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La fête de Noël est-elle païenne?

La fête de Noël s’oppose-t-elle au véritable christianisme ? Dieu accorde-t-il de l’importance au fait que ses origines, ses coutumes et ses traditions proviennent du paganisme ? Jésus a-t-Il : « Il n’y aucun problème avec ça, du moment que vous avez de bonnes intentions » ? Voyez ce que la Bible déclare réellement au sujet de Noël et de ses traditions.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Nombreux sont ceux qui trouvent tant de joie dans les scènes et les chants du mois de décembre, en particulier à l’approche de Noël. Avec les décorations rouges et vertes, les panneaux et les affiches mettant en scène un bonhomme jovial vêtu tout de rouge, et les ritournelles que vous ne pouvez tout simplement pas vous sortir de la tête, vient la sempiternelle question : la fête de Noël est-elle païenne ?

La plupart ne se soucient même pas de la réponse, mais pour ceux qui prennent la foi biblique à cœur, c’est une question sérieuse – et c’est une question qui a besoin d’une réponse. Et nous répondrons à cette question ici au Monde de Demain, directement à partir des pages de la Bible, dès maintenant !

Les souvenirs de l’enfance ne sont pas suffisants

Aujourd’hui, nous allons aborder une question qui semble revenir chaque année en décembre : « La fête de Noël est-elle païenne ? »

Nous examinerons la question honnêtement et ouvertement, avec le désir d’orienter nos cœurs et nos esprits selon le conseil de Jésus-Christ tel qu’Il nous l’a enseigné dans Matthieu 6 :33 : « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu. »

Et cette question est importante. La façon dont nous choisissons d’honorer Dieu le Père et Son Fils est fondamentale. Comme nous le verrons dans les paroles inspirées des Écritures, nos pratiques ont un impact profond sur notre relation avec Dieu et sur le caractère que nous développons pour servir Dieu et Son plan.

Pour littéralement des centaines de milliers de personnes qui se considèrent comme des chrétiens sincères, la période de Noël est parmi l’une des plus sacrées.

C’est pour eux le moment de se remémorer la naissance de Jésus-Christ, le Sauveur promis au monde. Nombreux sont ceux qui assistent en décembre à des cultes religieux, consacrés au rappel des récits populaires de la nativité de Jésus, dont la naissance est ostensiblement célébrée le jour même de Noël.

Et beaucoup d’entre nous ont de nombreux souvenirs agréables associés à la période de Noël. En fait, célébrée comme elle l’est partout dans le monde, il me serait impossible de couvrir dans une émission comme celle-ci toutes les coutumes que les individus à travers le monde observent pour rendre cette saison spéciale. Permettez-moi donc de me concentrer un peu sur les coutumes que je connais le mieux en tant qu’Américain.

Nos villes et même nos maisons sont souvent décorées par des rappels spéciaux de la saison, comme des crèches, des branches ou des couronnes de houx, et des arbres de Noël décorés de guirlandes d’or et d’argent. Nombreux sont ceux qui auront acheté ou confectionné eux-mêmes des cadeaux pour leurs amis et pour les membres de leur famille, qui parcourent parfois de longues distances pour se retrouver le temps de quelques soirées, et partager le repas de Noël ensemble et échanger des cadeaux et des vœux. Et beaucoup chercheront à embrasser furtivement quelqu’un en le surprenant sous le gui.

Bien sûr, certains parents diront à leurs enfants que leurs cadeaux leur seront apportés du pôle Nord par le Père Noël ou « Saint Nicolas » la veille de Noël, tandis que les adultes se feront des clins d’œil complices.

Le matin, les enfants aiment déballer leurs cadeaux pour voir ce que le « Père Noël » leur a apporté, et certaines familles se rendent à des cultes religieux pour entendre un message soi-disant lié à la naissance de Jésus – en particulier celles qui s’inquiètent du fait que le mercantilisme évince ce qu’elles croient être la vraie signification de Noël : L’histoire selon laquelle Dieu a envoyé Son Fils dans le monde le jour de Noël, né de la Vierge Marie, pour être le Sauveur de l’humanité.

Je pourrais en dire bien plus, mais j’espère que cela résume l’esprit populaire de la saison de Noël. Oui, c’est une période stressante pour beaucoup… Les réunions de famille sont parfois une source d’anxiété, et l’achat de cadeaux pour les uns et les autres peut sembler une obligation pesante – surtout lorsque le relevé bancaire commence à révéler les dégâts de nos agapes.

Cependant, je tiens à reconnaître que de nombreux souvenirs joyeux sont généralement associés à Noël et à la période de Noël. Moi-même, enfant et jeune homme, j’y ai participé. Je me souviens des joies de recevoir des cadeaux et d’en acheter pour les autres. Je ne sais pas si vous pouvez très bien voir, mais cette vieille photo floue est une photo de moi, petit enfant, en train de profiter de son tout nouveau cadeau de Noël.

Je me souviens avoir vu, dans mon jeune âge, une figurine représentant le Père Noël agenouillé devant le berceau de ce qui était, visiblement, « l’Enfant Jésus ». Et j’étais ému – j’ai pensé à l’époque que c’était une belle façon d’essayer de mettre en évidence l’aspect le plus important de la saison de Noël. J’ai même joué le rôle de Joseph lors d’une représentation chorale de Noël.

