Le problème posé par Noël | Le Monde de Demain

Le problème posé par Noël

Le problème posé par Noël

Noël touche au cœur même de nos émotions en faisant appel à tous nos sens. Nous aimons l’odeur des sapins fraîchement coupés et nous admirons les couronnes verdoyantes. Nos papilles gustatives attendent avec impatience boissons et plats festifs. Toutefois, Noël pose un problème dont tout chrétien sincère devrait se préoccuper. Aussi difficile que cela soit de le croire, le problème posé par Noël réside dans sa contradiction avec le récit biblique. Restez à l’écoute !

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Noël touche au cœur même de nos émotions en faisant appel à tous nos sens. Nous aimons l’odeur des sapins fraîchement coupés et nous admirons les couronnes verdoyantes. Nos papilles gustatives attendent avec impatience boissons et plats festifs. Nous nous émerveillons à la vue des illuminations multicolores. Des ritournelles sont diffusées dans les grands magasins et qui ne rêve pas de recevoir une boîte joliment emballée avec une surprise à l’intérieur ?

Cependant, le problème posé par Noël ne se limite pas au fait de « remettre le Christ au centre de Noël », et tout chrétien devrait s’y arrêter et en prendre note. Aussi difficile que cela puisse être de l’accepter et aussi difficile que cela soit de le croire, le problème posé par Noël réside dans sa contradiction avec le récit biblique. Cette fête occulte la véritable signification de la naissance de Jésus.

Cela peut vous choquer, et dans l’émission du Monde de Demain d’aujourd’hui, je vous exposerai des preuves indiscutables qui démontrent comment l’histoire de Noël, avec toutes ses coutumes et traditions, déforme les faits historiques. Nous vous offrirons également une brochure gratuite sur le sujet, intitulée Noël est-il chrétien ?

Voulez-vous, mes amis, connaître ce qui ne va pas avec Noël ? Si oui, restez à l’écoute !

Bienvenue au Monde de Demain, et je souhaite tout particulièrement la bienvenue aux téléspectateurs qui nous regardent pour la première fois. Dans l’émission d’aujourd’hui, je discuterai de quatre dilemmes sérieux liés à Noël, des dilemmes dont tout chrétien sincère devrait se préoccuper. Quels sont donc les dilemmes que pose Noël ?

Dilemme n° 1 : La tradition de Noël n’est pas biblique

C’est vrai. L’histoire que vous entendez chaque année en décembre n’est pas la même que celle qui se trouve dans la Bible. Mais ne vous méprenez pas : Jésus est bien le Fils de Dieu et Sa naissance est effectivement relatée dans la Bible, mais pas comme pensent la plupart des gens.

Par exemple, saviez-vous que les rois mages ne vinrent pas la nuit de la naissance de Jésus ? Il n’était plus dans une mangeoire quand ils se présentèrent. Ils n’apportèrent pas de cadeaux de naissance. En plus, contrairement aux chants de Noël, la Bible ne nous dit nulle part qu’il y avait trois rois. L’histoire des rois mages ne s’est pas passée comme on le raconte aujourd’hui. En tout cas, pas selon la Bible ! C’est un mythe qui déforme et occulte la vérité des Écritures. Remarquez ce que la Bible dit réellement.

La visite des mages eut lieu des semaines, voire des mois après la naissance de Jésus, et lorsqu’ils Lui rendirent visite, l’enfant n’était plus dans une crèche, mais dans une maison avec Sa mère. Aucune mention de bergers et de moutons, ni même de Joseph, lors de la visite des mages. Mais ne nous avançons pas trop vite dans l’histoire. Lorsque les mages arrivèrent à Jérusalem, rapportant avoir vu une étoile inhabituelle dans le ciel, ils vinrent s’informer au sujet d’un enfant qui naquit pour devenir roi des Juifs. Cela ne manqua pas de créer une certaine agitation parmi les habitants de la contrée, y compris chez le roi Hérode :

« Le roi Hérode, ayant appris cela, fut troublé, et tout Jérusalem avec lui. Il assembla tous les principaux sacrificateurs et les scribes du peuple, et il s’informa auprès d’eux du lieu où le Christ devait naître » (Matthieu 2 :3-4).

