| Le Monde de Demain

Qu’est-il arrivé au christianisme du Christ?

Pourquoi y a-t-il autant de dénominations chrétiennes ? La réponse se trouve dans la prophétie du mont des Oliviers, dans la Bible, et aussi dans beaucoup d’autres prophéties. Lorsque les disciples du Christ Lui posèrent des questions concernant la fin du monde, Il leur donna plusieurs signes, mais quel fut le premier signe qu’Il mentionna ?

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi il y a autant de dénominations chrétiennes ? Pourquoi n’y a-t-il pas une seule Église sur laquelle tout le monde puisse s’entendre ? Un rapport de Pew Research d’avril 2017 révèle qu’il y a environ 2,3 milliards de chrétiens dans le monde. Cela représente 31% de la population de la planète Terre à notre époque. Voyons ce fait étonnant : L’encyclopédie The World Christian a identifié au moins 33.000 dénominations chrétiennes, parmi lesquelles 9000 sont classifiées comme « protestantes » et 22.000 comme « indépendantes » (Volume 1, Oxford University Press, 2001, page 10)

Pourquoi y a-t-il autant de dénominations chrétiennes ? La réponse se trouve dans la prophétie du mont des Oliviers, dans la Bible, et aussi dans beaucoup d’autres prophéties. Lorsque les disciples du Christ Lui posèrent des questions concernant la fin du monde, Il leur donna plusieurs signes, mais quel fut le premier signe qu’Il mentionna ?

« Dis-nous quand ces choses arriveront, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde. Et Jésus, répondant, leur dit : Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront en mon nom, disant : Je suis le Christ, et ils séduiront beaucoup de gens. » (Matthieu 24 :3, Ostervald).

Oui, beaucoup viennent en Son nom, en qualifiant leur religion de christianisme et en disant que Jésus est le Christ, mais en même temps séduisant beaucoup de personnes. Certains imposteurs dans le monde prétendent être l’incarnation du Christ Lui-même, mais le sens principal de Sa mise en garde est d’avertir que beaucoup proclameront Jésus en tant que le Messie promis, le Christ, « l’Oint » de Dieu, tout en prêchant le contraire de Ses véritables enseignements.

Savez-vous que Jésus et l’Église du Nouveau Testament qu’Il établit n’observèrent pas le dimanche en tant que jour de culte ? Savez-vous que l’Église de Dieu originelle du premier siècle n’observait pas Noël ni le dimanche de Pâques ? Comment se fait-il qu’il y ait des différences si flagrantes entre le christianisme originel et les prétendues traditions chrétiennes de nos jours ?

Mes amis, qu’est-il arrivé au christianisme originel ? N’aimeriez-vous pas faire partie du christianisme révélé dans la Bible ? Qu’est-il arrivé au christianisme du Christ ?

Restez à l’écoute !

Le christianisme du premier siècle a-t-il disparu ?

Salutations chaleureuses à tous nos amis partout dans le monde !

Si vous viviez à Jérusalem à l’époque des apôtres du Christ, observeriez-vous Noël et le dimanche de Pâques ? Vous réuniriez-vous à l’Église le dimanche matin pour assister au culte ? Aussi choquant que cela puisse paraître, la réponse à ces deux questions est un NON catégorique ! Donc, comment expliquer que le christianisme répandu de nos jours ait autant de traditions et de doctrines que le Christ Lui-même n’a jamais enseignées ni pratiquées ? Nous répondrons à cette question dans cette émission et nous vous offrirons notre guide d’étude gratuit et inspirant, intitulé La restauration du christianisme originel. Cette brochure révèle l’histoire peu connue de l’Église chrétienne primitive et comment des conspirateurs y ont introduit des pratiques païennes et licencieuses que Jésus condamna ! Vous pouvez aussi commander un exemplaire gratuit, version papier, en cliquant sur ce lien.

Mes amis, savez-vous où se trouve la véritable Église de Dieu de nos jours ? Pouvez-vous la trouver parmi les milliers de dénominations qui se déclarent chrétiennes ? L’encyclopédie The World Christian a identifié au moins 33.000 dénominations chrétiennes, parmi lesquelles 9000 sont classifiées comme « protestantes » et 22.000 comme « indépendantes ».

Aujourd’hui, nous examinerons les pratiques, les doctrines et les traditions de l’Église originelle du Nouveau Testament. Par exemple, est-ce que les apôtres observaient les Pâques ? La célébration du dimanche de Pâques varie dans le monde. Dans certains pays, la tradition des Pâques inclut des œufs multicolores et la célèbre chasse aux œufs de Pâques. Nous savons tous que les lapins ne pondent pas des œufs, mais les parents racontent ces fables à leurs enfants de toute façon. Certains célèbrent cette journée avec de nouveaux vêtements et font une démonstration de chapeaux de Pâques créatifs.

Évidemment, il n’y avait pas de lapins ni d’œufs à la résurrection. Mais d’abord, est-ce que la résurrection a eu lieu un dimanche, comment beaucoup le prétendent ? Non ! Comment le savons-nous ? Souvenez-vous que Marie de Magdala se rendit au sépulcre du Christ le dimanche matin. Assista-t-elle à une résurrection au lever du soleil ? Voyez ce que dit la Bible :

« Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala se rendit au sépulcre dès le matin, comme il faisait encore obscur ; et elle vit que la pierre était ôtée du sépulcre. Elle courut vers Simon Pierre et vers l’autre disciple que Jésus aimait, et leur dit : Ils ont enlevé du sépulcre le Seigneur, et nous ne savons où ils l’ont mis » (Jean 20 :1).

