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Le monde s’enthousiasme pour le cannabis, en affirmant que cette plante et les huiles qui en sont extraites peuvent guérir la quasi-totalité de vos maladies. Les faits soutiennent-ils cette affirmation ?
Bien que nous n’entendions plus l’expression aussi souvent que dans le passé, la vie actuelle montre que nous devrions peut-être la remettre au goût du jour : la poudre de perlimpinpin. Dès le 18ème siècle, l’expression est utilisée en référence aux poudres et remèdes, vendus par des charlatans, censés guérir toutes les maladies. Avec le temps, l’expression a commencé à désigner une solution censée résoudre un problème, mais qui s’avère être complètement inefficace. Cette expression avait refait surface en 2017 lorsque Emmanuel Macron l’utilisa au cours du débat télévisé d’entre deux tours pour la présidentielle française.
Le cannabis est controversé. Pourquoi ? Et pourquoi ceux qui ne cherchent pas à « planer » le soutiennent-ils désormais ? Une grande partie de la réponse se trouve dans ce qui est souvent appelé le « cannabis médical ». Que devons-nous savoir à ce sujet ?
Deux ingrédients du cannabis sont au centre de l’attention : le delta-9-tétrahydrocannabinol (THC) et le cannabidiol (CBD). Le THC est le composé hallucinogène et toxique, tandis que le CBD n’a pas ces propriétés. Le CBD est légal dans de nombreux pays et il ne doit pas être confondu avec l’aspect stupéfiant du cannabis – et c’est la source du problème. Une marque reconnue annonçait clairement : « le CBD n’est pas du cannabis. » Voyons la différence :
« Le CBD vient de la plante de cannabis. Les gens se réfèrent aux plantes de cannabis comme étant du chanvre ou de la marijuana, en fonction du niveau de THC. Le chanvre est légal […] lorsqu’il contient moins de 0,3% de THC. Au fil des ans, les cultivateurs de cannabis ont sélectionné leurs plantes de façon sélective pour qu’elles contiennent des niveaux élevés de THC et d’autres composés […] Cependant, les cultivateurs de chanvre ont rarement modifié la plante. Ces variétés de chanvre sont utilisées pour produire l’huile de CBD » (Medical News Today, 27 juillet 2018).
Néanmoins, la variété de cannabis toxique qui produit du THC en grandes quantités a été largement assimilée au chanvre utilisé pour extraire le CBD. Pourquoi ? Comme nous allons le voir, en faisant le lien et en créant de la confusion entre les deux plantes et leurs principaux ingrédients, ceux qui cherchent à légaliser le cannabis toxique sont en train de remporter une guerre de propagande rondement menée. Nous verrons cela un peu plus tard, mais examinons d’abord le CBD. Ses partisans donnent l’impression que ses avantages sont soutenus par des preuves scientifiques. Cependant, les articles rédigés par des sources médicales objectives sont remplis de nuances subtiles telles que : « Des études laissent à penser que le CBD pourrait aider à… » ; « Des études indiquent que le CBD pourrait aider à réduire ces symptômes » ou « Le CBD semble prometteur. »
Le cannabis médical a été fortement soutenu au cours de la dernière décennie et le nombre de maladies qu’il « soulagerait » – voire « guérirait » – est impressionnant. Dans l’État de l’Ohio, aux États-Unis, il peut être prescrit pour les 21 pathologies suivantes :
« Alzheimer, cancer, colite ulcéreuse, douleurs chroniques sévères ou incurables, drépanocytose (anémie falciforme), encéphalopathie traumatique chronique, épilepsie et autres convulsions, fibromyalgie, glaucome, hépatite C, maladie de Charcot, maladie de Crohn, maladies inflammatoires de l’intestin, myélopathie et traumatisme médullaire, Parkinson, séropositivité au VIH, sclérose en plaques, sida, syndrome de la Tourette, traumatismes crâniens, trouble de stress post-traumatique » (Ohio Medical Marijuana Control Program).
