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Pour toute personne sensée, quelle que soit sa foi, une question se pose : « Comment puis-je savoir si ce que je crois est vrai ? » Après tout, tout le monde ne pense-t-il pas que ce qu’il croit est la vérité ? Mais comment cela est-il possible alors que nous croyons tous quelque chose de différent ? Pouvons-nous tous avoir raison ? Dans cette émission du Monde de Demain, nous répondons à la question : « Ce que vous croyez au sujet de Dieu est-ce la vérité ? »
[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]
Notre monde abrite plusieurs grandes religions avec une multitude de courants en leur sein. Le christianisme est le plus diversifié, avec différentes formes de catholicisme, d’orthodoxie et de protestantisme, chacune de ces trois ayant une pléthore de dénominations différentes.
Le deuxième système de croyance le plus important est l’islam, avec des factions chiites et sunnites. Viennent ensuite l’hindouisme, le bouddhisme, le shintoïsme, le sikhisme, l’athéisme, parmi d’autres. De nombreuses personnes reconnaissent ouvertement qu’elles ont leur propre foi. « Spirituel, mais pas religieux » est un refrain courant aujourd’hui. Il est impossible de dénombrer avec précision la prolifération sans fin des systèmes de croyances dans un monde qui compte plus de huit milliards d’êtres humains.
Pour toute personne sensée, quelle que soit sa foi, une question se pose : « Comment puis-je savoir si ce que je crois est vrai ? » Après tout, tout le monde ne pense-t-il pas que ce qu’il croit est la vérité ? Mais comment cela est-il possible alors que nous croyons tous quelque chose de différent ? Pouvons-nous tous avoir raison ? Ce n’est pas une question à laquelle nous devrions nous soustraire. Si Dieu existe, accepte-t-Il toutes les formes de croyances ? Pouvons-nous Lui dicter ce qu’Il doit accepter ? Réfléchissez-y, mes amis.
Dans cette émission du Monde de Demain, je pose la question suivante et j’y réponds : « Ce que vous croyez au sujet de Dieu est-ce la vérité ? » Je reviendrai dans cinq secondes pour vous montrer comment vous pouvez savoir si ce que vous croyez au sujet de Dieu est vrai.
Je vous souhaite chaleureusement la bienvenue de la part de tous les membres du Monde de Demain. Aujourd’hui, je pose la question cruciale suivante et j’y réponds : « Comment pouvez-vous savoir si ce que vous croyez au sujet de Dieu est la vérité ? » Pensez-y, chers amis. Voulez-vous arriver à la fin de votre vie pour découvrir que vous vous êtes trompés sur le but même de votre existence ?
C’est pourtant ce qui doit arriver à l’écrasante majorité de ceux qui ont vécu. Quelle autre conclusion pouvons-nous tirer lorsque nous examinons les idées diverses et contradictoires de toutes les religions majeures, mineures et obscures existant dans notre monde ? Certains prétendent que tous les chemins mènent au paradis, mais avez-vous déjà appliqué cette logique pour arriver à Détroit, Londres ou Pékin ? Pensez-y : toutes les religions ne sont pas d’accord sur la destination finale, ni sur ce qu’il faut faire pour y arriver. La logique pure nous dit que c’est absurde.
Qu’est-ce qui vous fait penser que vos croyances sont les bonnes ? J’ai dû me poser la même question et, franchement, je suis étonné de voir à quel point il est facile de trouver la réponse. Cependant, il y a deux obstacles que nous devons surmonter au préalable :
Soyons honnêtes avec nous-mêmes. Aucun d’entre nous n’aime pas admettre avoir tort. Les chrétiens croient que la vérité se trouve dans le christianisme. Mais au sein du christianisme, les catholiques et les protestants croient que leur foi est la bonne. Les musulmans croient que l’islam détient la vérité. Les hindous croient que l’hindouisme est la voie à suivre. Quant aux athées, ils rejettent l’idée même de Dieu. Alors, quelles que soient vos convictions, pourquoi auriez-vous raison et les autres non ? Avez-vous examiné sérieusement et objectivement la question ? Vous l’êtes-vous prouvée à vous-même ? La réponse risque de ne pas vous plaire si vous remettez sincèrement en question vos croyances de longue date. Si vous n’aimez pas la réponse, quelles en sont les implications ? Que ferez-vous à ce sujet ? Allez-vous procéder à des changements difficiles ? Admettrez-vous vos erreurs ?
