La fin des guerres

La souffrance est omniprésente dans la condition humaine. Au Yémen – déchiré par la guerre et la famine qui en découle – les familles subissent de plein fouet les effets de la guerre. Le choléra et les services sanitaires défaillants affectent surtout les enfants !

« Cette épidémie meurtrière est la conséquence directe de deux années de conflit intense. L’augmentation des taux de malnutrition a fragilisé l’état de santé des enfants, les rendant plus vulnérables à la maladie. On estime que 30.000 agents de santé locaux, qui font preuve d’un grand dévouement et jouent le rôle principal pour mettre fin à l’épidémie, n’ont pas été payés depuis plus de 10 mois » (UNICEF, 23 juin 2017). Les parents qui n’ont pas les moyens financier de faire soigner leurs enfants ou qui n’ont pas accès aux soins médicaux sont forcés de regarder leur progéniture mourir sous leurs yeux. Le pays est également confronté à une pénurie d’eau potable et de médicaments, ce qui aggrave la situation (ibid.).

La guerre et la souffrance sont le résultat de la soumission des sociétés de ce monde à un esprit puissant appelé « le dieu de ce siècle » – Satan le diable (2 Corinthiens 4 :4). Mais la guerre et la souffrance n’existeront pas éternellement. Un jour, il n’y aura plus la guerre (Ésaïe 2 :3-4 ; Apocalypse 21 :4). Pour en savoir plus sur un monde sans guerre, lisez notre article La fin des guerres ?