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La parentalité fait aujourd’hui l’objet d’attaques. Les guides publiés par les établissements d’enseignement, les entreprises, les gouvernements et les médias sur la manière de révolutionner notre façon de nous exprimer mutuellement sont légion. Où nous mènera cette dévalorisation des mères et des pères ? Dans cette épisode, nous parlerons de la guerre contre la parentalité.
[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]
La parentalité fait aujourd’hui l’objet d’attaques. Les universités, les gouvernements, les entreprises et, oui, même certaines Églises, tentent d’éliminer du langage des termes tels que « mère » et « père », « maman » et « papa ». Comme le rapporte cet article du New York Post du 10 mars 2021 :
« Une école privée de Manhattan désireuse d’utiliser un “langage plus inclusif” encourage ses élèves à ne plus utiliser les termes “maman”, “papa” et “parents”, car ces mots impliquent des “suppositions” sur la vie familiale des enfants » (“NYC school encourages kids to stop using words like ‘mom,’ ‘dad’ in ‘inclusive language’ guide”, NYPost.com, 10 mars 2021).
L’école Grace Church, qui accueille des élèves de la maternelle à la terminale à Noho, dans l’État de New York, propose un guide de 12 pages à l’intention des élèves et du personnel pour faire de cette école épiscopale un établissement ouvert à tous. Le guide explique qu’au lieu d’utiliser les termes « maman » et « papa », les élèves et le personnel doivent utiliser « adultes, personnes ou famille ». Et au lieu de « mari, femme, petit ami ou petite amie », ils devraient utiliser « conjoint, partenaire ou autre personne importante » (“Grace Inclusive Language Guide”).
Les guides publiés par les établissements d’enseignement, les entreprises, les gouvernements et les médias sur la manière de révolutionner notre façon de nous exprimer mutuellement sont légion. Tout y est sauf ce qui fut normal pendant la plus grande partie de l’histoire de l’humanité. Où nous mènera cette dévalorisation des mères et des pères ? Restez avec moi car je n’utiliserai pas seulement des termes tels que « maman » et « papa » dans l’émission d’aujourd’hui, mais j’honorerai les mères et les pères partout dans le monde. Je vous proposerai également une ressource importante pour les parents, les grands-parents et tous ceux qui souhaitent s’investir dans les générations futures.
Cette brochure, Principes éternels pour l’éducation des enfants, de Jeffrey Fall, vous est offerte gratuitement. Restez à l’écoute car je serai de retour d’ici cinq secondes pour parler de la guerre contre la parentalité.
Chaque année, un peu près partout dans le monde, les gens célèbrent la parentalité à l’occasion de la fête des mères et de la fête des pères. Dans certains pays, notamment dans certains pays catholiques d’Amérique du Sud, la fête des mères célèbre Marie, la mère de Jésus, mais cela n’a aucun rapport avec les célébrations nord-américaines. Grâce à la détermination d’Anna Jarvis d’honorer sa propre mère, et au soutien financier d’un marchand de Philadelphie, John Wanamaker, que :
« En 1914, le président Woodrow Wilson approuva une résolution faisant du deuxième dimanche de mai un jour férié en l’honneur de “cette armée tendre et douce, les mères d’Amérique” » (“Father’s Day 2023”, History.com, 15 mai 2023).
Honorer les pères n’était pas si facile pour diverses raisons, et ce n’est qu’en 1972 (soit 58 ans plus tard) que le président Richard Nixon proclama la fête des pères comme jour férié fédéral, aux États-Unis. Si cela prit autant de temps, c’est en grande partie parce que les hommes et les femmes sont tout simplement différents, même si les ingénieurs sociaux d’aujourd’hui ont du mal à l’accepter. Comme l’explique History.com :
« La campagne visant à célébrer les pères de famille ne suscita pas le même enthousiasme, peut-être parce que, comme l’a expliqué un fleuriste, “les pères n’ont pas le même attrait sentimental que les mères”. »
Les différences entre les hommes et les femmes vont au-delà de la perception. La nageuse Riley Gaines est une femme qui comprend non seulement les différences physiques entre les deux sexes, mais aussi ce que les hommes devraient être. Dans cet article du New York Post qui traite de la réaction de Gaines lorsqu’elle dut partager les vestiaires et nager contre un homme de 1m93 qui prétend être une femme, on peut lire ce qui suit :
« Les militants des droits des transgenres affirment que les femmes transgenres sont de vraies femmes et qu’elles doivent être incluses dans le sport.
