De nouveaux dieux, de nouveaux péchés | Le Monde de Demain

De nouveaux dieux, de nouveaux péchés

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La plupart des temples des faux dieux païens du passé sont désormais en ruine, mais l’homme moderne n’est pas moins « créatif » que ses ancêtres. Bienvenue dans un monde de « nouveaux dieux » et, avec eux, de nouveaux dogmes et de nouvelles obligations – ainsi que de nouveaux péchés.

Les anciens “dieux” païens ont été remplacés, mais leurs substituts ne sont guère mieux.

Beaucoup pensent que l’âge de la religion et de la superstition appartient au passé – que l’humanité a finalement surmonté ces jours anciens faits de condamnation des péchés, d’obéissance à des listes de commandements et d’adoration de dieux. Mais ils se trompent.

Notre monde « laïc » ou « séculier » est rempli de « nouveaux dieux » et de « nouveaux péchés ». Il peut sembler étrange de parler de « nouveaux dieux », mais ne vous méprenez pas. Ce que Jésus-Christ déclara devant Ses disciples le soir de la Pâque, il y a environ 2000 ans, est toujours valable de nos jours. Ce soir-là, Il pria Son Père en disant : « La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ » (Jean 17 :3). Mais plus nous examinons le monde qui nous entoure, plus nous voyons une jungle de « nouvelles religions » qui poussent comme des mauvaises herbes.

Il ne s’agit pas de religions traditionnelles du passé, centrées sur des dieux de la mythologique grecque, égyptienne, scandinave et bien d’autres encore. Cependant, leurs partisans sont tout aussi passionnés que les anciens adorateurs païens. Et leur dévouement à l’égard de leurs divinités est tout aussi grand. Ces « dieux » modernes sont évoqués dans les paroles que Dieu inspira au prophète Ézéchiel dans Sa condamnation de l’ancien Israël – une condamnation qui est toujours valable de nos jours. Ézéchiel a écrit : « Et la parole de l’Éternel me fut adressée, en ces mots : Fils de l’homme, ces gens-là portent leurs idoles dans leur cœur, et ils attachent les regards sur ce qui les a fait tomber dans l’iniquité. Me laisserai-je consulter par eux ? » (Ézéchiel 14 :2-3).

Il est facile de considérer les idoles sous la forme de statues de pierre ou d’or – ou encore de gravures, d’icônes et d’autres œuvres d’art. De telles images transgressent assurément le deuxième commandement. Mais Dieu révèle ici que l’adoration des idoles va bien au-delà des objets que nous pourrions fabriquer avec nos mains. Les êtres humains sont particulièrement adeptes de créer des idoles dans leur cœur – de faux dieux auxquels ils se dédient religieusement, en leur soumettant leur esprit, leurs actions, leur morale et leur conscience.

De nos jours, nous vivons dans un panthéon virtuel d’idoles du cœur, comme les philosophies politiques, les causes sociales, les problèmes identitaires et les nouvelles visions du monde. La société qui nous entoure encourage un nombre croissant de « nouveaux dieux » et elle exige que toutes les « personnes raisonnables » les acceptent et les incluent dans leur liste de « nouvelles doctrines » éclairées et de « nouveaux péchés ».

Pis encore, les prêtres et les fidèles de ces « nouveaux dieux » sont de plus en plus disposés à imposer leur foi au monde et ils sont prêts à punir ceux qui sortiraient du rang. Contrairement au christianisme biblique, qui chercha dès ses origines à témoigner au cœur et à l’esprit des gens avec des paroles sensées et de bons exemples, les acolytes de ces « nouveaux dieux » sont prêts à utiliser la force pour imposer leur nouvelle foi, à mener des inquisitions et des « chasses aux sorcières » pour obliger par tous les moyens la confession ou l’acceptation.