Si vous êtes prêt à remettre en question vos croyances de longue date, où allez-vous chercher la réponse ? Dans la suite de cette émission, je vous donnerai trois clés pour trouver la réponse à cette question d’une importance essentielle.
Croire est une chose, mais prouver ses croyances en est une autre. S’il n’y a pas de Créateur tout-puissant et omniscient, il n’est pas nécessaire d’aller plus loin. Chacun d’entre nous doit décider par lui-même de ce qui est bien ou mal et du sens temporel de la vie. Toutefois, si la prépondérance des preuves exige un Créateur intelligent, il nous incombe de chercher à Le connaître et de découvrir ce qu’Il attend de nous. Les athées supposent que la théorie de l’évolution leur donne raison, mais ont-ils vraiment soumis cette théorie à un examen approfondi ?
Franchement, les preuves de l’existence de Dieu sont partout autour de nous. Pourquoi la Lune est-elle 1/400ème de la taille de l’astre solaire, placée à la distance exacte permettant une éclipse solaire totale ? Quelle « coïncidence » ! Pourquoi 70% de cette planète est-elle recouverte d’eau, ce qui apporte une multitude de bienfaits – certains évidents, d’autres moins, et ceux que nous découvrons encore ? Pourquoi l’eau est-elle la seule substance qui existe communément ici-bas sous forme liquide, solide et gazeuse ? Pourquoi la congélation de l’eau défie-t-elle la norme de la contraction en se dilatant, ce qui permet à la glace de flotter plutôt que de couler ?
Lorsque nous observons la perfection qui abonde dans les créatures petites et grandes, nous reconnaissons la conception, la fonctionnalité et la beauté.
Les hippopotames herbivores et mammifères, ainsi que les crocodiles carnivores et pondeurs d’œufs, ont-ils vraiment tous les deux évolué à partir d’un ancêtre commun il y a 55 millions d’années comme l’affirment les évolutionnistes ? Comment se fait-il que ces ancêtres communs, si essentiels à la théorie de l’évolution, n’existent que dans l’imagination des artistes et non dans les archives fossiles ?
Il y a aussi tout le sujet de la microbiologie et des protéines, les éléments constitutifs de la vie. Comment l’ADN, le code le plus sophistiqué connu de l’homme, a-t-il évolué ? Steve Jobs a eu besoin d’humains intelligents pour élaborer des codes pour ordinateur, mais tous les auteurs de code réunis ne peuvent égaler la sophistication, la précision et la concision de l’ADN. Comment l’évolution a-t-elle pu se produire alors que l’ADN a besoin de protéines et que les protéines n’existent pas en dehors de l’ADN ? Lequel est apparu en premier, et comment l’un a-t-il survécu en attendant que l’autre évolue ? Dans les cellules vivantes, les protéines sont assemblées par de petites « machines », elles-mêmes constituées de protéines. Là encore, qu’est-ce qui est apparu en premier, la chaîne de montage ou les protéines qui la composent ?