La résurrection de notre Seigneur Jésus n’a pas eu lieu un dimanche matin de Pâques, selon la Bible ! Jésus-Christ accomplit le signe qu’Il donna aux scribes et aux pharisiens pour prouver qu’Il est le Messie. Vous rendez-vous compte, mes amis, que la tradition plaçant la crucifixion un vendredi et la résurrection un dimanche matin de Pâques nie le signe même que le Christ donna dans Matthieu 12 :39, le « signe du prophète Jonas » ? Mes amis, Jésus fut ressuscité le samedi soir, peu avant le coucher du soleil, soit exactement 72 heures, ou trois jours et trois nuits, après qu’Il fut mis au sépulcre le mercredi, peu avant le coucher du soleil marquant le commencement d’un sabbat annuel. Comme l’apôtre Jean l’a rapporté :

« Dans la crainte que les corps ne restent sur la croix pendant le sabbat – car c’était la préparation, et ce jour de sabbat était un grand jour – les Juifs demandèrent à Pilate qu’on rompe les jambes aux crucifiés, et qu’on les enlève » (Jean 19 :31).

Ce « grand jour » était un sabbat annuel ou Jour saint allant, cette année-là, du mercredi au coucher du soleil au jeudi au coucher du soleil. Le Christ accomplit effectivement le signe du prophète Jonas. Mais la résurrection n’a pas eu lieu un dimanche matin pour célébrer les Pâques ! Donc, quel Jour saint les chrétiens observèrent-ils ?

Souvenez-vous des paroles de l’apôtre Paul aux frères et sœurs à Corinthe qui ne respectaient pas la sainteté de cette célébration :

« C’est bien à tort que vous vous glorifiez. Ne savez-vous pas qu’un peu de levain fait lever toute la pâte ? Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car Christ, notre Pâque, a été immolé. Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, non avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la pureté et de la vérité » (1 Corinthiens 5 :6-8).

Mes amis, l’Église originelle du Nouveau Testament établie par Jésus-Christ et dirigée par Ses apôtres, formés et ordonnés par le Maître, n’a jamais observé le dimanche de Pâques. Par contre, elle observa la commémoration annuelle de la mort de notre Seigneur, la Pâque biblique chrétienne du Nouveau Testament, suivant l’exemple de Jésus-Christ Lui-même.

Le signe de Jonas

Jésus resta dans le sein de la terre, le sépulcre, pendant exactement trois jours et trois nuits, 72 heures, juste comme Il le déclara. Vous pouvez lire ce qu’est le signe du prophète Jonas dans Matthieu 12 :39-40.

Le Christ et Ses apôtres observèrent-ils le dimanche comme jour de culte ?  Nous avons déjà vu que Jésus fut ressuscité un samedi soir un peu avant le coucher du soleil, et non pas un dimanche matin. Donc, comment se fait-il que la grande majorité du prétendu monde chrétien observe le dimanche ? L’apôtre Paul enseigna-t-il aux Gentils d’éviter l’observance du sabbat juif ? Les encouragea-t-il à observer le dimanche comme le jour chrétien de culte ? Examinons ce que les Gentils observèrent en réalité, suivant l’exemple de Paul, l’apôtre des Gentils.

Prenez votre Bible et reportez-vous au livre des Actes, chapitre 13. Au 1er siècle apr. J.-C., Paul prêcha pendant le sabbat dans la synagogue d’Antioche. Notez que son auditoire comprenait à la fois des Juifs et des Gentils. Après que les Juifs s’en allèrent, les Gentils firent une demande. Cela eut lieu beaucoup d’années après la mort, l’ensevelissement et la résurrection du Christ. Certainement, si les chrétiens devraient observer le dimanche, ces Gentils se seraient réunis avec Paul le lendemain, soit le dimanche. Mais l’ont-ils fait ? « Comme ils sortaient de la synagogue des Juifs, les Gentils les prièrent de leur annoncer les mêmes choses… » (Actes 13 :42). Quand ? Le lendemain, dimanche ? Non ! « Les Gentils [pas le Juifs] les prièrent de leur annoncer les mêmes choses le sabbat suivant » (verset 42, Ostervald). Lisez cela encore une fois dans la Bible. « Les Gentils les prièrent de leur annoncer les mêmes choses le sabbat suivant », pas le dimanche ! 