Que ce soit dans les tribunaux, les corps législatifs, les marchés financiers ou les médias, les partisans acharnés de ces « nouveaux dieux » cherchent à punir tous ceux qui oseraient défier la foi dans laquelle ils se sont jetés corps et âme. Examinons quelques philosophies humaines, visions du monde et états d’esprit qui ont été élevés au rang de « divinités » dans la société actuelle.

“La science omnisciente”

Proverbes 25 :2 nous dit que « la gloire de Dieu, c’est de cacher les choses ; la gloire des rois, c’est de sonder les choses » – et la science est un des meilleurs exemples de sonder les choses. Les avancées issues de la recherche scientifique ont fortement amélioré notre vie et elles ont apporté des solutions à un grand nombre de maladies, d’inconvénients et de souffrances humaines. Nous avons découvert certains secrets de l’Univers et notre compréhension du monde s’est considérablement accrue.

Cependant, la science ne remplace pas Dieu. Elle ne nous dit pas comment différencier le bien du mal. Les théories et les expérimentations qui ont révélé les secrets du monde subatomique nous ont aussi permis de fabriquer les armes nucléaires qui ont dévasté Hiroshima et Nagasaki en 1945, en tuant des centaines de milliers d’êtres humains.

Alors que les gens expulsent Dieu hors de la civilisation, quelque chose doit Le remplacer et ceux qui ne comprennent pas les limitations de la science, ou qui ne s’en soucient pas, sont heureux de bâtir des autels en son nom et de l’élever au rang de « nouveau dieu ». Comme toute religion, ses adorateurs la créent avec ses orthodoxies, ses dogmes et ses péchés. En invoquant le nom de leur dieu, les gens cherchent à avoir le dernier mot en proclamant que la « science » est de leur côté – peu importe si d’autres études scientifiques soutiennent une opinion contraire.

Les scientifiques sont considérés comme des prêtres délivrant la parole de Dieu – et leurs opinions sont considérées comme des vérités canoniques. Tous ceux qui osent être en désaccord avec l’opinion dominante sont considérés comme des hérétiques devant être « brûlés sur le bûcher », même s’il s’agit d’autres scientifiques apportant des preuves qui soutiennent un point de vue contraire.

Trouvez-vous cette déclaration trop sévère ? C’est pourtant ce que confirme l’expérience de la vie réelle. Le site Internet FreeScience.today recense les noms de plusieurs scientifiques qui ont été « excommuniés » pour s’être écartés du dogme de l’évolution. Ils ont perdu leur poste et leur emploi. Ils ont fait l’objet d’une enquête dans leur département et leurs cours ont été annulés. Voici les conclusions du Bureau américain des enquêtes spéciales au sujet de la mise à l’écart de l’un d’entre eux, Richard Sternberg, qui est titulaire de deux doctorats en biologie : « Il est clair qu’un cadre de travail hostile a été créé avec pour objectif ultime de vous forcer à quitter le SI [Smithsonian Institute]. »1

Son tort ? Avoir autorisé la publication dans un journal scientifique d’un article, après un examen collégial, qui ne dénigrait pas le design intelligent.

Lorsque la science est élevée au rang divin, toute once de désaccord avec l’évolution devient une hérésie intolérable.

“Le changement climatique destructeur”

Soyons clairs : nous devons prendre soin de la Terre. L’homme n’a pas été fait pour la Terre, mais la Terre a été créée pour l’homme et nous devons gérer ses ressources avec sagesse. Dieu confia aux hommes de prendre soin de la planète (Genèse 2 :15). Au Monde de Demain, nous ne souhaitons pas entrer dans le débat au sujet du changement climatique global – à savoir si le comportement de l’humanité est ou non la cause principale de ce changement.

Ce débat est devenu hors sujet, car une fois que le changement climatique a été élevé au rang de « divinité », cela met fin à toutes les discussions. Le bien suprême devient l’acceptation des « dogmes divins » concernant le changement climatique. Les bonnes et les mauvaises valeurs morales ne sont plus déterminées que par la doctrine de l’impact environnemental, qu’il soit valide ou non.