Mathématiquement, il est impossible que la vie surgisse spontanément d’un matériau non vivant, comme l’admettent même les évolutionnistes. La probabilité que cela se produise est stupéfiante. On estime que le nombre d’atomes dans l’Univers connu est de 10 à la puissance 78 jusqu’à 10 à la puissance 82. C’est-à-dire, le chiffre 1, suivi de 78 zéros jusqu’à 82 zéros. Pourtant, comme l’explique l’évolutionniste Bill Bryson, la probabilité qu’une protéine typique s’autoassemblant est d’une sur 10 à la puissance 260 – c’est-à-dire le chiffre 1 suivi de 260 zéros. Mes amis, comprenez-vous ce que cela signifie ? Chaque fois que vous ajoutez un zéro, le nombre est multiplié par dix. Ainsi, les chances qu’un seul type de protéine s’autoassemble sont franchement nulles. En réalité, il s’agit littéralement d’une chance sur un nombre supérieur à des milliards, et des milliards et des milliards de fois plus grand que le nombre d’atomes dans l’Univers observable. Il n’est pas étonnant que Bryson admette : « Que le hasard puisse produire même une seule protéine semble franchement improbable » (Bill Bryson, Une histoire de tout, ou presque…, éditions Payot, p. 346, traduction Françoise Bouillot).
Il est clair que la matière est apparue à un moment donné et qu’il n’y a pas eu assez de temps pour qu’une seule cellule ait pu évoluer. Ainsi, même si les évolutionnistes admettent que c’est mathématiquement impossible, ils disposent d’une réponse standard pour étayer leur foi en l’impossible : « Nous existons, donc c’est arrivé ». Bien entendu, il s’agit d’une fausse piste qui détourne l’attention de la question pertinente. Notre existence n’est pas en cause. La vraie question est de savoir comment nous en sommes arrivés là. Donc la clé n°1 était : Prouvez par vous-même que Dieu existe.
Les preuves de l’existence de Dieu sont omniprésentes pour quiconque a l’esprit et les yeux ouverts. Dans la partie précédente, je n’ai même pas effleuré la surface de toutes les preuves de l’existence de Dieu. Même en dehors de la microbiologie, les preuves de l’existence de Dieu sont partout. C’est pourquoi l’ancien roi David a déclaré dans un psaume à juste titre : « L’insensé dit en son cœur : Il n’y a point de Dieu ! » (Psaume 14 :1). L’apôtre Paul écrivit ces mots sévères :
« La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, car ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître. En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil nu, depuis la création du monde, quand on le considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables » (Romains 1 :18-20).
Si vous voulez savoir si votre système de croyances est correct, vous devez prouver l’existence de Dieu. C’est la première clé. La deuxième clé est la suivante :
N’est-il pas logique de croire que si Dieu existe, Il a un but pour l’humanité et qu’Il ne nous a pas laissés dans l’ignorance quant à ce but ? Comment, le cas échéant, s’est-Il révélé à nous ? Sont-ce les êtres humains, si merveilleusement faits, livrés à eux-mêmes sans aucun but d’existence révélé ? Ou bien notre Créateur nous a-t-Il donné un moyen par lequel Son but nous est révélé ?
Le temps ne me permet pas d’explorer tous les ouvrages religieux, mais je prendrai le temps de parler de la Bible. L’une des caractéristiques uniques de ce livre étonnant est l’accomplissement des prophéties. Aucun autre livre ne prédit avec autant de précision et de clarté des événements qui ont eu lieu, mais aussi des événements qui se déroulent actuellement et des événements à venir. Nous avons abordé de nombreuses prophéties bibliques dans les émissions du Monde de Demain et dans notre littérature, mais permettez-moi de me concentrer sur l’une des prophéties les plus remarquables que l’on trouve dans le livre d’Ésaïe. Ici, Dieu bouscule tous les imposteurs :
« Ainsi parle l’Éternel, ton rédempteur, celui qui t’a formé dès ta naissance : Moi, l’Éternel, j’ai fait toutes choses, seul j’ai déployé les cieux, seul j’ai étendu la terre. J’anéantis les signes des prophètes de mensonge, et je proclame insensés les devins ; je fais reculer les sages, et je tourne leur science en folie » (Ésaïe 44 :24-25).
