Pour faire une recherche avancée (rechercher des termes dans un type de publication précis), entrez les mots en suivant la syntaxe présentée dans les exemples ci-dessous :
Le discours politique actuel est un cancer détruisant la société. Est-il possible de le guérir ?
Lorsque vous lirez cet article, les élections américaines seront derrière nous et vous saurez si Donald Trump a été réélu ou si l’ancien vice-président Joe Biden l’a emporté.
Cependant, un grand nombre d’observateurs pensent que la nation est prête pour un scénario cauchemardesque selon lequel les Américains auraient encore des doutes sur le nom du vainqueur bien après l’élection du 3 novembre. Le magazine The Economist l’a qualifié de « scrutin sinistre de l’Amérique » en notant que « beaucoup d’Américains craignent que novembre n’annonce pas un exercice paisible de démocratie, mais plutôt une discorde violente et une crise constitutionnelle » (3 septembre 2020).
Quel que soit le résultat, il existe un fléau qu’aucun président ne pourra régler : la politique. C’est valable pour toutes les nations du monde. Les élections vont et viennent, mais la politique reste. Cependant, il existe un remède. Jadis, la Bible avait prophétisé l’arrivée de ces jours de trouble et elle avait averti des dangers à venir, à l’approche de la fin de cette ère. Malheureusement, le fléau de la politique empirera et il apportera une dévastation sans précédent. Seul le retour de Jésus-Christ apportera le remède. Mais Il nous dit que nous n’avons pas à attendre Son retour. Même au milieu des problèmes de notre monde, Dieu appelle dès aujourd’hui quelques personnes à faire l’expérience des bénédictions de ce remède, des années avant le reste du monde.
La situation est épouvantable n’est-ce pas ? Des campagnes de publicité négative, des attaques personnelles vicieuses, des « tweets » enfantins et des messages sur les réseaux sociaux, des présentateurs télévisés « impartiaux » qui promeuvent leurs candidats favoris – il semble qu’il n’y a pas moyen d’y échapper. Ceux qui veulent obtenir un poste semblent abandonner toute bienséance et dignité, en voulant l’obtenir à tout prix. Aucune rumeur contre un adversaire n’est trop salace, elles sont répétées (ou inventées) et même les insultes les plus dégradantes sont proférées. La rancœur politique s’est répandue dans tous les médias – télévision, radio, Internet et partout ailleurs. N’espérez pas trouver de sitôt un endroit libre de politique.
C’est particulièrement vrai pendant les campagnes électorales – qui semblent de plus en plus longues. Mais la politique continue même après une élection : des discours représentant les adversaires comme des ennemis, des conférences de presse pleines de rumeurs et de calomnies, ainsi que des promesses qui encouragent et enthousiasment les électeurs, suivies de compromis qui apportent le découragement et le désespoir. Comme le satiriste John Godfrey Saxe l’avait écrit : « Les lois sont comme les saucisses, elles cessent d’inspirer le respect à mesure que nous savons comment elles sont fabriquées. »
Si nous pensons que la politique n’a jamais été aussi mauvaise, alors nous ne comprenons pas la politique. Les attaques personnelles et la diffamation n’ont pas été inventées par Donald Trump et ses tweets lors de la campagne de 2016, ni au cours de la décennie précédente, ni même au siècle précédent. Les insinuations ont toujours été un aspect essentiel de la vie politique américaine dès ses débuts.
Par exemple, Thomas Jefferson, le troisième président des États-Unis, avait recruté le journaliste James Callender pour publier de fausses rumeurs et des attaques personnelles contre son opposant politique John Adams. Callender affirma dans un pamphlet qu’Adam possédait « un caractère horriblement hermaphrodite, qui n’avait ni la force et la fermeté d’un homme, ni la gentillesse et la sensibilité d’une femme » (The Prospect Before Us).