Il n’y a plus aucun problème à détruire la capacité de production d’une nation, ses systèmes économiques et ses structures sociales afin d’atteindre la nouvelle donne verte et de préserver l’environnement, car il s’agit du « nouveau dieu » du changement climatique. Le bien moral ultime est de prendre soin de la Terre – du moins de donner l’apparence d’en prendre soin.

Le professeur de science politique Michael Munger expliqua ce point dans un article publié en 2019. Alors qu’il participait à une conférence sur le recyclage, il démontra que le recyclage du verre pouvait être nocif pour l’environnement – en raison de la pollution générée, des coûts carbone, des dépenses, etc. – et il s’attendait à une vague d’indignation de la part des personnes présentes qui défendaient toutes le recyclage. Mais il fut surpris par leur réaction :

« Un participant allait complètement dans mon sens : “Oh, nous savons tous que c’est absurde de recycler le verre. Le constat économique est simple. Mais les gens doivent continuer à recycler, car c’est la bonne chose à faire. Ça n’a rien à voir avec l’environnement. Il s’agit de mobiliser les gens afin qu’ils prennent soin du symbole de l’environnement. Globalement, ça vaut toujours la peine de recycler, quelles que soient les répercussions.”

« Une jeune femme intervint : “Ce n’est pas un problème de mentionner ce genre de choses ici, car nous sommes des initiés. Mais il vaut mieux ne pas parler des questions économiques auprès du grand public. Nous devons aider à les entraîner à prendre soin de l’environnement et le recyclage est une des meilleures façons de le faire” […]

« Le message qui me tracassait et que je pensais être polémique n’avait rien de nouveau dans ce milieu professionnel. Mais c’était hors sujet, car le recyclage était un impératif moral pour eux. Une fois que vous commencez à voir le recyclage comme un symbole d’une dévotion religieuse, au lieu d’une solution pragmatique aux problèmes environnementaux, la situation générale prend tout son sens » (c’est nous qui accentuons).2

Certaines actions sont considérées comme étant un faible prix à payer pour satisfaire les demandes du « nouveau dieu » du changement climatique, par exemple : cesser de consommer de la viande car vous êtes préoccupé par l’impact de la filière bovine sur le réchauffement climatique, ou encore décider de ne pas avoir d’enfants afin de réduire « l’empreinte carbone » de l’humanité. Si vous mangez un steak, que vous avez une famille nombreuse ou que vous ne recyclez pas cette bouteille de soda, attendez-vous à être qualifié de « pécheur ».

“La sexualité libératrice”

Le modèle biblique est simple en termes de sexualité : l’humanité a été créée homme et femme – deux catégories biologiques clairement identifiables. Ces deux sexes, ou ces deux genres, ont été créés l’un pour l’autre, afin qu’un homme et une femme profitent des avantages du mariage – dont l’intimité sexuelle et les enfants qui naîtront – lorsqu’ils décident de s’engager l’un envers l’autre au sein de cette union sacrée.

Cela diffère radicalement du « nouveau dieu » de l’anarchie sexuelle imposant que la sexualité ne supporte aucune règle, aucune contrainte, ni aucune loi naturelle. Ce « nouveau dieu » publie une longue liste détaillée de péchés qui peut être résumée très simplement : tous ceux qui affirment croire aux concepts bibliques du genre, de la sexualité ou du mariage sont, au mieux, prudes et, au pire, fanatiques. Les règles bibliques sont considérées comme trop restrictives par les adorateurs de l’anarchie sexuelle.

Comme le mot « anarchie » l’implique, tout est envisageable. La sexualité n’est plus réservée au mariage – et le « mariage » lui-même a été redéfini pour y inclure toutes les combinaisons possibles d’individus, quel que soit leur nombre ou leur genre. En fait, le genre lui-même a été redéfini. Il n’est plus seulement constitué d’hommes et de femmes, mais il a été « libéré » pour se déplacer avec fluidité le long d’un spectre de possibilités – sans aucune règle, contrainte ou limite.