En d’autres termes, je suis passé par là… J’ai observé cette fête.

Je mentionne ces choses au début de notre émission pour souligner un fait crucial. Alors que nous abordons la question d’aujourd’hui – « La fête de Noël est-elle païenne ? » – nous devons garder à l’esprit que rien de cette sentimentalité n’est pertinente.

Nous pouvons avoir des années de bons souvenirs associés à Noël. Nous pouvons aimer la musique, l’atmosphère, les traditions et l’accent mis sur Jésus et le message de Sa naissance.

Mais littéralement aucun de ces éléments n’est pertinent pour répondre à la question : « La fête de Noël est-elle païenne ? »

Après tout, de nombreuses religions ont leurs fêtes joyeuses, leurs moments de rassemblement familial, leurs cantiques dont on se souvient avec émotion et leurs traditions qui réchauffent le cœur de leurs fidèles.

Mais si nous voulons aborder le cœur de cette question, nous devons être prêts à nous éloigner de nos réactions émotionnelles et de nos souvenirs heureux et chercher à répondre à la question du point de vue des faits, de la sagesse et de la vérité révélée par Dieu.

En fait, c’est la partie la plus facile à gérer, comme nous le verrons. Mais ce que nous faisons de cette vérité… constitue la partie la plus délicate. Suivre le vrai Jésus-Christ n’est pas pour les lâches.

Chercher et trouver la vérité au sujet de Noël

Nous voulons comprendre la vérité, et nous voulons chercher cette vérité avec un esprit ouvert. Parce que la vérité est essentielle. Le chapitre 4 de Jean relate un célèbre récit de la discussion de Jésus avec la femme samaritaine. Elle lui parla des traditions des Samaritains concernant l’adoration du Dieu de la Bible, qui différaient à bien des égards de celles dont il est réellement question dans la Bible – même s’ils étaient très sincères. Dans un sens, ils étaient sincères dans leurs pratiques, c’est-à-dire que leur cœur y était, mais ils n’adoraient pas Dieu en vérité, c’est-à-dire que leurs actes sincères étaient basés sur des mensonges et des demi-vérités. Qu’a dit Jésus à cet égard ? A-t-Il dit : « Pas de problème. Tant que votre intention est bonne, votre culte est acceptable devant Dieu » ? Non, ce n’est pas ce qu’Il a dit. Nous lisons Sa réponse dans l’Évangile de Jean :

« Mais l’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité » (Jean 4 :23-24).

C’est notre objectif aujourd’hui – nous permettre de comprendre comment adorer Dieu non seulement sincèrement, mais dans l’esprit et l’intention selon la vérité… car la vérité est très importante.

Alors, regardons la question avec des yeux honnêtes : la fête de Noël est-elle païenne ?

Si nous répondons à cette question en nous basant sur les origines de cette fête, alors la réponse est clairement affirmative. Parce que les origines de Noël en tant que fête – son calendrier, ses traditions, ses pratiques anciennes – sont clairement païennes.

Maintenant, qu’est-ce que cela signifie d’être « païen » ? Après tout, le mot est utilisé un peu négligemment de nos jours – en fait, il y a un mouvement croissant de « néopaganisme » aujourd’hui, que nous avons couvert en détail dans la revue du Monde de Demain.

Assurons-nous donc d’être clairs. Selon la définition du dictionnaire, « païen » signifie « de, relatif à, ou ayant les caractéristiques des païens » – qui, nous dit-on, sont des « adeptes d’une religion polythéiste (comme dans la Rome antique) ».

Le paganisme représente essentiellement les religions et les pratiques cultuelles qui ont leurs origines en dehors des religions traditionnellement associées au patriarche Abraham : le christianisme, le judaïsme et l’islam.

Et si telle est la définition du terme « païen », il ne fait aucun doute que la fête de Noël et la plupart de ses traditions trouvent leur origine dans des coutumes et des traditions cultuelles païennes, dont beaucoup sont antérieures au christianisme de plusieurs siècles ou millénaires.

Le gui est associé aux rituels de fertilité romains et à Frigg, la déesse nordique de l’amour et de la luxure. La date de Noël ne correspond pas à la naissance de Jésus – qui a probablement eu lieu à l’automne – mais à l’observation des Saturnales romaines païennes et au culte du Soleil. Comme le note l’encyclopédie Britannica :

« Au 3ème siècle, l’Empire romain, qui n’avait alors pas adopté le christianisme, célébrait la renaissance du soleil invaincu (Sol Invictus) le 25 décembre. Cette fête ne marquait pas seulement le retour de jours plus longs après le solstice d’hiver, mais suivait également la fête populaire romaine appelée les Saturnales (au cours de laquelle les gens festoyaient et s’échangeaient des cadeaux). C’était aussi l’anniversaire de la divinité indo-européenne Mithra, un dieu de la lumière et de la loyauté dont le culte était à l’époque de plus en plus populaire parmi les soldats romains » (“Pourquoi Noël est-il en décembre ?”, Britannica.com).

