Dieu guérit-Il de nos jours? | Le Monde de Demain

Dieu guérit-Il de nos jours?

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La Bible nous révèle que, dans un proche avenir, de grandes épidémies ravageront notre monde. Les médecins et les hôpitaux seront dépassés par les maladies et les décès. Ceux qui n’auront pas appris à faire confiance à Dieu seront sans recours. Cependant, aujourd’hui, si vous apprenez à faire confiance à Dieu et à Lui obéir, vous serez béni au-delà même de ce que vous pourriez imaginer !

Le thème de la guérison divine est un domaine que l’on aborde très peu au sein du christianisme. Il est même rarement évoqué dans les Églises « traditionnelles ».

Pourquoi ? Premièrement, parce que Satan le diable a aveuglé la vaste majorité des êtres humains – y compris la plupart des prétendus chrétiens ! De nos jours, beaucoup de fidèles n’étudient pas réellement la Bible. Ils ne la considèrent pas comme une « autorité » sur laquelle ils pourraient se baser pour mener leur existence. Ils se contentent de suivre les enseignements et les traditions des hommes – lesquels, bien souvent, sont diamétralement contraires à la Bible. D’autre part, on peut fréquemment voir des « tentes de réunions », plantées ici et là par certains « évangélistes », d’où sortent beaucoup de bruits, de cris et d’hystérie collective – mais très peu de guérisons authentiques !

Comme toujours, demandons-nous : « Que dit la Bible à ce propos ? Est-il possible de comprendre la guérison divine, selon ce qu’en révèle la parole divine inspirée ? »

La réponse est oui ! Cela est tout à fait possible. Vous serez même étonné de constater que les preuves bibliques sont encore plus évidentes, et plus persuasives que vous ne l’imaginez.

Mais qu’en est-il des médecins ? Devraient-ils représenter notre unique recours en cas de maladie ? Et qu’en est-il de la propagation du sida, de celle du virus Ébola, de celle de la maladie de la « vache folle », et de toutes ces maladies que la médecine est incapable de traiter ?

Si nous croyons vraiment aux prophéties annoncées par Jésus Lui-même, au sujet des épidémies qui affecteront ce monde aux temps de la fin, nous aurons franchement intérêt à nous inquiéter, dès à présent, pour savoir en qui placer finalement notre confiance !

Beaucoup de gens placent précipitamment toute leur foi en la médecine : « Ne possédons-nous pas maintenant la pénicilline et d’autres médicaments fantastiques qui peuvent pratiquement tout guérir ? » disent-ils.

La réponse est non !

De nombreux médecins et scientifiques s’accordent à reconnaître que, ces temps-ci, de nouveaux « supers germes » ont fait leur apparition et que les antibiotiques ou les médicaments, utilisés jusqu’à présent avec succès, sont désormais devenus inefficaces. Notez ces déclarations tirées du Charlotte Observer, daté du 4 février 2004 : « Les antibiotiques qui avaient sauvé des millions de vies, depuis soixante ans, ne remplissent plus leur fonction ; ils ont été dépassés par la forme de vie la plus ancienne et la plus résistante de la planète : les bactéries. La cause en est la mauvaise utilisation des antibiotiques pour traiter les infections. Des décennies de prescription immodérée pour traiter les maladies, ainsi qu’une utilisation inadéquate dans la production d’aliments pour animaux, ont généré l’épanouissement de bactéries mutantes, créant de nouvelles générations de supers germes qui résistent à pratiquement tous les traitements connus à base d’antibiotiques. Bref, nos sauveurs sont devenus nos assassins […] “les microbes se portent bien et nous sommes à cours de médications”, déclare Barry Kreiswirth, l’un des principaux chercheurs à l’Institut de recherche médicale de Newark, au New Jersey. “Je veux dire par là que les choses ont pris une mauvaise tournure, ajoute-t-il. Nous sommes retournés à l’an 1944, avant la pénicilline, parce que nous sommes incapables de traiter ces infections […] Nous sommes en train de créer ce monstre.” »

Les conseils médicaux pas TOUJOURS fiables

Réfléchissez aux déclarations suivantes, émanant de Lisa Sanders, reproduites dans le New York Times du 16 mars 2003 : « Il y a une dizaine d’années, j’assistais, en compagnie de quatre-vingt-dix-neuf autres étudiants de première année, à notre accueil dans les rangs du corps médical, au cours d’une cérémonie dite de la “blouse blanche”. Là, à notre arrivée à l’école de médecine, nous devions nous présenter en courte blouse blanche, symbolisant notre participation au mystère et à la discipline de la médecine. Durant cette cérémonie, le doyen a dit quelque chose qui a marqué mon éducation : La moitié de ce que nous vous apprenons ici est incorrecte – malheureusement, nous ne savons pas de quelle moitié il s’agit. À l’époque, c’était difficile à croire. Dans l’enceinte de ces murs, au laboratoire d’anatomie, à la bibliothèque, vous avez l’impression de découvrir comment le corps est assemblé, comment il fonctionne, comment il meurt. Cela vous procure un sentiment d’autorité et d’assurance. Comme pour les mathématiques, ce sentiment est inévitable. Mais maintenant, en tant que médecin et professeur, j’exprime quotidiennement cet aphorisme du doyen. La médecine est – et elle a toujours été – une discipline en évolution. Cela signifie obligatoirement que ce que nous savons, en médecine, change constamment ; la médecine va de l’avant en échafaudant simultanément des hypothèses. Cela est particulièrement vrai, aujourd’hui. Pratiquement tous nos choix thérapeutiques sont remis en question, évalués et réévalués par les chercheurs de par le monde » (C’est nous qui traduisons tout au long de cette brochure).

Le docteur Sanders admet que certains des plus grands professeurs des écoles de médecine reconnaissaient que « la moitié » de ce qu’on y enseigne peut fort bien être incorrecte. De ce fait, dans quelle « moitié » allez-vous mettre votre foi ?

Songez-y !

En plus de cela, notez les faits suivants, publiés par le Public Citizen Newletter, de juillet 2002 :

  • 70% des médecins, dont les patients étaient couverts par l’assurance médicale, ont échoué à un examen qui testait leurs connaissances en matière de prescription pour les personnes âgées
  • La majorité des médecins, à qui l’on a demandé de passer l’examen, ont refusé de s’y soumettre, prétextant leur « manque d’intérêt pour le sujet »
  • 48% des patients qui prennent trois médicaments ou plus ingurgitent des médicaments incompatibles pour eux
  • Chaque minute, une personne est hospitalisée pour des réactions d’incompatibilité avec les médicaments (1.500.000 chaque année), et toutes les cinq minutes et quinze secondes, la mort s’ensuit (100.000 chaque année). Toutes les trois minutes et quinze secondes, quelqu’un souffre de perte de mémoire, causée ou aggravée par des médicaments (163.000 chaque année). Cela est heureusement réversible, si vous savez quel est le médicament incriminé

Guérison, médecine et santé

« Guérison versus médecine » a longtemps été un sujet de discussion parmi ceux qui militent pour la foi. Les médecins et la médecine ont souvent été attaqués comme mauvais ; cependant, la Bible mentionne à trois reprises que le Christ a dit que les médecins étaient là pour les malades (Matthieu 9 :12 ; Marc 2 :17 ; Luc 5 :31). En outre, Luc était appelé le « médecin bien-aimé » (Colossiens 4 :14). Les médications sont qualifiées de mauvais poisons qui polluent le corps, tandis que l’usage des substances naturelles est considéré comme meilleur. Néanmoins, beaucoup de médications sont dérivées de plantes, et leurs compositions sont plus homogènes et concentrées. Certaines personnes iront chez le dentiste, mais n’iront pas consulter un médecin, même si le dentiste est souvent amené à accomplir des actes similaires à ceux qui sont pratiqués par le médecin.