Comme l’ancienne divinité Moloch, ce « nouveau dieu » de l’anarchie sexuelle demande de sacrifier la vie des enfants. Ces derniers sont trop jeunes pour pouvoir voter, boire de l’alcool ou conduire une voiture, mais ils reçoivent de plus en plus la permission de prendre une décision fondamentale, aux lourdes implications, concernant leur genre – ils y sont même encouragés. Une décision qui peut modifier le restant de leur vie de façon irrémédiable.

Quelques tribunaux ont commencé à reconnaître le problème. En décembre 2020, la BBC décrivait une affaire portée devant un tribunal contre le NHS, le service de santé publique britannique. Une jeune femme s’était vu prescrire des inhibiteurs d’hormones pendant son adolescence afin de bloquer sa puberté de façon irrémédiable, car elle souhaitait alors être un homme. Les différentes plaignantes dans ce dossier ont gagné le procès. Elles ont fait valoir que des enfants n’avaient pas la capacité de prendre de telles décisions. Une des juges a déclaré :

« Il est hautement improbable qu’un enfant âgé de 13 ans ou moins possède les compétences pour donner son consentement à l’administration de bloqueurs de puberté. Il est improbable qu’un enfant de 14 ou 15 ans puisse comprendre et mesurer les risques et les conséquences à long terme de l’administration de bloqueurs de puberté. »3

Mais ne vous attendez pas à ce que les croyants les plus fervents de l’anarchie sexuelle abandonnent leur foi après ce petit échec. Ils vont continuer à chercher à punir ceux qui pensent que la sexualité et la moralité selon la Bible représentent ce qu’il y a de mieux pour la société – et les sacrifices continueront à avoir lieu dans leur marche en avant.

En fait, la foi dans le « nouveau dieu » de l’anarchie sexuelle ne représente qu’une seule secte parmi une multitude de « nouvelles religions » qui tombent sous l’égide d’un « nouveau dieu » plus grand que cela – comme Zeus était au-dessus de tous les dieux dans la Grèce antique, ou Jupiter dans la Rome antique.

“La transformation sociale à tout prix”

Le « nouveau dieu » de la transformation sociale a une puissance particulière : il s’adapte à l’image de l’adorateur. Si vous pensez que les normes concernant la sexualité et le genre sont le grand ennemi empêchant la société de progresser, alors la révolution tourne autour de ce sujet. Si vous pensez que le monde ne sera pas sûr tant que le patriarcat ne sera pas détruit, alors le « nouveau dieu » de la transformation sociale est prêt à bénir votre cause. Si vous pensez que le capitalisme est le véritable fléau de la société, la révolution est prête avec des panneaux, des banderoles, voire des cocktails Molotov, pour vous aider à faire progresser le communisme, l’extrême gauche ou même l’anarchie. Si vous pensez qu’il faut évaluer les enfants en prenant en compte non seulement leur caractère, mais aussi en les catégorisant selon leur couleur de peau, alors le dieu de la transformation sociale est prêt à vous armer pour le combat sur les réseaux sociaux autour des théories raciales, dont la discrimination positive, ainsi que pour l’endoctrinement dans les écoles et sur les lieux de travail.

Tous les « nouveaux dieux » engendrent de « nouveaux péchés ». Pour le dieu de la révolution sociale, le plus grand péché devient le délit d’opinion – comme George Orwell l’avait imaginé dans son roman 1984. Ceux qui pensent différemment des partisans de la révolution sociale sont « effacés » et désavoués publiquement. Des professeurs d’université sont menacés de perdre leur titularisation. Des écrivains populaires, comme J.K. Rowling, sont menacés de boycott. Même les revenus des célébrités médiatiques peuvent être mis en danger lorsque d’anciens tweets ou commentaires sont découverts sur les réseaux sociaux, car l’inquisition examine chaque déclaration publique pour s’assurer que leur mode de pensée soit « pur ». Parfois, après avoir fait amende honorable, en se répandant en excuses publiques et déclarant leur fidélité à la nouvelle foi, ces individus sont pardonnés – même s’ils resteront souvent considérés comme suspects après cette « repentance » servile.