L’arbre de Noël, lui aussi, est une tradition qui a un ancien précédent païen. En fait, nous pouvons voir ce précédent condamné dans les Écritures. Lisez le passage suivant, dans Jérémie 10, en pensant aux traditions de l’arbre de Noël :

« Ainsi parle l’Éternel : N’imitez pas la voie des nations, et ne craignez pas les signes du ciel, parce que les nations les craignent. Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt ; la main de l’ouvrier le travaille avec la hache ; on l’embellit avec de l’argent et de l’or, on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu’il ne branle pas. Ces dieux sont comme une colonne massive, et ils ne parlent point ; on les porte, parce qu’ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas, car ils ne sauraient faire aucun mal, et ils sont incapables de faire du bien » (Jérémie 10 :2-5).

La liste de ces anciennes origines païennes des diverses pratiques de Noël est longue et claire. En fait, de nombreux ministres chrétiens bien connus de dénominations conservatrices, admettent volontiers que l’origine païenne de bon nombre de traditions de Noël parmi les plus courantes et les plus honorées est un fait historique. Toute ressource historique de renom confirmera ce fait.

Prenons par exemple ce bref résumé tiré d’une source « chrétienne » très respectée, le manuel sur l’Histoire du christianisme d’Eerdman :

« L’Église chrétienne a adopté de nombreuses idées et représentations païennes. Par exemple, l’adoration du soleil est devenue la célébration de la naissance du Christ le 25 décembre, l’anniversaire de la naissance du soleil. Les Saturnales, la fête romaine hivernale du 17-21 décembre, ont apporté les réjouissances, les échanges de cadeaux et les bougies caractérisant plus tard les fêtes de Noël […]  Certaines coutumes païennes furent christianisées par la suite, comme l’utilisation de bougies, d’encens et de guirlandes, mais elles furent d’abord évitées par l’Église à cause de leur symbolisme païen » (Eerdmans’ Handbook to the History of Christianity, 1977, pages 131-132).

Dans son célèbre ouvrage intitulé Un dictionnaire classique, l’érudit John Lemprière a résumé certaines des pratiques anciennes et préchrétiennes de la fête païenne des Saturnales :

« La célébration était remarquable pour la liberté qui y régnait généralement. Les esclaves avaient le droit de ridiculiser leurs maîtres […] Il était habituel pour les amis de s’échanger des cadeaux, toute animosité cessait, aucun criminel n’était exécuté, les écoles étaient fermées, la guerre n’était jamais déclarée, mais tout était allégresse, tapage et débauche » (A Classical Dictionnary).

Si nous sommes honnêtes, nous admettrons sûrement que tout cela nous semble TRÈS familier.

Noël, ses traditions et ses coutumes sont profondément ancrées dans des origines païennes. Historiquement, oui, Noël est une fête païenne. Mais l’est-elle vraiment ?

Beaucoup affirment que les activités, les célébrations, les traditions et les symboles païens ont, en un sens, été « validés » par le christianisme. Ils se disent : « Les branches de houx et ses baies rouges avaient autrefois des significations païennes, c’est vrai, mais peut-être peuvent-elles être désormais utilisées pour symboliser la couronne d’épines du Christ et la couleur du sang qu’Il a versé pour nos péchés. »

La vraie réponse est peut-être que Noël était une fête païenne, mais qu’elle ne l’est plus. Les gens peuvent certainement être baptisés et voir leur vie transformée.

Adorer Dieu comme Il le demande

Les pécheurs peuvent se repentir et changer – les anciennes pratiques ou traditions païennes ne peuvent-elles pas être en quelque sorte “validées” et observées ? Après tout, ceux qui célèbrent Noël ne croient pas qu’ils adorent le dieu Soleil, Saturne, Mithra, Baal, Frigg ou tout autre dieu païen. Ils essaient souvent d’adorer sincèrement Dieu et Jésus tels qu’ils les comprennent. Les origines païennes de Noël ont-elles vraiment de l’importance ?

La réponse est simple : si nous désirons adorer Dieu et Jésus-Christ d’une manière qui leur soit agréable, et pas seulement agréable pour nous, alors oui, cela compte beaucoup.

Encore une fois, il ne s’agit pas d’une question d’opinion ou de sentiments. C’est une question de vérité. Et si nous voulons connaître la vérité sur la façon dont Dieu le Père et Jésus-Christ considèrent ces choses, alors nous devons consulter la Bible qu’Ils nous ont donnée pour nous aider à apprendre à penser comme eux.

Et lorsque nous consultons les Écritures, la réponse est absolument claire.

Par exemple, en ce qui concerne les peuples païens et les traditions et coutumes païennes, Dieu a ordonné très clairement à l’ancien Israël : « Garde-toi de t’informer de leurs dieux et de dire : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? Moi aussi, je veux faire de même… Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Éternel… » (Deutéronome 12 :30-31).

C’est crucial. Remarquez, la Bible ne dit pas seulement : « N’adorez pas les idoles » ou « N’adorez pas les dieux étrangers ». Elle dit : « Tu n’adoreras pas l’Éternel, ton Dieu, de cette manière… » ! Dieu dit clairement qu’Il ne veut pas que Ses disciples L’adorent de façon païenne ! Cela ne fait aucune différence si nous disons que nous n’adorons pas Mithra, Saturne, le Soleil ou qui que ce soit – Dieu nous dit clairement : « Ne m’adorez pas en utilisant des traditions païennes ! » 

Nous avons vu un commandement très similaire lorsque nous avons lu Jérémie 10 :21, où Dieu a clairement dit : « N’imitez pas la voie des nations [ou Gentils]… ». Et par « Gentils », Dieu entend ici les nations ou les peuples qui ne font pas partie de la nation d’Israël.