Nous devons réclamer la promesse de la guérison divine (Marc 1 :40-42), mais lorsqu’on n’est pas guéri, dit-on, il s’agit de notre manque de foi. Dieu S’est servi de l’apôtre Paul pour guérir les malades. Cependant, lorsque Paul lui-même demanda, par trois fois, à Dieu de le guérir (2 Corinthiens 12 :8-9), Dieu lui révéla que cette guérison n’était pas dans Ses intentions. L’infirmité de Paul était consécutive à la volonté divine, et non pas due à un quelconque manque de foi de sa part.

Ceux qui sont morts en ayant mis leur confiance en Dieu, et en refusant de consulter des médecins, sont considérés comme plus justes que ceux qui profitèrent de ce que leur offre la médecine, pour prolonger la vie. D’autre part, ces derniers temps, beaucoup cessent de se tourner vers Dieu, et se précipitent chez le médecin pour un traitement.

En rétrospective, nous voyons que beaucoup d’idées sur la guérison, la médecine et la santé circulent sans être vraiment appuyées par les Écritures, et sans une approche équilibrée. Il nous importe de mieux comprendre ce sujet et les principes bibliques qui s’y rattachent. La foi est un facteur majeur et évident (Matthieu 9 :29). Là où nous plaçons notre foi constitue également un facteur important (2 Chroniques 16 :12). Il y a une différence entre consulter un médecin, qui connaît bien le corps humain, et ce qui nous rend malades, et nous en remettre aveuglément à n’importe quel praticien ; la Bible dit que le salut est dans un grand nombre de conseillers (Proverbes 11 :14 ; 15 :22).

La Bible nous offre des éclairages sur la guérison, laquelle est une prérogative divine. Elle est décrite comme l’un des bienfaits que Dieu met à la disposition des êtres humains (Psaume 103 :1-5). C’est également un don divin (1 Corinthiens 12 :7-11). La guérison est le pardon des péchés (Marc 2 :1-12). Les médicaments et la chirurgie ne guérissent pas ; ils ne traitent que les symptômes – parfois avec succès, parfois pas. La guérison divine n’agit pas comme agissent les moyens naturels. Dieu guérit en Son temps, selon Son dessein, et non pas nécessairement d’après nos souhaits.

La guérison joua un rôle important dans l’Église du premier siècle, pour attirer l’attention des gens sur le message prêché. Cependant, même l’historien Edward Gibbon indique que cette manifestation de pouvoir semble avoir décliné à un certain moment (Decline and Fall of the Roman Empire, chapitre 15). Les Écritures indiquent, néanmoins, que Dieu va encore répandre Sa puissance plus souvent et plus spectaculairement, au fur et à mesure que nous nous approchons de la fin de cet âge – et que nous serons plus proches de Lui.

Au-delà d’un aspect qui ne se limite pas à la guérison pure et simple de nos corps physiques, Dieu veut que nous apprenions à vivre selon Sa voie. Si nos problèmes physiques étaient résolus chaque fois que nous commettons une erreur, nous ne pourrions pas apprendre comment nous conduire avec sagesse, et en harmonie avec les lois physiques. Lorsque nous sommes malades, il ne suffit pas de demander une onction et d’attendre l’intervention divine ; il faut également examiner notre façon de vivre et nos habitudes, pour découvrir les erreurs que nous avons commises, afin de nous en repentir (Jacques 5 :14-16). La guérison n’est pas un simple mécanisme pour nous tirer d’affaire lorsque nous avons commis une erreur ; il nous importe également d’apprendre nos leçons, et d’en faire profiter les autres. Il est incontestable que la prière joue un rôle essentiel au recouvrement de la santé, mais la Bible dit également : « Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable » (1 Jean 3 :22).

La guérison et l’Évangile

En examinant attentivement le ministère de Jésus-Christ et des apôtres, il apparaît clairement que la guérison divine tenait une part importante dans la prédication de l’Évangile. L’Évangile selon Matthieu nous dit comment Jésus commença Son ministère : « Jésus parcourait toute la Galilée, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité parmi le peuple » (Matthieu 4 :23).

Notez qu’au cours de Son ministère, Jésus exerça constamment trois choses :

  1. Il prêcha l’Évangile
  2. Il guérit les malades
  3. Il chassa les démons

Dans la maison de l’apôtre Pierre, il se passa un événement qui nous permet de mieux comprendre le contexte de la guérison divine : « Le soir, on amena auprès de Jésus plusieurs démoniaques. Il chassa les esprits par sa parole, et il guérit tous les malades, afin que s’accomplisse ce qui avait été annoncé par Ésaïe, le prophète : Il a pris nos infirmités, et il s’est chargé de nos maladies » (Matthieu 8 :16-17). Ici, Matthieu explique que les guérisons opérées par Jésus – le Messie qui « s’est chargé de nos maladies » – étaient l’un des accomplissements des prophéties annoncées par Ésaïe. Matthieu se référait au passage bien connu d’Ésaïe 53, relatif au rôle du Messie annoncé. Le Messie devait être « méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance » (verset 3). Ésaïe nous dit également : « Cependant il a porté nos maladies, et il s’est chargé de nos douleurs ; et nous, nous pensions qu’il était frappé de Dieu, battu et affligé. Mais il était meurtri pour nos péchés, et frappé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous apporte la paix est tombé sur lui, et par sa meurtrissure nous avons la guérison (Ésaïe 53 :4-5, version Ostervald).

Ce passage montre clairement que Jésus a porté « nos maladies ». La grande majorité des érudits savent cela ; dans certaines versions de la Bible où ce mot a été remplacé par « souffrances », on trouve une note en pied de page qui indique que le sens littéral, tiré de l’hébreu original, est bien « maladie ».

Dans Matthieu 10, nous apprenons que Jésus donna à Ses douze premiers disciples l’autorité de chasser les démons : « Puis, ayant appelé ses douze disciples, il leur donna le pouvoir de chasser les esprits impurs, et de guérir toute maladie et toute infirmité » (verset 1). Beaucoup de gens auraient tendance à dire : « Cela n’était-il pas tout simplement valable pour les douze premiers apôtres, et non pour nous, aujourd’hui ? »

Pas du tout ! Dans Luc 10 :1-2, nous apprenons que Jésus donna ce même pouvoir de guérison à « soixante-dix autres » ! Notez-le : « Dans quelque ville que vous entriez, et où l’on vous recevra, mangez ce qui vous sera présenté, guérissez les malades qui s’y trouveront, et dites-leur : Le royaume de Dieu s’est approché de vous » (versets 8-9). Ensuite, vers la fin de Sa vie terrestre, Jésus donna des instructions fondamentales à tous Ses fidèles serviteurs de l’époque, et à ceux à venir : « Puis il leur dit : Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création […] Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront des serpents ; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris » (Marc 16 :15, 17-18).

Un “signe” de la véritable Église

L’un des « signes » d’authenticité de la véritable Église de Dieu est la guérison divine ! Cela se manifesta à travers le ministère de Jésus, des premiers apôtres et des « soixante-dix autres ». Plus tard, nous constatons que l’apôtre Paul, appelé à porter l’Évangile aux Gentils, fit également des guérisons. Actes 14 relate un événement au cours duquel Paul, remarquant qu’un infirme « avait la foi pour être guéri, dit d’une voix forte : Lève-toi droit sur tes pieds. Et il se leva d’un bond et marcha » (versets 9-10).

Dans Actes 8 :1-7, nous apprenons que l’Église de Dieu se répandait à partir de Jérusalem, et que les disciples parcouraient la Palestine, en prêchant et en enseignant le message du Christ. L’un d’entre eux, Philippe, venait juste d’être ordonné diacre (Actes 6 :5). Sans aucun doute, à cause de sa grande foi – comme d’ailleurs son homologue Étienne – Philippe fut un instrument entre les mains de Dieu, pour guérir les malades, chasser les démons et accomplir des miracles. Notez-le : « Les foules tout entières étaient attentives à ce que disait Philippe, lorsqu’elles apprirent et virent les miracles qu’il faisait. Car des esprits impurs sortirent de plusieurs démoniaques, en poussant de grands cris, et beaucoup de paralytiques et de boiteux furent guéris » (Actes 8 :6-7).

