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« Ce que je vous dis, je le dis à tous : Veillez » (Marc 13 :37).
Alors que les dirigeants du monde entier s’efforcent de mettre en œuvre le programme écologique, l’intelligence artificielle (IA) est un sujet que certains aimeraient bien éviter. Peu de gens réalisent que les systèmes de l’IA nécessitent de gigantesques datacenters qui consomment des quantités astronomiques d’électricité.
Selon un rapport récent, la demande en matière d’IA pourrait mettre à rude épreuve le réseau électrique au cours de la prochaine décennie (ICT Journal, 30 octobre 2024). Rien qu’aux États-Unis, les centres de données pourraient à eux seuls consommer autant d’énergie d’ici 2030 que certaines économies nationales industrialisées. Ces équipements informatiques pourraient nécessiter jusqu’à 400 térawattheures d’électricité d’ici la fin de la décennie, soit plus que la production totale d’électricité du Royaume-Uni en 2022. Larry Ellison, président et cofondateur d’Oracle, a déclaré planifier la construction d’un datacenter dont le fonctionnement nécessitera plus d’un gigawatt d’énergie, soit la consommation d’énergie d’une ville de taille moyenne. Ellison a déclaré que « le centre de données serait alimenté par trois petits réacteurs nucléaires », avant d’ajouter : « C'est dire à quel point les choses deviennent folles » (Oracle.Developpez.com, 11 septembre 2024).
La capacité de l’IA à perturber les réseaux électriques vieillissants ne fait qu’accroître la vulnérabilité de la société face aux risques d’une attaque terroriste contre un grand datacenter ou ses sources d’énergie. Dans le même temps, la Bible avertit les nations de souche israélite des châtiments à grande échelle qui les attendent, y compris la destruction de leurs villes, si elles continuent de rejeter Dieu et Ses lois (Lévitique 26 :31-33). Alors que nos nations deviennent de plus en plus dépendantes de la technologie de pointe, si un opposant ou une nation adverse parvenait à leur couper l’électricité, même leurs plus grandes villes pourraient s’arrêter, laissant des artères normalement très fréquentées soudainement désertes (verset 22). De nombreuses sociétés occidentales semblent de plus en plus vulnérables à l’accomplissement de nombreuses prophéties bibliques de la fin des temps.
Alors que l’espérance de vie a considérablement augmenté dans les pays occidentaux depuis la généralisation de l’approvisionnement en eau potable, les normes sanitaires et les avancées de la médecine moderne, ces progrès semblent atteindre leur limite, comme le révèle une étude récemment publiée dans la très respectée revue Nature Aging.
Après avoir étudié l’espérance de vie dans huit pays où les gens vivent le plus longtemps, les chercheurs ayant mené cette étude en ont conclu que « nous atteignons un plateau ». Les pays étudiés sont l’Australie, la France, Hong Kong, l’Italie, le Japon, la Corée du Sud, l’Espagne et la Suisse. Ces trente dernières années, l’espérance de vie dans ces pays a ralenti, passant de 2,5 à 1,5 année supplémentaire par décennie. Bien que le nombre de centenaires soit plus élevé qu’auparavant, ces chercheurs ont noté que le pourcentage de la population atteignant cet âge est resté le même, car la population mondiale est beaucoup plus élevée de nos jours. Un chercheur a déclaré : « Nous tirons de moins en moins de vie des technologies qui la prolongent. Et la raison en est que le vieillissement s’en mêle » (L’actualité, 7 octobre 2024).
Il semble que Dieu ait mis une limite au vieillissement que les scientifiques ne peuvent franchir, en dépit de leur ingéniosité. Dieu n’a pas accordé à l’humanité le moyen de découvrir par elle-même la voie de l’immortalité. En revanche, la Bible révèle qu’Il a l’intention d’accorder le don de la vie éternelle à ceux qui choisissent de suivre Son Fils et de vivre selon Son mode de vie (Jean 3 :16).
Historiquement, une année sur cinq est une année de sécheresse dans la région, mais au cours des dernières décennies, ce chiffre est passé à une fois tous les trois ou quatre ans (The Guardian, 14 novembre 2024). Selon les spécialistes, la sécheresse survenue à l’automne 2024 ne se produit qu’une fois par siècle. La « saison sèche » qui s’étend habituellement d’octobre à avril a commencé en août cette année, avec deux mois d’avance. « Cinq pays – le Lesotho, le Malawi, la Namibie, la Zambie et le Zimbabwe – ont déclaré des catastrophes nationales […] tandis que l’Angola, sur la côte ouest de l’Afrique, et le Mozambique, sur la côte est, sont également “gravement touchés” » (Africa News, 16 octobre 2024).