Lisez cela dans la Bible. « Le sabbat suivant, presque toute la ville se rassembla pour entendre la parole de Dieu » (Actes 13 :44). Paul se réunit avec les Gentils, pas le dimanche, mais le jour du sabbat. L’Église de Dieu du Nouveau Testament observa le sabbat du septième jour. Les congrégations chrétiennes du premier et du deuxième siècle observaient invariablement le sabbat du septième jour ! Ce n’est qu’à partir du deuxième et troisième siècle que nous commençons à voir certaines congrégations observant le dimanche en tant que jour de culte. Mais ce fut plus tard, au 4ème siècle apr. J.-C. que l’empereur Constantin imposa l’observance du dimanche à travers l’Empire romain. Constantin avait grandi dans le culte païen de l’adoration du Soleil.  Il publia le décret suivant en l’an 321 : « Que tous les magistrats et le peuple se reposent [...] pendant le vénérable jour du Soleil » (Encyclopedia of Religious Knowledge, Schaff-Herzog, volume 11, page 147)

Quelques années plus tard, les dirigeants de l’Église catholique déclarèrent au Concile de Laodicée que les chrétiens « ne doivent pas judaïser et se reposer le samedi, mais travailler ce jour-là, préférant, si du moins ils le peuvent, se reposer le dimanche, en tant que chrétiens ; mais s’ils se trouvent judaïser, qu’ils soient anathèmes auprès du Christ » (La collection canonique d’Antioche, Aram Mardirossian, page 309). En d’autres termes, les véritables chrétiens qui observaient le sabbat et suivirent l’exemple de Jésus et Ses premiers apôtres furent alors qualifiés d’hérétiques !

Mais au nom de quelle autorité l’Église catholique effectua ce changement ? Le célèbre cardinal et théologien catholique James Gibbons déclara courageusement dans un livre publié en 1876 : 

« Vous pouvez lire la Bible depuis la Genèse jusqu’à l’Apocalypse, et vous ne trouverez pas une seule ligne autorisant, [ni] établissant la sanctification du dimanche. [Écoutez attentivement ce qui suit…] Les Écritures ordonnent la religieuse observance du Sabbat, jour que nous ne sanctifions jamais » (La foi de nos pères, éditions Retaux-Bray, page 107, traduction Adolphe Saurel).

En d’autres termes, Gibbons affirme que si la Bible est votre autorité, vous n’avez aucune base légale pour observer le dimanche. Les Écritures, comme il déclare, « ordonnent la religieuse observance du Sabbat ». Nous sommes d’accord avec lui sur ce point. L’êtes-vous ? Mais l’Église de Gibbons a rejeté l’autorité divine de la Bible !

Mes amis, le christianisme originel du Christ insista sur l’obéissance aux Saintes Écritures, pas sur les traditions dont beaucoup ont des origines païennes et sont contraires aux Écritures. Le célèbre historien Will Durant remarqua sur la transition du christianisme biblique originel au christianisme traditionnel que nous voyons de nos jours : « Le christianisme n’a pas détruit le paganisme ; il l’a adopté » (Histoire de la civilisation, volume 9, éditions Rencontre, pages 239-240, traduction Jacques Marty).

Que dire de la « Réforme » protestante ? Si vous souhaitez réellement découvrir pourquoi la Réforme échoua à réformer le christianisme traditionnel, je vous encourage à lire la série d’articles de Roderick Meredith sur notre site Internet MondeDemain.org : « La vérité au sujet de la Réforme protestante. » Vous serez étonné de la profondeur de cet ouvrage et des développements historiques choquants rejetant le véritable christianisme de la Bible. Vous y trouverez beaucoup de réponses à la question posée lors de cette émission : Qu’est-il arrivé au christianisme du Christ ?

Un Royaume sur la Terre !

Nous avons examiné quelques différences majeures entre le christianisme du premier siècle et le christianisme actuel corrompu qui inclut des traditions et des doctrines qui étaient défendues par le Christ. En voici quelques-unes pour résumer.

Les chrétiens originels, Juifs et Gentils, observaient la Pâque du Nouveau Testament. Aujourd’hui, le christianisme traditionnel observe le dimanche de Pâques issu du paganisme. Le christianisme originel reconnut le signe de Jésus en tant que Messie, sa déclaration qu’Il serait dans le sein de la terre (ou le sépulcre) pendant trois jours et trois nuits. Le christianisme traditionnel de nos jours nie le signe de Jésus en adoptant la fausse idée du vendredi saint au dimanche de la résurrection. Les premiers chrétiens observèrent le sabbat originel du septième jour avant que l’Église romaine imposa le dimanche en tant que jour de culte au 4ème siècle apr. J.-C.

Mes amis, vous devez étudier la Bible et l’Histoire. Souhaitez-vous suivre le Jésus-Christ de la Bible, Ses enseignements et Son mode de vie ? Il nous dit dans Matthieu 4 :4 : « L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. » Jésus déclara cela avant que le Nouveau Testament soit rédigé. Il se référait à ce que nous appelons désormais l’Ancien Testament.  Eh oui, si vous voulez vivre de toute parole de Dieu, vous devez lire la Bible tout entière et y obéir, à la fois au Nouveau et à l’Ancien Testament !

Quels autres changements ont été effectués de manière trompeuse dans les pratiques du christianisme originel ? Jésus et Ses apôtres observèrent les Fêtes annuelles et les Jours saints bibliques. Mais ils n’ont pas observé le jour de la naissance de Jésus. La vaste majorité des encyclopédies réputées décrivent les célébrations païennes qui entouraient jadis la date du 25 décembre. L’une des plus grandes fêtes célébrées à travers l’Empire romain étaient les saturnales, en l’honneur de Saturne, dieu de l’agriculture. Voici ce que l’Encyclopædia Universalis nous apprend à ce sujet :

« À l’origine, la fête proprement dite ne dure qu’un jour, le 17 décembre, anniversaire du temple de Saturne. [Plus tard,] les Saturnalia dureront du 17 au 23 décembre […] Il est d’usage d’échanger invitations et petits cadeaux […] Dans la maison, les maîtres offrent aux esclaves des dapes (repas rituels : viande rôtie et vin) avant de manger eux-mêmes, à moins de partager fraternellement avec leurs serviteurs un festin ; les esclaves, naturellement, ne travaillent pas […] Les saturnales sont à l’origine des fêtes et usages de Noël et de fin d’année » (“Saturne, religion romaine”, Universalis.fr, consulté le 2 février 2021).