La réponse de ces chefs religieux fut celle que le Messie devait naître à Bethléem. Hérode envoya alors ces visiteurs d’orient à Bethléem, pour trouver l’enfant et lui faire un rapport sur l’endroit où il avait été trouvé afin de pouvoir l’adorer. Bien sûr, il s’agissait d’une ruse. Hérode n’avait aucune intention d’adorer un autre roi, mais il voulait savoir où se trouvait l’enfant pour pouvoir le tuer.

Bien que Bethléem ne se trouve qu’à un peu plus de 9 km de Jérusalem, ce qui n’est pas une grande distance, il devrait être évident, d’après ce que nous avons déjà lu, que la naissance de Jésus et la visite des mages n’eurent pas lieu la même nuit, mais remarquez cette déclaration claire qui se trouve : « Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent » (Matthieu 2 :11).

Notez la référence faite au Christ comme étant un petit enfant, et non un nourrisson ou un nouveau-né, mais nous n’avons pas besoin de nous fier aux nuances des termes pour savoir que les mages ne se présentèrent pas la nuit de la Nativité et voici pourquoi. Après quelques jours sans doute, Hérode se rendit compte que les mages n’allaient pas lui faire de rapport :

« Alors Hérode, voyant qu’il avait été joué par les mages, se mit dans une grande colère, et il envoya tuer tous les enfants de deux ans et au-dessous qui étaient à Bethléhem et dans tout son territoire » (Matthieu 2 :16).

Pourquoi jusqu’à l’âge de deux ans ? Après tout, il y a une énorme différence entre un nourrisson et un enfant de deux ans. Le reste du verset 16 l’explique : « selon la date dont il s’était soigneusement enquis auprès des mages. »

Certes, Jésus avait moins de deux ans, mais Il n’était plus un nouveau-né. Au minimum, Il était déjà âgé de plusieurs semaines. Comme nous le lisons dans Luc, Il fut circoncis le 8e jour et, 40 jours après Sa naissance, Il fut amené au temple : « Et, quand les jours de leur purification [celle de Marie] furent accomplis, selon la loi de Moïse [c’est-à-dire 40 jours], Joseph et Marie le portèrent à Jérusalem, pour le présenter au Seigneur » (Luc 2 :22).

Ces événements se produisirent avant la visite des mages. Peu après leur visite, Joseph fut averti en songe de fuir en Égypte avec l’enfant, car Hérode allait tuer tous les enfants de moins de deux ans dans la région.

Dans l’émission du Monde de Demain d’aujourd’hui, nous discuterons du problème posé par Noël et nous verrons comment la vérité fut occultée par la tradition. Mais vous vous demandez peut-être si tout cela est important ? Oui, assurément ! Si, en tant que parent, vous mentez à vos enfants, vous portez atteinte à votre propre intégrité. Quelle crédibilité avez-vous en enseignant de dire toujours la vérité, si vous n’êtes pas honnête vous-même ? Que dire du fait qu’au nom de la religion, vous-même violez les principes de votre religion ?

Notez cet avertissement qui donne à réfléchir et qui se trouve dans Apocalypse 21 :8 :

« Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les débauchés, les magiciens, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort. »

Oui, les menteurs seront traités comme les meurtriers et les personnes sexuellement immorales. Notez également que les lâches font partie de la liste ici. Combien de gens qui se disent chrétiens ont le courage de faire ce qu’ils savent être juste ? Le plus souvent, la crainte de la famille, des amis et des collègues, les empêche d’agir en fonction de la vérité.

Dans la partie précédente de cette émission, j’ai présenté le dilemme n° 1 : La tradition de Noël n’est pas biblique. Outre le fait que la Bible montre clairement que les rois mages ne rendirent pas visite au Christ la nuit de Sa naissance, nous avons également vu que Jésus se trouvait dans une maison avec Sa mère lorsqu’ils arrivèrent.