Les commandements de la Bible ne laissent tout simplement aucune place pour conclure que Dieu accepte un culte utilisant des coutumes païennes – même si cela s’adresse à Lui.

Certains pourraient soutenir qu’il s’agit là de l’Ancien Testament, et que Jésus est venu pour changer tout cela.

Pourtant, une fois de plus, si nous nous référons à Ses enseignements réels – écrits pour toujours dans la Bible – nous constatons que ce n’est pas ainsi qu’Il considère les choses.

En fait, Jésus aborde ce même scénario avec Ses disciples et les dirigeants juifs de Son époque. Dans l’Évangile de Marc, Jésus contesta les traditions non bibliques des pharisiens du premier siècle. Ils prétendaient servir Dieu avec leurs propres traditions humaines, mais Jésus leur révéla que leurs traditions religieuses annulent en fait les commandements de Dieu et doivent être réprouvées.

« Jésus leur répondit : Hypocrites, Ésaïe a bien prophétisé sur vous, ainsi qu’il est écrit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est éloigné de moi. C’est en vain qu’ils m’honorent, en donnant des préceptes qui sont des commandements d’hommes. Vous abandonnez le commandement de Dieu, et vous observez la tradition des hommes. Il leur dit encore : Vous rejetez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition » (Marc 7 :6-9).

Pour observer Noël, il vous faut renoncer au commandement de Dieu, qui stipule clairement qu’Il ne veut pas être adoré selon des coutumes païennes, pour vous accrocher à votre tradition. Vous auriez à rejeter ce commandement de Dieu si vous observez cette tradition. Et Jésus-Christ, le Fils de Dieu et le fondateur même du christianisme, condamne cela de manière catégorique.

Je ne peux pas parler à votre place, mais l’idée que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, me traite d’hypocrite me fait froid dans le dos. Il y a près de 2000 ans, Jésus a condamné ceux qui osaient L’appeler « Seigneur » tout en ignorant Ses commandements, en demandant : « Pourquoi m’appelez-vous Seigneur, Seigneur ! et ne faites-vous pas ce que je dis ? » (Luc 6 :46).

Les preuves sont claires :

  • Noël est une fête païenne.
  • Dieu ne veut pas être adoré à l’aide de traditions païennes.
  • Jésus-Christ qualifie d’hypocrites ceux qui ignorent les commandements de Dieu pour observer d’autres traditions.

La réponse à notre question initiale étant donnée, la question suivante est claire : que faisons-nous à présent ?

Un choix difficile : choisir le Christ plutôt que Noël

Il nous reste peu de temps dans l’émission d’aujourd’hui, mais permettez-moi de prendre un moment pour dire que pour ceux dont le cœur est prêt à suivre Dieu là où Lui et Sa parole nous conduisent, marcher dans Ses voies et obéir à Ses commandements ne nous mènera jamais au pire résultat. Au contraire, cela nous mènera vers le meilleur.

Par exemple, je connais des milliers de personnes de par le monde, qui ont abandonné Noël et qui ont adopté, à la place, les Jours saints révélés dans la Bible – conçus par Dieu et consignés dans Sa parole comme étant des Jours sanctifiés par Lui pour le culte, la louange et l’instruction.

Ces personnes – les membres de l’Église du Dieu Vivant laquelle réalise ces émissions du Monde de Demain – vous diraient aussi clairement que je le peux maintenant d’ici dans ce studio : en tant que chrétiens et disciples de Jésus-Christ, ils n’échangeraient pas l’observation des Jours saints bibliques contre celle de Noël pour tout l’or du monde.

Abandonner Noël ne signifie pas renoncer à la joie, au plaisir, à l’exaltation et à la convivialité. C’est plutôt le contraire. Lorsque l’on se détourne de traditions et de coutumes vainement attrayantes qui contredisent fondamentalement la Bible pour suivre Jésus-Christ – le vrai Jésus-Christ – nous avons l’opportunité de découvrir exactement ce que Jésus voulait dire lorsqu’Il parla à la Samaritaine près du puits, il y a près de 2000 ans, et qu’Il parlait d’adorer Dieu en esprit et en vérité.


Un vent de changement en Allemagne



L’Allemagne a un nouveau chancelier, l’ancien ministre des Finances Olaf Scholz. M. Scholz apporte avec lui un gouvernement de coalition et de nombreux nouveaux ministres. Il apporte également un plan ambitieux et rapide, puisqu’il s’attaque déjà aux problèmes liés au climat et à la pandémie (cnews.fr, 7 décembre 2021). Le chancelier Scholz est considéré comme un leader « sans langue de bois » qui identifie les objectifs et les poursuit promptement. Le bras droit de M.

Une guerre imminente sur trois fronts?



Trois grandes « suspicions de guerre » se préparent dans le monde. Le très respecté chroniqueur Ambrose Evans-Prichard a récemment écrit que « le monde se trouve à la conjoncture stratégique la plus dangereuse depuis la crise des missiles de Cuba en 1962.

