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Le matin de Noël, pour de nombreux enfants du monde occidental, est le point culminant de l’année. Mais la cérémonie d’ouverture des cadeaux de Noël est-elle à la hauteur des attentes ? Réfléchissez-y. Noël n’est-il pas en général un peu comme un cadeau décevant ? Lorsque vous ouvrez le paquet, qu’y a-t-il à l’intérieur ? Ce que vous espériez est-il là ? Nous répondrons à cette question aujourd’hui au Monde de Demain, en dévoilant la vérité sur cette fête populaire.
[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]
Le matin de Noël, pour de nombreux enfants du monde occidental, est le point culminant de l’année. Ils bondissent du lit pour découvrir ce que le Père Noël leur a apporté cette année. Ils dévalent les escaliers, impatients, imaginant les nouveaux jouets qui les attendent. Ils les voient sous le sapin de Noël. Ils sont là : des cadeaux soigneusement empilés, enveloppés d’un emballage rouge et vert, qui attendent que les enfants découvrent ce qu’ils contiennent.
Quoi de plus excitant que ce rituel annuel de Noël ?
Tout le monde aime les surprises. Les enfants du monde occidental attendent avec impatience le moment palpitant du jour de Noël : L’instant tant attendu de l’ouverture des cadeaux.
Mais la cérémonie d’ouverture des cadeaux de Noël est-elle à la hauteur des attentes ? Les cadeaux répondent-ils vraiment aux souhaits et aux rêves de ces garçons et de ces filles ? Ou bien, après quelques minutes ou quelques heures passées à jouer avec un nouveau jeu ou une nouvelle poupée, la nouveauté s’estompe-t-elle ? Ou encore, la déception est-elle immédiate lorsqu’un jeu électronique attendu se révèle être des stylos ou des crayons ? Malheureusement, trop souvent, l’anticipation du cadeau est plus grande que l’objet réel.
Mais réfléchissez-y. Noël n’est-il pas en général un peu comme un cadeau décevant ? Il est tout en lumière, coloré, attrayant et attirant. Mais lorsque vous ouvrez le paquet, qu’y a-t-il à l’intérieur ? Ce que vous espériez est-il là ?
Nous répondrons à cette question aujourd’hui au Monde de Demain, en dévoilant la vérité sur cette fête populaire. Préparez-vous, car je vais vous donner l’occasion de demander notre brochure gratuite offerte aujourd’hui, Noël est-il chrétien ?
Rejoignez-moi donc aujourd’hui au Monde de Demain, alors que nous déballons quelques surprises de Noël. Je reviens tout de suite.
Bienvenue au Monde de Demain, où nous vous aidons à donner un sens à votre monde à travers les pages de la Bible.
Noël est l’une des fêtes les plus attendues du monde occidental. Pour beaucoup, c’est une période joyeuse et c’est particulièrement amusant pour les enfants ! Des millions de garçons et de filles se lèvent le matin de Noël, s’attendant avec joie à trouver des cadeaux sous l’arbre de Noël.
L’un des aspects les plus populaires de Noël est l’offre de cadeaux. Tout le monde aime recevoir un cadeau. C’est peut-être ce qui rend Noël si populaire auprès des enfants.
Mais tout comme les enfants peuvent être découragés lorsqu’ils reçoivent des chaussettes ou un pull au lieu du dernier jeu électronique ou d’un nouveau chiot, Noël est également rempli de surprises désagréables pour les adultes. Certaines sont même choquantes.
Dans notre émission d’aujourd’hui, nous allons parler de quelques surprises de Noël.
Noël est censé être la célébration de la naissance du Christ. Pourtant, il est constitué de nombreuses coutumes qui trouvent leur origine dans d’anciennes traditions païennes. Comme l’écrit l’auteur Desmond Morris dans son livre L’observance de Noël : « Pratiquement rien de ce que nous faisons pendant les festivités de Noël n’a le moindre rapport avec le christianisme, et encore moins avec la naissance de l’enfant Jésus » (Christmas Watching, Desmond Morris, p. 2, 1992).
En clair, les premiers chrétiens ne fêtaient pas Noël. C’est un fait reconnu par toutes les sources dignes de foi. Même ceux qui observent cette fête avec une grande ferveur reconnaissent ce fait. Remarquez cette déclaration de l’Encyclopédie catholique :
« Noël ne faisait pas partie des premières fêtes de l’Église. Irène et Tertullien l’omettent dans leurs listes de fêtes ; Origène […] affirme […] que dans les Écritures, seuls les pécheurs célèbrent leurs anniversaires, mais pas les saints » (“Christmas”, The Catholic Encyclopedia, vol. 3, p. 724. 1907).
