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Beaucoup ont entendu parler de la marque de la bête et les spéculations abondent à ce sujet. Comment pouvez-vous savoir précisément de quoi il s’agit ?
Beaucoup de gens ont entendu parler de la marque de la bête et les spéculations abondent à ce sujet. Aux États-Unis et au Canada, certains ont pensé que le numéro de sécurité sociale représentait cette marque. Le code-barres et, plus récemment, le code QR ont également fait l’objet de cette accusation. Tous ces éléments sont liés à l’achat et à la vente, ou à l’occupation d’un emploi, mais aucun d’entre eux ne représente la marque de la bête, révélée dans le livre de l’Apocalypse.
D’autres spéculations évoquent des puces informatiques implantées dans la main ou sur le front. Certes, de telles puces électroniques sont utilisées pour identifier les chiens et les chats lorsque ceux-ci s’égarent. Elles sont mêmes employées pour identifier des personnes, mais les puces informatiques ne sont pas cette marque. Comment pouvons-nous en être sûrs ?
Dans cet article, je parlerai de cette marque mystérieuse, mais j’expliquerai également une marque très différente, appelée le signe de Dieu, car c’est à travers cette marque ordonnée par Dieu que nous pouvons comprendre la marque de la bête.
Puisque l’origine de ce sujet se trouve dans le livre de l’Apocalypse, c’est donc la Bible elle-même qui doit nous éclairer sur sa signification. Le point fondamental pour comprendre cette marque est son nom même : la marque de la bête. Il s’agit de la marque de la bête ! Ainsi, toute marque qui ne proviendrait pas de la bête – quelle qu’elle soit – ne peut être sa marque. Par conséquent, à moins que les États-Unis, le Canada ou tout autre pays ne soient la bête, leurs numéros de sécurité sociale ne peuvent pas être cette marque. Les puces implantées dans la main ou sur le front ne peuvent pas non plus être cette marque, car elles ne proviennent pas de la bête.
Quelle est donc l’identité de cette bête et qu’est-ce que sa marque ?
La recherche commence au deuxième chapitre du livre de Daniel, dans l’Ancien Testament. Dieu révéla au prophète Daniel la signification du songe du roi Nebucadnetsar de Babylone. Dans ce rêve, Nebucadnetsar vit une statue représentant un homme dont la tête était en or, la poitrine et les bras en argent, le ventre et les cuisses en airain et les jambes en fer. Notons que les pieds et les orteils de cette statue étaient un mélange de fer et d’argile.
Daniel expliqua au roi que cette statue représentait quatre royaumes. La tête d’or correspondait à l’Empire chaldéen de Nebucadnetsar. L’Histoire montre que les trois empires suivants furent l’Empire médo-perse, l’Empire gréco-macédonien et l’Empire romain. Chacun d’entre eux s’éleva au Moyen-Orient et sur le pourtour méditerranéen.
En quoi tout cela nous concerne-t-il ? Quel lien avec la marque de la bête ? Cela a des implications directes pour vous et moi.
La prophétie de Daniel couvre les siècles allant de Nebucadnetsar jusqu’au retour du Sauveur, Jésus-Christ, lorsqu’Il établira Son Royaume sur cette Terre :
« Dans le temps de ces rois, le Dieu des cieux suscitera un royaume qui ne sera jamais détruit, et qui ne passera point sous la domination d’un autre peuple ; il brisera et détruira tous ces royaumes-là, et lui-même subsistera éternellement. C’est ce qu’indique la pierre que tu as vue se détacher de la montagne sans le secours d’aucune main, et qui a brisé le fer, l’airain, l’argile, l’argent et l’or. Le grand Dieu a fait connaître au roi ce qui doit arriver après cela. Le songe est véritable, et son explication est certaine » (Daniel 2 :44-45).
La pierre qui se détache de la montagne « sans le secours d’aucune main », c’est-à-dire de manière surnaturelle, est clairement une référence au Messie qui reviendra établir un Royaume éternel. Nous voyons donc que le Christ reviendra et détruira les empires humains en frappant les pieds de cette grande statue (verset 34).
Les historiens s’accordent à dire que l’Empire romain prit fin en 476 apr. J.-C., mais le Christ n’est pas revenu et n’a pas établi un royaume mondial à cette époque-là. Cette prophétie a-t-elle échoué ? Ou le sujet est-il bien plus vaste que cela ? La clé se trouve dans un examen plus approfondi des jambes de fer de ce quatrième royaume, avec ses étranges pieds et orteils composés de fer et d’argile.