Ce qui précède est la preuve biblique que les autres – pas seulement les apôtres – opéraient des guérisons et chassaient des démons. Bien entendu, c’était par la puissance de Jésus-Christ, et en Son « nom » – Son autorité – que ces miracles étaient accomplis. La parole divine déclare : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement » (Hébreux 13 :8). De nos jours, ce pouvoir de guérison est encore accordé aux fidèles ministres de Dieu, comme à tous les apôtres, aux « soixante-dix autres », à tous les autres fidèles serviteurs de Dieu de l’ère apostolique, et depuis lors, à ceux qui ont foi en la parole divine !

Notez ce qui arriva vers la fin du ministère de l’apôtre Paul – à la fin de l’ère apostolique : « Le père de Publius était alors au lit, malade de la fièvre et de la dysenterie ; Paul, s’étant rendu vers lui, pria, lui imposa les mains, et le guérit. Là-dessus, vinrent les autres malades de l’île, et ils furent guéris » (Actes 28 :8-9). Remarquez que Paul « imposa les mains » sur le père de Publius pour qu’il soit guéri. Il s’agissait d’une pratique en usage chez les véritables serviteurs de Dieu, qui montrait, entre autres, que Dieu agissait par l’intermédiaire d’instruments humains.

Même Jésus « imposa les mains » aux malades, et les guérit (Marc 6 :5). De même, lorsque les douze apôtres furent envoyés en mission, « ils chassaient beaucoup de démons, et ils oignaient d’huile beaucoup de malades et les guérissaient » (verset 13). Il est important de noter que les apôtres « oignaient d’huile » les malades. L’huile, de par elle-même, ne guérit pas, elle est un symbole du Saint-Esprit – un rappel que la guérison s’opère par la puissance du Saint-Esprit.

Les apôtres, comme tous les fidèles ministres depuis cette époque, prient pour les malades, imposent les mains sur eux, et les oignent d’huile. Parfois, il arrive que des guérisons spectaculaires se produisent lorsque les serviteurs de Dieu ordonnent tout simplement que la guérison ait lieu, mais la « procédure normale », pour les apôtres et les anciens, consistait à « imposer les mains » et à « oindre d’huile ». L’apôtre Jacques a laissé des instructions claires à ce sujet, qui sont valables en tout temps : « Quelqu’un parmi vous est-il malade ? Qu’il appelle les anciens de l’Église, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur ; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s’il a commis des péchés, il lui sera pardonné » (Jacques 5 :14-15).

Pourquoi ceux qui prétendent être des ministres de Jésus-Christ ne pratiquent-ils pas ces choses, aujourd’hui ? Pourquoi y a-t-il si peu de prétendus chrétiens qui soient miraculeusement guéris ?

L’humanité est dans la CONFUSION

Satan le diable a manifestement aveuglé la vaste majorité des êtres humains – y compris un grand nombre de ceux qui lisent ces lignes ! La parole divine inspirée, décrit Satan comme étant « le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre » (Apocalypse 12 :9). Plus loin, Dieu nous dit qu’au retour du Christ sur la terre, Satan sera chassé dans un abîme, « afin qu’il ne séduise plus les nations » (Apocalypse 20 :3).

En tant que « prince de la puissance de l’air » – le dirigeant invisible de cette terre (Éphèsiens 2 :2) – Satan a influencé la société, et même la majorité des confessions religieuses, à penser que Dieu est « irréel », « éloigné », et qu’Il n’a pas la puissance d’intervenir régulièrement dans les affaires humaines. Satan se réjouit de constater que nous considérons notre Dieu Créateur comme une entité vague et distante. Car si nous réalisions que Dieu est un Être spirituel, réel, dynamique et puissant – et qu’Il a le pouvoir de nous aider directement, de nous bénir et de nous guérir de toutes nos maladies et de toutes nos infirmités – nous serions motivés pour L’adorer sincèrement, pour Lui obéir et pour faire ce qu’Il commande ! Mais cela, c’est la dernière chose que Satan souhaite !

Satan le diable cherche à maintenir les êtres humains dans l’aveuglement, pour les empêcher de servir Dieu et de Lui obéir. Par conséquent, il veut nous empêcher d’accéder aux rangs de rois et de sacrificateurs, dans le Royaume du Christ, afin de gouverner cette terre à sa place et à la place de ses démons (1 Corinthiens 6 :2-3 ; Apocalypse 2 :26-27 ; 5 :10).

Satan a poussé l’humanité à rechercher une autre façon de recourir à la guérison, sans tenir compte de Dieu. Il a influencé l’homme à compter sur son propre système, sur son propre raisonnement humain, au lieu de rechercher la volonté et les solutions divines pour être guéri.

Lorsque Dieu est mis à L’ÉCART

L’histoire du roi Asa est racontée dans 2 Chroniques 14-16. Dieu avait suscité un prophète auprès de ce « bon » roi de Juda, pour lui dire ce qui suit : « L’Éternel est avec vous quand vous êtes avec lui ; si vous le cherchez, vous le trouverez ; mais si vous l’abandonnez, il vous abandonnera » (2 Chroniques 15 :2). Notez que Dieu n’est pas toujours automatiquement « avec vous ». Il est « avec vous » lorsque vous êtes avec Lui, en tant que « Son serviteur », et si vous Le cherchez, vous Le trouverez.

Combien de prétendus « chrétiens »cherchent-ils véritablement la volonté de Dieu, au sujet de la « guérison » ? En vérité, la majorité d’entre eux n’y ont jamais songé, et n’ont même jamais été instruits à ce sujet !

Il est manifeste que le roi Asa n’avait pas intégré Dieu dans son environnement ! Car bien que Dieu l’eût béni et délivré de multiples manières, néanmoins, lorsque Asa tomba gravement malade, il « […] ne chercha pas l’Éternel, mais il consulta les médecins » (2 Chroniques 16 :12). Le résultat ? « Asa se coucha avec ses pères, et il mourut la quarante et unième année de son règne » (2 Chroniques 16 :13).

Le point important à retenir est que, Asa avait mis Dieu à l’écart. Il semble qu’au cours de sa maladie, Asa eût oublié que Dieu était le Créateur suprême, qui l’avait délivré auparavant, et qui aurait certainement pu faire quelque chose pour le guérir, car Dieu guérit « toute maladie et toute infirmité » (Matthieu 4 :23). Ainsi, Asa mourut relativement jeune.

Nous arrivons ensuite à l’histoire d’Achazia, roi d’Israël, au temps du prophète Élie. Achazia avait toutes les raisons pour savoir que Dieu était réel, et qu’Il était Celui qui guérit, car Élie, le prophète de Dieu, avait déjà réalisé beaucoup de miracles et de prodiges, qui avaient sûrement été rapportés à Achazia.

Mais que fit Achazia lorsqu’il tomba gravement malade ? « Il fit partir des messagers, et leur dit : Allez, consultez Baal-Zebub, dieu d’Ékron, pour savoir si je guérirai de cette maladie » (2 Rois 1 :2). Élie, un fidèle serviteur de Dieu, lorsqu’il en fut informé, fit dire au roi : « Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu en Israël que vous allez consulter Baal-Zebub, dieu d’Ékron ? C’est pourquoi ainsi parle l’Éternel : Tu ne descendras pas du lit sur lequel tu es monté, car tu mourras. Et Élie s’en alla » (versets 3-4). Ensuite, au verset 17 s’achève l’histoire : « Achazia mourut, selon la parole de l’Éternel prononcée par Élie. »

Il est évident que le plus grave problème venait de ce qu’Achazia ne s’était pas tourné vers le Dieu véritable, mais vers Baal-Zebub, le faux dieu d’Ékron. Il est d’ailleurs intéressant de noter que ce Baal-Zebub était également le « dieu de la médecine ». Des indices laissent penser que les adorateurs de Baal-Zebub absorbaient diverses potions ou des remèdes pour guérir, tout en pratiquant leur culte à ce « dieu » païen.