Il se projette ensuite dans l’avenir, après la chute de Jérusalem et la destruction du temple, jusqu’au moment où Jérusalem et le temple seront reconstruits. Dieu nomme alors le roi païen qui libérerait les Juifs pour qu’ils retournent à Jérusalem et reconstruisent le temple, et Il le fait 200 ans à l’avance. Dieu dit :
« Je confirme la parole de mon serviteur, et j’accomplis ce que prédisent mes envoyés ; je dis de Jérusalem : Elle sera habitée, et des villes de Juda : Elles seront rebâties ; et je relèverai leurs ruines […] Je dis de Cyrus : Il est mon berger, et il accomplira toute ma volonté ; il dira de Jérusalem : Qu’elle soit rebâtie ! et du temple : Qu’il soit fondé ! » (Ésaïe 44 :26, 28).
Le récit se poursuit au chapitre 45, expliquant que Cyrus soumettra des nations et deviendra très riche grâce à ses conquêtes, ce que l’Histoire confirme :
« Je te donnerai des trésors cachés, des richesses enfouies, afin que tu saches que je suis l’Éternel qui t’appelle par ton nom, le Dieu d’Israël. Pour l’amour de mon serviteur Jacob, et d’Israël, mon élu, je t’ai appelé par ton nom, je t’ai parlé avec bienveillance, avant que tu me connaisses » (Ésaïe 45 :3-4).
Oui, par l’intermédiaire du prophète Ésaïe, Dieu appela Cyrus par son nom et déclara ce qu’Il ferait, 200 ans avant la naissance de Cyrus. Jusqu’à présent, je vous ai donné deux des trois clés nécessaires pour répondre à cette question.
Ces deux clés ouvrent la voie à la troisième clé essentielle qui peut vous donner la certitude que vous détenez la vérité, quelque chose qui échappe à une grande partie de l’humanité :
À première vue, la plupart des gens pensent qu’ils savent déjà ce que Jésus enseigna, mais est-ce vraiment le cas ? Feu M. Roderick Meredith posa la question suivante :
« Si Jésus de Nazareth revenait aujourd’hui, reconnaîtrait-Il la religion qui porte Son nom ? Se pourrait-il qu’Il soit choqué de constater que […] Ses prétendus disciples croi[ent] à des doctrines totalement opposées à celles qu’Il avait enseignées, en observant d’autres jours de culte, d’autres traditions et, plus grave encore, [en ayant] d’autres idées sur Dieu et sur Son dessein, des idées contraires à celles de Jésus et des premiers apôtres ? » (Meredith, La restauration du christianisme originel, p. 3).
Lorsque nous regardons le christianisme dominant, nous découvrons une religion qui, à bien des égards, s’écarte de Jésus, de Ses apôtres et de l’Église originelle de Dieu. Il n’est pas étonnant que Jésus ait parlé du faux christianisme comme premier signe de la fin de cette ère :
« Jésus leur répondit : Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront sous mon nom [c’est-à-dire en affirmant qu’ils Le représentent], disant : C’est moi qui suis le Christ [en d’autres termes, admettant que Jésus est le Christ ou le Messie]. Et ils séduiront beaucoup de gens » (Matthieu 24 :4-5).s
Jésus interpellait les gens, même en Son temps : « Pourquoi m’appelez-vous Seigneur, Seigneur ! et ne faites-vous pas ce que je dis ? » (Luc 6 :46).
Oui, les gens appellent Jésus leur Seigneur ou leur Maître, mais pratiquent-ils vraiment ce qu’Il enseignait ? Ou bien trouvent-ils des excuses pour ne pas croire aux affirmations claires de Jésus, comme celle que l’on trouve dans Son sermon sur la montagne :
« Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé » (Matthieu 5 :17-18).
Le temps étant limité, permettez-moi de poser quelques questions sérieuses à ceux qui étudient sérieusement la Bible :
Ce n’est pas parce que nous croyons à quelque chose depuis notre plus tendre enfance que cela devient vrai. Pourtant, combien de personnes sont prêtes à remettre en question les croyances transmises de génération en génération ?