Le Jour de l’Éternel selon la prophétie biblique

Comment le Jour du Seigneur est-il lié à la fin des temps, à la grande tribulation et au second Avènement de Jésus-Christ ? Découvrez quelles prophéties bibliques expliquent la signification du Jour du Seigneur, un des trois grands événements qui conduiront à la fin du monde tel que nous le connaissons.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

La prophétie biblique a prédit le monde chaotique que nous connaissons tous en ce moment. Le prophète Daniel révéla ce qu’il a appelé « le temps de la fin ». Dieu a montré à Daniel les tendances prophétiques dont nous sommes témoins chaque jour : « Et toi, Daniel, cache les paroles et scelle le livre jusqu'au temps de la fin. Plusieurs courront çà et là ; et la connaissance sera augmentée » (Daniel 12 :4, Darby).

Alors même que nous nous remettons des confinements liés au coronavirus, de nombreuses villes et régions connaissent à nouveau des encombrements de trafic, reflétant ainsi la prophétie symbolique d’Ésaïe 2 :7 : « Le pays est rempli d’argent et d’or, et il y a des trésors sans fin ; le pays est rempli de chevaux, et il y a des chars sans nombre. »

La connaissance, elle aussi, a augmenté de manière exponentielle en ces temps de la fin. Le linguiste Geoffrey Nunberg a observé qu’un exemplaire quotidien du New York Times contient plus d’informations que l’Anglais moyen du 16ème siècle n’en a rencontrées dans toute sa vie. En 1982, le futurologue Buckminster Fuller affirmait déjà que les connaissances dont dispose l’humanité doublaient chaque année. Plus récemment, des scientifiques d’IBM ont découvert qu’à partir de 2020, les connaissances doubleraient toutes les 12 heures !

Mais nous devons rechercher la vraie connaissance ! Daniel a également prédit la grande tribulation, corroborée plus tard par le Messie, Jésus de Nazareth, dans Matthieu 24. « Et ce sera une époque de détresse, telle qu’il n’y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu’à cette époque » (Daniel 12 :1).

La prophétie biblique révèle l’avenir de toutes les nations au cours de la prochaine décennie et au-delà. Savez-vous ce qui se passera après la grande tribulation ? Le livre de l’Apocalypse et de nombreuses autres prophéties ailleurs dans la Bible révèlent la séquence des événements et parlent du Jour prophétique de l’Éternel. Le Jour de l’Éternel arrive bientôt. C’est la période des jugements de Dieu sur les nations rebelles de ce monde. Serez-vous prêts, vous et votre famille ? Vous devez comprendre ce qu’est le Jour de l’Éternel selon la prophétie biblique !

Des épreuves et des signes célestes

Le monde a connu deux guerres mondiales. Toutes les nations ont été touchées par ces guerres. Y aura-t-il une Troisième Guerre mondiale ? Nous répondrons à cette question dans cette émission. La Bible révèle que de futurs conflits mondiaux vont ravager le monde pendant le Jour prophétique de l’Éternel. Il vous faut savoir comment le Jour de l’Éternel vous affectera, vous et votre famille.

Lors de la Pentecôte, en l’an 31 de notre ère, l’apôtre Pierre cita le prophète Joël, expliquant les ténèbres surnaturelles qui ont eu lieu lors de la crucifixion de notre Seigneur : « Je ferai paraître des prodiges en haut dans le ciel et des miracles en bas sur la terre, du sang, du feu, et une vapeur de fumée ; le soleil se changera en ténèbres, et la lune en sang, avant l’arrivée du jour du Seigneur, de ce jour grand et glorieux » (Actes 2 :19-20).

Ces ténèbres représentaient aussi les perturbations cosmiques qui marqueront le commencement du futur Jour de l’Éternel. Oui, ce sera le « jour du Seigneur […] ce jour grand et glorieux ». Si vous avez une Bible, reportez-vous au chapitre 6 de l’Apocalypse. Les signes célestes suivent la grande tribulation.

« Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau ; et il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang, et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme les figues vertes d’un figuier secoué par un vent violent. Le ciel se retira comme un livre qu’on roule ; et toutes les montagnes et les îles furent remuées de leurs places » (Apocalypse 6 :12-14).

Toute la Terre verra ces signes inaugurant le jugement du Jour de l’Éternel sur les nations. Nous voyons des éclipses qu’on appelle les « lunes de sang » au cours de certaines années. La NASA, l’Agence fédérale de l’Aéronautique et de l’Espace, décrit leur couleur comme « rouge coucher de soleil » et, au fur et à mesure qu’une éclipse progresse, « la remplissant d’une lueur cuivrée et transformant la Lune en un grand globe rouge ». Ce spectacle n’est qu’un avant-goût de l’ultime lune de sang à venir !

Le Jour de l’Éternel est une période d’un an consistant en sept trompettes de jugement ou fléaux, au cours de laquelle Dieu jugera toutes les nations. Les six premières trompettes sont décrites dans les chapitres 8 et 9 de l’Apocalypse. Quand cela aura-t-il lieu ? Et quelle est la séquence des événements que vous devriez surveiller ? La Bible révèle le cadre de la prophétie menant au Jour de l’Éternel, à Harmaguédon et à la Troisième Guerre mondiale. Mes amis, quelle est la solution aux conflits de l’humanité et aux guerres mondiales ? Nous devrions tous attendre avec impatience la solution aux guerres. Cette solution est l’établissement prochain du Royaume de Dieu. Jésus nous a appris à prier dans Matthieu 6 :10 : « Que ton règne vienne » !  Jésus-Christ reviendra en tant que Roi des rois et Seigneur des seigneurs pour apporter la paix et la prospérité durables parmi les nations de ce monde. Nous attendons avec impatience le second Avènement du Messie, Jésus-Christ de Nazareth !