Cela étant, un membre respecté de ce comité de contrôle, Dr Gary Wenk, a écrit :
« Si vous souffrez d’une de ces conditions, la question la plus importante à demander à votre prescripteur est de savoir si le cannabis peut vous aider. Si votre prescripteur répond “oui”, alors vous pouvez être certain qu’il ou elle n’est pas au courant de l’état actuel de la recherche médicale sur le cannabis. En fait, il n’existe pas de preuve clinique fiable – absolument aucune – justifiant l’usage du cannabis pour ces pathologies » (Psychology Today, 15 juillet 2018).
Dr Wenk expliqua ensuite que, pour lui, le meilleur conseiller médical dans une telle situation sera celui qui admettra ne pas savoir si le cannabis médical sera efficace ou non – quelqu’un ayant un esprit ouvert, mais faisant preuve de prudence.
Il souligna que les preuves de l’efficacité du cannabis médical sont anecdotiques. Il s’agit de témoignages d’individus plutôt que de découvertes scientifiques objectives et fiables. Il parla aussi de la réalité de l’effet placebo : les gens qui pensent qu’ils iront mieux se portent souvent mieux – pas à cause du « médicament » (le patient ignore qu’il s’agit d’un cachet de sucre), mais grâce au travail du cerveau. Dr Wenk ajouta que des études menées sur des animaux montrent que le cannabis semble prometteur pour réduire la douleur – mais quelqu’un de son calibre et de son expérience sait que ce qui fonctionne chez des souris ne fonctionne pas nécessairement chez l’homme. Il est ouvert à toutes les possibilités à ce sujet, mais il est, à juste titre, circonspect et réticent à tirer des conclusions non prouvables.
Son approche contraste avec l’enthousiasme général de ceux qui montent au créneau pour défendre le cannabis, sans se poser quelques questions fondamentales : Les témoignages anecdotiques sont-ils des preuves ? Quel est le principal argument de vente des « poudres de perlimpinpin » ? Le cannabis est-il la seule option ? Est-ce la meilleure option ? Quel est le bon dosage ? Quels sont les effets secondaires ? Quelles sont ses interactions avec d’autres médicaments ou aliments ?
Ne minimisons pas la déclaration du Dr Wenk dans ce contexte : « En fait, il n’existe pas de preuve clinique fiable – absolument aucune – justifiant l’usage du cannabis pour ces pathologies. »
Il est possible que le CBD ait des propriétés médicinales remarquables. Mais beaucoup de ceux qui soutiennent la légalisation du cannabis prennent ces possibilités pour des certitudes. Certains vont jusqu’à en faire la promotion en l’appelant « la plante sacrée » – un remède miraculeux donné par Dieu qui guérirait tout et n’importe quoi.
Quel est le problème dans tout cela ?
Peu de gens connaissent la revue américaine High Times dédiée à la culture de la drogue. Tom Forçade créa High Times en 1974, mais il souffrait de symptômes très communs chez les « fumeurs d’herbe » – des sautes d’humeur et de la paranoïa – et il finit par se tirer une balle dans la tête en 1978.
Bob Greene, du Chicago Tribune, avait interrogé le rédacteur en chef de High Times et il écrivit un article disant que « Thomas Forçade, le créateur de la revue […] voulait que High Times “fasse pour les drogues ce que Playboy a fait pour le sexe et ce que [la revue] Rolling Stone a fait pour la musique” » (Chicago Tribune, 30 mars 1987).
Keith Stroup est un autre grand promoteur du cannabis hallucinogène. En 1970, Stroup lança l’Organisation nationale pour la Réforme de la législation sur le cannabis (NORML) aux États-Unis, après qu’un ami fut arrêté pour possession de cannabis. À l’origine le « R » signifiait « Révocation de la législation », mais il changea ce mot pour la « Réforme de la législation » car il se rendit compte que la plupart des Américains étaient défavorables à la légalisation du cannabis.
Stroup affime qu’il est davantage anti-prison que pro-cannabis, mais comme beaucoup d’autres dans les années 1970, il consomma de « l’herbe ». À l’époque, la marijuana (feuilles de cannabis) contenait de très faibles quantités de THC, souvent inférieures à 1% et rarement plus de 2%. Mais Stroup se vit offrir un produit beaucoup plus puissant et il commença à souffrir de paranoïa, ce qui nous amène à un fait que peu de gens acceptent : le cannabis actuel n’est pas celui de la génération de Woodstock et des yéyés. De nos jours, le cannabis contient généralement entre 20 et 25% de THC !