Je pense que si vous regardez Le Monde de Demain vous croyez d’une manière ou d’une autre au christianisme. Il est probable que seul un très faible pourcentage de notre public s’identifie comme non-chrétien. C’est pourquoi je me suis concentré sur le Dieu de la Bible. Néanmoins, cela n’enlève rien aux deux premières clés pour savoir si ce que vous croyez est vrai. À savoir :
Mais lorsque nous parlons de la troisième clé à un public chrétien, les gens sont gagnés par les émotions et sont sur la défensive. L’orgueil y fait obstacle. La plupart des gens préfèrent croire que leurs croyances de longue date sont justes plutôt que d’admettre l’erreur et de changer. Mais savez-vous que Dieu nous dit que Satan a séduit le monde entier ? Savez-vous que le christianisme, la plus diverse de toutes les religions du monde, est le plus grand système de croyances au monde ? Selon une source, on estime que le christianisme à la fin de 2024 devrait compter plus de 2,63 milliards d’adeptes.
À quelle forme de christianisme souscrivez-vous ? Avec une telle diversité au sein de la plus grande de toutes les religions, comment peuvent-elles toutes avoir raison ? Seriez-vous surpris d’apprendre que, selon de nombreux spécialistes, très peu de personnes imitent aujourd’hui le fondateur du christianisme ?
Jesse Lyman Hurlbut, érudit protestant respecté, souligne qu’il n’a pas fallu longtemps pour que le christianisme prenne un mauvais tournant :
« Les cinquante années qui ont suivi cet événement [la mort de Paul] sont cachées comme derrière un rideau, à travers lequel nous aimerions discerner de quoi satisfaire notre soif d’information. Quand ce rideau se lève enfin, aux environs de l’an 120, grâce aux écrits des pères de l’Église, nous découvrons une chrétienté qui, sous bien des aspects, diffère beaucoup de celle que nous avons connue aux jours de Pierre et de Paul » (Histoire de l’Église chrétienne, Hurlbut, éditions Visa, p. 31, traduction Philippe le Perru).
Plus précisément, le philosophe et théologien Søren Kirkegaard écrit :
« Le christianisme du Nouveau Testament n’a aucune réalité. Ici : rien à réformer ; ce dont il s’agit, c’est de faire toute la lumière sur un crime perpétré au nom du christianisme pendant des siècles par des millions d’hommes (innocemment ou non) dont la prudente sagesse, sous prétexte de perfectionner le christianisme, a peu à peu tenté d’en frustrer Dieu et de faire de lui tout le contraire de ce qu’il est dans le Nouveau Testament » (Œuvres complètes, Søren Kirkegaard, tome 19, éditions de l’Orante, p. 41, traduction Paul-Henri Tisseau).
Et comme l’explique l’historien Will Durant :
« Le christianisme n’a pas détruit le paganisme ; il l’a adopté » (Histoire de la civilisation, Will Durant, “César et le Christ”, volume 9, éditions Rencontre, p. 239-240, traduction Jacques Marty).
Donc, Clé n°3 : Prouvez à partir de la Bible ce que Jésus enseigna et comment Il vécut. Toutes les confessions chrétiennes prétendent détenir la vérité, mais l’apôtre Jean écrivit :
« Celui qui dit : Je l’ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n’est point en lui. Mais l’amour de Dieu est véritablement parfait en celui qui garde sa parole : Par cela nous savons que nous sommes en lui. Celui qui dit qu’il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même » (1 Jean 2 :4-6).
Chers amis, marchez-vous dans les pas de Jésus ? En êtes-vous sûrs ?
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La Bible n’est-elle qu’un ensemble de mythes et de légendes, ou représente-t-elle la parole inspirée de Dieu ? Beaucoup de gens prétendent que l’érudition moderne a discrédité la Bible, mais la réalité historique ainsi que les découvertes archéologiques confirment qu’elle dit vrai ! La Bible relate le passé avec une exactitude fantastique, et prédit l’avenir comme aucun autre livre !
La plupart des gens ont été induits en erreur et désinformés au sujet de la Bible. Il faut que vous sachiez la vérité et comment celle-ci pourrait changer votre vie !