La plupart des érudits reconnaissent que les chrétiens du Nouveau Testament sont considérés comme des « Israélites » spirituels, ou des « Juifs » spirituels (Romains 2 :28-29). Notez le passage de Galates 6 :16, où l’apôtre Paul dit aux chrétiens de cette région : « Paix et miséricorde sur tous ceux qui suivront cette règle, et sur l’Israël de Dieu ! » Si le Christ descendait parmi nous, aujourd’hui – au milieu de cette société humaine – ne déclarerait-Il pas : « Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu dans l’Église [Israël spirituel] que vous allez régulièrement consulter vos médecins humains, sans même vous occuper de Moi, qui suis Celui qui vous guérit ? »

Les faux “guérisseurs”

Beaucoup de gens se sont « détournés » du concept de la guérison divine, parce qu’ils ont vu ou entendu parler un grand nombre de « faux guérisseurs ». Malheureusement, il est vrai que certains individus malhonnêtes utilisent le nom du Christ, pour « habiller » toute sorte d’idées et de concepts anti-bibliques – y compris une approche complètement erronée, et parfois blasphématoire de la guérison divine.

Certains de ces faux ministres dressent de grandes tentes d’assemblée, sous lesquelles ils hurlent aux oreilles d’un malade, comme si l’intensité de leurs cris perçants allait accélérer la guérison ! À l’inverse de Jésus-Christ, qui prenait habituellement le malade ou l’infirme un peu à l’écart de la foule (voir Matthieu 9 :25 ; Marc 7 :33), ces faux « guérisseurs » organisent intentionnellement une grande manifestation – avec beaucoup de bruits et de chants, au milieu d’un tas de gens, qui gesticulent en criant sans arrêt « gloire, gloire », et qui font encore d’autres choses bizarres – choses que ne pratiquaient ni le Christ, ni les premiers apôtres.

Dans ma jeunesse, j’ai assisté à plusieurs campagnes de « guérison », tenues par des prédicateurs bien connus. Je cherchais sincèrement la Vérité, et je cherchais à comprendre. Plus d’une fois, avec quelques-uns de mes camarades de classe, j’allais attentivement repérer l’endroit où la personne censément guérie s’asseyait. Ensuite, à chaque fois, il nous paraissait manifeste que l’individu en question n’avait pas été guéri – miraculeusement !

« Comment cela ? » demanderez-vous.

Une fois, par exemple, un homme fut conduit sur la scène tandis que le « guérisseur » braillait à l’auditoire que cet individu était « sourd » – donnant la nette impression qu’il était « sourd comme un pot » – totalement incapable d’entendre quoi que ce soit. Ensuite, le prétendu « guérisseur » frappa fortement les mains sur le front du pauvre homme – allant presque jusqu’à l’assommer – et hurla à Dieu de « chasser l’esprit de surdité » !

Après cela, cet « évangéliste » demanda à voix forte à l’individu s’il pouvait entendre. Lorsque celui-ci dodelina la tête en signe d’affirmation, l’évangéliste cria à la foule que Dieu venait de « guérir » cet homme devant leurs yeux ! Le piano commença à jouer, et la foule chanta à tue-tête : « Lorsque nous irons tous au ciel… » Le prétendu « sourd » descendit alors de la scène pour regagner sa place dans l’assistance. Je notai précisément où il s’asseyait, et sitôt la réunion terminée, je me dirigeai vers lui, afin de lui parler.

« Étiez-vous complètement sourd auparavant ? » lui dis-je.

Il me répondit : « Oh non ! Je suis devenu dur d’oreille, il y a quelques années. »

Alors, lui parlant doucement, je lui demandai : « Ainsi, maintenant, vous avez été guéri ? »

« Que dites-vous ? répliqua-t-il, je ne vous entends pas. »

Je lui répétai ma question en parlant plus fort, et il pouvait m’entendre. Après avoir fait un brin de conversation avec lui, il s’avéra que l’homme était, à l’évidence, resté très dur d’oreille et qu’il n’avait finalement pas été guéri ! Cependant, je n’ai pas cherché à rompre « l’espérance » d’un mieux être auquel il croyait. Je le quittai là.

Entre-temps, mes deux camarades de collège firent la même expérience après la réunion, avec des gens qui avaient censément été « guéris ». Parmi eux, une dame entre deux âges, avait été amenée sur la scène en fauteuil roulant. L’évangéliste « bondissant » expliqua à l’auditoire qu’elle était estropiée, incapable de marcher. Il frappa les mains sur la tête de la dame et beugla à Dieu de « la guérir sur le champ » !

Ensuite, elle fut presque éjectée de la chaise roulante par deux forts gaillards, et elle déclara qu’elle venait d’être totalement « guérie » par « la toute puissance divine ». Toutefois, mes amis et moi, nous avions remarqué qu’elle avait été pratiquement évacuée de la scène par les deux hommes qui la soulevaient, et qu’elle était toujours incapable de marcher !

Plus tard, elle nous révéla qu’elle avait toujours été capable de marcher « un petit peu », mais que l’extravagant évangéliste l’avait persuadée qu’elle se sentirait « beaucoup mieux », si elle acceptait de se faire conduire en fauteuil roulant sur la scène. Bien sûr, il s’arrangea pour donner l’impression qu’elle était totalement estropiée.

Je pourrais encore citer d’autres expériences vécues par moi, ou rapportées par d’autres. Il est odieux que des hommes pervertis utilisent parfois le nom de Dieu pour faire leur nid – en séduisant d’innocentes personnes. Ce genre de choses n’a rien à voir avec la véritable guérison divine ; il provoque la disgrâce sur la religion.

Restez ÉQUILIBRE

Nous devons rester équilibrés sur ce sujet important. Il y a beaucoup de choses que les médecins et les dentistes peuvent – et devraient souvent – faire pour nous. Dans certains cas – comme pour des blessures, des os brisés, des hémorragies internes et des brûlures graves – il y a des choses, nécessaires et justes, que les médecins sont capables de réaliser.

Tout ce que l’homme tente de faire, pour son semblable, n’est pas forcément mauvais. Il est certain que beaucoup de professionnels de la santé aident des millions de gens, chaque jour. N’oublions pas cela ! Beaucoup de spécialistes de la santé exercent leur métier avec dévouement et sincérité, pour soulager leur prochain. Ils méritent d’être appréciés et cités pour ce qu’ils font.

Jésus Lui-même a déclaré : « Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades » (Matthieu 9 :12). Dans ce verset, Jésus montre que les médecins ont un rôle à jouer pour aider les malades. Certains extrémistes religieux pensent que les médecins et les médicaments sont foncièrement mauvais. Si tel avait été le cas, le Fils de Dieu n’aurait pas fait la déclaration ci-dessus. En outre, l’apôtre Paul n’aurait pas écrit « Luc, le médecin bien-aimé » (Colossiens 4 :14).

Il est nécessaire que chaque véritable chrétien soit équilibré en ce domaine. Le raisonnement de Satan, ainsi que celui de notre nature humaine nous poussent souvent à aller d’un extrême à l’autre !

En lisant attentivement et honnêtement la Bible, vous découvrirez qu’il existait des médecins comme Luc, qui faisaient partie du peuple de Dieu. Même la parabole du bon Samaritain montre que – lorsqu’il y a blessure – il est important de bander les plaies et d’aseptiser la zone ouverte avec du vin (ou tout autre antiseptique), pour prévenir ou stopper l’infection (Luc 10 :33-34). Les médecins peuvent apporter une aide importante à une future mère pour des soins prénataux et pour l’accouchement. Dans le passé, certains « saints guérisseurs », et d’autres, ont complètement négligé ces passages extraits de la parole divine inspirée.