La plupart des érudits admettent que Jésus n’est pas né en hiver, mais au début de l’automne, en septembre ou en octobre. Mais pour quelle raison est-Il né ? Les coutumes païennes et commerciales entourant la période des fêtes hivernales ont masqué le véritable objectif du Messie.

Le but de la naissance de Jésus fut annoncé clairement à Marie, la mère de Jésus :

« L’ange lui dit : Ne crains point, Marie ; car tu as trouvé grâce devant Dieu. Et voici, tu deviendras enceinte, et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père. Il régnera sur la maison de Jacob éternellement, et son règne n’aura point de fin. » (Luc 1 :30-33)

L’ange Gabriel déclara à Marie que Jésus serait un Roi ! Il naquit pour être à la tête d’un Royaume éternel. Environ 30 ans plus tard, Jésus commença Son ministère public. Il proclama un Évangile spécifique ! Reportez-vous dans la Bible au livre de Marc :

« Après que Jean eut été mis en prison, Jésus s’en alla en Galilée, prêchant l’évangile du royaume de Dieu, et disant :  Le temps est accompli, et le royaume de Dieu approche. Repentez-vous et croyez à l’Évangile » (Marc 1 :14-15, Ostervald).

Nous voyons ici une autre différence majeure entre le christianisme de Jésus-Christ et la plupart des contrefaçons actuelles. L’Église originelle prêcha l’Évangile du Royaume de Dieu qui dirigera la Terre pendant mille ans sous l’autorité du Roi des rois et du Seigneur des seigneurs avant le Jugement du grand trône blanc (vous trouvez cela dans Apocalypse 19 :16 ; 20 :4). Vous connaissez probablement au moins une grande dénomination affirmant qu’elle est actuellement l’incarnation du Royaume de Dieu sur la Terre. Mes amis, si vous regardez régulièrement les émissions du Monde de Demain, vous savez que le règne terrestre du Roi sur toutes les nations ne sera pas établi avant que la septième trompette retentisse :

« Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient : Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux siècles des siècles » (Apocalypse 11 :15).

Mes amis, la plupart des gens ont oublié la bonne nouvelle prêchée par le Christ !  Il reviendra en tant que Roi pour diriger toutes les nations de la Terre ! L’ange Gabriel proclama que « son règne n’aura point de fin » (Luc 1 :33).

Le véritable christianisme originel

Dans cette émission, nous avons examiné comment des changements païens introduits au christianisme originel de Jésus-Christ produisirent la foi répandue actuelle que nous voyons dans le monde chrétien aujourd’hui. Au cours du premier siècle après la mort, l’ensevelissement et la résurrection, l’Église établie par le Christ s’accrut rapidement sous les apôtres. Mais des séducteurs et des infiltrés influencèrent plus tard les chrétiens à faire des compromis et à adopter de fausses doctrines. L’apôtre Paul avait averti l’Église à Thessalonique : « Car le mystère d’iniquité opère déjà ; attendant seulement que celui qui le retient maintenant, soit enlevé » (2 Thessaloniciens 2 :7, Ostervald). Cette même « iniquité » est enseignée de nos jours par des Églises qui veulent vous faire croire que le Christ a aboli les Dix Commandements et que nous pouvons désormais pratiquer l’iniquité puisque nous sommes sous la grâce ! Mes amis, la grâce ne vous permet pas de tuer, mentir, commettre l’adultère ou dérober ! Jésus déclara à un jeune homme riche qui voulait obtenir la vie éternelle : « Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements » (Matthieu 19 :17). Ensuite, Jésus mentionna plusieurs des Dix Commandements. Ceux-ci reflètent les deux grands commandements : aimer Dieu et aimer son prochain.

Voici un court extrait tiré de la brochure gratuite proposée dans cette émission :

« Dans Son sermon sur la montagne, Jésus n’a pas annulé la loi spirituelle de Dieu (Matthieu 5 :17). Au contraire, Il “amplifia” les Dix Commandements. Il expliqua qu’il est non seulement interdit de tuer quelqu’un, mais qu’il ne faut même pas le mépriser ou le haïr (versets 20-23), car ce serait aussi le tuer. Nous ne devons même pas haïr nos ennemis. Comme Jésus l’a dit : “Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent” (verset 44) » (La restauration du christianisme originel, pages 20 à 21).

Lisez cette brochure en ligne ou commandez-en un exemplaire gratuit dès aujourd’hui !

Le christianisme originel est un mode de vie basé sur l’amour. Jésus déclara : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 14 :6)

Mes amis, quel sera votre choix ? Le christianisme de la Bible ou une fausse religion qui fait avancer des fêtes païennes et l’iniquité ? Vous devez chercher la vérité. Vérifiez toutes les sources que nous avons cité dans cette émission. Prouvez par vous-même, dans la Bible, ce qu’est la vérité !   


