).
Mais pour bien comprendre le rôle de l’Assyrie contre la « nation impie », nous devons comprendre que Dieu utilise cette nation pour accomplir Sa volonté. Et le temps viendra où Dieu finira par utiliser ce peuple remarquable de façon pacifique. « En ce même temps, il y aura une route d’Égypte en Assyrie : les Assyriens iront en Égypte, et les Égyptiens en Assyrie, et les Égyptiens avec les Assyriens serviront l’Éternel. En ce même temps, Israël sera, lui troisième, uni à l’Égypte et à l’Assyrie, et ces pays seront l’objet d’une bénédiction. L’Éternel des armées les bénira, en disant : Bénis soient l’Égypte, mon peuple, et l’Assyrie, œuvre de mes mains, et Israël, mon héritage ! » (Ésaïe 19 :23-25). Continuez à observer les événements en Europe, et nous continuerons, au Monde de Demain, à présenter ces événements à la lumière des prophéties bibliques.