L’Église originelle n’a jamais célébré Noël. C’est une surprise pour certains, surtout pour une fête qui est censée être l’une des plus importantes du calendrier chrétien. En 350 apr. J.-C., le pape Jules 1er a proclamé le 25 décembre comme date de naissance du Christ. Mais avant cela, pratiquement tous les mois de l’année avaient été suggérés, par un enseignant ou un autre, comme étant le mois de la naissance du Christ.
C’est ce que l’on trouve dans le livre The Pageantry of Christmas, à la page 10, édité par Stanley Fillmore. Selon les preuves bibliques, il est impossible que le 25 décembre fût l’anniversaire du Christ. Adam Clarke, l’éminent historien biblique du 19ème siècle, a expliqué dans sa discussion de Luc 2 que les bergers et leurs troupeaux n’auraient pas pu être dans les champs à la fin du mois de décembre, car c’était la saison froide et pluvieuse dans l’ancien Israël (Clarke’s Commentary, Vol. 5, p. 370).
Ainsi, l’histoire que des millions d’enfants apprennent chaque année est absolument fausse. Noël n’est pas du tout chrétien. Même les détails de la naissance du Christ sont tordus lorsqu’ils sont racontés dans le récit de Noël. Par exemple, les mages venus d’Orient n’ont pas rendu visite à Jésus en tant que bébé dans une mangeoire. Luc 2 décrit un ange annonçant aux bergers qu’ils trouveraient le Messie nouvellement né sous la forme d’un « enfant emmailloté et couché dans une crèche » (verset 12), mais lorsque les mages sont venus chercher le « roi des Juifs » (Matthieu 2 :2), Jésus était déjà un jeune enfant et vivait dans une maison (versets 9, 11). Au moment de la visite des mages, le Christ devait avoir près de deux ans (verset 16).
De surprise en surprise. On pourrait penser qu’une fête chrétienne majeure découle de l’histoire de l’Église et de la Bible. Mais s’agissant de Noël, on serait dans l’erreur.
Qu’en est-il du mythe du Père Noël ? Dans le monde anglo-saxon, le Père Noël joue un rôle prépondérant. Combien d’enfants s’endorment la veille de Noël en rêvant aux jouets fantastiques que le Père Noël déposera au pied du sapin lors de sa chevauchée nocturne dans le ciel ?
Avez-vous grandi en croyant au Père Noël ? Vous souvenez-vous du moment où vous avez appris que le Père Noël n’existait pas ? Étiez-vous perplexe et même effondré que quelqu’un – même vos propres parents – vous ait menti ? Cela me rappelle une histoire survenue il y a quelques années, lorsqu’un disc-jockey matinal de la station WBAB-FM à Babylon, dans l’État de New York, révéla à ses jeunes auditeurs que le Père Noël n’existait pas. Des mères et des pères indignés s’en plaignirent à la station, et le disc-jockey, John Parise, fut contraint de s’excuser. Pourtant, ce qu’il avait dit était vrai.
Quelle surprise désagréable que de découvrir que les personnes en qui l’on a le plus confiance nous ont menti. Dans un article publié par Newsday, le 23 décembre 2004, la professeure Cyndy Scheibe a souligné ce qui suit :
« Qui vous dit que le Père Noël n’existe pas ? C’est généralement quelqu’un que vous ne connaissez pas ou quelqu’un qui n’est pas particulièrement digne de confiance, comme votre ennuyeux grand frère… Et qui vous dit qu’il existe ? Des personnes en qui vous avez confiance » (“Why Santa Matters”, Newsday, 23 décembre 2004).
Ainsi, l’une des mauvaises surprises de Noël, c’est que celle-ci est basée sur des mythes et des légendes qui n’ont rien à voir avec la Bible ou les enseignements du Christ. Noël n’est pas du tout chrétien.
Mais la plupart des gens se disent : « Où est le problème ? Après tout, l’origine de Noël importe-t-elle, tant que nous l’observions pour honorer le Christ ? » Cela nous amène à notre deuxième surprise de Noël :
Vous pourriez dire : « Arrêtez tout de suite. Je sais que les origines de Noël sont un peu louches, un peu suspectes, mais Dieu s’en soucie-t-Il vraiment ? » Restez avec moi et voyons ce qu’il en est.