Trois étapes majeures conduisent à l’apogée de l’histoire humaine et à la fin de cette ère :

  1. La grande tribulation
  2. Les signes célestes
  3. Le Jour du Seigneur.

Ces trois événements couvrent une période d’environ trois ans et demi. Il y a plus de 30 prophéties dans la Bible qui font référence au Jour du Seigneur. Ésaïe 34 :8 et Ésaïe 63 :4 montrent que le Jour du Seigneur dans la prophétie de la fin des temps, l’époque qui précède le second Avènement, correspond à une période d’une année ! Vous pourriez vouloir noter ces références : Ésaïe 34 :8 et Ésaïe 63 :4 !

Alors que la grande tribulation se déroule, les fameux quatre cavaliers de l’Apocalypse vont intensifier leur chevauchée. Dans le livre de l’Apocalypse, chapitre 5, il est question d’un rouleau scellé de sept sceaux. Jésus, celui qui révèle, ouvre les sceaux du livre. Nous lisons la description de ces sceaux dans le sixième chapitre de l’Apocalypse. Les quatre premiers sceaux représentent les quatre cavaliers de l’Apocalypse.

Ils sont décrits dans Apocalypse 6 :1-8. Le premier cavalier, chevauchant le cheval blanc, représente les fausses religions, les faux christs. Jésus Lui-même indique la séquence de ces événements de la fin des temps dans Sa prophétie du mont des Oliviers, dans Matthieu 24. Le deuxième sceau révèle un cavalier, monté sur un cheval roux, qui a le pouvoir d’enlever la paix de la Terre. Le troisième sceau présente un cavalier sur un cheval noir, représentant la pénurie de nourriture et la famine qui en résulte. Le quatrième sceau montre un cavalier sur un cheval verdâtre, représentant la mort et la peste. Ces quatre cavaliers ont le pouvoir de tuer une grande partie de la population humaine : « Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre » (Apocalypse 6 :8).

Oui, il y a toujours eu la guerre, la famine et la peste. Mais vous et moi verrons les quatre cavaliers de l’Apocalypse intensifier leur chevauchée, avec un impact mondial sans précédent. Puis le cinquième sceau décrit une persécution des saints à la fin des temps. Puis Jésus ouvre le sixième sceau, révélant les signes célestes qui terrifieront les gens sur toute la face de la Terre.

Les trompettes annoncent la colère de Dieu

La grande tribulation dure deux ans et demi. Ensuite, Dieu envoie les perturbations cosmiques ou les signes célestes. Le Jour de l’Éternel suit les signes célestes et apporte le Jugement de Dieu sur les nations pendant une période d’un an.

Que se passe-t-il pendant cette période de Jugement d’un an ? Apocalypse 8 et 9 décrivent six des sept fléaux des trompettes. Une clé majeure pour comprendre le livre de l’Apocalypse est qu’il y a sept sceaux, sept événements de trompettes et sept derniers fléaux ou coupes. Pour faire simple, comme vous pouvez le voir sur ce tableau, le septième sceau se compose de sept événements de trompettes. La septième trompette comprend les sept derniers fléaux, y compris la bataille finale entre le bien et le mal, qu’on appelle Harmaguédon.

Que se passe-t-il pendant le Jour de l’Éternel ? Lisons ce qui se passe lorsque l’Agneau, Jésus-Christ, ouvre le septième sceau. Reportez-vous à Apocalypse, le huitième chapitre. Essayons de bien comprendre. Le septième sceau représente le Jour de l’Éternel et les événements qui se déroulent pendant cette période d’un an. Ceci est très important. Pourquoi ? Parce que ces événements mènent au plus grand événement de l’Histoire, le second Avènement du Messie, Jésus de Nazareth !

« Quand il ouvrit le septième sceau, il y eut dans le ciel un silence d’environ une demi-heure. Et je vis les sept anges qui se tiennent devant Dieu, et sept trompettes leur furent données » (Apocalypse 8 :1-2). Ces sept trompettes représentent le jugement de Dieu sur les nations. Les quatre premières perturbent l’écologie et l’environnement. Remarquez les sous-titres résumant ces jugements dans les versets 7 à 13 :

  • La première trompette frappe la flore
  • La deuxième trompette frappe les mers
  • La troisième trompette frappe les fleuves
  • La quatrième trompette frappe les cieux

Ces fléaux des trompettes apporteront la dévastation sur la Terre. Les nations réclameront des produits de première nécessité qui disparaîtront de leurs terres, lacs et rivières.

