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Nos lecteurs de longue date ont l’habitude de lire les éditoriaux de M. Roderick Meredith. Comme vous le savez, celui-ci est décédé au mois de mai 2017, à l’âge de 86 ans, après qu’un cancer a été diagnostiqué quelques mois auparavant.
Il est douloureux d’écrire ces mots car je connaissais M. Meredith depuis que j’avais suivi ses cours à l’Ambassador College en 1965. Plusieurs mois avant son décès, il m’avait nommé en tant que son successeur physique à la tête de cette Œuvre.
Le changement n’est jamais facile, mais c’est un aspect important de la vie. Ce dont vous pouvez être certain est que même si les personnes changent, les vérités que vous avez l’habitude de lire dans cette revue restent les mêmes. Chacun d’entre nous au Monde de Demain sommes dédiés à ce que nous appelons la vérité. Nous reconnaissons que le véritable Évangile de Jésus-Christ fut corrompu dès le premier siècle, peu après les débuts du christianisme. Jude écrivit : « Bien-aimés, alors que je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de vous envoyer cette lettre pour vous exhorter à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes » (Jude 3).
La « foi qui a été transmise une fois pour toutes » n’est pas la foi des réformateurs protestants, comme M. Meredith l’a clairement expliqué dans sa thèse universitaire sur la Réforme protestante. Vous trouverez la troisième partie de cette série à partir de la page 5 de cette revue. Si vous êtes un nouvel abonné, vous pouvez lire les deux premières parties dans les numéros précédents qui sont disponibles sur notre site Internet MondeDemain.org ou en nous contactant à l’une des adresses mentionnées à la page 4.
Les rapports venant du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord et d’ailleurs décrivent comment des prétendus chrétiens sont décapités et assassinés. Dans certains pays, il faut avoir du courage pour professer le nom du Christ ! Il est remarquable de voir des individus qui risquent tout ce qu’ils ont malgré les terribles conséquences potentielles et nous devrions nous demander : « Ai-je cette sorte de courage ? » Nous pensons parfois à la légère que nous avons ce courage, mais voici un test que vous pouvez faire dès maintenant afin de répondre à cette question.
Luc est reconnu comme étant l’auteur du livre des Actes et il décrivit plusieurs fois le christianisme comme étant la voie (par exemple Actes 18 :25-26 ; 19 :9, 23). Autrement dit, le christianisme est une voie de vie ! Et vivre cette voie de vie demande du courage ! Cela demande non seulement du courage lorsque des gens sont décapités pour avoir professé le nom du Christ, mais aussi lorsque vous êtes en lieu sûr, comme dans votre salon, en train de lire cet article. Pourquoi ?
Comme M. Meredith l’a mentionné dans son article sur la Réforme protestante, le christianisme que nous connaissons actuellement n’est pas le christianisme de Jésus-Christ ni des apôtres du premier siècle – même les érudits les plus respectés reconnaissent cette réalité ! Jésus et Ses apôtres célébraient un jour de culte hebdomadaire et des Jours saints annuels différents. Ils prêchaient un Évangile différent, qui enseigne une récompense différente pour ceux qui seront sauvés et une punition différente pour les méchants. Ils prêchèrent le pardon divin pour les péchés à travers la foi dans le sang du Christ, mais ils ne négligèrent pas d’enseigner la définition du péché, qui « est la transgression de la loi » (1 Jean 3 :4). Supprimer la loi divine reviendrait à supprimer le péché et le besoin d’être pardonné (Romains 7 :7) ! Quels qu’ils soient, des adversaires lanceront toutes sortes de fausses rumeurs contre ceux qui observent la loi divine (Matthieu 5 :11 ; Jean 15 :18-21) et les chrétiens du premier siècle prêchaient des obligations et un engagement au Christ bien plus puissant que nous pourrions le croire.
Il n’est pas surprenant que Jésus nous ait sévèrement averti dans Luc 14 :26 : « Si quelqu’un vient à moi, sans me préférer à son père, à sa mère, à sa femme, à ses enfants, à ses frères et à ses sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut être mon disciple. » Ce sont des paroles puissantes ! Lisez-les et méditez sur ce qu’elles signifient pour vous !
Jésus n’est pas venu apporter la paix de nos jours, comme certains le croient. « Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée. Car je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère ; et l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison. Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi » (Matthieu 10 :34-37).
Connaître la vérité est une chose. Vivre par cette vérité en est une autre. Jean est connu sous le surnom de « l’apôtre de l’amour », cependant il nous dit que la vérité est une voie de vie qui doit être mise en pratique : « Si nous disons que nous sommes en communion avec lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons, et nous ne pratiquons pas la vérité » (1 Jean 1 :6). Au chapitre suivant, il montre très clairement que nous devons mettre en pratique cette vérité : « Si nous gardons ses commandements, nous savons par cela que nous l’avons connu. Celui qui dit : Je l’ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n’est point en lui » (1 Jean 2 :3-4).
Voyez ce qu’écrit le commentaire biblique suivant concernant ces deux versets :
« [v.3] Vient ensuite un test par lequel les hommes peuvent savoir, malgré leurs échecs, s’ils sont dans une bonne relation avec Dieu et s’ils marchent en communion avec Lui. Le test est de savoir s’ils observent Ses commandements. Il est impossible pour les hommes qui connaissent vraiment Dieu de ne pas être affectés dans leur vie quotidienne par cette connaissance […] Pour Jean, la connaissance de Dieu n’est pas une quelconque vision mystique ou une connaissance intellectuelle. Elle apparaît si nous observons Ses commandements. L’obéissance n’est pas une vertu spectaculaire, mais la base de tout véritable service chrétien. [v.4] Jean déclare sans ambages que l’homme qui prétend avoir cette connaissance mais qui désobéit à Ses commandements est un menteur. Il accentue [cette déclaration] en ajoutant que la vérité n’est point en lui » (New Bible Commentary Revised).
Le courage doit être mis en pratique. Beaucoup ont peur de ce que leur famille, leurs amis ou leurs voisins penseront d’eux s’ils franchissent le pas et vivent la voie du véritable christianisme. Ils préfèrent continuer à vivre confortablement en suivant les doctrines et les traditions qui leur ont été transmises. Pour eux, le courage est de se professer chrétien dans une nation musulmane et non de faire ce qui est nécessaire pour une personne vivant dans des régions moins turbulentes. Mais en fin de compte, le résultat est le même : Allez-vous admettre et accepter la véracité des Écritures ? Allez-vous obéir à Dieu ? Ou allez-vous continuer à suivre des traditions d’hommes qui tirent leurs origines du paganisme et de la philosophie grecque ?
En vérité, nous devons tous faire ce choix. Et n’oubliez pas que le fait de ne pas prendre de décision est une décision en soi ! Si vous faites partie des rares personnes courageuses et que vous souhaitez en apprendre davantage au sujet des autres « courageux » qui ont déjà décidé de revenir à la « foi qui a été transmise une fois pour toutes », n’hésitez pas à écrire au bureau régional le plus proche de votre domicile (liste en page 4) ou à nous contacter en ligne. Nos représentants seront heureux de vous rendre visite à votre domicile ou à l’emplacement de votre choix. Nous vous appellerons seulement si vous en faites la demande. Nous ne vous harcèlerons pas avec des visites ultérieures si vous ne souhaitez plus nous revoir. Mais nous serions enchantés de vous rencontrer !