D’un autre côté, à notre époque moderne, une grande partie de la société ignore Dieu, et va à l’autre extrême ! Aujourd’hui, la vaste majorité des gens « éduqués » se tournent uniquement vers les médecins, la science, les pilules et les médicaments pour tenter d’être guéris – en laissant complètement de côté le Dieu Vivant. Cette voie extrême, tout comme l’autre, est mauvaise !

Comme l’International Standard Bible Encyclopedia le fait remarquer : « Dans l’Église apostolique, ceux qui suivaient l’exemple de Jésus et de Paul considéraient sans dégoût les médecins et les progrès de la science médicale, et en même temps, ils se tournaient vers Dieu en priant pour être guéris de leurs maladies. Par exemple, le bon Samaritain a fait usage de moyens naturels pour soigner le blessé (Luc 10 :34) ; Colossiens 4 :14 appelle Luc le médecin bien-aimé ; et 1 Timothée 5 :23 conseille d’utiliser du vin pour régler des problèmes d’estomac. Tout en comprenant, et en appréciant les développements de la science médicale, l’Église développa sa compréhension du traitement spirituel de la maladie et des problèmes de santé. En conséquence, les deux approches n’étaient pas envisagées comme s’excluant mutuellement ; elles étaient complémentaires, parce que la maladie n’était plus envisagée comme une punition divine du péché » (volume 2, pages 647-648).

Faites votre part en faisant usage de SAGESSE

Lisez attentivement les paragraphes suivants, écrits récemment par un médecin naturopathe diplômé :

« La médecine conventionnelle est en grande partie basée sur la croyance en l’évolution et sur certaines fausses considérations au sujet du corps humain. On peut comprendre que beaucoup de chrétiens soient soucieux, à juste titre, des méthodes, des effets secondaires et des coûts ahurissants de la médecine conventionnelle. À cause de cela, certains ont supposé que ce qui est appelé “santé naturelle”, ou “médecine alternative”, n’est en rien supérieure à la médecine conventionnelle. »

« Il est vrai que certaines philosophies en matière de santé sont cohérentes avec les enseignements de la Bible. La naturopathie réelle, par exemple, enseigne que la maladie est le résultat de la violation des lois naturelles de la santé, et que le corps a été conçu pour être capable d’être guéri s’il est convenablement soigné, à la fois mentalement et physiquement. Toutefois, même si la naturopathie ne parle pas de la guérison divine, elle tente presque exclusivement d’obtenir la guérison par des moyens physiques [bien que, par philosophie, ce sont des moyens cohérents avec la loi divine]. »

« Par exemple, il est vrai qu’il est souvent mieux de manger des fruits [qui contiennent des bioflavonoïdes organiques naturels] pour prévenir certains types de contusions, que de prendre un substitut chimique artificiel qui ne peut traiter la cause du problème. Mais, pour autant, il ne faudrait pas affirmer que tout ce qui est considéré comme médecine alternative soit bon. Certaines philosophies de médecines alternatives sont fondées sur le mysticisme. Elles [particulièrement dans le monde occidental] sont davantage encouragées pour faire de l’argent que par intérêt pour la santé naturelle. De plus, il ne suffit pas qu’une chose soit naturelle pour être sans danger, efficace ou même utile. »

« En tant que praticien de la médecine alternative, j’ai constaté des résultats fabuleux et sérieux obtenus avec des thérapies alternatives. Je crois que, même parmi les chrétiens, la médecine alternative n’est pas suffisamment exploitée. Étant donné que les médecins conventionnels ont rarement reçu une formation sur les philosophies naturelles, ils savent rarement quand les recommander, ou même quand elles peuvent leur venir en aide. J’ai également appris que la plupart des écrits distribués à ceux qui s’intéressent à la santé naturelle n’engendrent pas d’amélioration de santé dans l’ensemble. J’ai également vu des chrétiens, qui sont tellement convaincus que leur compréhension personnelle [souvent erronée], d’un certain aspect de la médecine alternative, est la bonne, qu’ils voudraient la partager avec tous ceux qu’ils côtoient [je parle de chrétiens qui ne sont pas des praticiens à plein temps de la médecine alternative – qui n’ont donc pas réellement l’expérience clinique requise pour asseoir leur opinion]. La médecine alternative doit être adaptée à chaque individu, plus encore que la médecine conventionnelle. »

« Les milieux de la médecine conventionnelle et de la médecine alternative sont remplis de gens, qui sont beaucoup plus intéressés à gagner de l’argent, que d’aider vraiment les gens [même s’ils ne s’en rendent pas toujours compte]. Il y a également, dans les deux milieux, des individus bien intentionnés [y compris des professeurs diplômés] qui croient erronément que certains traitements sont parfaitement efficaces, alors qu’ils ne le sont pas toujours. C’est particulièrement vrai dans le cas de la médecine conventionnelle, où certains traitements peuvent être très nuisibles. »

Sachez COMMENT dépenser votre argent

Il y a plusieurs années, M. Herbert Armstrong écrivait : « Le véritable rôle d’un médecin ne devrait pas consister à usurper la prérogative de Dieu, comme Guérisseur, mais de vous aider à observer les lois de la nature en vous prescrivant un régime correct, en vous enseignant à mieux vivre en accord avec les lois de la nature […] Actuellement, il n’y a que quelques écoles de « guérison » qui travaillent avec les lois de la nature, et qui ne font pas appel aux drogues et aux médicaments – particulièrement les naturopathes, les ostéopathes et les chiropracteurs. Certains peuvent vous faire du bien, d’autres pas, cela dépend en grande partie de l’école dont ils sont issus et de la capacité de l’individu même. » Il écrivit également : « Certains médecins ont d’autres fonctions nécessaires. La naissance des enfants, par exemple, n’est pas une maladie dont les femmes ont besoin de guérir, mais une chose naturelle, voulue par Dieu. Il semble que ce soit juste qu’il y ait des obstétriciens […] Si vous vous cassez le bras, ou un autre os, il est tout à fait juste de faire appel à un spécialiste pour qu’il le remette en place. Cependant, il ne pourra pas le guérir – vous devrez faire confiance à Dieu pour cela. Ainsi, comme vous le voyez, il y a beaucoup de choses que les médecins peuvent faire. »

Comme M. Armstrong le fit remarquer, et selon ce qu’il écrivit, l’équilibre est important :

« La médecine alternative, basée sur les lois divines, n’est pas avide d’argent, et joue un rôle important pour la santé. Il peut être utile pour les chrétiens, aujourd’hui et à l’avenir, de savoir que même le livre de l’Apocalypse enseigne que « les feuilles servaient à la guérison des nations » (Apocalypse 22 :2). Néanmoins, la Bible déclare clairement que Dieu est notre Guérisseur, et que nous devons examiner toutes choses, et retenir « ce qui est bon » (1 Thessaloniciens 5 :21). Il ne suffit pas qu’une chose soit naturelle ou alternative, pour remplacer nécessairement le jugement ou le droit du chrétien. De même, ce n’est pas parce qu’une chose est approuvée par la médecine conventionnelle, qu’elle doit se substituer au jugement ou au droit du chrétien. »

Laissez la BIBLE vous guider

La Bible est la révélation de la pensée divine à l’humanité – la connaissance fondamentale qui permettrait à l’humanité d’apprendre ou de comprendre. La Bible révèle la « pensée » de Dieu. Dans Philippiens 2 :5, l’apôtre Paul dit aux véritables chrétiens : « Ayez en vous la pensée qui était en Christ Jésus » (version Segond révisée). Il est essentiel que chaque véritable chrétien apprenne à « penser comme Jésus pense », en ce qui concerne la guérison, ainsi que tout autre sujet ! Jésus-Christ a dit : « L’homme ne vivra pas seulement de pain, mais de toute parole de Dieu » (Matthieu 4 :4, version Ostervald). Remarquez qu’à cette époque, la seule « parole de Dieu » disponible était ce qu’on appelle aujourd’hui « l’Ancien Testament ».