Mme Gaines, qui est originaire du Tennessee et qui nageait pour l’équipe de l’université du Kentucky, déclara que l’Amérique avait besoin de “plus d’hommes masculins” et fit l’éloge des vétérans de la Seconde Guerre mondiale.
“C’est la dernière fois que nous avons eu des hommes forts”, a-t-elle déclaré.
“Pensez-y, dans les années 1940, la Seconde Guerre mondiale, les hommes mentaient sur leur âge pour s’engager. Aujourd’hui, en 2023, nous avons des hommes qui mentent sur leur sexe pour investir les sports féminins, les prisons pour femmes, les refuges pour femmes, les sororités, les toilettes, les vestiaires”.
Elle reproche à la société de donner une nouvelle image de la “masculinité comme étant toxique, mauvaise et indésirable” » (“Lia Thomas so ‘well-endowed’ I had to ‘refrain from looking’: Riley Gaines”, 5 août 2023).
Voilà une femme forte, non seulement dans la piscine, mais aussi dans le discours public, prête à défendre la vérité et l’équité, et franchement, la simple logique ! Pensez à la réalité à laquelle les nageuses sont confrontées lorsqu’elles rivalisent avec des hommes :
« À la fin de sa carrière de nageur à Penn State, en 2022, Thomas est passé de la 65ème place chez les hommes à la première place sur 457 mètres en nage libre féminine, et de la 554ème place chez les hommes à la 5ème place sur 182 mètres en nage libre féminine » (ibid.)
Qui, dans son bon sens, refuse d’admettre l’évidence ? Les hommes et les femmes sont différents et ces différences sont essentielles dans l’athlétisme et au-delà. Elles sont essentielles dans la manière dont nous interagissons et dans les rôles que nous jouons dans la société dans son ensemble. Les papas et les mamans sont tous deux indispensables à une société bien ordonnée. Les mères ont tendance à être plus attentionnées. Les pères, de par la nature de leur voix plus grave, mais aussi de par leur comportement et leur capacité à réprimer leurs émotions lorsque c’est nécessaire, ont tendance à maintenir une meilleure discipline au sein de la famille. Il y a des exceptions, bien sûr, mais il s’agit là de caractéristiques générales, et les deux sont indispensables, comme le savent les personnes sensées !
Notre monde a toujours été imparfait et c’est particulièrement vrai lorsqu’il s’agit des relations homme/femme, avec de la démesure aux deux extrémités du balancier. Les femmes subissent l’oppression dans certaines cultures, en particulier au Moyen-Orient et en Asie, où les styles vestimentaires oppressifs, le refus de l’éducation formelle et les punitions abusives sont très éloignés de l’intention de Dieu lorsqu’Il créa Ève pour qu’elle soit l’aide d’Adam. Mais dans nos pays occidentaux, de nombreuses femmes ont abandonné tout effort de coopération pour devenir les concurrentes des hommes. Et aucun de ces deux extrêmes ne fonctionne !
Ici au Monde de Demain, nous croyons aux rôles que Dieu a donnés aux hommes et aux femmes. Nous croyons aux valeurs familiales où les maris et les épouses doivent être honorés. Dans quelques minutes, je voudrais rendre hommage à mes propres parents qui ont façonné ma vie. Alors permettez-moi de faire quelques commentaires personnels sur eux et sur la façon dont ils ont profondément influencé ma vie.