Jefferson lui-même devint la victime de telles attaques. Le 4 juillet 1798, le président de l’université Yale, Timothy Dwight, prononça un « sermon » dans lequel il déclara à l’assistance : « Si Jefferson était élu, nous pourrions voir nos épouses et nos filles [devenir] victimes de la prostitution légale, gravement déshonorées, spécieusement souillées, parias de la délicatesse et de la vertu, répugnantes à Dieu et aux hommes. »
Quelques années avant la guerre de Sécession, l’ancien représentant du Congrès américain Kenneth Rayner n’hésita pas à écrire dans un journal de Caroline du Nord que le président alors en poste, Franklin Pierce, était « le proxénète de la Maison-Blanche […] Un homme tombé si bas que nous pouvons à peine le haïr. Nous ne ressentons rien d’autre que du dégoût, de la pitié et du mépris » (The Weekly Standard, 4 juillet 1855).
La nature de la politique n’a pas changé. Ce que nous déplorons aujourd’hui chez nos politiciens – les injures, les insultes et la calomnie – a toujours été la norme et non l’exception.
Comme un corps infesté par un virus ou une bactérie, notre vie semble désormais saturée de politique. Partout, les politiciens se disputent notre bulletin de vote et notre argent. Les manifestations politiques remplissent la une des actualités – et parfois nos rues – en cherchant à transformer nos choix les plus banals en déclarations politiques :
Quelques observateurs ont noté le zèle presque religieux avec lequel certains pratiquent la politique de nos jours. En effet, en l’absence d’un véritable Dieu dans la vie des gens, les politiciens de tous bords ont comblé ce vide. Ce n’est pas sans raison que beaucoup participent à des émeutes – et les défendent publiquement, peu importe le tort qu’elles causent et les vies qu’elles détruisent – avec un zèle religieux : lorsque Dieu est absent, des choses terribles comblent le vide.
Ce n’est pas la manière de diriger une civilisation. Il n’est pas surprenant que la politisation de presque tous les aspects de la vie – ce qui engendre une atmosphère dans laquelle le moindre désagrément devient une attaque personnelle – ait créé un environnement prévisible : une grande partie de la vie moderne est devenue une compétition acharnée et un champ de bataille idéologique. La comédienne et commentatrice politique Bridget Phetasy écrivit à propos de la politique qui envahit tous les aspects de la société américaine :
« La démocratie ne meure pas dans l’obscurité ; elle meure lorsque la politique devient un sport, au vu et au su d’un électorat assoiffé de sang qui applaudit […] Alors que les deux camps lancent des arguments et colportent des conspirations afin de défendre l’insanité, des millions d’Américains raisonnables et modérés n’ont d’autre choix que de rejoindre un clan, se déconnecter ou devenir fou » (The Spectator, édition américaine, 16 août 2019).
Ce commentaire est remarquable car il reconnaît le rôle des citoyens eux-mêmes. La démocratie – sous quelque forme que ce soit – associe directement la qualité de ses dirigeants à celle de son peuple. Les individus en charge occupent ces postes car « leur équipe » – la dernière majorité politique – veut qu’ils soient là. Vous obtenez les dirigeants que vous choisissez – ceux qui gagneront dans l’arène politique. Autrement dit, vous avez les dirigeants que vous méritez. Même lorsque les citoyens d’une démocratie dénoncent l’insuffisance d’habilité, de personnalité et de compétence de leurs dirigeants, l’essence même de la démocratie garantit que les dirigeants reflètent le caractère de « leur équipe » – le peuple – qui les a placés à ce poste-là.
La situation actuelle devrait nous rappeler l’avertissement de l’apôtre Paul lorsque le second grand commandement – « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » – est oublié : « Mais si vous vous mordez et vous dévorez les uns les autres, prenez garde que vous ne soyez détruits les uns par les autres » (Galates 5 :14-15). L’environnement nauséabond, brutal et autodestructeur dans lequel se trouvent beaucoup de démocraties et de républiques démocratiques de nos jours – ainsi que la dégradation des propos publics et des relations personnelles – ne peut être seulement imputé à nos politiciens. Ces dirigeants sont à la fois un produit de ces maux présents parmi leur peuple, ainsi que des contributeurs à la détérioration de ces maux – un terrible cercle vicieux qui mène vers une fin terrible, à moins qu’une intervention n’ait lieu pour guérir cette maladie.