Il reste trois fléaux associés à des trompettes. Dans Apocalypse 18, l’apôtre Jean a écrit ce qu’il vit et entendit en vision : « Je regardai, et j’entendis un aigle qui volait au milieu du ciel, disant d’une voix forte : Malheur, malheur, malheur aux habitants de la terre, à cause des autres sons de trompette que les trois anges vont faire retentir ! »

Les trois derniers fléaux des trompettes sont appelés des malheurs. Le mot « malheur » est une exclamation de chagrin ! Le premier malheur, ou le cinquième fléau de trompette, est décrit au chapitre 9. Le cinquième ange fait retentir une trompette qui déclenche une action militaire qui dure cinq mois. Et quelle puissance soutient cette action militaire ? « Elles avaient sur elles comme roi l’ange de l’abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon » (Apocalypse 9 :11).

Oui, le destructeur, Satan le diable, donne son pouvoir à cette force militaire. Le deuxième malheur, ou le sixième fléau de trompette, est représenté par des chevaux et cavaliers symboliques. Nous assistons ici à une intense contre-attaque militaire :

« Le premier malheur est passé. Voici, il vient encore deux malheurs après cela. Le sixième ange sonna de la trompette. Et j’entendis une voix venant des quatre cornes de l’autel d’or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve, l’Euphrate » (Apocalypse 9 :12-14).

Une armée de 200 millions de soldats traverse l’Euphrate et détruit un tiers de la population mondiale !

« Et les quatre anges qui étaient prêts pour l’heure, le jour, le mois et l’année, furent déliés afin qu’ils tuent le tiers des hommes. Le nombre des cavaliers de l’armée était de deux myriades de myriades : j’en entendis le nombre. Et ainsi dans la vision je vis les chevaux et ceux qui les montaient, ayant des cuirasses couleur de feu, d’hyacinthe, et de soufre. Les têtes des chevaux étaient comme des têtes de lions ; et de leurs bouches il sortait du feu, de la fumée, et du soufre. Le tiers des hommes fut tué par ces trois fléaux, par le feu, par la fumée, et par le soufre, qui sortaient de leurs bouches » (Apocalypse 9 :15-18) .

Cette phase de la Troisième Guerre mondiale tuera des milliards de personnes ! Jésus a dit dans Matthieu 24 :22, que si ces jours n’étaient pas abrégés, aucune chair ne serait sauvée – autrement dit, toute vie ici-bas serait détruite.

Un jugement contre les péchés de l’humanité

Notre Seigneur révèle la séquence des événements qui mèneront à Son second Avènement. Mes amis, j’espère que vous priez quotidiennement comme Jésus nous l’a enseigné dans Matthieu 6 :10 : « Que ton règne vienne ! » Alors que cette annonce de la septième trompette sera une bonne nouvelle pour vous et moi, les nations rebelles rejetteront cette annonce et combattront même le Christ lors de Son avènement. « Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient : Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux siècles des siècles » (Apocalypse 11 :15).

Les êtres célestes loueront Dieu à cette annonce glorieuse, mais remarquez la réponse des nations terrestres !

« Et les vingt-quatre vieillards, qui étaient assis devant Dieu sur leur trône, se prosternèrent sur leur face, et ils adorèrent Dieu, en disant : Nous te rendons grâces, Seigneur, Dieu tout-puissant, qui es, et qui étais, car tu as saisi ta grande puissance et pris possession de ton règne. Les nations se sont irritées ; ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et d’exterminer ceux qui détruisent la terre » (Apocalypse 11 :16-18).

La septième trompette annonce également le jugement final sans appel de Dieu sur les nations rebelles : Cette période de jugement exécute « la colère de l’Agneau ». Comme il est dit dans Apocalypse 6 :17 : « Car le grand jour de sa colère est venu. » La septième trompette conclut cette année du Jour de l’Éternel par sept jugements finaux. « Puis je vis dans le ciel un autre signe, grand et admirable : sept anges, qui tenaient sept fléaux, les derniers, car par eux s’accomplit la colère de Dieu » (Apocalypse 15 :1).

Le 16ème chapitre de l’Apocalypse décrit ces fléaux du jugement final. L’apôtre Jean a écrit : « Et j’entendis une voix forte qui venait du temple, et qui disait aux sept anges : Allez, et versez sur la terre les sept coupes de la colère de Dieu » (verset 1). Pour gagner du temps, je vais simplement énumérer les coupes telles qu’elles sont mentionnées dans la version Louis Segond de la Bible :

  1. Un ulcère malin et douloureux
  2. La mer se transforme en sang
  3. Les fleuves se transforment en sang
  4. Les hommes sont brûlés
  5. L’obscurité et la douleur
  6. L’Euphrate est asséché
  7. La Terre est complètement ébranlée

On pourrait penser que les gens réagiraient à la correction de Dieu et se repentiraient. Mais non, « les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent le nom de Dieu qui a l’autorité sur ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire » (Apocalypse 16 : 9).

Les nations rebelles de la planète Terre seront en colère. Une fois l’Euphrate asséché, les armées se rassembleront à Megiddo, dans le nord d’Israël, pour combattre ce que l’on appelle communément la bataille d’Harmaguédon. Vous pouvez lire à ce sujet dans Apocalypse 16 :12-16. Oui, la culmination de la Troisième Guerre mondiale est déjà annoncée. Le Roi des rois Lui-même nous donne cet avertissement et cette bénédiction : « Voici, je viens comme un voleur. Heureux celui qui veille, et qui garde ses vêtements, afin qu’il ne marche pas nu et qu’on ne voie pas sa honte ! » (Apocalypse 16 :15)

Oui, mes amis, continuez à surveiller les nouvelles mondiales concernant les événements prophétiques. Apprenez la séquence des événements prophétiques et restez spirituellement éveillés.