En outre, nous ne trouvons nulle part dans les Écritures la mention spécifique de trois rois ou de trois sages. Ils firent trois sortes de présents (de l’or, de l’encens et de la myrrhe), mais il s’agit de catégories de cadeaux, et non d’une indication du nombre des mages. S’ils ne se présentèrent pas le jour de Sa naissance, pourquoi apportèrent-ils des présents ? Il nous est raconté que nous donnons des présents à Noël parce que c’est ce que les mages firent. Mais attendez un peu ! Offrirent-ils des présents à Jésus Seul, et non entre eux ?

La vérité est importante. Ils ne célébrèrent pas une fête de naissance, mais offrirent des présents à un Roi, ce qui se perd dans les traditions et coutumes modernes. Jésus naquit pour être un Roi littéralement parlant. Remarquez la réponse de Jésus à la question de Pilate : « Tu es donc roi ? Jésus répondit :  Tu le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité » (Jean 18 :37).

Bien que le terme roi soit utilisé dans l’histoire traditionnelle de Noël, la réalité de ce que cela signifie s’est en quelque sorte perdue. Par exemple, Zacharie 14 donne une prophétie sur le futur rôle du Messie : « L’Éternel sera roi de toute la terre » (verset 9). Lisez vous-même Zacharie 14 et vous verrez qu’il s’agit d’un véritable Royaume qui sera établi ici-bas lors du second Avènement de Jésus. Cela nous amène à notre deuxième dilemme avec Noël :

Dilemme n° 2 : Jésus ne naquit pas un 25 décembre

Le fait qu’il s’agisse d’une affabulation est attesté par une multitude de sources. Vous verrez souvent ce fait dans les ouvrages traitant de Noël, ainsi que dans les articles de journaux paraissant chaque année en décembre. Personne ne connaît avec certitude la date exacte de la naissance de Jésus, mais nous sommes certains d’une chose : cela n’eut pas lieu un 25 décembre. Luc 2 :8 nous dit : « Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux. »

La pertinence de cette affirmation est expliquée par The Interpreter’s Bible : « L’implication du récit de Luc est que Jésus naquit à une époque où l’on pouvait encore garder les moutons dans les champs – soit entre avril et novembre. » Mais décembre reste un mois froid et pluvieux. Esdras 10 :9 le confirme : « C’était le vingtième jour du neuvième mois. Tout le peuple se tenait sur la place de la maison de Dieu, tremblant à cause de la circonstance et par suite de la pluie. »

Le vingtième jour du neuvième mois du calendrier hébraïque tombe entre fin novembre et fin décembre, selon l’année. Ensuite, il est dit : « Mais le peuple est nombreux, le temps est à la pluie, et il n’est pas possible de rester dehors » (Esdras 10 :13).

The Interpreter’s Bible commente ces versets comme suit :

« Ce mois marque généralement le début des fortes pluies en Palestine, lorsque la pluie abonde… gorge la terre et remplit les citernes. C’était… “le début des tempêtes d’hiver”, car les pluies, souvent glaciales, atteignaient leur pic d’intensité en décembre et en janvier. »

Certains tentent vainement de s’accrocher au 25 décembre comme date de la Nativité, mais les faits ne sont pas de leur côté, ce qui nous amène au troisième dilemme avec Noël.

Dilemme n° 3 : Noël ne TIRE pas ses origines de la Nativité

Nous entendons souvent parler de « remettre le Christ au centre de Noël ». Le problème, c’est que le Christ n’a jamais fait partie de Noël. Le christianisme traditionnel a simplement repris les coutumes et les traditions païennes, en y apposant le nom du Christ.

Alors que la Bible relate la véritable histoire de la naissance de Jésus-Christ, il n’existe absolument aucune trace d’une célébration annuelle de Sa naissance – zéro, nada ! Ce n’est que des siècles plus tard que Sa naissance fut associée à des célébrations païennes déjà existantes. La onzième édition de L’Encyclopedia Britannica, faisant autorité en la matière, déclare ce qui suit :

« À la fin de l’an 245 [apr. J.-C.], Origène, dans sa huitième homélie du Lévitique, repoussa l’idée pécheresse de l’observance de l’anniversaire de la naissance du Christ “comme s’il s’agissait d’un roi Pharaon”. La première mention précise officielle du 25 décembre, dans les annales romaines, date de l’an 354 apr. J.-C. » (Encyclopeadia Britannica, onzième édition, article “Christmas”).