Les chiffres sont effarants : 27 millions de personnes sont touchées, dont 21 millions d’enfants souffrant de malnutrition. De nombreux gouvernements et organisations humanitaires ne disposent pas des ressources adéquates pour gérer la situation, et beaucoup de gens vivent avec un maigre repas par jour. Dans les économies essentiellement agraires, lorsque les récoltes sont mauvaises, il n’y a rien à vendre ou à échanger.
Pour de nombreuses personnes vivant dans les pays nantis, l’extrême sécheresse qui sévit en Afrique australe peut sembler lointaine et irréelle. Pourtant, les disciples du Christ qui voient leurs semblables souffrir, dans n’importe quelle nation, devraient être poussés à implorer la miséricorde de Dieu et le retour rapide de Jésus-Christ, notre Sauveur !
Certaines espèces de moustiques porteurs de maladies, autrefois cantonnées aux régions tropicales, s’implantent désormais en Europe et aux États-Unis (Le Monde, 11 juin 2024). La forme bénigne de la dengue provoque une forte fièvre, des maux de tête, des douleurs corporelles, des nausées et des éruptions cutanées. Cependant, la forme la plus grave provoque une fièvre hémorragique (une hémorragie interne grave) qui, sans traitement, est mortelle dans 50% des cas.
Au début de l’été 2024, les responsables de la santé publique ont identifié un foyer unique de dengue dans le nord de l’Italie, qui a infecté 25 personnes. Peu après, une petite épidémie s’est déclarée en Californie : « Les cas locaux de dengue à Los Angeles sont le canari dans la mine de charbon », indiquant la présence d’une nappe de grisou. Ces cas de dengue « indiquent que la maladie est véritablement arrivée. Une fois que les moustiques tigre auront étendu leur aire de répartition, il n’y aura plus de retour en arrière possible » (The Telegraph, 24 septembre 2024).
Historiquement, les épidémies de dengue dans les pays nordiques se produisaient seulement lorsqu’une personne infectée revenait d’une région tropicale à haut risque, ramenant l’infection avec elle. Ce n’est plus le cas. Ces nouvelles épidémies, de petite taille, sont causées par des moustiques invasifs implantés localement, signifiant que le territoire du moustique tigre se déplace vers le nord. Ils peuvent être non seulement porteurs de la dengue, mais aussi de la fièvre jaune, du Zika et du Chikungunya. Danny Altmann, professeur d’immunologie à l’Imperial College de Londres, lance une mise en garde : « Si la dengue est transmise localement, il n’y a pas de raison que d’autres maladies ne le soient pas. »
Alors que les menaces mondiales augmentent, souvenez-vous que Jésus révéla à l’apôtre Jean que des pestes et des épidémies ravageraient le monde avant Son retour. Elles sont symbolisées par un sinistre cavalier chevauchant sur un cheval verdâtre et les « bêtes sauvages de la terre » contribueront à cette mortalité à grande échelle (Apocalypse 6 :8). Bien que les moustiques soient de minuscules « bêtes sauvages », ils peuvent être porteurs de virus mortels.
Un journaliste a récemment fait remarquer que « l’Union européenne avait apporté la paix et la prospérité dans une région troublée, au cours des décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale. Mais elle risque de manquer d’énergie et devenir impuissante dans les décennies à venir. » Alors que les pays de l’UE luttent et stagnent financièrement, et que le paysage politique se polarise, les États membres ont l’impression d’être « malmenés » par la Russie, la Chine et les États-Unis, conduisant ce journaliste à se lamenter : « C’est un avenir bien morose » (Reuters, 16 septembre 2024).
Alors que la population européenne en âge de travailler est en déclin, comme celle des États-Unis et de la Chine, la relative stagnation de l’économie de l’UE depuis 2015 la désavantage fortement par rapport aux économies américaine et chinoise qui ont connu une croissance au cours de la même période. Mario Draghi, ancien Premier ministre italien et ancien président de la Banque centrale européenne, a récemment publié un rapport commandé par l’UE sur l’avenir économique de l’Europe, dans lequel il appelle à un réinvestissement massif dans l’économie européenne et à une harmonisation de la production militaire dans l’ensemble de l’Union (Euronews, 9 septembre 2024). Ses recommandations pourraient avoir un impact considérable sur l’avenir de l’Europe, mais les dirigeants européens les suivront-ils ?
La Bible parle de l’émergence d’un puissant personnage politique appelé la « bête », qui dirigera un groupe de nations européennes ayant un impact puissant sur le monde à la fin des temps (Apocalypse 13 :1-8). Ce personnage politique sera soutenu et influencé par une personnalité religieuse de premier plan (versets 11-14). De nos jours, l’Europe semble être dans le marasme politique et économique, mais les prophéties bibliques indiquent qu’elle subira des changements radicaux dans les années à venir.