Pourquoi les pacificateurs échouent ?

« Le pape François s’est joint à 400 dirigeants religieux lors d’une prière interconfessionnelle pour la paix à Assisi le 20 septembre, pour marquer le 30ème anniversaire de l’événement historique organisé par saint Jean-Paul II » (Catholic Culture, 20 septembre 2016).

Lors de cette célébration qui a « rassemblé chrétiens, juifs, musulmans, bouddhistes et d’autres dirigeants religieux », le pape a commenté : « Nous sommes venus à Assisi comme des pèlerins à la recherche de la paix […] Nous avons soif de la paix ; nous désirons voir la paix […] Nous devons nous libérer des lourds fardeaux du fondamentalisme et de la haine » pour parvenir à la paix. « Le patriarche Bartholomée a [aussi] mis l’accent sur la liberté religieuse et le respect de la nature dans son discours » (ibid.).

Mais peut-on vraiment apporter la paix en supprimant « le fondamentalisme et la haine », ainsi qu’en augmentant « la liberté religieuse » et « le respect de la nature » ? Les prophéties bibliques montrent que vers la fin de cette époque, les êtres humains « chercheront la paix, mais il n’y en aura point » (Ézéchiel 7 :25, Darby ; cf. Jérémie 6 :14). En décrivant les dirigeants de ce monde, le prophète Ésaïe déclara qu’ils « ne connaissent pas le chemin de la paix » (Ésaïe 59 :8). Les pèlerinages, les prières, les cierges et le respect pour la nature n’ont pas apporté et n’apporteront pas la paix à l’humanité.

La Bible révèle que la paix arrive lorsque les gens suivent les lois de Dieu (Psaume 119 :165). Elle révèle aussi que Jésus-Christ reviendra sur cette Terre en tant que Prince de la Paix (Ésaïe 9 :6-7) pour montrer à l’humanité la voie de la paix et pour mettre à tout jamais fin aux guerres (Ésaïe 2 :2-4). Les pacificateurs doivent lire le Livre qui révèle la voie de la paix durable. Pour approfondir ce sujet, lisez notre article « Paix » quand il n’y a pas de paix ?