Il est évident, d’après la déclaration d’Origène, que la célébration de la Nativité commença à s’insinuer dans l’Église dès cette époque, ce qui est corroboré par une note dans The Interpreter’s Bible :

« Au début du troisième siècle de notre ère, certaines sections de l’Église célébraient la Nativité le 6 janvier. Au quatrième siècle, cette date fut remplacée par le 25 décembre, jour qui fut longtemps l’occasion d’une fête païenne associée à la renaissance de diverses divinités solaires. C’était la date du solstice d’hiver selon le calendrier julien. »

Dans l’ouvrage de Tom Flynn, Le problème avec Noël, il cite l’auteur religieux conservateur George Cornell :

« Pendant plus de 300 ans après la naissance de Jésus, les chrétiens ne célébrèrent pas Sa naissance. L’observance commença au quatrième siècle à Rome, programmée pour coïncider avec une fête païenne du milieu de l’hiver honorant les dieux païens Mithra et Saturne. La date de décembre fut choisie pour commémorer la naissance de Jésus, car la date exacte n’est pas connue. En conséquence, la fusion du sacré et du profane a caractérisé cette célébration dès le début » (Le problème avec Noël, Flynn, pages 68-69).

Beaucoup comprennent que le 25 décembre n’est pas le jour de la Nativité et beaucoup se rendent compte que le sapin de Noël, le baiser sous le gui, la bûche de Noël, le Père Noël et bien d’autres coutumes puisent leur origine dans des traditions païennes. Tout se résume donc à la question suivante : « Est-ce que tout cela a de l’importance du moment que nous célébrons Jésus ? » Je vais répondre à cette question à partir des pages de la Bible – ce livre que tant de gens prétendent être la source de leurs croyances et de leurs traditions.

Pour certains d’entre vous, cela peut être nouveau. Pour d’autres, vous savez ces choses depuis fort longtemps. Donc, le nœud du problème est le suivant : « Est-ce que ces choses ont de l’importance pourvu que nous observions la naissance de Jésus ? » Il est maintenant temps de considérer le prochain dilemme :

Dilemme n° 4 : Dieu n’ordonne pas de célébrer la Nativité

L’ouvrage de Tom Flynn, Le problème avec Noël, est certes écrit d’un point de vue athée, et nous ne sommes pas athées au Monde de Demain. Néanmoins, ce qu’il écrit dans le chapitre intitulé « Jeter le bébé avec l’eau du bain » est exact :

« Même les chrétiens dévots – tout comme le clergé chrétien libéral et dominant – doivent admettre que la plupart de ce que nous savons sur le “récit de Noël” est le résultat d’un processus d’agglomération littéraire. Ses éléments sont inspirés par (ou empruntés à) des légendes de “personnages” saints plus anciens. Et même si le christianisme est véritable, le récit de Noël n’en est pas digne » (Le problème avec Noël, Flynn, pages 68-69).

Allons directement à la Bible pour apprendre ce qu’elle nous dit. Après tout, n’est-ce pas la source qui compte véritablement ? Jésus réprimanda ceux de Son époque qui l’appelaient leur Seigneur, c’est-à-dire leur Maître, mais qui n’obéissaient pas à Ses enseignements. « Pourquoi m’appelez-vous Seigneur, Seigneur ! et ne faites-vous pas ce que je dis ? » (Luc 6 :46).

Jésus réprimande ceux qui transgressent Ses lois pour garder leurs traditions

En outre, Il réprimanda les pharisiens pour avoir placé la tradition du lavement des mains au-dessus de la loi divine. La question était peut-être différente, mais le principe est le même – faire passer la tradition avant les commandements de Dieu. « Vous rejetez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition » (Marc 7 :9).