Même en cas de blessures graves, il est important, pour tout chrétien croyant à la Bible, de tenir compte de la leçon d’Azaria. Car les véritables chrétiens savent qu’il y a un Dieu en Israël ! Si nous ressentons le besoin d’avoir recours à l’assistance d’un homme – pour remettre nos os en place, pour panser nos plaies ou pour d’autres interventions d’un professionnel de la santé compétent est nécessaire – il nous faut simultanément demander l’intervention divine sur ce qui a provoqué la blessure, afin de guérir parfaitement. Même si nous avons recours à un homme, selon ce que nous pensons devoir faire, parce que cet homme est vraiment l’homme de la situation, nous devons avant tout nous tourner vers Dieu, notre Père, pour qu’Il agisse en amont et au-delà de ce que nous pouvons faire – et Lui demander d’intervenir directement, si nécessaire. Nous ne devrions jamais laisser Dieu de côté.

Chaque chrétien doit déterminer pour lui-même les limites au-delà desquelles il arrêtera d’avoir recours à des moyens humains. Plus les chrétiens croîtront dans la foi, plus ils feront l’expérience de guérisons divines pour toute sorte de maladies et de maux divers, selon le bon vouloir de Dieu, qui n’est pas limité ! Cependant, les chrétiens ne devraient ni « juger », ni condamner les autres en cette matière (Matthieu 7 :1). En effet, chacun a la responsabilité personnelle d’avoir recours à une assistance médicale, selon sa propre compréhension et sa propre foi – pas celles d’un autre. Dans Romains 14 :23, Dieu dit : « Tout ce qui n’est pas le produit d’une conviction est péché. »

Les ÉPIDÉMIES des temps de la fin

Dans la conjoncture actuelle, il est important de réaliser où va notre société ! Tous ceux qui croient vraiment à la Bible savent que Jésus-Christ a prédit que des « pestes » – c’est-à-dire des épidémies – seront parmi les signes annonciateurs majeurs de Son second Avènement (Luc 21 :11). Aujourd’hui, nous sommes arrivés à une période de l’Histoire où la propagation du sida, du virus Ébola, de la « maladie de la vache folle », et autres maladies mystérieuses commencent à affecter un nombre croissant de vastes populations d’êtres humains !

On a beau chercher ! Il n’y a pas de traitement pour guérir de ces maladies. Le véritable Dieu est le seul qui puisse nous guérir de ces maux ! En outre, déjà en 1997, le secrétaire d’État à la défense, William Cohen, signalait la menace croissante des armes chimiques et biologiques et la facilité avec laquelle on pouvait se les procurer. M. Cohen a dit que cette menace n’était « ni exagérée, ni éloignée ».

« Les lignes de front ne se trouvent plus au-delà des mers », a déclaré M. Cohen, qui rendait public un rapport selon lequel les Américains pourraient devenir les victimes de ce genre d’attaque, parce que des sectes et des organisations criminelles – autant que d’autres nations – pourraient développer la production de telles armes. Ces armes sont « la bombe atomique du pauvre – bon marché, faciles à fabriquer, et extrêmement mortelles » (North County Times, 26 novembre 1997).

Dans le San Diego Tribune du 29 novembre 2000, nous lisons que les scientifiques sont de plus en plus inquiets de la probabilité de « guerre microbienne », venant appuyer le terrorisme : « Des fléaux comme la variole et l’anthrax risquent de plus en plus de tomber aux mains des terroristes, alors que des nations du tiers monde ont démarré des programmes de guerres microbiennes, prédisait un groupe de scientifiques réunis hier […] La menace vient, en partie, de nations comme l’Iran et l’Irak qui, ne pouvant pas concurrencer la prédominance américaine […] ont besoin d’autre chose pour faire pencher la balance du pouvoir en leur faveur. »

Qui donc soignera ces maladies mortelles si des bioterroristes se décidaient à les répandre – ce qui ne manquerait pas d’encombrer nos hôpitaux et nos salles d’opérations, d’une foule de gens apeurés et désespérés ? Une fois encore, ne mettons pas Dieu de côté. Alors que cet âge touche à sa fin, de plus en plus de chrétiens ont besoin d’apprendre à compter sur Dieu en tant que leur Protecteur, Sauveur et Guérisseur ultime ! Cela représente une partie essentielle du retour au « christianisme apostolique » – à celui qui était en vigueur à l’origine, « la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes » (Jude 3).

Qu’EST-ce que la guérison divine ?

Ces dernières années, beaucoup d’articles de presse ont décrit comment certains médecins et hôpitaux ont essayé de mieux coopérer avec des ministres du culte et des « partenaires de prières », afin d’améliorer le processus de la guérison. Il est probable que cela ait fournit une certaine aide. Mais, malheureusement, l’accent a été mis sur les résultats psychosomatiques dont ont bénéficié des gens ayant une « attitude positive » – ayant été « encouragés » ou amenés à « espérer ». L’accent n’a pas consisté à compter sur la puissance de Dieu qui intervient, directement et miraculeusement, pour « guérir » les maladies et les problèmes de santé !

Ce genre de guérison miraculeuse est exactement ce qui est décrit dans la Bible, à l’époque du Nouveau Testament. Prenez la peine de lire attentivement le récit inspiré de la guérison d’un paralytique par Jésus, dans Marc 2 :1-12 : « Mon enfant, tes péchés sont pardonnés » (verset 5). Se rendant compte que ses auditeurs étaient hostiles à ces paroles, Jésus dit alors : « Lequel est le plus aisé, de dire au paralytique : Tes péchés sont pardonnés, ou de dire : Lève-toi, prends ton lit, et marche ? Or, afin que vous sachiez que le Fils de l’homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés : Je te l’ordonne, dit-il au paralytique, lève-toi, prends ton lit, et va dans ta maison » (versets 9-11).

Puis : « à l’instant, il se leva, prit son lit, et sortit en présence de tout le monde, de sorte qu’ils étaient tous dans l’étonnement et glorifiaient Dieu, disant : Nous n’avons jamais rien vu de pareil » (verset 12).

Dans ce cas, nous constatons qu’il n’y a pas eu une sorte de rétablissement « graduel », opéré à l’aide des médecins, des médicaments et de transfusions sanguines. Au contraire ! Dieu intervint et supprima l’amende des erreurs physiques, des péchés, et des imprudences qui sont à l’origine des maladies et des problèmes de santé. Souvenez-vous d’Ésaïe 53 :4, déjà cité, où il est mentionné que Jésus a porté nos péchés.

Avant que Jésus fût crucifié, Pilate Lui fit infliger l’horrible flagellation romaine, habituellement réservée aux condamnés à mort. Ce châtiment brutal était pratiqué avec un fouet constitué de lanières en cuir, auxquelles étaient attachées des fragments d’os coupants ou de métal, destinés à arracher la peau et à infliger de graves blessures sanguinolentes, qui provoquaient des douleurs atroces. Beaucoup de condamnés ne résistaient pas à ce supplice, et en mourraient. C’est pourquoi Ésaïe a dit : « C’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris » (verset 5).

La plupart des prétendus chrétiens observent ce qu’ils nomment l’eucharistie, ou le « souper du Seigneur ». Cet office est, en fait, une contrefaçon corrompue de la Fête biblique de la « Pâque ». En parlant de l’importance de la foi et de l’humilité dont nous devons faire preuve en prenant les symboles du pain et du vin au cours de la Pâque, l’apôtre Paul déclara : « Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe ; car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts » (1 Corinthiens 11 :28-30).

Dans l’Église de Corinthe, beaucoup de membres étaient « infirmes » ou « malades », parce qu’ils n’avaient pas appris à discerner la signification réelle des symboles du pain et du vin – à savoir que notre Sauveur a subi la terrible « flagellation » pour que nous puissions être guéris. Le pain brisé représente le corps du Christ, « brisé » pour notre guérison physique. Le vin symbolise Son sang versé pour payer l’amende de nos péchés spirituels !