Mes parents, aucun était parfait, aucun parent ne l’est, mais je ne doute pas de l’amour qu’ils me portaient. Il y a de nombreuses années, je passais beaucoup de temps avec l’un de nos diacres visitant nos membres dans le Michigan. Je le considérais à l’époque comme un « homme âgé », aujourd’hui je suis plus âgé qu’il ne l’était au cours de l’époque passée ensemble. L’une de ses observations était que tout dans la vie semble aller à rebours :
« Nous nous marions, a-t-il déclaré, alors que nous ne savons pas grand-chose de ce qu’est le véritable amour. Nous avons des enfants alors que nous ne savons pas vraiment comment les élever. Nous avons peu de revenus lorsque nous démarrons et lorsque nous en avons le plus besoin. Notre premier logement est généralement petit alors que nous avons besoin d’un plus grand pour élever une famille, mais après le départ des enfants, nous avons un grand logement, un compte en banque bien rempli et une meilleure compréhension de la manière d’élever des enfants. »
Il déclarait cela avec un sens de l’humour, mais il y a beaucoup de vérité là-dedans. Un point que les enfants ne réalisent pas est que les parents apprennent à les élever en temps réel.
Le livre des Hébreux fait allusion à ce concept dans le contexte de la manière dont Dieu montre Son amour à notre égard en nous châtiant de temps à autre :
« D’ailleurs, puisque nos pères selon la chair nous ont châtiés, et que nous les avons respectés, ne devons-nous pas à bien plus forte raison nous soumettre au Père des esprits, pour avoir la vie ? Nos pères nous châtiaient pour peu de jours, comme ils le trouvaient bon ; mais Dieu nous châtie pour notre bien, afin que nous participions à sa sainteté » (Hébreux 12 :9-10).
Comme la plupart des enfants, je reçus de temps à autre des corrections douloureuses. Mais à l’âge de 12 ans, les châtiments corporels prirent fin. Même après cela, bien qu’on m’ait dit non à de nombreuses reprises, je ne me souviens pas d’avoir été « puni » comme on dit. Mais, oui, il y eut des corrections aimantes, administrées pour mon bien, comme nous le lisons dans l’épître aux Hébreux : « Il est vrai que tout châtiment semble d’abord un sujet de tristesse, et non de joie ; mais il produit plus tard pour ceux qui ont été ainsi exercés un fruit paisible de justice » (12 :11).
Les parents sont instruits ainsi dans Proverbes 29 :17 : « Châtie ton fils, et il te donnera du repos, et il procurera des délices à ton âme. »
Lorsque mon père disait de faire quelque chose, il s’attendait à ce que cela soit fait, mais je ne me souviens pas qu’il m’ait dit de faire quelque chose qui n’était pas raisonnable ou qui allait à l’encontre de mon bien… enfin, à cela, je suppose qu’il y eut une exception.
Un soir, alors que nous vivions en Alaska (bien avant que ce territoire ne devienne un État), la fillette d’à côté qui était plus âgée vint nous montrer qu’elle savait fumer. Mon père pensa qu’il serait drôle que son fils de six ans aille voir à son tour les parents de la fillette et leur montrer qu’il pouvait faire mieux en fumant un cigare. Cela ne se passa pas comme prévu, et depuis, je n’ai plus jamais fumé. Vu à long terme, je suppose que cela a bien fonctionné !
Mes parents n’étaient pas des « parents hélicoptères ». Ils ne me surveillaient pas excessivement et ne m’empêchaient pas d’apprendre par moi-même les leçons de cause à effet. Ils voulaient savoir ce que je faisais et où j’allais, mais je pouvais m’absenter presque toute la journée pour jouer dans les bois, pêcher ou faire des parties de baseball ou de football. Nous avons beaucoup appris sur la manière de se fixer des règles, de régler les conflits – en général, à nous entendre.
