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Si les quatre cavaliers de l’Apocalypse sont connus de bien des gens, qu’en est-il des sept lettres adressées aux sept Églises d’Asie, telles qu’elles sont décrites dans Apocalypse 2 et 3 ? Depuis plus de 19 siècles, ces lettres laissent perplexes les religieux et les laïcs. Ces lettres ont-elles une signification particulière pour vous et pour moi ? La réponse est affirmative, et c’est le sujet de l’émission d’aujourd’hui.
[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]
Le livre de l’Apocalypse est un mystère pour beaucoup. Pourtant, le mot Apocalypse signifie révélation, qui veut dire « révéler, faire connaître quelque chose d’inconnu auparavant ». Ce livre vous intimide-t-il ? Le trouvez-vous impossible à comprendre et préférez-vous le ranger sur la proverbiale étagère ? Si c’est le cas, l’émission d’aujourd’hui du Monde de Demain est faite pour vous. Si les quatre cavaliers de l'Apocalypse sont connus de bien des gens, qu'en est-il des sept lettres adressés aux sept Église d'Asie, telles qu'elles sont décrites dans Apocalypse 2 et 3 ? Depuis plus de 19 siècles, ces lettres laissent perplexes les religieux et les laïcs. Ces lettres ont-elles une signification particulière pour vous et pour moi ?
La réponse est affirmative, et c’est le sujet de l’émission d’aujourd’hui. Alors, restez avec moi, car je reviendrai d’ici cinq secondes pour expliquer les sept lettres rédigées aux sept Églises.
Nous vous souhaitons chaleureusement la bienvenue à tous, ici au Monde de Demain, où nous vous apportons la bonne nouvelle du Royaume de Dieu proclamée par Jésus, expliquant les prophéties qui se trouvent dans la Bible et donnant un sens au monde dans lequel nous vivons. Dans l’émission d’aujourd’hui, nous ouvrirons le livre de l’Apocalypse dans la Bible et découvrirons la signification des sept messages adressés aux sept Églises.
Le premier verset de ce livre nous donne des réponses à cinq questions essentielles :
Commençons donc par lire Apocalypse 1 :1, où nous trouvons les réponses aux cinq questions :
« Révélation de Jésus-Christ… [nous savons donc que c’est Lui qui révèle le message], …que Dieu lui a donnée… [Dieu le Père est à l’origine du message] …pour montrer à ses serviteurs… [le message ne s’adresse donc pas en premier lieu au monde, mais aux serviteurs de Dieu] …les choses qui doivent arriver bientôt… [en d’autres termes, les événements prophétisés commenceraient bientôt], …et qu’il a fait connaître, par l’envoi de son ange, à son serviteur Jean [l’apôtre Jean doit transmettre le message aux serviteurs de Dieu]. »
Ces premiers versets nous montrent que Jésus-Christ est Celui qui dévoile le message, que le message provient de Dieu le Père, qu’il est adressé aux serviteurs de Dieu et que l’apôtre Jean est chargé de le transmettre à Ses serviteurs. Mais, aussi riche que soit ce verset d’introduction, il ne révèle pas le thème du livre. Pour cela, nous devons nous reporter au verset 10, où Jean écrit : « Je fus saisi par l’Esprit au jour du Seigneur, et j’entendis derrière moi une voix forte, comme le son d’une trompette. »
Que signifie être « saisi par l’Esprit au jour du Seigneur » ? Presque tous les traducteurs et les commentateurs soutiennent à tort l’idée que l’expression « au jour du Seigneur » veut dire que Jean célébrait son culte le dimanche. Eh bien, cela pose un énorme problème. Prétendre que l’expression « le jour du Seigneur » signifie le dimanche est erroné à plus d’un titre. S’il s’agissait d’un jour de la semaine, ce qui n’est pas le cas, il ne pourrait jamais s’agir du dimanche.
Si la Bible est notre source de vérité, nous constatons qu’elle ne désigne pas une seule fois le dimanche, le premier jour de la semaine, comme le jour du Seigneur. Au contraire, elle nous dit à trois reprises que Jésus est le « Maître [ou Seigneur] du sabbat » :
Ainsi, selon la Bible, si l’expression « jour du Seigneur » devait signifier un jour de la semaine, il ne peut être le premier jour de la semaine – le dimanche. Éventuellement, ce serait le septième jour – le samedi. Cependant, la déclaration « Je fus saisi par l’Esprit au jour du Seigneur » n’a absolument rien à voir avec un quelconque jour de la semaine. Le livre montre que Jean fut projeté en vision jusqu’au Jour du Seigneur, soit une période mentionnée plus de 30 fois dans les Écritures, tant dans l’Ancien que dans le Nouveau Testament.
