Démission du président sud-africain

Le président Jacob Zuma a démissionné la semaine dernière sous la pression de son parti, le Congrès national africain (l’ANC). La direction de l’ANC l’avait menacé de lui opposer une « motion de défiance » s’il ne démissionnait pas de lui-même suite à une vague d’innombrables accusations de corruption (Le Monde, 15 février 2018). M. Zuma est membre de l’ANC depuis 1958 et a passé dix ans en prison avec l’ex-président sud-africain Nelson Mandela. « Le Parlement sud-africain a élu jeudi Cyril Ramaphosa président de la République [...] [qui] s’est d’ailleurs engagé à faire de la lutte anticorruption une “priorité” » (Europe 1, 15 février 2018). Il restera en poste jusqu’aux prochaines élections qui se tiendront l’année prochaine. Beaucoup de Sud-Africains ont exprimé leur joie après la démission de M. Zuma.

Le livre des Proverbes fait remarquer à juste titre : « Quand les justes se multiplient, le peuple est dans la joie ; quand le méchant domine, le peuple gémit » (Proverbes 29 :2). Nous voyons cette réaction non seulement en Afrique du Sud mais à travers le monde entier, alors que des dirigeants aspirent à s’élever eux-mêmes au-dessus des peuples qu’ils gouvernent. Une époque s’en vient où, sous la direction de Jésus-Christ, les dirigeants de par le monde serviront véritablement et prendront soin des peuples dont ils auront la charge. Cela ne deviendra réel que lorsque les lois humaines seront remplacées par celles de Dieu ! Pour connaître ces nouvelles encourageantes concernant l’avenir du gouvernement mondial à venir, une époque où les dirigeants auront à cœur les meilleurs intérêts de leurs sujets, lisez notre article qui s’intitule « Le gouvernement de Dieu arrive bientôt ».