Franchement, je m’émerveille que mes parents m’aient laissé autant de liberté, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y avait pas de limites ou d’attentes. Ils n’ont jamais eu les convictions religieuses que j’adoptais dès l’âge de 16 ans, et je ne vis jamais mon père lire la Bible, mais il comprenait certains principes bibliques de manière innée. Par exemple, il comprenait un principe qui se trouve dans Proverbes 29 :15 : « La verge et la correction donnent la sagesse, mais l’enfant livré à lui-même fait honte à sa mère. »
Mes parents connurent la grande dépression et la Seconde Guerre mondiale. Mon père servit dans l’armée et, une fois la guerre terminée, il fit carrière dans l’armée de l’air nouvellement créée. Un jour, je lui demandai pourquoi il avait abandonné son métier de photographe, où il prenait des photos de célébrités et d’accidents d’avion, pour devenir sergent-chef. Il m’expliqua que l’homme qui occupait ce poste avant lui ne parvenait pas à effectuer le travail et que son commandant d’escadron lui avait donc proposé le poste. Je savais, d’après le témoignage d’autres personnes, qu’il était très respecté à ce poste, et je lui demandai donc pourquoi il avait réussi là où son prédécesseur avait échoué. Sans hésiter, il me répondit :
« C’était mon éducation. Peu importe que ce soit mon père ou mon frère aîné (ils possédaient une ferme), lorsqu’ils me disaient de descendre la charrette vers le sud, ils attendaient de moi que je le fasse. Et ils ne disaient pas toujours “s’il te plaît”. »
Ne vous méprenez pas, à table on m’a bien appris à dire « S’il te plaît, passe-moi les pommes de terre » ou « S’il te plaît, passe-moi le beurre ». Mais il y a un temps pour les « s’il te plaît » et un temps pour simplement se faire dire ce qu’il faut faire.
N’est-ce pas conforme aux Écritures ? Remarquez la parabole de Jésus sur les serviteurs inutiles, qui se trouve dans Luc :
« Qui de vous, ayant un serviteur qui laboure ou paît les troupeaux, lui dira, quand il revient des champs : Approche vite, et mets-toi à table ? Ne lui dira-t-il pas au contraire : Prépare-moi à souper, ceins-toi, et sers-moi, jusqu’à ce que j’aie mangé et bu ; après cela, toi, tu mangeras et boiras ? Doit-il de la reconnaissance à ce serviteur parce qu’il a fait ce qui lui était ordonné ? Vous de même, quand vous avez fait tout ce qui vous a été ordonné, dites : Nous sommes des serviteurs inutiles, nous avons fait ce que nous devions faire » (Luc 17 :7-10).
Sans les conseils avisés de mon père, j’aurais très bien pu finir comme beaucoup de mes camarades de classe dans ces décennies turbulentes des années 1960 et 1970. Si mon père contribua à m’inculquer l’autodiscipline, ma mère contribua à élargir mon éducation. Elle veilla à ce que je sache lire et écrire. Elle m’inscrivit à des cours de natation, me fit participer à des sports collectifs, m’enseigna la musique et les bonnes manières. Eh oui, c’est elle qui m’apprit à me servir d’un marteau et d’une scie, ce que beaucoup de garçons d’aujourd’hui ne savent pas faire. Elle m’apprit aussi à repasser mes vêtements et à faire mon lit, mais c’est mon père qui m’apprit à cirer mes chaussures.
Je me souviens d’une année en particulier qui souligne l’importance des pères dans la vie de leurs enfants. Mon père fut déployé au Maroc en 1956 et, pendant une année entière, je ne pus bénéficier de la supervision masculine dont j’aurais bien eu besoin. Ma mère fit de son mieux, mais elle ne faisait tout simplement pas le poids pour tenir en respect un garçon de onze ans turbulent et parfois rebelle. L’un des conflits constants concernait mes leçons de piano. Rétrospectivement, il m’apparaît très clairement qu’aussi merveilleuse que fut ma mère, j’avais aussi besoin d’un père à cette époque-là. N’oubliez pas qu’il n’y avait pas d’Internet à l’époque et que les appels téléphoniques transatlantiques devaient être planifiés à l’avance et n’étaient guère fréquents. Chaque parent joue un rôle différent, mais essentiel, dans l’éducation des enfants. Chacun, par nature, est différent. Les deux sexes ne sont pas identiques et affirmer qu’ils le sont revient à nier les qualités intrinsèques de l’homme et de la femme, de la mère et du père.