Lorsque nous lisons la Bible, nous voyons que ses anciennes prophéties avaient annoncé cette crise de gouvernance. Dans un message adressé à « Jérusalem » et à « Juda », qui s’applique encore à nos nations actuelles, Ésaïe nous dit que Dieu va ôter « tout appui et toute ressource, toute ressource de pain et toute ressource d’eau, le héros et l’homme de guerre, le juge et le prophète, le devin et l’ancien, le chef de cinquante et le magistrat, le conseiller, l’artisan distingué et l’habile enchanteur » (Ésaïe 3 :1-3).
Que cela signifie-t-il ? Dieu finira par ôter les dirigeants compétents dans nos nations pécheresses, en nous laissant dépourvus de toute gouvernance raisonnable. En lieu et place, nos nations seront conduites par des « jeunes gens » et des « enfants » – des personnes immatures et incompétentes (verset 4) – conduisant la population à se tourner contre elle-même : « Il y aura réciprocité d’oppression parmi le peuple ; l’un opprimera l’autre, chacun son prochain ; le jeune homme attaquera le vieillard, et l’homme de rien celui qui est honoré » (verset 5). Seuls les aveugles ne peuvent pas voir dans ce passage la description de la société que nous avons créée autour de nous.
Il en résultera du désespoir ! Ésaïe montra que les gens ne chercheront pas des personnes aptes à diriger en fonction de leurs qualifications ou de leur crédibilité, mais en se basant sur des signes superficiels. En s’adressant à des gens de leur maison, certains diront : « Tu as un habit, sois notre chef ! Prends ces ruines sous ta main ! » (verset 6). Voyez en effet combien le monde commence à élire des personnes incompétentes. Ce n’est pas une coïncidence si l’élection présidentielle américaine a vu s’opposer un présentateur de téléréalité à un homme qui fut parmi les derniers de sa promotion en faculté de droit pour un diplôme de premier cycle. Beaucoup d’électeurs ont déclaré qu’ils n’allaient pas voter pour leur favori, mais contre le candidat qu’ils détestent le plus !
Dieu inspira le prophète Ézéchiel à parler avec force de notre époque, en condamnant les « chefs », les « sacrificateurs » et les « prophètes » qui égarent la société (Ézéchiel 22 :26-28). De nos jours, les dirigeants politiques prétendent diriger, les dirigeants religieux prétendent enseigner et les médias prétendent « dire toute la vérité » – jadis leur devise était « de rassurer les affligés et d’affliger ceux qui sont pleins d’assurance ».
Mais cette accusation n’est pas adressée qu’aux dirigeants. Dans le même passage, Ézéchiel condamne le peuple qui est autant coupable que ses dirigeants (verset 29). Cela ne devrait pas nous surprendre car Paul avait averti le jeune évangéliste Timothée que dans les derniers jours (c.-à-d. à notre époque), les gens seraient insensibles, calomniateurs, orgueilleux, cruels et irréligieux – désireux d’amasser de l’argent et dépourvus de maîtrise de soi (2 Timothée 3 :1-4). Paul mit en garde que les gens auront « l’apparence de la piété », mais ils renieront la véritable puissance divine biblique – un déni que nous voyons tout autour de nous (verset 5).
Certains se demandent comment les habitants de ce monde pourraient être victimes de la « bête » et du faux prophète. Souvenez-vous que leur système politico-religieux impie, alimenté par le diable lui-même, permettra à beaucoup de s’enrichir (Apocalypse 18 :3). Beaucoup prospéreront, sans se soucier des souffrances inimaginables infligées aux autres (Apocalypse 13 :4-7, 11-15), jusqu’à ce que cette union faite d’une puissance politique tyrannique et d’un « christianisme » de contrefaçon ne conduise le monde au bord de l’autodestruction.
L’esprit de la politique aura alors atteint son paroxysme. Ancré dans la compétition et le désir d’imposer sa propre volonté aux autres, quel qu’en soit le prix, le cancer de la politique se sera propagé au point de mettre en danger l’existence même de l’humanité et qu’aucune chair n’échapperait sur cette Terre (Matthieu 24 :22, Ostervald).