À l’époque de l’ancien Israël, lorsque Dieu fit sortir Son peuple d’Égypte, Il lui donna des instructions spécifiques sur la manière de L’adorer. Les Dix Commandements constituent la base de Ses instructions. Mais Dieu donna également beaucoup d’autres directives qui en découlent, y compris l’ordre de ne pas L’adorer à l’aide de pratiques païennes. Remarquez l’une de ces instructions :
« Lorsque l’Éternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi, lorsque tu les auras chassées et que tu te seras établi dans leur pays, garde-toi de te laisser prendre au piège en les imitant, après qu’elles auront été détruites devant toi. Garde-toi de t’informer de leurs dieux et de dire : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? Moi aussi, je veux faire de même. Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Éternel, ton Dieu » (Deutéronome 12 :29-31).
Remarquez que Dieu ne leur dit pas simplement : « N’adorez pas les dieux païens de ceux qui vous entourent. » Non, Il déclara : « Ne m’adorez pas, moi, le vrai Dieu, avec les formes païennes d’adoration de ceux qui vous entourent. »
Pensez-y. C’est exactement ce que l’on fait aujourd’hui avec Noël. D’anciens symboles et formes antérieurs au christianisme sont utilisés au nom de Jésus-Christ. Cela est grave pour Dieu. Plus tard dans l’histoire d’Israël, le prophète Jérémie fut plus précis :
« Ainsi parle l’Éternel : N’imitez pas la voie des nations, et ne craignez pas les signes du ciel, parce que les nations les craignent. Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt ; la main de l’ouvrier le travaille avec la hache ; on l’embellit avec de l’argent et de l’or, on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu’il ne branle pas » (Jérémie 10 :2-4).
Comment pourrait-on être plus clair ? Le principe biblique est de ne pas mélanger les religions du monde avec celle du vrai Dieu. La façon dont nous l’adorons importe à Dieu.
Remarquez ce que le Christ dit à la Samaritaine au puits. Soit dit en passant, les Samaritains étaient réputés pour mélanger des éléments de la vraie religion avec des pratiques idolâtres. C’est exactement ce que Dieu interdit expressément. C’est l’une des raisons pour lesquelles les Juifs n’entretenaient pas de relations avec eux.
« L’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité. » (Jean 4 :23-24).
Réfléchissez-y. Comment le fait de célébrer Noël peut-il être considéré comme une adoration de Dieu en esprit et en vérité ? Jésus nous dit comment L’adorer, Lui et le Père, selon la vérité, comme le soulignent les Écritures.
Mais Jésus va plus loin. Il explique qu’il ne suffit pas de proclamer Son nom. Nous devons obéir à Ses Commandements et à ceux du Père, et non aux traditions des hommes. Remarquez ce qu’Il dit aux pharisiens :
« Il leur répondit : Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition ? […] Hypocrites, Ésaïe a bien prophétisé sur vous, quand il a dit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est éloigné de moi. C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes » (Matthieu 15 :3, 7-9).
En d’autres termes, pour traduire cela en langage courant, Jésus dit : « Ne m’adorez pas au gré de vos convictions, en croyant que tant que le nom de Jésus est invoqué, cela est acceptable. La façon dont vous m’adorez m’importe ». Comment la célébration d’une ancienne fête, les Saturnales, peut-elle répondre à ce que dit le Christ ? Surtout quand nous voyons que l’Église originelle n’a jamais célébré cette fête ?
Nous devons rechercher non pas notre propre raisonnement, mais ce que Dieu veut. La volonté divine, et non ce que font nos amis, ou ce que nos grands-parents ou nos parents nous ont appris. Nous ne devons pas craindre de déranger ceux qui nous entourent. Certains n’apprécieront pas que nous suivions la vérité courageusement. Mais à qui cherchons-nous à plaire ? Au monde ou à notre Sauveur ? Beaucoup sont choqués de lire certaines des paroles mêmes du Christ, comme celles dans Matthieu 10 :
« Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée. Car je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère ; et l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison. Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ; celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n’est pas digne de moi » (versets 34-38).