C’est pourquoi – comme le confirment Marc 2 :1-12 et Matthieu 9 :1-8 – la guérison du paralytique, par Jésus, s’accompagne du pardon des « péchés » ! Dans la Bible, la guérison physique et le pardon spirituel vont de pair. Notre Sauveur, Jésus-Christ, a terriblement souffert afin que ces deux choses puissent devenir possible. La parole divine décrit également ce principe : « Mon âme, bénis l’Éternel ! Que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom ! Mon âme, bénis l’Éternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits ! C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies » (Psaume 103 :1-3).

Il n’est pas possible de prendre correctement la Pâque sans considérer le Christ comme notre Guérisseur, car Il a payé l’amende de nos transgressions et de nos négligences physiques des lois naturelles de la santé, au même titre qu’Il a payé l’amende de nos péchés spirituels. Comme le montre le Psaume 103, la guérison physique et le pardon spirituel sont tous deux des « bienfaits » accordés par un Dieu qui nous aime. Malheureusement, l’humanité séduite accepte généralement l’un de ces bienfaits, tout en négligeant l’autre !

La FOI vivante est requise

Au cours de Son ministère, Jésus a souvent dit à ceux qui Lui demandaient d’être guéris : « Qu’il vous soit fait selon votre foi » (Matthieu 9 :29). Lorsque quelques hommes pleins de foi et de zèle découvrirent le toit de la maison où se tenait Jésus, pour introduire un paralytique par le plafond afin qu’Il le guérisse, la Bible révèle : « Jésus, voyant leur foi, dit au paralytique : Mon enfant, tes péchés sont pardonnés » (Marc 2 :5) – et cet infirme fut guéri devant leurs yeux !

Alors que la fin de cet âge prophétisé arrive bientôt, nous devons concentrer nos pensées sur la réalité d’un Dieu suprême, qui nous accorde la vie et l’air que nous respirons. Nous devons croire Sa parole inspirée, la Sainte Bible. Nous avons besoin de croire Dieu ! Nous avons besoin de savoir que Dieu ne ment pas ! Lorsqu’Il promet quelque chose dans Sa parole, Il l’accomplit en intervenant avec puissance – si nous croyons vraiment en Lui !

Il nous dit : « Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent » (Hébreux 11 :6).

Ce passage est une forte déclaration ! Vous et moi, nous ne pouvons pas plaire au véritable Dieu tant que nous n’avons pas appris à croire en Lui – à compter totalement sur ce qu’Il dit, dans Sa parole inspirée !

La Bible qualifie Abraham de « père de tous ceux qui croient » (Romains 4 :11, version Ostervald). Pourquoi ? Parce qu’Abraham avait la conviction absolue que Dieu est réel, que la voie divine est juste, et que Dieu exécute tout ce qu’Il annonce.

À cause de cette confiance absolue que Dieu lui donnerait un enfant avec Sara, son épouse, malgré leur âge très avancé, la parole divine nous dit : « Et, sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé, puisqu’il avait près de cent ans, et que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants. Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu ; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu, et ayant la pleine conviction que ce qu’il promet il peut aussi l’accomplir. C’est pourquoi cela lui fut imputé à justice » (Romains 4 :19-22).

La foi réelle se développe lorsque nous marchons avec Dieu – en compagnie de Dieu – comme Abraham le fit. Ensuite, nous nous rendons compte que Dieu agit, Il répond à nos prières et nous bénit si nous marchons selon Sa volonté. La foi se développe en « buvant » régulièrement à la parole divine, et en nous efforçant de penser comme Dieu pense. La foi vient en étudiant ou en « écoutant » la parole divine (Romains 10 :17). Elle se développe par des prières constantes – par une communion fervente et sincère avec notre Créateur. Lorsque nous prions Dieu pour tous nos besoins, nous devrions particulièrement penser à Lui demander d’augmenter notre foi. Car la foi est un don de Dieu (Éphèsiens 2 :8). Et, comme déjà signalé, la foi se développe en appliquant régulièrement les instructions divines avec une attitude de confiance que Dieu sait ce qu’il y a de mieux à faire, et qu’Il tiendra parole pour arranger toute chose pour notre bien (Romains 8 :28). Les résultats visibles de notre confiance en Dieu, dans certains domaines de notre vie, nous permettront d’avoir confiance en Lui dans d’autres domaines, et ces expériences augmenteront notre foi – y compris pour Sa promesse de nous guérir.

Pour vous aider à avoir la foi vivante, je vous recommande de lire nos deux brochures gratuites Le Dieu réel – Preuves et promesses et Douze clés pour des prières exaucées.

Trois exemples vécus

Il y a quelques années, l’un de mes étudiants au collège – un jeune homme marié – s’était absenté un jour du cours de Bible. Juste après que le cours fut terminé, il me rencontra dans le vestibule du bâtiment, manifestement très agité et inquiet. « Qu’est-ce qui ne va pas ? » lui demandai-je ?

« Il s’agit de ma petite fille, laissa-t-il échapper. Le médecin a fait des analyses sanguines, et il pense qu’elle est atteinte d’une forme fatale d’inflammation de la moelle épinière ! Il ne lui accorde plus beaucoup de temps à vivre. Sa température monte, et elle a des convulsions par moment. S’il vous plaît, venez l’oindre et prier pour elle ! »

Je téléphonai aussitôt à ma secrétaire pour qu’elle annule les rendez-vous prévus, puis je pris ma voiture pour aller avec ce jeune homme à son domicile. Le médecin avait laissé tomber son verdict, en disant qu’on ne pouvait plus rien faire pour l’enfant à ce stade de la maladie.

Lorsque je suis arrivé, la maman pleurait. La petite fille était étendue, les yeux ouverts, faible et brûlante de fièvre. Impressionné par la gravité de la situation, je me suis agenouillé avec les parents à son chevet, je l’oignis sur le front avec un peu d’huile d’olive que j’ai toujours sur moi dans un petit flacon. J’ai supplié notre Dieu et Père de la GUÉRIR complètement, en faisant appel au sacrifice de Jésus-Christ, et en Lui demandant qu’elle soit guérie – le PLUS VITE POSSIBLE.

Sachant, humainement parlant, qu’elle était sur le point de mourir, j’y mis tout mon cœur et je priai Dieu ardemment – en invoquant Sa PROMESSE de guérir, et en Le suppliant d’être miséricordieux pour cette petite enfant dont la vie commençait à peine. Ensuite, après avoir encouragé les parents à CROIRE en Dieu, je les quittai pour retourner à mes autres activités. Cependant, j’eus constamment mon esprit en prière, durant le reste la journée, et même le soir, dans ma prière avant de me coucher, j’évoquai encore ce sujet. Tard, le matin suivant, je reçus le coup de téléphone que j’attendais impatiemment ! La mère de l’enfant me dit que la petite fille avait sombré dans un profond sommeil, aussitôt après avoir été ointe. Plus tard, dans la journée, elle s’était éveillée et elle eut faim – une vraie faim pour la première fois depuis des jours. La fièvre était tombée ! Elle n’avait plus de convulsions. Ensuite, elle se rendormit pendant de longues heures, jusqu’au matin suivant.

« Maintenant, me dit sa mère, elle est levée et elle se sent bien. Elle est en train de jouer avec ses poupées comme si rien ne lui était arrivé. » Cette enfant venait d’être promptement et surnaturellement GUÉRIE par le Christ Vivant, qui avait déjà payé l’amende à sa place !

Je pourrais encore écrire au sujet d’une dame que je connaissais, et qui avait reçu « un linge oint » (voir Actes 19 :11-12). Son bras atrophié fut totalement reconstitué. Je pourrais aussi écrire au sujet d’une autre dame, qui avait le cancer du sein, et qui avait été déclarée « perdue » par les médecins. Elle fut GUÉRIE à l’extrême limite de la mort !