Les choses empireront avant de s’améliorer et nous verrons notre monde au bord de la destruction. Heureusement, ces jours seront abrégés avant que nous ne commettions un cosmocide. Jésus-Christ reviendra ici-bas pour régner en tant que Roi des rois et Seigneur des seigneurs. Mais contrairement à tous les rois, présidents ou premiers ministres avant Lui, Son règne changera les règles en profondeur – Il guérira le fléau de la politique !
Il existe un problème inhérent au fait que des êtres humains dirigent d’autres êtres humains, comme les politologues Bruce Bueno de Mesquita et Alastair Smith l’ont observé dans leur livre cynique, mais instructif, Le manuel des dictateurs :
« Aucun dirigeant n’est monolithique. Si nous voulons comprendre comment fonctionne le pouvoir, nous devons cesser de penser que le leader coréen Kim Jong-il peut faire tout ce qu’il veut. Nous devons cesser de croire qu’Adolf Hitler, Joseph Staline, Gengis Khan ou n’importe qui d’autre contrôlaient à eux seuls leurs nations respectives […] Toutes ces notions sont totalement fausses car aucun empereur, aucun roi, aucun cheik, aucun tyran, aucun président directeur général (PDG), aucun chef de famille, aucun dirigeant ne peut gouverner seul » (The Dictator’s Handbook, 1991, page 1).
Les gens qui règnent sur les autres peuvent uniquement le faire car des partisans clés veulent qu’ils soient à ce poste d’autorité. Lorsque ce soutien disparaît, il existe toujours quelqu’un d’autre qui attend impatiemment de prendre la place de ce dirigeant. C’est vrai pour les présidents, les sénateurs et les députés, mais aussi pour les rois, les dictateurs et les despotes. Dans les systèmes humains de gouvernance, il est impossible d’éviter la politique et les politiciens. Même les dirigeants humains les plus puissants de l’Histoire doivent parfois gagner les faveurs de leurs partisans, ou maintenir des coalitions fragiles avec leurs alliés – chacun ayant ses projets et ses désirs propres.
Mais le Christ ne fera pas de politique à Son retour. Ésaïe 9 :5 décrit comment les peuples de la Terre verront le Messie qui régnera depuis Jérusalem. Il sera appelé « Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix ». Alors que les politiciens cherchent à atteindre leurs objectifs par la manipulation, le marchandage et la fraude, Celui qui porte à raison le titre de « Dieu puissant » n’utilisera jamais ces procédés.
Le président américain Theodore Roosevelt est célèbre pour avoir décrit ainsi sa politique étrangère : « Il faut parler calmement tout en tenant un gros bâton » (RevueDesDeuxMondes.fr, 27 octobre 2017). Certes, Jésus-Christ tiendra à la main le plus « gros bâton » de la création – en fait, Il aura toute la création à Sa disposition ! La « politique » sera inutile. Si une nation décide de se rebeller, Il déclarera simplement que cette nation désobéissante ne recevra pas de pluie sur son territoire (Zacharie 14 :17-19). Et les forces de la nature obéiront ! Alors que les habitants – et les dirigeants – d’un tel peuple feront face à la sécheresse et à la famine, ils se soumettront à ce nouveau Roi.
Jésus-Christ régnera avec une puissance absolue. Mais le Fils de Dieu ne sera absolument pas corrompu par cette puissance absolue. La vie sans péché que le Christ mena pour le bien de toute l’humanité, au cours de Ses trois décennies d’existence terrestre jusqu’à Sa crucifixion, démontre le caractère qu’Il aura dans Son rôle. Il sera le Dirigeant le plus sage, le plus aimant et le plus bienfaisant que le monde ait jamais connu. Ceux qui vivront sous Sa direction feront l’expérience d’un monde renouvelé, alors que le Créateur régnera avec humilité et justice sur Sa création, en prenant soin et en défendant les pauvres et les faibles, ainsi qu’en remplissant Son Royaume de justice. Il changera même la nature des animaux afin qu’ils ne se causent plus de tort. Ce changement dans le règne animal représente ce qui se produira chez les êtres humains dans Son Royaume : un changement complet de la nature humaine. Où qu’ils vivent, les hommes et les femmes mèneront finalement une existence basée sur l’amour divin pour les autres et dirigée par les lois de Dieu. Le monde prospérera sous la main de ce Roi divin, comme beaucoup de versets le montrent (par ex. Ésaïe 11 :1-10).