« Et comme tu as vu les pieds et les orteils en partie d’argile de potier et en partie de fer, ce royaume sera divisé ; mais il y aura en lui quelque chose de la force du fer, parce que tu as vu le fer mêlé avec l’argile. Et comme les doigts des pieds étaient en partie de fer et en partie d’argile, ce royaume sera en partie fort et en partie fragile. Tu as vu le fer mêlé avec l’argile, parce qu’ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l’un à l’autre, de même que le fer ne s’allie point avec l’argile » (Daniel 2 :41-43).
Les pieds et les orteils constituent assurément la partie de la statue qui existera au retour du Christ. Mais comment est-ce possible, puisque Rome est tombée il y a plus de 1500 ans ?
Le chapitre 7 de Daniel décrit davantage ces quatre empires mondiaux en les représentant comme des animaux sauvages. Le premier ressemblait à un lion aux ailes d’aigle, le deuxième à un ours, le troisième à un léopard à quatre têtes et le quatrième était « terrible, épouvantable et extraordinairement fort ; il avait de grandes dents de fer, il mangeait, brisait, et il foulait aux pieds ce qui restait ; il était différent de tous les animaux précédents, et il avait dix cornes » (Daniel 7 :7).
Ces quatre rois, ou royaumes (Daniel 7 :17, 23), sortent de la Méditerranée (versets 2-3) et le quatrième, comme la statue de Daniel 2, prendra fin lorsque le Christ reviendra instaurer un Royaume éternel. « Puis viendra le jugement, et on lui ôtera sa domination, qui sera détruite et anéantie pour jamais. Le règne, la domination, et la grandeur de tous les royaumes qui sont sous les cieux, seront donnés au peuple des saints du Très-Haut. Son règne est un règne éternel, et tous les dominateurs le serviront et lui obéiront » (Daniel 7 :26-27, Ostervald).
Une lecture attentive montre qu’il est inutile de spéculer sur l’identité de ces animaux, car Dieu explique les symboles qu’Il utilise dans la Bible. Celle-ci révèle que la statue du rêve de Nebucadnetsar représentait quatre royaumes, en commençant par le sien. Les quatre animaux dans Daniel 7 représentent également des rois ou des royaumes, dont le quatrième prendra fin juste avant l’établissement du Royaume de Dieu. Ainsi, ces quatre animaux représentent clairement les mêmes royaumes que ceux mentionnés dans Daniel 2.
À mesure que le temps passe, Dieu révèle davantage de détails sur ces royaumes. Examinons à présent la bête décrite dans Apocalypse 13. Elle présente les mêmes caractéristiques que celles de Daniel 7, mais combinées en une seule créature. Cela s’explique par le fait que Jean rapporta les visions qui lui furent données à la fin du premier siècle de notre ère, à l’époque de l’Empire romain. Les trois premiers royaumes étaient tombés et avaient été absorbés par Rome.
« Puis je vis monter de la mer une bête qui avait dix cornes et sept têtes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème. La bête que je vis était semblable à un léopard ; ses pieds étaient comme ceux d’un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, son trône, et une grande autorité » (Apocalypse 13 :1-2).
Rome est tombée il y a plus de 1500 ans. Comment pourrait-elle donc exister au retour du Christ ? Notez que cette bête a sept têtes. Comparez cela avec Daniel 7 et vous verrez que les quatre animaux réunis possèdent le même nombre de têtes. Apocalypse 13 :3-5 explique qu’une des têtes reçut une blessure mortelle qui fut guérie. Les trois premiers animaux ayant été absorbés par Rome – faisant de la bête d’Apocalypse 13 la combinaison des quatre animaux de Daniel 7 – la seule tête qui aurait pu être guérie est celle de Rome et c’est exactement ce que nous trouvons dans l’Histoire.
L’Empire romain s’effondra en 476 apr. J.-C., mais il fut restauré, ou « guéri » par Justinien en l’an 554, avec le soutien de l’Église catholique romaine. Pour comprendre ce qui arriva ensuite, nous devons nous reporter à Apocalypse 17, où l’Empire romain « guéri » se poursuit. Nous y trouvons une autre bête à sept têtes, mais il y a une différence importante entre celle-ci et la bête à sept têtes mentionnée dans Apocalypse 13. En effet, la bête d’Apocalypse 17 est chevauchée par une femme.
« Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m’adressa la parole, en disant : Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux. C’est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à la débauche, et c’est du vin de sa débauche que les habitants de la terre se sont enivrés. Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes » (Apocalypse 17 :1-3).