Alex Berenson était journaliste pour le New York Times et il se qualifiait de « libertaire » concernant le cannabis – jusqu’à ce qu’une discussion avec son épouse, une psychiatre travaillant avec des fous criminels, lui fasse se poser des questions. Cette discussion le poussa à faire des recherches approfondies et cela le conduisit à écrire un livre : Dites à vos enfants la vérité au sujet du cannabis, de la maladie mentale et de la violence(1). Il y explique :
« Stroup et la NORML marquèrent des points lorsqu’ils inscrivirent leur lutte dans le cadre des droits civils et de l’équité dans l’application de la loi. Mais après avoir été reconnus comme des partisans des effets hallucinogènes de la drogue, le public les rejeta. La façon dont ils avaient suscité l’adhésion pour la légalisation du cannabis était de parler de tous les sujets possibles, sauf de la raison pour laquelle les gens utilisent cette drogue. Stroup avait compris cela avant tout le monde. Puis il l’oublia – et son mouvement en a payé le prix » (page 46).
La controverse serait facile à résoudre si les partisans du cannabis différenciaient le CBD et le THC, mais ils ne le font pas en toute connaissance de cause. Bien que le gros de la discussion tourne autour de l’usage médical du CBD, le véritable objectif est la légalisation du THC et beaucoup de gens ne se rendent pas compte qu’un gigantesque lobby pro-cannabis utilise des millions de dollars pour soutenir la cause. Combien de gens savent-ils que le milliardaire George Soros a injecté 100 millions de dollars dans les argumentaires de vente ?
Des activistes ont créé plusieurs campagnes d’opinion publique, dont une prétendant que la guerre contre le cannabis et les drogues en général était influencée par le racisme. Ils ont soutenu l’idée que la guerre contre les drogues était une perte d’argent et que cela ruinait la vie des personnes « ordinaires » en faisant d’elles des criminelles pour le simple fait de s’accorder un plaisir soi-disant inoffensif. Mais l’objectif de leur dernière campagne, couronnée de succès, a été de convaincre des personnes ordinaires comme vous et moi – des gens n’ayant aucune envie de prendre des drogues – que le cannabis avait un usage médical. Après tout, qui serait contre un médicament ? De plus, la plupart des gens pensent à tort que le cannabis est naturel et sans danger, contrairement aux substances pharmaceutiques.
Beaucoup trop de gens ne réalisent pas qu’ils ont été manipulés par des individus qui dirigent une campagne bien orchestrée pour légaliser le cannabis récréatif. C’est leur objectif premier, comme Berenson l’explique :
« Le fait de relier la légalisation à l’usage médical s’est avéré être une étape cruciale. Cela a encouragé les électeurs à considérer le cannabis autrement qu’une substance toxique. En vérité, à l’exception de quelques conditions rares comme la cachexie liée aux cancers, ni le cannabis ni le THC [l’ingrédient hallucinogène] n’ont montré une efficacité concrète au cours d’études cliniques aléatoires » (pages xvii-xviii).
De nombreux médicaments sont extraits de plantes. Les opioïdes viennent du pavot et ils sont utilisés pour soulager les patients souffrant de terribles douleurs, mais cela a aussi des conséquences. Rien qu’en 2016 et 2017, les overdoses d’opioïdes ont tué plus d’Américains que pendant la guerre du Vietnam.
Un des arguments des partisans du cannabis, qu’il s’agisse du THC ou du CBD, est qu’il guérit le cancer ou qu’il atténue les effets désagréables des traitements de cette maladie. Notez plutôt ce qu’a écrit Dr Wenk :
« Selon l’Institut national du cancer, il n’y a pas assez de preuves pour recommander l’utilisation du cannabis comme un remède pour les symptômes liés au cancer, ou aux symptômes liés au traitement des cancers, ou aux effets secondaires liés au traitement des cancers. Oui, le cannabis peut tuer des cellules cancéreuses ; mais beaucoup d’autres substances chimiques peuvent aussi le faire, comme la nicotine, mais personne ne va vous conseiller de commencer à fumer des cigarettes pour traiter votre cancer des poumons. »
Je ne suis pas médecin et je ne prétends pas l’être. Je ne gobe pas non plus toutes les assertions des compagnies pharmaceutiques. Mais un point est clair : les médicaments ont des effets secondaires à court ou à long terme, y compris le CBD et le THC. Les stations télévisées diffusent des publicités pour le dernier remède miracle, alors que les informations viennent juste d’annoncer que des cabinets d’avocats ont porté plainte contre le précédent remède miracle. Ces remèdes aident certains individus et ils en tuent d’autres. C’est une réalité de la vie – et de la mort !