N’aimeriez-vous pas avoir dès à présent un avant-goût de ce monde à venir, avant même que le Royaume de Dieu et le règne de Jésus-Christ ne soient établis sur la Terre ? Dieu appelle un petit groupe de personnes à vivre dès maintenant un aperçu de cet avenir – un monde sans politique.
Ceux qui suivent Jésus-Christ sont « étrangers et voyageurs » sur la Terre (Hébreux 11 :13). Ils ne s’impliquent pas dans la politique de ce monde, car leur « citoyenneté » est dans le Royaume de Dieu qui n’est pas encore ici-bas (Philippiens 3 :20). Comme des ambassadeurs qui représentent leur pays lorsqu’ils vivent à l’étranger, les disciples du Christ s’efforcent de représenter le Royaume de Dieu, bien qu’ils vivent dans ce monde corrompu (cf. 2 Corinthiens 5 :20). De la même manière que les ambassadeurs ne votent pas dans le pays où ils vivent, les chrétiens ne participent pas à la politique du pays dans lequel ils résident.
Jésus déclara à Ponce Pilate : « Mon royaume n’est pas de ce monde […] Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi » (Jean 18 :36). Au premier siècle, les disciples de Jésus ne combattirent pas pour Le sauver de la crucifixion et ils ne luttèrent pas pour changer le gouvernement romain. De nos jours, Ses disciples actuels comprennent qu’ils ne peuvent pas régler les problèmes de ce monde au moyen de la politique. Seul Jésus-Christ peut restaurer notre monde, lorsqu’Il reviendra pour établir Son Royaume prophétisé sur la Terre. D’ici là, Ses disciples s’efforcent de sortir des voies corrompues de ce monde (2 Corinthiens 6 :17). Au lieu de choisir « le moins mauvais » des candidats aux élections, ils choisissent de diffuser la bonne nouvelle annonçant qu’un véritable Dirigeant viendra bientôt accomplir tout ce que les dirigeants actuels n’arrivent pas à faire !
Les disciples du Christ reconnaissent que « le Très-Haut domine sur le règne des hommes, qu’il le donne à qui il lui plaît, et qu’il y élève le plus vil des hommes » (Daniel 4 : 17). Ils n’ont pas besoin de s’impliquer dans la politique de ce monde car ils comprennent la vue d’ensemble. Le fait de se mettre à l’écart de la politique et de se dédier à la grande cause de Dieu le Père apporte également une profonde paix intérieure ! C’est un avant-goût, certes très limité, de la paix d’esprit qui se répandra dans le monde entier lorsque le Prince de la paix, totalement apolitique, inaugurera Son règne depuis Jérusalem dans les années à venir. Ceux qui répondent à l’appel de Dieu peuvent en avoir un aperçu dès maintenant ! Si vous pensez que Dieu vous appelle, lisez notre article intitulé « Quel est le but d’un véritable chrétien ? »
J’ai achevé cet article fin septembre, plus d’un mois avant l’élection présidentielle américaine du 3 novembre 2020. Comme je l’ai déjà mentionné, beaucoup d’observateurs craignent que l’élection ne s’arrête pas vraiment le jour du scrutin. Les résultats seront-ils retardés comme en 2000 – avec des polémiques sur les bulletins à compter ou non ? Les procédures légales concernant le vote par correspondance et l’accès aux bureaux de vote – ou toute autre controverse que le parti perdant pourrait susciter – vont-elles traumatiser le pays pendant des semaines ou des mois entiers ? Cela provoquera-t-il encore plus de chaos dans les rues américaines – et dans l’économie ? Souvenez-vous que les problèmes américains deviennent souvent ceux du monde.
Heureusement, la parole de Dieu est claire. Certes, le fléau de la politique va empirer, mais celui-ci prendra fin. Lorsque Jésus-Christ reviendra, Il mettra fin à la politique. Quel que soit le résultat de l’élection présidentielle américaine et les changements qui en découleront, Dieu est en mesure d’apporter le remède. Mais pour ceux qui Le laissent diriger leur vie actuellement, la formidable vérité est que la guérison peut commencer dès aujourd’hui !