Les six premiers chapitres de l’Apocalypse plantent le décor du thème. Au chapitre 4, Jean a une vision de Dieu le Père, l’auteur de l’Apocalypse, sur Son trône céleste. Le chapitre 5 décrit un livre en forme de rouleau scellé par sept sceaux. Il est également expliqué dans ce chapitre que l’Agneau de Dieu, c’est-à-dire Jésus-Christ, est le seul capable d’ouvrir ces sceaux. Nous voyons ensuite dans le 6ème chapitre l’ouverture successive des six premiers sceaux sur les sept dont les quatre premiers sceaux sont les fameux quatre cavaliers.
Le cinquième sceau représente le martyre des serviteurs de Dieu. Puis vient le sixième sceau – les signes célestes terrifiants :
« Et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme les figues vertes d’un figuier secoué par un vent violent. Le ciel se retira comme un livre qu’on roule ; et toutes les montagnes et les îles furent remuées de leurs places. Les rois de la terre, les grands, les chefs militaires, les riches, les puissants, tous les esclaves et les hommes libres, se cachèrent dans les cavernes et dans les rochers des montagnes. Et ils disaient aux montagnes et aux rochers : Tombez sur nous, et cachez-nous devant la face de celui qui est assis sur le trône, et devant la colère de l’Agneau ; car le grand jour de sa colère est venu, et qui peut subsister ? » (Apocalypse 6 :13-17).
Ces six premiers sceaux, ouverts tous dans un court chapitre, constituent le prélude au thème central de l’Apocalypse, le Jour de la colère divine envers une humanité rebelle. La colère divine est contenue dans le septième sceau qui se décompose elle-même en sept trompettes ou fléaux.
Nous voyons donc aux chapitres 4 et 5 qui est l’auteur de l’Apocalypse, qui est Celui qui peut ouvrir le rouleau à notre compréhension, et l’ouverture des six premiers sceaux qui nous amènent au thème du livre. Mais qu’en est-il des serviteurs de Dieu ? Qui sont-ils ?
William Ramsay a écrit un livre très respecté intitulé Les lettres aux sept Églises. Ce livre contient nombre d’excellentes informations, mais le professeur Ramsay est passé à côté de l’élément clé. Au lieu d’expliquer que les sept Églises identifient à qui le livre s’adresse et qu’elles sont un élément intégral de l’ensemble du livre, il considère les lettres à ces Églises comme une réflexion après coup :
« Dans cette œuvre, juive par son origine et son plan général […] il est inséré cet épisode des sept lettres, qui semble être presque entièrement de caractère non juif […] La raison en est que le genre épistolaire s’était déjà imposé comme l’expression la plus caractéristique de l’esprit chrétien, et comme presque obligatoire chez un écrivain chrétien » (The Letters to the Seven Churches, Ramsay, pages 35-36).
Ramsay poursuit en spéculant sur la raison de l’insertion de ces lettres, suggérant qu’il s’agissait d’une réflexion ultérieure, plutôt que d’un élément essentiel à la compréhension du livre.
« Dans le développement ultérieur de la pensée de saint Jean, il est clair qu’il avait reconnu les lacunes et l’insuffisance des formes littéraires juives courantes. Il est fort probable que la perception de ce fait lui est venue pendant la rédaction de l’Apocalypse, et que les sept lettres, bien que placées près du début et soigneusement adaptées à cette position, ont été la dernière partie de l’œuvre à être conçue » (Ibid.).
Il fait ensuite cette déclaration incroyable : « L’Apocalypse serait tout à fait complet sans les sept lettres » (ibid., page 37).
En d’autres termes, Ramsay suppose que les lettres ont été conçues après coup, que Jean s’est rendu compte que dans la composition de l’Apocalypse manquait la forme littéraire la plus courante à transmettre des enseignements dans le Nouveau Testament, c’est-à-dire des lettres manuscrites. Mais ces lettres ont-elles été conçues après coup, comme le suppose Ramsay ? Le livre serait-il, comme il l’a écrit, « tout à fait complet sans les sept lettres » ?
Jean est chargé de transmettre ce message inspiré aux serviteurs de Dieu. Où se trouvent donc ces serviteurs ? Même si les érudits ne comprennent pas, vous le pouvez ! Cela vous semble-t-il trop prétentieux ? Ou n’est-ce pas ce que Jésus nous dit dans Matthieu 11 :25 : « En ce temps-là, Jésus prit la parole, et dit : Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants. »
Voici quatre clés qui révèlent le mystère des sept lettres.
Remarquez une fois de plus la mission de Jean : « Révélation de Jésus-Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses serviteurs [c’est l’auditoire ciblé] les choses qui doivent arriver bientôt, et qu’il a fait connaître, par l’envoi de son ange, à son serviteur Jean » (Apocalypse 1 :1).