Dans la Bible, l’Église est parfois représentée comme une femme (Éphésiens 5 :31-32 ; Apocalypse 19 :6-9). Dans Apocalypse 17, nous voyons une femme déchue, une Église apostate, une Église mère avec des filles prostituées (versets 1, 5). La restauration de cet Empire romain à sept têtes est dirigée par un système religieux impie. Nous apprenons aussi qu’il perdurera pendant « quarante-deux mois » après sa guérison (Apocalypse 13 :5). Notez que l’Écriture utilise couramment le principe « d’un jour pour une année » (Ésaïe 34 :8 ; Ézéchiel 4 :6). En prenant en compte qu’un mois prophétique biblique dure 30 jours, alors 42 mois correspondent à 1260 jours, ou années, selon le contexte.
L’Histoire nous apprend que l’Empire romain, désormais dirigé par une Église apostate, fut restauré par Justinien en l’an 554 de notre ère. Cet Empire déclina, mais fut rétabli à quatre reprises. La deuxième résurgence eut lieu en l’an 800, lorsque « le jour de Noël, comme Charlemagne [roi des Francs], vêtu de la chlamyde et des sandales de patricius Romanus, était agenouillé en prière devant l’autel de Saint-Pierre, [le pape] Léon exhiba tout à coup une couronne sertie de bijoux et la posa sur la tête du roi ».1
L’Empire se détériora à nouveau, mais il fut ravivé une troisième fois sous Otton Ier, dit le Grand. « Comme Charlemagne, Otton reçut son trône grâce à la déclaration papale selon laquelle l’Église romaine [catholique] avait été le seul électeur impérial depuis le début du quatrième siècle […] Ainsi, le Saint-Empire romain était, dans une large mesure, allemand dans sa base ethnique et politique, chrétien dans sa justification morale, et romain dans sa prétention à la légitimité et à l’universalité. »2
Les Empires dirigés par Charles Quint et Napoléon représentent les quatrième et cinquième résurgences. De la guérison sous Justinien en 554 à la chute de Napoléon en 1814, nous avons exactement 1260 ans, comme Apocalypse 13 :3-5 l’avait prédit.
Comme nous l’avons mentionné au début de cet article, la « marque de la bête » et le « nombre de son nom », qui est 666, suscitent un grand intérêt et font l’objet d’une multitude d’interprétations. De plus, comme nous l’avons souligné, le critère le plus fondamental de cette marque est que celle-ci soit « de la bête », d’où la longue explication pour clarifier son identité. En effet, si une marque ne vient pas de la bête, alors cela ne peut pas être la marque de la bête ! C’est aussi simple que cela ! Pourtant, beaucoup de gens s’enthousiasment à chaque nouvelle invention qui affecte l’achat et la vente. Le dernier candidat en date fut probablement le vaccin contre le Covid-19. Peu importe notre opinion à propos de ce vaccin, ce n’est pas la marque de la bête.
Que savons-nous donc de cette mystérieuse marque ? Pour répondre à cette question, nous devons nous tourner vers le livre de l’Apocalypse, car c’est là qu’elle est mentionnée. Toutefois, nous devons d’abord noter que la femme qui chevauche la bête est elle-même décrite comme une bête distincte dans Apocalypse 13. Après l’apparition de la bête sortant de la mer, représentant l’Empire romain, nous lisons aux versets suivants :
« Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon. Elle exerçait toute l’autorité de la première bête en sa présence, et elle obligeait la terre et ses habitants à adorer la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. Elle opérait de grands prodiges, jusqu’à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image de la bête qui avait été blessée par l’épée et qui vivait » (versets 11-14).
Oui, cette bête ressemble au Christ, à un agneau, mais elle parle comme le diable, un dragon (Apocalypse 12 :9). Cela ne devrait pas nous surprendre, car Paul nous avertit que Satan a des serviteurs qui se font passer pour des ministres du Christ (2 Corinthiens 11 :13-14). Cette deuxième bête – représentant la même entité que la prostituée d’Apocalypse 17 – est clairement un système religieux qui accomplit de faux miracles en lien avec le système romain.
Lisons à présent les versets cruciaux concernant la marque de la bête : « Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçoivent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne puisse acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom » (Apocalypse 13 :16-17).
Quoi qu’il en soit, la marque de la bête est un signe de désobéissance. Il ne peut s’agir simplement d’une puce informatique ou d’un code-barres. C’est avant tout la marque de la bête. Nous lisons également que la colère de Dieu s’abat sur ceux qui Lui désobéissent (Romains 1 :18 ; Colossiens 3 :5-6) et sur ceux qui acceptent la marque de la bête (Apocalypse 16 :2).
Le diable est un grand faussaire (2 Corinthiens 11 :3-4, 13-15). Il a contrefait le signe que Dieu donna à Son peuple, par conséquent, le peuple de Satan porte la marque du diable. Mais quel est donc le signe utilisé par Dieu pour identifier Son peuple ?