L’Italie doit soutenir l’Europe!



Mario Draghi, ancien président de la Banque centrale de l’Union européenne, « fait la loi » en Italie en tant que nouveau Premier ministre (europe-infos.fr, 17 février 2021).

L’armée allemande se prépare pour l’avenir



Ces dernières semaines, la ministre allemande de la défense et l’inspecteur général de la Bundeswehr (armée allemande) ont présenté un rapport  stratégique sur l’avenir de l’armée allemande (German Foreign Policy, 15 février 2021 ; euractiv.fr, 10 février 2021).

De nouveaux dieux, de nouveaux péchés

Beaucoup pensent que l’âge de la religion et de la superstition appartient au passé, que l’humanité a finalement surmonté ces jours anciens d’adoration de dieux, d’obéissance à des listes de commandements et de condamnations des péchés. Mais ils se trompent. Bienvenue à l’ère de « nouveaux dieux » et de « nouveaux péchés ».

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Beaucoup pensent que l’âge de la religion et de la superstition appartient au passé, que l’humanité a finalement surmonté ces jours anciens d’adoration de dieux, d’obéissance à des listes de commandements et de condamnations des péchés.

Mais ils se trompent. Bienvenue à l’ère de « nouveaux dieux » et de « nouveaux péchés » – une ère que nous allons explorer ici au Monde de Demain !

De nouveaux dieux

Bonjour à tous et bienvenue à notre émission, où nous vous aidons à comprendre le monde grâce aux pages de la Bible. Nous sommes ravis de vous avoir ici.

Dans cette émission, nous allons discuter de l’ère de « nouveaux dieux » et de « nouveaux péchés » qui nous entoure aujourd’hui. Nous allons également vous proposer un des DVD les plus puissants et les plus pertinents que nous ayons jamais envoyés à nos téléspectateurs : « Un monde pris de folie. » Comme toujours, ce DVD est entièrement gratuit pour ceux qui le demandent.

Vous pouvez commander ce média en cliquant sur l’image le bouton « DVD GRATUIT » dans le cadre « Offre de la semaine ».

Il peut sembler étrange de parler de « nouveaux dieux », mais ne vous y méprenez pas. Ce que Jésus-Christ déclara devant Ses disciples le soir de la Pâque, il y a environ 2000 ans, est toujours valable de nos jours : « La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ » (Jean 17 :3).

Plus nous examinons le monde qui nous entoure, plus nous voyons une jungle de « nouvelles religions » qui poussent comme de mauvaises herbes. Il ne s’agit pas de religions traditionnelles du passé, centrées sur des dieux de la mythologie grecque, égyptienne ou scandinave, par exemple. Cependant, leurs partisans sont tout aussi passionnés que ces anciens païens. Et leur dévouement à l’égard de leurs divinités est tout aussi grand.

Ces « dieux » modernes dont nous allons parler aujourd’hui sont évoqués dans les paroles que Dieu inspira au prophète Ézéchiel dans Sa condamnation de l’ancien Israël – une condamnation qui est toujours valable de nos jours. Ézéchiel a écrit : « Et la parole de l’Éternel me fut adressée, en ces mots : Fils de l’homme, ces gens-là portent leurs idoles dans leur cœur, et ils attachent les regards sur ce qui les a fait tomber dans l’iniquité… » (Ézéchiel 14 :2-3).

Ils « portent leurs idoles dans leur cœur ». Il est facile de songer à des idoles sous la forme de statues de pierre ou d’or – ou encore à des gravures, des icônes et autres œuvres d’art. Et de telles images transgressent assurément le deuxième commandement !

Mais Dieu révèle ici que l’adoration des idoles va bien au-delà des objets que nous pourrions fabriquer avec nos mains ! Les êtres humains sont particulièrement adeptes de créer des idoles dans leur cœur – de faux dieux auxquels il se dédient religieusement, soumettant leur esprit, leurs actions, leur morale et leur conscience.

Et, mes amis, nous vivons de nos jours dans un panthéon virtuel d’idoles du cœur : comme les philosophies politiques, les causes sociales, les problèmes identitaires et les nouvelles visions du monde... La société qui nous entoure encourage un nombre croissant de « nouveaux dieux » et elle exige que toutes les « personnes raisonnables » les acceptent et les incluent dans leur liste de « nouvelles doctrines » éclairées et de « nouveaux péchés ».

Pis encore, les prêtres et les fidèles de ces « nouveaux dieux » sont de plus en plus disposés à imposer leur foi au monde et ils sont prêts à punir ceux qui se sortiraient du rang.

Contrairement au christianisme biblique qui, dès ses origines chercha à témoigner au cœur et à l’esprit des gens par de bonnes paroles et un bon exemple, les adeptes de ces « nouveaux dieux » ressemblent plutôt le christianisme apostat : ils sont prêts à utiliser la force pour obliger par tous les moyens la confession ou l’acceptation.

Que ce soit dans les tribunaux, les corps législatifs, les marchés financiers ou les médias, les partisans acharnés de ces « nouveaux dieux » cherchent à punir tous ceux qui oseraient défier la foi dans laquelle ils se sont jetés corps et âme.