Oui, le message est adressé aux serviteurs de Dieu. Qui sont ceux à qui Jean s’adresse-t-il alors ? « Jean aux sept Églises qui sont en Asie » (Apocalypse 1 :4).
Ainsi, avant même que nous sachions de quelles Églises il s’agit, Jean mentionne immédiatement celles qui sont en Asie. En outre, Jean reçoit l’ordre de consigner dans un livre tout ce qu’il a vu – c’est-à-dire la totalité du message de l’Apocalypse, et pas seulement les lettres – et de l’envoyer à ces sept Églises. « Je suis l’alpha et l’oméga [le premier et le dernier] […] [et] ce que tu vois, écris-le dans un livre, et envoie-le aux sept Églises, à Éphèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie, et à Laodicée » (Apocalypse 1 :8, 11).
En d’autres termes, le message doit être adressé aux serviteurs de Dieu, et Jean doit le faire circuler entre les sept Églises désignées d’Asie. N’est-il pas évident que les serviteurs de Dieu et les sept Églises sont identiques ? Le dernier chapitre de l’Apocalypse le confirme. En un sens, le lien entre les serviteurs de Dieu et les sept Églises est établi par le premier et le dernier chapitre.
« Et il me dit : Ces paroles sont certaines et véritables ; et le Seigneur, le Dieu des esprits des prophètes, a envoyé son ange pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt [et puis au verset 16] Moi, Jésus, j’ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Églises » (Apocalypse 22 :6, 16).
La clé n°1 est donc la suivante : Les serviteurs de Dieu et les sept Églises sont identiques. Les termes serviteurs et Églises sont utilisés de manière interchangeable – ils sont synonymes – mais notez que toutes les congrégations chrétiennes d’Asie ne sont pas mentionnées. Le livre ne présente nulle part d’autres congrégations en dehors de ces sept-là. Il est évident qu’elles ont quelque chose de significatif ou de spécial.
Nous devons donc nous interroger : Pourquoi ces Églises ? Pourquoi seulement sept si Dieu parle à tous Ses serviteurs ? Cela signifie-t-il qu’aucune des autres congrégations du premier siècle n’était au service de Dieu ? Qu’en est-il aujourd’hui ? Sommes-nous, en quelque sorte, laissés à l’écart du rôle de serviteur de Dieu ? Pas du tout.
Nous arrivons maintenant à une vision remarquable. Après le son d’une trompette et la mention des sept Églises, nous lisons :
« Je me retournai [c’est-à-dire Jean] pour savoir quelle était la voix qui me parlait. Et, après m’être retourné, je vis sept chandeliers d’or, et, au milieu des sept chandeliers, quelqu’un qui ressemblait à un fils d’homme, vêtu d’une longue robe, et ayant une ceinture d’or sur la poitrine […] Il avait dans sa main droite sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants ; et son visage était comme le soleil lorsqu’il brille dans sa force » (Apocalypse 1 :12-13, 16).
Que signifie cette vision ? Nous pouvons être reconnaissants de ne pas avoir à spéculer, car le verset 20 l’explique : « Le mystère des sept étoiles que tu as vues dans ma main droite, et des sept chandeliers d’or. Les sept étoiles sont les anges [ou messagers] des sept Églises, et les sept chandeliers sont les sept Églises. »
Comme nous l’avons vu, les Églises et les serviteurs de Dieu sont synonymes, et le Christ est au milieu d’eux. Mystérieux ? Oui. Impossible à comprendre ? Non.
Il y a une troisième clé qui devrait être évidente maintenant, quelque chose que William Ramsay n’a manifestement pas compris, car il a suggéré que les lettres à ces Églises étaient une réflexion ultérieure.
Jean est chargé de transmettre le message du livre aux serviteurs de Dieu. Comme nous l’avons vu, les serviteurs et les Églises sont identiques. Il s’ensuit donc que tout le livre de l’Apocalypse est destiné aux sept Églises. Cela est confirmé, comme nous l’avons vu plus haut, dans le dernier chapitre de l’Apocalypse. Je le répète pour que vous puissiez vous y retrouver :
« Et il me dit : Ces paroles sont certaines et véritables ; et le Seigneur, le Dieu des esprits des prophètes, a envoyé son ange pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt […] Moi Jésus, j’ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Églises » (Apocalypse 22 :6, 16).
Il existe une quatrième clé importante, mais avant de la donner, notons deux leçons simples qui sont généralement comprises au sujet de ces lettres. Première leçon, les sept Églises sont des congrégations littérales et les messages adressés à chacune de ces congrégations décrivent les conditions qui existaient à leur époque. Ainsi, lorsqu’il est dit à Éphèse qu’elle a perdu son premier amour, il s’agit bien d’une observation propre à cette congrégation du premier siècle, établie à Éphèse.