Je pourrais également mentionner la récente guérison d’un homme, qui était revenu d’Afrique avec une forme de l’hépatite C, dont l’issue est souvent fatale. Sans entrer dans les détails de l’histoire, je vous livre ci-dessous un extrait de sa lettre, exprimant ses remerciements pour l’intervention divine :

« Cher Monsieur Meredith,

J’ai de bonnes nouvelles. Comme je vous le rappelle, le précédent test sanguin était dans l’impossibilité de mesurer ma résistance au virus. Le tout dernier test montre que je n’ai plus l’hépatite C. Mes enzymes hépatiques sont en ordre […] Je remercie Dieu et prie qu’Il puisse m’utiliser à Son service et pour Sa gloire […] Merci encore pour vos prières pleines de foi. »

Ce ne sont pas des histoires romancées ; ce sont des faits réels. Je suis fort conscient du fait que beaucoup de gens répandent des « témoignages » apparemment extraordinaires, mais qui sont des guérisons invérifiables. Les cas relatés ci-dessus sont des guérisons authentiques – des interventions divines, répondant à des prières pleines de foi.

Nous devons apprendre à CROIRE ce que Dieu dit

Nous devons toujours compter sur la parole divine ! Dieu nous dit : « La prière de la foi sauvera le malade » (Jacques 5 :15). Puisse Dieu vous aider à étudier ce sujet, dans votre Bible. Puisse-t-Il vous inspirer à L’implorer, afin d’avoir le courage et la foi dont vous avez besoin, pour Lui plaire. Et même si, parfois, vous avez recours à des professionnels de la santé compétents, apprenez toujours à impliquer Dieu dans le processus. Apprenez à croître dans la connaissance et dans la foi. Apprenez à avoir foi que Dieu peut faire tout ce que l’homme est incapable de réaliser.

Une fois encore, souvenez-vous de la prophétie que le Christ a donnée à Ses apôtres, lorsqu’ils Lui demandèrent : « Dis-nous, quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? » (Matthieu 24 :3). Entre autres choses, Jésus déclara : « Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume ; il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes [des épidémies, des maladies] et des famines » (Luc 21 :10-11). Déjà maintenant, des épidémies commencent sur une petite échelle. Et lorsque, dans quelques années peut-être, nos hôpitaux et nos médecins seront tout à fait débordés face au nombre de malades et de victimes de maladies « incurables », où nous dirigerons-nous ? Beaucoup de prétendus chrétiens ont tourné en dérision la guérison divine, et l’idée de croire réellement ce que Jésus et les apôtres ont enseigné et pratiqué. Reviendront-ils soudainement à la véritable religion, en se tournant vers le Dieu de la Bible ?

Je vous encourage vivement, vous à qui Dieu a ouvert l’esprit, à impliquer davantage Dieu et Sa voie dans votre vie – dès à présent. Car, lorsque les épidémies commenceront à frapper, en même temps que les sécheresses, les famines et la disette, ceux qui auront déjà appris à placer leur confiance en Dieu, le Dieu de la Bible, seront bénis.

Le sujet de la guérison divine est directement lié au degré de nos croyances. Avons-nous appris à avoir confiance en ce véritable Dieu et en Christ, tels qu’Ils sont révélés dans la parole inspirée ? Ou bien « piochons-nous » par-ci par-là ce qui nous plaît dans les enseignements et les exemples de Jésus ?

Veillons attentivement à ne pas « juger » notre frère ! Chaque individu doit vivre en fonction de son propre degré de connaissance et de foi. Néanmoins, le véritable chrétien impliquera Dieu dans tous les domaines de sa vie quotidienne – y compris la guérison. En cas de maladie, chaque véritable chrétien doit « implorer » Dieu pour sa propre guérison, celle de ses enfants ou celle de ses bien-aimés. Ensuite, en fonction de son degré de compréhension et de foi, il réfléchira à la décision de recourir ou non à l’assistance d’un médecin, ou d’un professionnel compétent. Et même, dans ce dernier cas, il devrait demander avec ferveur que le Dieu réel intervienne en amont, au-delà de ce qu’un homme est capable de faire.

Si vous êtes parent ou responsable d’un enfant mineur, il est parfois indispensable de prendre pour lui d’importantes décisions relatives à sa santé. Dans ce cas, il est particulièrement important de rechercher la sagesse venant de Dieu, et de prendre toutes les précautions qui s’imposent. Dans certains pays, le gouvernement civil a pris des dispositions légales pour la protection des enfants, et vous pouvez affronter de sérieux ennuis juridiques si vous agissez contre ces lois. Si vous faites soigner votre enfant par un traitement suspect ou douloureux aux yeux de la société, ou si vous n’acceptez pas de lui faire subir un traitement que le corps médical estime « indispensable », vous risquez d’être accusé d’irresponsabilité envers cet enfant, et d’être déchu de vos droits parentaux. Si vous êtes convaincu que votre enfant ne devrait pas se plier à certaines prescriptions médicales, vous avez le droit de consulter non seulement d’autres médecins qualifiés et reconnus (qui partagent éventuellement votre opinion), mais aussi un conseiller juridique sérieux, pour le bien des enfants dont vous avez la charge.

Dieu n’a pas fait de promesse quant au moment ou à la manière exacte dont Il guérira ! Néanmoins, Il le fera « selon notre foi », et si nous Lui obéissons (1 Jean 3 :22). Dieu interviendra, nous bénira, et nous délivrera de toutes nos épreuves – y compris nos maux et nos maladies. Car Dieu est notre « Père » – un Père très réel – si nous Le servons et si nous Lui obéissons vraiment. Le véritable Évangile apporté par Son Fils Jésus-Christ est littéralement rempli d’exemples et d’instructions concernant la guérison divine ! Tout prétendu « évangile » qui occulterait l’enseignement et l’exemple du Christ, au sujet de la guérison divine, est manifestement tronqué – et le terme est faible !

La véritable Église de Dieu se trouve quelque part sur cette terre, et elle croit à tout ce que Jésus et les apôtres ont enseigné. Elle pratique un mode de vie basé sur les instructions fondamentales, transmises à l’humanité par le Christ : « L’homme ne vivra pas seulement de pain, mais de toute parole de Dieu » (Luc 4 :4, version Ostervald). En conséquence, la véritable Église de Dieu pratique les instructions bibliques, inspirées à l’apôtre Jacques : « Quelqu’un parmi vous est-il malade ? Qu’il appelle les anciens de l’Église, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur ; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s’il a commis des péchés, il lui sera pardonné. Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière agissante du juste a une grande efficacité » (Jacques 5 :14-16).

L’Église du Dieu Vivant se consacre à restaurer le véritable christianisme apostolique – le mode de vie enseigné et pratiqué par Jésus-Christ et les apôtres. Nous croyons et nous pratiquons les instructions bibliques, qui disent que le malade doit être oint, et que les anciens de l’Église doivent prier pour lui. Nous respectons également un principe biblique, en envoyant un « linge oint » lorsque cela s’avère nécessaire, comme le faisait l’apôtre Paul (Actes 19 :11-12).

Au cours des ans, des milliers de gens ont été guéris selon leur foi. Si vous désirez que nous priions personnellement pour vous, ou si vous souhaitez recevoir un linge oint, n’hésitez pas à contacter l’un de nos bureaux régionaux, dont la liste figure à la fin de cette brochure.

Puisse le Dieu suprême vous aider à comprendre et à agir ! Puissiez-vous apprendre à étudier et à croire la parole divine inspirée – et à faire ce qu’elle dit ! Puisse Dieu vous guider à placer humblement votre confiance en Lui et en Jésus-Christ Vivant, lorsque vous êtes malade et affligé ! Car, en fin de compte, Dieu – et Lui seul – est votre ultime Guérisseur !