La science omnisciente

Examinons quelques-unes des philosophies, des visions du monde et des idéologies des êtres humains qui ont été élevées au rang de « divinité » dans notre société actuelle.

Le premier « nouveau dieu » que nous allons examiner est celui de la science. Cela me brise le cœur parce que j’aime la science. Proverbes 25 et verset 2 nous dit que « la gloire de Dieu, c’est de cacher les choses ; la gloire des rois, c’est de sonder les choses. » Pour moi, la science est un des meilleurs exemples de sonder les choses.

Les avancées issues de la recherche scientifique ont fortement amélioré notre vie et elles ont apporté des solutions à un grand nombre de maladies, d’inconvénients et de souffrances humaines. Nous avons découvert certains secrets de l’Univers et notre compréhension du monde s’est considérablement accrue.

Cependant, la science ne remplace pas Dieu. Elle ne nous dit pas comment différencier le bien du mal. Les théories et les expérimentations qui ont révélé les secrets du monde subatomique nous ont aussi permis de fabriquer des armes qui ont dévasté Hiroshima et Nagasaki en 1945, tuant des centaines des milliers d’êtres humains.

Alors que les gens expulsent Dieu hors de la civilisation, quelque chose doit Le remplacer et ceux qui ne comprennent pas, ou qui ne se soucient pas, des limitations de la science sont heureux de bâtir des autels en son nom et de l’élever au rang de « nouveau dieu ». Et comme toute religion, ses adorateurs la créent avec ses orthodoxies, ses dogmes et ses péchés. En invoquant le nom de leur dieu, les gens cherchent à avoir le dernier mot en proclamant que la « science » est de leur côté – peu importe si d’autres études scientifiques soutiennent une opinion contraire.

Les scientifiques sont considérés comme des prêtres délivrant la parole de Dieu – et leurs opinions sont considérées comme des vérités canoniques, de sorte que tous ceux qui osent être en désaccord sont considérés comme des hérétiques devant être brûlés sur le bûcher – même si d’autres scientifiques apportent des preuves soutenant un point de vue contraire.

Trouvez-vous cette déclaration trop sévère ? C’est pourtant ce que confirme l’expérience de la vie réelle. Le site Internet FreeScience.today recense les noms de plusieurs scientifiques qui ont été pratiquement « excommuniés » pour s’être écartés du dogme de l’évolution. Ils ont perdu leur poste et leur emploi. Ils ont fait l’objet d’une enquête dans leur département et leurs cours ont été annulés. Au sujet de la mise à l’écart de l’un d’entre eux, Richard Sternberg, qui est titulaire de deux doctorats en biologie, voici les conclusions du Bureau américain des enquêtes spéciales : « Il est clair qu’un cadre de travail hostile a été créé avec pour objectif ultime de vous forcer à quitter le SI [Smithsonian Institute] » (“Richard Sternberg”, FreeScience.today). Son tort ? Avoir autorisé la publication dans un journal scientifique d’un article, après un examen collégial, qui ne dénigrait pas le design intelligent.

Car lorsque la science est élevée au rang divin, toute once de désaccord avec l’évolution devient une hérésie totale et les hérésies ne doivent pas être tolérées.

Le changement climatique

Un autre « nouveau dieu » que beaucoup associent à la science – bien qu’il ne soit pas exactement le même – concerne le « nouveau dieu » du changement climatique.

Soyons clairs : nous devons prendre soin de la Terre. L’homme n’a pas été fait pour la Terre, mais la Terre a été créée pour l’homme et nous devons gérer ses ressources avec sagesse.  Et je ne suis pas ici pour entrer dans le débat au sujet du changement climatique global – à savoir si le comportement de l’humanité en est ou non la cause principale.

Ce débat est devenu hors sujet, car une fois que le changement climatique a été élevé au rang de « divinité », cela met fin à toutes les discussions. Le bien suprême devient l’acceptation des « dogmes divins » concernant le changement climatique. Les bonnes et les mauvaises valeurs morales ne sont plus déterminées que par la doctrine de l’impact environnemental, qu’il soit valide ou non.

Il n’y a plus aucun problème à détruire la capacité de production d’une nation, ses systèmes économiques et ses structures sociales afin d’atteindre la nouvelle donne verte et de préserver l’environnement, car il s’agit du « nouveau dieu » du changement climatique. Le bien moral ultime est de prendre soin de la Terre – du moins de donner l’apparence d’en prendre soin.

Le professeur de science politique Michael Munger expliqua ce point dans un article de 2019 pour l’American Institute for Economic Research. Lors d’une conférence sur le recyclage, il démontra que le recyclage du verre pouvait être nocif pour l’environnement – en raison de la pollution générée, des coûts carbone, des dépenses, etc. Il s’attendait à une vague d’indignation de la part des personnes présentes qui défendaient toutes le recyclage. Mais il fut surpris par leur réaction. Il écrit :

« Un participant allait complètement dans mon sens : “Oh, nous savons tous que c’est absurde de recycler le verre. Le constat économique est simple. Mais les gens doivent continuer à recycler, car c’est la bonne chose à faire. Ça n’a rien à voir avec l’environnement. Il s’agit de mobiliser les gens afin qu’ils prennent soin du symbole de l’environnement. Globalement, ça vaut toujours la peine de recycler, quelques soient les répercussions.”