En d’autres termes, il est difficile d’obéir vraiment à Dieu dans ce monde, parce que tant de gens vont dans le sens contraire. Mais si vous regardez cette émission, si vous cherchez la vérité et si vous comprenez ce que vous entendez, vous pouvez faire un pas dans la foi. Vous pouvez décider dans votre cœur : « Je vais suivre la vérité quoi qu’il arrive. Je vais ouvrir ce livre et découvrir ce que Dieu me dit vraiment de faire. »
Soyez donc courageux. Avancez dans la foi. Décidez de vraiment chercher Dieu et de Lui obéir, et Il vous bénira pour cela. La façon dont nous L’adorons est importante pour Dieu.
Mais si nous ne devons pas célébrer d’anciens rituels idolâtres en l’honneur du Christ, quels sont les jours que nous devons célébrer ? Dans ce segment, nous allons déballer la troisième surprise de Noël.
Quelles sont-elles ? Elles sont énumérées dans la Bible. Vous avez peut-être entendu parler de certaines d’entre elles. Mais vous avez peut-être supposé qu’elles étaient des fêtes juives. Il peut également être surprenant de constater qu’elles figurent dans le Nouveau Testament. Les chrétiens du Nouveau Testament du premier siècle comprenaient et observaient ces Fêtes. Alors, quelles sont-elles ?
Il y a d’abord la Pâque du Nouveau Testament. Elle a lieu au printemps, généralement au début du mois d’avril. La Pâque nous rappelle que Jésus remplit le rôle de l’Agneau de Dieu, immolé pour nos péchés. C’est pourquoi la Pâque est importante pour les chrétiens. Comme le dit Paul dans 1 Corinthiens 5 :7 : « car Christ, notre Pâque, a été immolé. »
En d’autres termes, la Pâque chrétienne est la première étape cruciale du plan divin, qui consiste à apporter la rédemption à l’humanité pécheresse. La Pâque était observée par les premiers chrétiens, même ceux qui n’étaient pas Juifs.
Vient ensuite la Fête des Pains sans Levain. Elle suit immédiatement la Pâque. La Fête des Pains sans Levain nous enseigne que nous devons changer et croître. Le sacrifice du Christ nous libère, mais nous ne devons pas continuer à vivre dans le péché. Nous devons résister au péché et apprendre un nouveau mode de vie, avec l’aide de Dieu. Comme le dit aussi Paul dans 1 Corinthiens 5 :8 : « Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, non avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la pureté et de la vérité. »
La troisième Fête du calendrier des Fêtes dans le Nouveau Testament est la Fête des prémices. Dans le Nouveau Testament, elle est appelée la Pentecôte, ce qui signifie « cinquantième ». La Pentecôte a lieu entre la fin du mois de mai et la mi-juin.
Au Moyen-Orient, en Terre sainte, c’était l’époque du début de la récolte du blé. Pour les chrétiens du Nouveau Testament, la Pentecôte est le jour de l’an 31 de notre ère où le Saint-Esprit fut déversé sur l’Église originelle :
« Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous ensemble dans le même lieu. Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux et il remplit toute la maison où ils étaient assis » (Actes 2 :1-2).
C’était le début de l’Église de Dieu du Nouveau Testament. C’était le début des « prémices » du salut. En Terre sainte, la plus grande récolte a lieu plus tard, à la fin de l’été. Ce que nous apprend cette Fête, c’est que Dieu n’appelle pas tout le monde aujourd’hui, mais seulement un petit groupe de prémices, la moisson précoce. La multitude des autres auront leur opportunité plus tard.
Avez-vous déjà entendu parler de la Pâque du Nouveau Testament, de la Fête des Pains sans Levain et de la Pentecôte ? Savez-vous que les chrétiens du Nouveau Testament devaient célébrer ces Fêtes ? Cela peut vous surprendre. Mais au lieu de Noël et d’autres fêtes populaires, ce sont les Fêtes bibliques que les chrétiens doivent célébrer.
Le Jour saint suivant, ou Jour de Fête, s’appelle la Fête des Trompettes. La Fête des Trompettes a lieu entre fin septembre et début octobre dans le calendrier romain. Elle représente prophétiquement le retour triomphal de Jésus-Christ. Il séjournera sur Terre une seconde fois. Mais cette fois-ci, Il viendra avec puissance et gloire, au cours d’une période de guerre, de misère et de destruction. Pour en savoir plus, regardez notre émission intitulée « Qu’est-ce que la Fête des Trompettes ? ».