Dieu est-Il donc favorable aux traditions de Noël ? Est-Il satisfait et bien disposé envers ceux qui célèbrent la Nativité, à condition qu’ils le fassent « pour Lui » ? N’est-il pas temps de mettre le raisonnement humain de côté et de laisser la Bible répondre à ces questions ? Que pense Dieu du mélange de ces pratiques païennes avec le culte de Jésus ? Deutéronome 12 :29-32 déclare :

« Lorsque l’Éternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi […] garde-toi de te laisser prendre au piège en les imitant […] Garde-toi de t’informer de leurs dieux et de dire : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? Moi aussi, je veux faire de même. Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Éternel, ton Dieu ; car elles servaient leurs dieux en faisant toutes les abominations qui sont odieuses à l’Éternel, et même elles brûlaient au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux. Vous observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne ; vous n’y ajouterez rien, et vous n’en retrancherez rien. »

À l’époque de l’antique Israël, les gens mélangeaient l’adoration du vrai Dieu avec celle du faux dieu païen Baal. Le prophète Élie les mit au défi dans 1 Rois 18 :21 en leur posant cette simple question : « Alors Élie s’approcha de tout le peuple, et dit : Jusqu’à quand boiterez-vous des deux côtés ? Si l’Éternel est Dieu, allez après lui ; si c’est Baal, allez après lui ! » Remarquez leur réaction à sa question : « Le peuple ne lui répondit rien. »

Dieu interdit l’utilisation de pratiques païennes pour l’adorer

Comme beaucoup de gens aujourd’hui, ils voulaient gagner sur les deux tableaux. Ils voulaient adorer Dieu et une divinité païenne en même temps. Le New Bible Commentary Revised fait cette observation opportune concernant ce verset :

« Le péché du peuple n’était pas d’avoir rejeté l’adoration de Yahvé, mais d’avoir essayé d’y combiner celle de Baal. Un tel syncrétisme [combinaison d’idées religieuses] est toujours apparenté à une largesse d’esprit, tandis que l’opposé s’apparente à une étroitesse d’esprit. Mais le Yahvé d’Israël ne laissait pas de place pour d’autres dieux » (New Bible Commentary Revised, page 343).  

Cela fut le défi à travers l’Histoire, et notre époque n’est pas différente. Les gens veulent adorer Dieu à leur manière. Lorsque Étienne, le diacre nouvellement ordonné, confronta les Juifs au premier siècle, il leur fit remarquer qu’ils se tournaient sans cesse vers ce qui était païen. Puis il s’écria : « Hommes au cou raide, incirconcis de cœur et d’oreilles ! Vous vous opposez toujours au Saint-Esprit. Ce que vos pères ont été, vous l’êtes aussi » (Actes 7 :51).

Oui, mes amis, il y a un problème avec Noël, et Dieu rejette le fait de mélanger des pratiques païennes avec l’adoration de Son Fils. Comme Il le dit par l’intermédiaire du prophète Ésaïe :

« Tous ceux-là se complaisent dans leurs voies, et leur âme trouve du plaisir dans leurs abominations. Moi aussi, je me complairai dans leur infortune, et je ferai venir sur eux ce qui cause leur effroi, parce que j’ai appelé, et qu’ils n’ont point répondu, parce que j’ai parlé, et qu’ils n’ont point écouté ; mais ils ont fait ce qui est mal à mes yeux, et ils ont choisi ce qui me déplaît » (Ésaïe 66 :3–4).

Dans l’émission du Monde de Demain d’aujourd’hui, nous avons brièvement exploré le problème posé par Noël. C’est bien plus qu’un exercice académique. Il touche au cœur même de notre relation avec notre Créateur, mais face aux faits, peu ont le courage de changer.

 


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Chaque année nous voyons le même décor : des sapins décorés, des couronnes de houx ou de gui, ainsi que des lumières multicolores. Parfois, nous voyons aussi une petite crèche avec un petit enfant qui reçoit des présents en abondance. Cependant, de nos jours, il existe une surenchère entre de nombreux adultes qui s’endettent pour essayer d’offrir le dernier cadeau à la mode à leurs enfants, aux membres de leur famille et à leurs amis.

Jésus voulait-Il que Ses disciples fassent cela ? Quel est le lien entre ces traditions et la naissance de Jésus-Christ ? Les gens disent souvent qu’il faut « replacer le Christ au centre de Noël » – mais a-t-Il jamais été au centre de cette célébration ? D’où viennent toutes ces traditions ? La réponse pourrait bien vous surprendre !

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