La deuxième leçon se comprend à partir de ce leitmotiv qui est donné à chacune d’entre elles : « Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises » (Apocalypse 2 :7). L’avertissement ne se limite pas à cette seule Église, mais à toutes les Églises – au pluriel. Une condition existante dans une congrégation pourrait aussi affecter les membres des unes et des autres. La différence étant que la situation mentionnée prévalait dans l’Église en question. Dans l’exemple de l’Église de Laodicée, un esprit tiède prévalait, mais l’exhortation à « entend[r]e ce que l’Esprit dit aux Églises » indique que cette même attitude tiède pourrait se retrouver dans certaines des autres congrégations. C’est ainsi que les ministres ont principalement compris ces lettres au fil des siècles. Lorsque j’étais adolescent, je me souviens d’un aumônier qui avait donné une série de sept sermons sur ce sujet.
Mais notre quatrième clé est la moins bien comprise et c’est peut-être la plus importante d’entre toutes. Revenons à Apocalypse 1 :1-2, où Jean reçoit trois sources d’information qu’il doit consigner : « et qu’il [Dieu] a fait connaître, par l’envoi de son ange, à son serviteur Jean ; celui-ci a attesté [source n°1] la parole de Dieu et [remarquez tout spécialement la source n°2] le témoignage de Jésus-Christ [et source n°3] ; soit tout ce qu’il a vu » (Apocalypse 1 :1-2).
Nous avons déjà vu que Jean avait reçu l’ordre d’écrire dans un livre ce qu’il avait vu et l’envoyer aux sept Églises. Mais il devait aussi rapporter la parole de Dieu (c’est-à-dire, se référer aux Écritures de l’Ancien Testament) et le témoignage de Jésus-Christ.
Le témoignage de Jésus-Christ, il s’agit bien sûr des paroles de Jésus, et ces paroles dans l’Apocalypse sont de nature prophétique. « Adore Dieu. Car le témoignage de Jésus est l’esprit de la prophétie » (Apocalypse 19 :10).
Si vous avez une Bible avec des versets en caractères rouges, les traducteurs croient traduire les paroles effectives de Jésus. Et où se trouve l’écrasante majorité des paroles du Christ ? Si vous avez deviné qu’il s’agit des sept lettres aux sept Églises, vous avez deviné juste. En d’autres termes, ces lettres ont une signification prophétique.
Il est évident, en étudiant ce livre, que ce sujet commence à l’époque de Jean et se termine dans notre avenir. Ainsi, en plus de décrire les particularités dans des congrégations bien réelles du premier siècle et de mettre en garde contre des attitudes qui peuvent s’appliquer à n’importe qui :
Pourquoi est-il important de le comprendre ? Notre brochure L’Église de Dieu à travers les âges, décrit sept ères chronologiques par lesquelles la véritable Église de Dieu progresserait du premier siècle jusqu’au retour du Christ. Comme l’explique l’auteur de cette brochure, feu John Ogwyn :
« Lorsque nous examinons le contexte de l’Apocalypse, nous sommes forcés de reconnaître que ce livre est essentiellement prophétique. Apocalypse 1 :1 révèle que le but de ce livre consiste à montrer aux véritables serviteurs de Dieu les choses qui vont se réaliser dans le futur. Il est donc évident que les sept Églises devraient d’abord représenter toute l’histoire de l’Église de Dieu, fractionnée en sept ères – ou époques – successives » (L’Église de Dieu à travers les âges, Ogwyn, page 23).
Pourquoi ce fait est-il généralement si mal compris ? Ce n’est pas que d’autres n’aient pas essayé de retracer l’histoire de l’Église en sept étapes distinctes, mais ils ont échoué dans leurs efforts. Pourquoi ? La réponse est fort simple. Ils essaient de faire entrer le christianisme dominant dans les Écritures, mais le christianisme dominant ne s’y adapte tout simplement pas. En d’autres termes, ils cherchent la réponse au mauvais endroit.
Notre brochure L’Église de Dieu à travers les âges retrace l’histoire de la véritable Église de Dieu depuis le premier siècle jusqu’au second avènement du Christ. Cela signifie que la véritable Église de Dieu existe actuellement en cette dernière ère – l’ère de Laodicée – qui est décrite comme étant aveugle, tiède et complaisante. En conséquence, elle sera confrontée à la grande tribulation. Pourtant, il y a de l’espoir. Il existe un vestige de l’ère précédente (celle de Philadelphie) et ceux qui en font partie bénéficieront d’une protection contre la plus grande détresse de l’Histoire de l’humanité.
L’Eglise de Dieu a traversé notre ère. Elle constitue un « petit troupeau » (Luc 12 :32), mais Dieu a promis que « les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle » (Matthieu 16 :18). Dans cette brochure révélatrice, vous lirez un bref récit de la fascinante histoire de la véritable Eglise de Dieu.