Un groupe de nations dirigé par l’Allemagne signe un accord sur l’énergie

« L’Allemagne, l’Autriche, la République tchèque, la Hongrie, la Pologne et la Slovaquie ont signé un protocole d’accord sur la préparation aux risques et la solidarité dans le secteur de l’électricité, alors que le risque de pannes d’électricité est de plus en plus réel compte tenu de la diminution des approvisionnements énergétiques en provenance de Russie » (Euractiv.fr, 28 juin 2022). En prévision d’un hiver difficile en raison de l’incertitude de leur source énergétique russe, ces nations ont convenu de travailler de manière proactive pour mettre en place des sources d’énergie alternatives en cas de « pire scénario ».

L’accord propose de nombreuses alternatives en cas d’interruption de l’approvisionnement en gaz russe, notamment le partage transfrontalier de l’électricité, de l’expertise technique, et de générateurs portables, entre autres. La crise imminente oblige ces nations européennes non seulement à envisager des solutions de rechange, mais aussi à collaborer encore plus étroitement sur des questions qui étaient auparavant considérées comme des problèmes nationaux.

Les crises engendrent de la créativité et parfois de la coopération, et la menace énergétique actuelle en Europe ne déroge pas à la règle. Cet accord a été signé par l’Allemagne et cinq autres nations – mais pourquoi cela peut-il être significatif ? Le livre de l’Apocalypse révèle que dix rois ou nations finiront par céder leur pouvoir à la « bête » pendant une brève période, juste avant le retour de Jésus-Christ (voir Apocalypse 17). Cette crise énergétique imminente pourrait être un exemple de situation internationale susceptible de contribuer à rapprocher les dix rois de la fin des temps. Cet accord, récemment signé, montre la rapidité avec laquelle les menaces extérieures peuvent inciter les nations à coopérer et la rapidité avec laquelle la bête de l’Apocalypse, prophétisée depuis longtemps, pourrait apparaître. Pour en savoir plus, visionnez notre émission télévisée intitulée « La bête de l’Apocalypse ».