Les ingénieurs sociaux se déchaînent dans les universités, les gouvernements, les médias et les entreprises, grandes et petites. Faut-il s’étonner que nous nous trouvions dans une situation de confusion lorsque nous permettons à des hommes confus ou opportunistes de participer à des compétitions sportives féminines ?
Rien de tout cela ne pourrait se produire dans un monde instruit dans la parole de notre Créateur, mais la compréhension du fait que nous ayons été créés par un Dieu tout-puissant et plein de sagesse est attaquée depuis l’époque de Darwin et la compréhension correcte du plan et du mode de vie de Dieu est attaquée depuis des millénaires. Contrairement aux discours des activistes sociaux, et de ceux qu’ils ont réussi à semer la confusion, Dieu nous a créés en tant qu’homme et femme. Lorsque les pharisiens l’interrogèrent sur les motifs possibles de divorcer, Jésus cita le premier chapitre de la Genèse dans Matthieu 19 :4-5 :
« Il répondit : N’avez-vous pas lu que le Créateur, au commencement, fit l’homme et la femme et qu’il dit : C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair ? » (Matthieu 19 :4-5).
La Bible souligne les différences – les forces et les faiblesses – entre les hommes et les femmes. Nous voyons ces différences dans la façon dont Paul parle des fonctions de chacun dans l’éducation des enfants dans 1 Thessaloniciens 2. Tout d’abord, nous voyons la nature douce des femmes au verset 7, où Paul utilise une caractéristique maternelle pour expliquer comment il est arrivé chez les Thessaloniciens : « mais nous avons été pleins de douceur au milieu de vous. De même qu’une nourrice prend un tendre soin de ses enfants ».
Plus loin, Paul utilise l’approche masculine et paternelle pour expliquer sa relation avec les Thessaloniciens. Tout en restant doux, il fait preuve d’une autorité et d’une exigence accrues, caractéristiques d’un père, en vue d’une réussite à long terme :
« Vous êtes témoins, et Dieu l’est aussi, que nous avons eu envers vous qui croyez une conduite sainte, juste et irréprochable. Vous savez aussi que nous avons été pour chacun de vous ce qu’un père est pour ses enfants, vous exhortant, vous consolant, vous conjurant de marcher d’une manière digne de Dieu, qui vous appelle à son royaume et à sa gloire » (1 Thessaloniciens 2 :10-12).
La Bible signale également des pièges, tant chez les hommes que chez les femmes, des faiblesses naturelles exprimées par les deux sexes qui peuvent gravement nuire à leur foyer. Proverbes 21 :9, révèle un piège dans lequel les femmes sont plus enclines à tomber : « Mieux vaut habiter à l’angle d’un toit, que de partager la demeure d’une femme querelleuse. »
Cela est également répété dans Proverbes 25 :24. Les femmes ne doivent donc pas négliger cette instruction. Mais Paul met en garde les pères contre une tendance qu’ils ont. Dans leur zèle, ils peuvent être trop exigeants envers leurs enfants et les amener à se décourager : « Et vous, pères, n’irritez pas vos enfants, mais élevez-les en les corrigeant et en les instruisant selon le Seigneur » (Éphésiens 6 :4).
Dieu nous a créés spécifiquement homme et femme. Il existe des variations et des exceptions évidentes en termes de personnalité et de tempérament, mais nous sommes toujours constitués en tant qu’homme et femme. Les deux sexes sont nécessaires à la procréation, et les deux sont nécessaires à une société ordonnée et stable. Ni l’un ni l’autre ne doit être écarté.
Si certains souhaitent s’aventurer dans un monde imaginaire concernant le sexe et le genre, libres à eux, mais ceux qui sont ancrés dans les valeurs que Dieu nous a inculquées devraient être plus avisés.
Si vous vous voulez en savoir plus, n’oubliez pas de vous procurer votre exemplaire gratuit de notre brochure Principes éternels pour l’éducation des enfants.
Quel est le véritable but de l’éducation parentale ? S’agit-il seulement d’élever des enfants qui deviendront des adultes indépendants et compétents ? Ou y a-t-il quelque chose d’autre ? Découvrez la réponse étonnante !