Dieu conclut une alliance avec Israël par laquelle Il a instauré le sabbat du septième jour comme un signe entre Lui et Son peuple (Exode 31 :12-17). Certains pensent à tort que Jésus a changé le sabbat pour le premier jour de la semaine, mais la Bible et l’histoire de l’Église originelle montrent que Jésus, les apôtres et l’Église de Dieu du premier siècle continuèrent d’observer le jour que Dieu avait mis à part des milliers d’années avant la naissance de Moïse. C’est l’empereur romain Constantin qui, en 321 apr. J.-C., déclara que « le jour vénérable du Soleil » était un temps sacré.3
Dieu déclara également à l’ancien Israël à propos des Jours des Pains sans Levain – une des sept Fêtes annuelles qu’Il donna à l’humanité, et que Jésus et l’Église originelle observèrent (1 Corinthiens 5 :7-8) : « Ce sera pour toi comme un signe sur ta main et comme un souvenir entre tes yeux, afin que la loi de l’Éternel soit dans ta bouche » (Exode 13 :9, 16).
Tout comme la marque de la bête doit être apposée sur le front et sur la main, les Jours saints de Dieu doivent être apposés sur le front et sur la main. Le front représente notre façon de penser et la main représente nos actions. Ces deux signes symboliques ne doivent pas être compris comme des marques littéralement imprimées ou physiquement présentes sur la main ou le front.
Daniel 7 parle également de ce système religieux apostat (versets 19-21). En parlant de la corne qui avait « une plus grande apparence que les autres », c’est-à-dire la femme qui chevauche la bête, nous lisons que ce système « prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très-Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d’un temps » (verset 25).
Beaucoup confondent la marque de la bête avec les méthodes potentielles pour la mettre en application. L’empereur Constantin imposa la marque à ses sujets et tous ceux qui la refusèrent payèrent un lourd tribut. Le « christianisme » dominant a continué à l’imposer, avec plus ou moins d’intensité selon les époques. Songez aux lois concernant la fermeture des commerces le dimanche.
Une chose est claire : cette marque, représentant une tentative de changer les temps et la loi, sera à nouveau appliquée. Les moyens pour la mettre en œuvre seront peut-être la reconnaissance de l’iris, la reconnaissance faciale ou une autre manière de prouver son identité, mais la méthode employée pour faire appliquer la marque de Satan de désobéissance aux lois divines n’est pas la marque elle-même.
Daniel 2 et 7, ainsi qu’Apocalypse 13 et 17, montrent une progression de quatre grands empires depuis Nebucadnetsar jusqu’au retour du Christ. Nous lisons dans Apocalypse 17 :9-10 : « Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise [Rome est bâtie sur sept collines]. Ce sont aussi sept rois : cinq sont tombés [les “résurgences de l’Empire entre 554 et 1814 apr. J.-C.”], un existe [les puissances de l’Axe sous Hitler et Mussolini], l’autre n’est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit rester peu de temps. » Ce dernier roi n’est pas encore apparu.
« Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n’ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête. Ils ont un même dessein, et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bête. Ils combattront contre l’Agneau, et l’Agneau les vaincra, parce qu’il est le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois, et les appelés, les élus et les fidèles qui sont avec lui les vaincront aussi » (Apocalypse 17 :12-14).
Ces rois, ces dirigeants ou ces nations apparaîtront en Europe. Ensemble, ils auront la force militaire et économique du fer. Mais, comme le révèle le songe de Nebucadnetsar, cette union éphémère, composée de dix orteils, sera hétérogène, comme du fer et de l’argile.
Lorsque la résurgence finale de l’Empire romain prendra forme, elle fera respecter une fois encore, avec le soutien de la grande Église apostate, le décret de Constantin publié en 321 apr. J.-C. qui imposait de se reposer pendant « le jour vénérable du Soleil ». Elle le fera peut-être sous couvert d’affermir les familles, de sauvegarder la planète, de la responsabilité sociale ou de la sécurité publique, mais quel que soit le motif employé pour la justifier, ne vous méprenez pas : la mise en vigueur de la marque de la bête est imminente !
Pour obtenir une explication plus complète à ce sujet et pour comprendre la signification du nombre 666, lisez notre brochure La bête de l’Apocalypse : mythe, métaphore ou réalité à venir ?
1 Histoire de la civilisation, Will Durant, “L’âge de la foi”, volume 11, éditions Rencontre, page 209, traduction Jacques Marty
2 The Holy Roman Empire in the Middle Ages, Robert Herzstein, éditions Heath, page viii
3 History of the Christian Church, Philip Schaff, volume 2, page 380