« Une jeune femme intervint : “Ce n’est pas un problème de mentionner ce genre de choses ici, car nous sommes des initiés. Mais il vaut mieux ne pas parler des questions économiques auprès du grand public. Nous devons aider à les entraîner à prendre soin de l’environnement et le recyclage est une des meilleures façons de le faire” […]

« Le message qui me tracassait et que je pensais être polémique n’avait rien de nouveau dans ce milieu professionnel. Mais c’était hors sujet, car le recyclage était un impératif moral pour eux. Une fois que vous commencez à voir le recyclage comme un symbole d’une dévotion religieuse, au lieu d’une solution pragmatique aux problèmes environnementaux, la situation générale prend tout son sens » (“For Most Things, Recycling Harms the Environment”, American Institute for Economic Research, AIER.org, 14 août 2019).

Cesser de consommer de la viande car vous êtes préoccupé par l’impact de la filière bovine sur le réchauffement climatique, ou encore décider de ne pas avoir d’enfants afin de réduire « l’empreinte carbone » de l’humanité... de telles actions sont considérées comme étant un faible prix à payer pour satisfaire les demandes du « nouveau dieu » du changement climatique. Mais si vous mangez un steak, que vous avez une famille nombreuse ou que vous ne recyclez pas cette bouteille de soda, attentez-vous à être qualifié de « pécheur ».

L’anarchie sexuelle

Nous avons examiné deux des « nouveaux dieux » de notre ère moderne. Notre prochain « nouveau dieu » concerne l’anarchie sexuelle.

En termes de sexualité, le modèle biblique est simple : l’humanité a été créée homme et femme – deux catégories biologiques clairement identifiables. Ces deux genres ont été créés l’un pour l’autre, afin que lorsqu’ils décident de s’engager l’un envers l’autre au sein du mariage, un homme et une femme profitent des avantages de cette union sacrée – dont l’intimité sexuelle et les enfants qui naîtront.

Pourtant, le « nouveau dieu » de l’anarchie sexuelle impose que la sexualité et la nature sexuelle ne supporte aucune règle, aucune contrainte, ni aucune loi naturelle.

Aux yeux de ses adeptes, ce « nouveau dieu » publie une longue liste détaillée de péchés qui peut être résumée très simplement : tous ceux qui affirment croire aux concepts bibliques du genre, de la sexualité ou du mariage sont, au mieux, prudes et, au pire, fanatiques. De tels concepts sont considérés comme beaucoup trop restrictifs par les adorateurs de l’anarchie sexuelle. Comme le mot « anarchie » l’implique, tout est envisageable.

La sexualité n’est plus réservée au mariage – et le « mariage » lui-même a été redéfini pour y inclure toutes les combinaisons possibles d’individus, quel que soit leur nombre ou leur genre. En fait, le genre lui-même a été redéfini. Il n’est plus seulement constitué d’hommes et de femmes, mais il a été « libéré » pour se déplacer avec fluidité le long d’un spectre de possibilités – sans aucune règle, contrainte ou limite.

Chaque année, de nombreux enfants sont sacrifiés à ce « nouveau dieu » de l’anarchie sexuelle. Les enfants qui sont considérés comme trop jeunes pour voter, servir dans l’armée ou conduire une voiture, reçoivent la permission de prendre une décision fondamentale, aux lourdes implications, concernant leur genre, qui peut modifier le restant de leur vie de façon irrémédiable.

Même plusieurs tribunaux ont commencé à reconnaître le problème que pose une telle situation. Le 1er décembre 2020, la BBC décrivait une affaire portée devant un tribunal contre le service de santé publique britannique par plusieurs personnes, dont une jeune femme qui s’était vu prescrire des inhibiteurs d’hormones pendant son adolescence afin de bloquer sa puberté de façon irrémédiable, car elle souhaitait alors être un homme. Les différentes plaignantes dans ce dossier ont gagné le procès. Elles ont fait valoir que des enfants n’avaient pas la capacité de prendre de telles décisions. Une des juges a déclaré :

« Il est hautement improbable qu’un enfant âgé de 13 ans ou moins possède les compétences pour donner son consentement à l’administration de bloqueurs de puberté. Il est improbable qu’un enfant de 14 ou 15 ans puisse comprendre et mesurer les risques et les conséquences à long terme de l’administration de bloqueurs de puberté » (“Puberty blockers : Under-16s ‘unlikely to be able to give informed consent’”, BBC News, 1er décembre 2020).

Mais ne vous attendez pas à ce que les croyants de l’anarchie sexuelle abandonnent leur foi après ce petit échec. Ils vont continuer à chercher à punir ceux qui pensent que la sexualité et la moralité selon la Bible représentent ce qu’il y a de mieux pour la société – et les sacrifices continueront à avoir lieu dans leur poursuite.

La révolution sociale

En fait, la foi dans le « nouveau dieu » de l’anarchie sexuelle ne représente qu’une seule secte parmi une multitude de « nouvelles religions » qui tombent sous l’égide d’un « nouveau dieu » plus grand que cela – comme Zeus était au-dessus tous les dieux dans la Grèce antique, ou Jupiter dans la Rome antique. Ce « nouveau dieu » plus étendu pourrait être appelé révolution sociale.