Lorsque les gens parlent de « cannabis médical », il est important de comprendre de quoi ils parlent vraiment. Il faudrait aussi se demander : « Pourquoi entendons-nous tellement parler de la légalisation du cannabis médical, alors que le CBD est déjà légal dans la plupart des pays ? » La réponse est claire : les partisans du cannabis médical veulent que le THC soit légalisé, pas seulement le CBD. Ces marchands de poudre de perlimpinpin ont « amorcé le poisson » et maintenant ils le ferrent. Les uns après les autres, les pays légalisent le cannabis médical, puis ils légalisent le cannabis récréatif.
Au Monde de Demain, nous ne nions pas le fait que des applications médicales d’un des deux, ou des deux, ingrédients principaux du cannabis puissent être découvertes et prouvées par des études cliniques et des expérimentations scientifiques. Mais nous reconnaissons aussi que des activistes tirent les ficelles de l’utilisation du cannabis médical pour promouvoir la légalisation de son usage récréatif. C’est davantage une question morale que médicale. La précipitation enka déjà commencé à provoquer de graves conséquences et la situation va encore empirer.
Au-delà des décès par overdose, une des conséquences les plus graves de la prise de cannabis, le syndrome de démotivation est un autre problème : le manque d’initiative. Il peut y avoir des exceptions – quelques consommateurs qui seraient très motivés – mais avec les puissantes souches actuelles de cannabis, nous assistons à une vague générationnelle de victimes en manque de motivation. Que cela présage-t-il pour le futur d’une nation ?
Après que le cannabis médical a été autorisé, des entrepreneurs ont découvert qu’il y avait de l’argent à se faire ! Non seulement le cannabis médical, THC ou CBD, était ce remède miracle pour toutes vos maladies, mais aussi une poule aux œufs d’or. Les cultivateurs, les distributeurs et les gouvernements en tirent profit.
Oui, le cannabis est soudainement devenu un grand marché. Même l’ancien président de la Chambre des représentants des États-Unis, John Boehner, organise des séminaires sur la façon de tirer profit de l’essor du cannabis. C’est aussi un sujet brûlant dans les publications financières. Un conseiller en placement a écrit l’année dernière : « En 2020, le [marché du] cannabis sera plus grand que celui du chocolat […] plus grand que l’alimentation biologique […] plus grand que le vin ! » (WeissRatings.com, 20 mai 2019).
Depuis que le Canada a légalisé le cannabis, il est devenu le plus grand producteur pour son marché intérieur et à l’exportation – en direction notamment de l’Afrique du Sud, de l’Allemagne, de l’Australie, du Brésil, des îles Cayman, du Chili, de la Croatie, de Chypre et de la Nouvelle-Zélande (“Global Reach”, Tilray.com).
Tilray est un des plus grands exportateurs, qui produit notamment de l’huile de CBD (l’extrait non hallucinogène du cannabis) ainsi que le « Tilray 1:1 » qui est composé à parts égales de CBD et de THC hallucinogène. 21 sociétés commercialisant du cannabis étaient officiellement en activité au début de l’année 2019 au Canada. Neuf d’entre elles enregistrent un chiffre d’affaires en milliards de dollars et deux dépassent même les 10 milliards de dollars annuels.