Après la Fête des Trompettes vient le Jour des Expiations. Le Jour des Expiations a également lieu entre fin septembre et/ou début à mi-octobre. Il représente la purification de l’humanité du péché. Il identifie la source de ce péché, le diable, qui sera mis à l’écart. Le Jour des Expiations, était tenu en haute estime par les chrétiens du Nouveau Testament au premier siècle, comme nous le constatons dans Actes 27 :7. Dans ce passage, Luc décrit les périples de Paul et de ses compagnons de route sur la mer Méditerranée :
« Nous passâmes au-dessous de l’île de Crète, du côté de Salmone. Nous la côtoyâmes avec peine, et nous arrivâmes à un lieu nommé Beaux-Ports, près duquel était la ville de Lasée. Un temps assez long s’était écoulé, et la navigation devenait dangereuse, car l’époque même du jeûne était déjà passée » (Actes 27 :7-9).
La Bible du Semeur le traduit de la manière suivante : « car l’époque du grand jeûne d’automne était déjà passée » (Actes 27 :9). Comment devons-nous comprendre cela ? Le Jour des Expiations a généralement lieu à la fin du mois de septembre ou au début ou à la mi-octobre. Après cette période, la navigation sur la Méditerranée est houleuse et dangereuse. Mais l’auteur, Luc, utilisa le Jour des Expiations comme un repère temporel que son auditoire devait connaître, même les chrétiens d’origine païenne. Pourquoi s’intéresseraient-ils au Jour des Expiations, à moins qu’ils ne le célébraient encore des années après la fondation de l’Église, en l’an 31 de notre ère ?
La Fête biblique suivante est la Fête des Tabernacles. En bref, la Fête des Tabernacles est une période de sept jours qui tombe généralement entre le début et la fin du mois d’octobre et qui préfigure mille ans de paix, de prospérité et d’abondance sur Terre.
C’est encore à venir mais c’est pour bientôt. Jésus-Christ régnera personnellement sur la Terre. Toute l’humanité – ceux qui survivront à la grande tribulation et au Jour du Seigneur – jouira des avantages et des bénédictions de la vie sous le règne de Jésus-Christ.
Cela nous amène au dernier des Jours saints bibliques de Dieu. C’est ce qu’on appelle le Dernier Grand Jour. Il succède à la Fête des Tabernacles et représente le moment de la résurrection générale. C’est le moment où la grande majorité des milliards de personnes n’ayant eu l’opportunité de recevoir le salut sera ressuscitée et aura alors une véritable opportunité. Ce jour est pour eux. Cela se passera après les mille ans. Leur entendement sera ouvert, l’Esprit de Dieu sera mis à leur disposition et la vie éternelle leur sera offerte.
Ce sont les Fêtes que l’on trouve dans le Nouveau Testament. Contrairement à Noël, aux Pâques et à d’autres fêtes populaires, ce sont les Fêtes que l’on trouve dans la Bible et qui étaient célébrées par l’Église originelle du Nouveau Testament. C’est pourquoi les chrétiens d’aujourd’hui devraient aussi les célébrer.
Dans 1 Rois 18 :21, nous lisons le célèbre récit du prophète Élie et de son affrontement avec les prophètes de Baal : « Alors Élie s’approcha de tout le peuple, et dit : Jusqu’à quand clocherez-vous des deux côtés ? Si l’Éternel est Dieu, allez après lui ; si c’est Baal, allez après lui ! ». Dieu nous livre le même message aujourd’hui.
Dieu veut que nous rejetions les traditions du monde qui n’ont de nom que le Christ. Il nous demande de respecter les Jours saints bibliques qu’Il sanctifia. Il nous ordonne de l’adorer en esprit et en vérité avec d’autres chrétiens sincères qui célèbrent eux aussi cette vérité précieuse. Nous espérons et prions pour que vous en fassiez partie.
Chaque année nous voyons le même décor : des sapins décorés, des couronnes de houx ou de gui, ainsi que des lumières multicolores. Parfois, nous voyons aussi une petite crèche avec un petit enfant qui reçoit des présents en abondance. Cependant, de nos jours, il existe une surenchère entre de nombreux adultes qui s’endettent pour essayer d’offrir le dernier cadeau à la mode à leurs enfants, aux membres de leur famille et à leurs amis.
Jésus voulait-Il que Ses disciples fassent cela ? Quel est le lien entre ces traditions et la naissance de Jésus-Christ ? Les gens disent souvent qu’il faut « replacer le Christ au centre de Noël » – mais a-t-Il jamais été au centre de cette célébration ? D’où viennent toutes ces traditions ? La réponse pourrait bien vous surprendre !