Ces « nouveaux dieux » et leurs disciples ne tolèrent pas le « péché » de la « mauvaise » opinion. Dans un sens, ces « nouveaux dieux » ressemblent bien plus qu’il n’y paraît aux « anciens dieux » de la mythologie. Ces nouveaux faux dieux se comportent comme dans les légendes des anciens dieux grecs qui se querellaient, se jalousaient et se combattaient. Par exemple, les études scientifiques qui contredisent les conclusions des anarchistes sexuels sont qualifiées de haineuses et d’inexactes – sur des bases idéologiques et non factuelles. Il existe aussi de nombreuses divisions au sein même des croyances individuelles générées par ces « nouveaux dieux ». Certains des débats les plus mouvementés et les plus agressifs que vous pouvez trouver sur Internet ont lieu entre des féministes et des partisans de l’identité de genre.

L’ancien séducteur

Tous ces « nouveaux dieux » sont plus anciens qu’il n’y paraît. Chacun d’entre eux est la manifestation d’une espèce très différente de faux dieu ; il s’agit d’un être bien réel qui domine sur la Terre depuis des milliers d’années, Satan le diable.

Le « dieu de ce monde » (Semeur) ou le « dieu de ce siècle » (NEG), comme l’apôtre Paul appelle Satan, utilise des tactiques, dont ces faux dieux et les idoles du cœur, pour détourner les gens de la vérité divine : « Si notre Évangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent, pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l’intelligence, afin qu’ils ne voient pas briller la splendeur de l’Évangile de la gloire de Christ, qui est l’image de Dieu » (2 Corinthiens 4 :3-4).

Depuis que le diable a incité Ève à manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal – et qu’Adam a suivi sa femme sans résister – les êtres humains ont placé leur confiance dans leurs propres philosophies, leurs propres systèmes gouvernementaux et leurs propres hypothèses concernant le monde qui les entoure, au lieu de se laisser guider par le Dieu qui les a créés dans un objectif précis. Les « nouveaux dieux » actuels ne sont que les derniers exemples de la confiance mal placée de l’humanité dans sa propre folie.

Le Dieu tout-puissant

Heureusement, Dieu ne nous a pas abandonnés malgré une telle folie. Il enverra Jésus-Christ sur cette Terre pour restaurer toutes choses et mettre en place Son Royaume – le seul véritable espoir pour l’humanité. Dans ce Royaume, les « nouveaux dieux » seront poursuivis et jugés ineptes, comme les faux dieux de l’Égypte lorsque le Tout-Puissant libéra les enfants d’Israël.

 La science reviendra à sa place et les chercheurs utiliseront l’esprit qui leur a été donné par Dieu pour découvrir et comprendre le monde qu’Il a créé. L’anarchie sexuelle prendra fin ; les hommes et les femmes suivront les directives données par Celui qui a créé la sexualité. L’environnement sera restauré et les habitants de la Terre apprendront à le respecter de façon équilibrée. La transformation sociale ultime aura enfin lieu – l’ensemble de la société se tournera vers le vrai Dieu pour obtenir Ses directives, Sa sagesse et Son amour.

Que le Christ nous sauve au plus vite de ces « nouveaux dieux » en montrant au monde qui est le véritable Dieu.

  1. Richard Sternberg”, FreeScience.today, consulté le 15 février 2021
  2. For most things, recycling harms the environment”, Institut américain pour la recherche économique, AIER.org, 14 août 2019
  3. Puberty blockers : Under-16s ‘unlikely to be able to give informed consent’”, BBC News, 1er décembre 2020