« Mais je pensais que toute cette agitation concernait le plus grand remède miracle jamais découvert ! » C’est peut-être le cas. Seul le temps le dira. Si l’histoire se répète, peut-être que les gens achètent une fois de plus de la poudre ou, devrais-je dire, de « l’huile de perlimpinpin ». Beaucoup de personnes dénoncent la cupidité des laboratoires pharmaceutiques, mais ceux d’entre eux qui préconisent le cannabis médical agissent de la même façon ! Comment pouvons-nous ne pas le voir ? Lorsqu’un « remède » est présenté dans la publicité comme guérissant à peu près tout et n’importe quoi, ne devrions-nous pas être un peu sceptiques – particulièrement lorsque la principale preuve de son efficacité est anecdotique et non le résultat d’études rigoureuses ?
Lorsque des centaines de millions de dollars sont injectés dans une campagne qui conduit à la légalisation d’une substance intoxicante – qui présente beaucoup trop d’effets secondaires pour être tous cités dans cet article – ne devrions-nous pas être un peu suspicieux ? Lorsque des termes comme « plante sacrée » sont utilisés dans toute cette agitation, ne voyons-nous pas une ferveur religieuse prendre le dessus ? Bien que certaines personnes mal informées affirment le contraire (volontairement ou involontairement), le cannabis a été utilisé depuis des siècles dans les religions païennes, mais jamais par les sacrificateurs du vrai Dieu.
« Rocky Mountain High » (Au sommet des montagnes Rocheuses) fut un des plus grands succès du chanteur de folk John Denver. En 2014, la légalisation du cannabis dans le Colorado donna à cette chanson une connotation nouvelle que l’auteur n’avait jamais prévue. (En anglais, le mot “high” signifie aussi être sous les effets de la drogue.) Certains pensaient que ses paroles parlaient des drogues, mais il s’en défendit au cours d’une audition devant le Sénat :
« Ma chanson “Rocky Mountain High” a été interdite par de nombreuses radios car elle ferait l’apologie de la drogue. Cette décision a clairement été prise par des gens qui n’ont jamais vu ou ne sont jamais allés dans les Rocheuses et qui n’ont jamais connu l’allégresse, la célébration de la vie ou la joie de vivre d’une personne qui observe quelque chose d’aussi merveilleux que la pluie d’étoiles filantes des Perséides pendant une nuit sans Lune et sans nuages, avec tellement d’étoiles que ce ciel lumineux crée des ombres, et que vous partez en camping avec vos amis, vos meilleurs amis, et que vous leur faites découvrir pour la toute première fois un des spectacles de lumière les plus merveilleux de la nature » (SongFacts.com).
John Denver décrivit une sorte d’élévation très différente de celle que les marchands de la ville de Denver, au Colorado, mettent désormais en avant. Mais le fait de « s’élever » ou de « planer » avec des drogues n’a jamais été épanouissant. Les expériences montrent qu’absolument toutes les drogues détruisent la vie. Un ancien roi expérimenta l’hédonisme, une philosophie affirmant que le but de la vie est de s’adonner aux plaisirs physiques. Il chercha à s’épanouir dans le vin, les femmes et la musique, mais il n’y trouva rien : « Alors j’ai tourné mes regards vers la sagesse, et vers la sottise et la folie. – Car que fera l’homme qui succédera au roi ? […] Et j’ai haï la vie, car ce qui se fait sous le soleil m’a déplu, car tout est vanité et poursuite du vent » (Ecclésiaste 2 :12, 17).
Malheureusement, très peu de gens comprennent le sens de la vie. Trouvez-vous que votre vie est vide de sens ? Vous demandez-vous : « La vie, c’est juste ça ? » Votre existence a un but – qui ne se trouve pas dans l’hédonisme, mais dans les pages de la Bible. Vous pouvez apprendre de quoi il s’agit dans notre brochure gratuite Votre ultime destinée. Le fait de connaître le but de votre existence et de travailler dans cette direction vous apportera un épanouissement bien plus grand que n’importe quelle substance à fumer. Pour approfondir ce sujet et connaître les conséquences du cannabis récréatif, lisez notre brochure approfondie à ce sujet Cannabis : ce qu’on vous cache. Vous pouvez la lire en ligne sur MondeDemain.org ou en demander un exemplaire gratuit en contactant le Bureau régional le plus proche de votre domicile.
(1) Tell You Children : The Truth About Marijuana, Mental Illness, and Violence