Et quel sera le résultat de cette illustre bataille de tous les temps ? On l’appelle le combat du grand Jour du Tout-Puissant dans Apocalypse 16 :14. Les rois de la Terre rejoindront la bête symbolique à Harmaguédon. La superpuissance de la bête sera une résurgence de l’ancien Empire romain, comme nous l’avons expliqué dans des émissions précédentes. Leur jugement est déjà déterminé dans cette étonnante prophétie.

« Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n’ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête. Ils ont un même dessein, et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bête. Ils combattront contre l’Agneau, et l’Agneau les vaincra, parce qu’il est le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois, et les appelés, les élus et les fidèles qui sont avec lui les vaincront aussi » (Apocalypse 17 :12).

Oui, les vrais chrétiens seront avec le Roi des rois. Eh, oui, ils échapperont aux jugements du Jour de l’Éternel sur les nations. Mes amis, certains d’entre vous qui regardez cette émission sont peut-être arrivés à un point de la vie où ils veulent changer radicalement, et mener une vie nouvelle en se repentant de leurs péchés et en acceptant le sang versé du Christ pour le pardon de leurs péchés. L’apôtre Pierre s’adressa à des milliers de fidèles à Jérusalem le Jour de la Pentecôte, en l’an 31 de notre ère. Lisez cela dans la Bible, dans Actes 2. Les foules avaient été complices de la crucifixion du Christ et elles ont eu le cœur vivement touché en réponse au message de Pierre. Elles ont demandé à Pierre et aux apôtres : « Hommes frères, que ferons-nous ? » (Actes 2 :37). Écoutez la réponse de Pierre qui est tout aussi urgente pour nous aujourd’hui : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit » (Actes 2 :38).

Si vous avez suffisamment étudié la Bible pour comprendre le véritable repentir et l’engagement d’obéir à votre Sauveur et aux instructions de la Bible, nous avons des représentants dans de nombreuses régions du monde. Il suffit de contacter un de nos bureaux régionaux. Serez-vous avec le Christ lors de Son avènement en tant qu’un de ceux qui sont « les appelés, les élus et les fidèles » ?

Harmaguédon et au-delà

Plus de 30 prophéties dans la Bible parlent du Jour de l’Éternel. Nous avons vu la dévastation future qui résultera d’une guerre mondiale. Heureusement, à la fin du Jour de l’Éternel, la septième trompette annonce la bonne nouvelle de la prise de contrôle des gouvernements mondiaux par le Christ. Ouvrez la Bible et consultez le chapitre 19 d’Apocalypse. L’apôtre Jean a écrit :

« Puis je vis le ciel ouvert, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait s’appelle Fidèle et Véritable, et il juge et combat avec justice. Ses yeux étaient comme une flamme de feu ; sur sa tête étaient plusieurs diadèmes ; il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n’est lui-même ; et il était revêtu d’un vêtement teint de sang. Son nom est la Parole de Dieu. Les armées qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs, revêtues d’un fin lin, blanc, pur. De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations ; il les paîtra avec une verge de fer ; et il foulera la cuve du vin de l’ardente colère du Dieu tout-puissant. Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs » (Apocalypse 19 :11-16).

Les nations répondront avec colère à l’Avènement du Christ, comme il est dit dans Apocalypse 11 :18 ! Lorsque le Christ reviendra ici-bas, Il vaincra tous Ses ennemis. Il vaincra les nations et leurs armées puissantes qui combattront contre Lui lors de Son Avènement. Le Jour de l’Éternel apportera le jugement de Dieu sur les nations. Comme nous l’avons vu, dans un sens, le Jour de l’Éternel est l’année qui précédera le retour du Christ. Dans un autre sens, il s’étend tout au long du millénaire puis au-delà, dans l’éternité. L'apôtre Pierre le décrit de cette façon :

« Le jour du Seigneur viendra comme un voleur ; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les œuvres qu’elle renferme sera consumée. Puisque tout cela est en voie de dissolution, combien votre conduite et votre piété doivent être saintes. Attendez et hâtez l’avènement du jour de Dieu, jour à cause duquel les cieux enflammés se dissoudront et les éléments embrasés se fondront ! Mais nous attendons, selon sa promesse, de nouveaux cieux et une nouvelle terre, où la justice habitera » (2 Pierre 3 :10).

Merci d’avoir regardé. Pour comprendre les événements prophétiques menant au Jour de l’Éternel, commandez votre CD gratuit intitulé « Le Jour du Seigneur » en cliquant sur le lien dans la description.


Enfin la paix!

Imaginez, un monde parfait ! Pas comme celui d’aujourd’hui, mais un monde nouveau, idéal à tous égards. Si vous pouviez refaire le monde, qu’est-ce que vous changeriez ? Peut-être élimineriez-vous les divisions politiques, qui affaiblissent les nations. Vous vous débarrasseriez sans doute de la corruption, des scandales, et des mensonges qui affligent tellement notre société. Peut-être réformeriez-vous le système de justice, en établissant de nouvelles lois. Des lois justes et équitables, protégeant les enfants à naître, et ne légalisant pas l’immoralité.

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