Une puissance particulière de ce « nouveau dieu » est sa capacité à s’adapter à l’image de l’adorateur. Si vous pensez que les normes concernant la sexualité et le genre sont le grand ennemi empêchant la société de progresser, alors la révolution tourne autour de ce sujet. Si vous étudiez en tant que femme dans une université prestigieuse et que vous pensez que le monde ne sera pas sûr tant que le patriarcat ne sera pas détruit, alors le « nouveau dieu » de la transformation sociale est prêt à bénir votre cause. Si vous pensez que le capitalisme est le VÉRITABLE fléau de la société, peu importe le nombre de vies qu’il a améliorées, alors la révolution est prête à vous aider à faire progresser l’extrême gauche, le communisme, ou même l’anarchie, avec des pancartes, des banderoles, voire des cocktails Molotov. Et si le rêve de Martin Luther King, selon lequel les gens seraient jugés sur le contenu de leur caractère plutôt que sur la couleur de leur peau, semble « ne pas suffire », alors la transformation sociale est prête à vous armer pour le combat sur les réseaux sociaux autour des théories raciales, dont la discrimination positive, ainsi que pour l’endoctrinement dans les écoles et sur les lieux de travail.

Tous les « nouveaux dieux » engendrent de « nouveaux péchés ». Pour le dieu de la révolution sociale, le plus grand péché devient le délit d’opinion – comme George Orwell l’avait imaginé dans son roman 1984. Ceux qui pensent différemment des partisans de la révolution sociale sont « effacés » et désavoués publiquement. Des professeurs d’université sont menacés de perdre leur titularisation. Des écrivains populaires, comme J.K. Rowling, sont menacés de boycott. Même les revenus des célébrités médiatiques peuvent être mis en danger lorsque d’anciens tweets ou commentaires sont découverts sur les réseaux sociaux, car l’inquisition examine chaque déclaration publique pour s’assurer que leur mode de pensée soit « pur ». Parfois, après avoir fait amende honorable, en se répandant en excuses publiques et déclarant leur fidélité à la nouvelle foi, ces individus sont pardonnés – même s’ils resteront souvent considérés comme suspects après cette « repentance » servile.

Le « péché » de la mauvaise opinion ne doit tout simplement PAS être toléré.

Conclusion

Dans un sens, ces « nouveaux dieux » ressemblent bien plus qu’il n’y paraît aux « anciens dieux » de la mythologie. Comme dans les légendes des anciens dieux grecs qui se querellaient, se jalousaient et se combattaient, ces nouveaux faux dieux font la même chose. Par exemple, les études scientifiques qui contredisent les conclusions des anarchistes sexuels sont qualifiées de haineuses et d’inexactes – sur des bases idéologiques et non factuelles. Et même au sein même des croyances individuelles générées par ces « nouveaux dieux », il y a aussi de nombreuses divisions. Certains des débats les plus mouvementés et les plus agressifs que vous pouvez trouver sur Internet ont lieu entre des féministes et des partisans de l’identité de genre.

Mais tous ces « nouveaux dieux » sont plus anciens qu’il n’y paraît. Chacun d’entre eux est la manifestation d’une espèce très différente de faux dieu ; il s’agit d’un être bien réel qui a dominé sur la Terre depuis des milliers d’années, Satan le diable.

Se référant à lui comme « le dieu de ce monde » (version Semeur) – ou, selon la version Louis Segond « le dieu de ce siècle » – l’apôtre Paul explique comment Satan utilise des tactiques comme ces faux dieux et ces idoles du cœur pour détourner les gens de la vérité du vrai Dieu de la Bible :

« Si notre Évangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent, pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l’intelligence, afin qu’ils ne voient pas briller la splendeur de l’Évangile de la gloire de Christ, qui est l’image de Dieu. » (2 Corinthiens 4 :3-4)

Depuis que le diable a incité Ève à manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal – en invitant Adam à manger avec elle – les êtres humains ont placé leur confiance dans leurs propres philosophies, leurs propres systèmes gouvernementaux et leurs propres hypothèses concernant le monde qui les entoure, au lieu de se laisser guider par le Dieu qui les a créés dans un objectif précis. Les « nouveaux dieux » actuels ne sont que les derniers exemples de la confiance mal placée de l’humanité dans sa propre folie.

Mais, heureusement, Dieu ne nous a pas abandonnés malgré une telle folie !

Il enverra Jésus-Christ sur cette Terre pour restaurer toutes choses et mettre en place Son Royaume – le seul véritable espoir pour l’humanité. Dans ce Royaume, les « nouveaux dieux » seront poursuivis et jugés ineptes, comme les faux dieux de l’Égypte lorsque le Tout-Puissant libéra les enfants d’Israël.

La science reviendra à sa place, comme outil pour découvrir et comprendre la création. L’anarchie sexuelle sera remplacée par la paix d’esprit de Celui qui a créé la sexualité. L’environnement sera restauré et les habitants de la Terre apprendront à le respecter de façon équilibrée. La transformation sociale ultime aura enfin lieu – l’ensemble de la société se tournera vers le vrai Dieu pour obtenir Ses directives, Sa sagesse et Son amour.

Que le Christ revienne bientôt et nous sauve au plus vite de ces « nouveaux dieux » en montrant au monde qui est le véritable Dieu.


Un monde pris de folie

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