Une bonne nouvelle nous attend ! | Le Monde de Demain

Une bonne nouvelle nous attend !

Commenter cet article

Nous avons tous entendu des blagues commençant par « J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle… » Au Monde de Demain, nous avons un message avec une bonne nouvelle et une mauvaise nouvelle pour l’humanité, mais il n’y a pas de chute comique. La mauvaise nouvelle est vraiment une mauvaise nouvelle, tandis que la bonne nouvelle est vraiment une bonne nouvelle – mais contrairement à certaines histoires drôles, la mauvaise nouvelle arrive en premier.

Récemment, des voitures béliers ont été utilisées pour terroriser les citoyens au Royaume-Uni et en France, tandis que des attaques armées et des attentats à la bombe ont récemment provoqué la mort et la désolation à Paris, à Bruxelles et à Manchester. Les fusillades et les tueries de masse continuent de faire la une des journaux aux États-Unis. Des voitures piégées explosent régulièrement au Moyen-Orient alors que des factions religieuses et politiques s’affrontent pour le pouvoir. Des écolières ont également été kidnappées en Afrique. Qui sait quelles nouvelles atrocités auront encore eu lieu lorsque vous lirez cet article ?

L’usage des drogues est un fléau qui frappe plus que jamais notre société (voir notre article page 10 à ce sujet). Les producteurs, les distributeurs, les responsables locaux ou nationaux corrompus, ainsi que les consommateurs, se détruisent eux-mêmes et ceux qui les entourent. Les fraudes sur Internet ne cessent d’augmenter : vols d’identité, investissements frauduleux, pornographie, fake news (fausses nouvelles) qui peuvent détruire des réputations et paralyser des entreprises, secrets industriels et militaires potentiellement dangereux qui sont régulièrement volés – la liste est loin d’être exhaustive !

La Corée du Nord et les États-Unis ne cessent de se provoquer, tout comme l’Iran et l’Arabie Saoudite. La Libye, la Syrie, l’Irak, le Yémen et la Somalie sont dans un état de chaos, alors que des factions rivales s’affrontent pour prendre le pouvoir. Les armes modernes permettent d’annihiler l’humanité. Seule la nature humaine est restée constante dans tout cela.

Les mauvaises nouvelles ne manquent pas. Les relations entre les hommes et les femmes se dégradent. Le taux de natalité est tellement bas dans certains pays que ces derniers ont besoin d’une forte main d’œuvre migratoire pour occuper les emplois qui auraient dû être occupés par les millions de bébés avortés au cours des dernières décennies. Les drogues, le langage politique ordurier et l’incapacité à travailler ensemble contribuent à ce qui est de plus en plus considéré comme la mort de la culture occidentale.

 

Le commencement des douleurs

Toutes ces choses se déroulent sous nos yeux, mais les nouvelles vraiment mauvaises sont encore devant nous ! Tout montre que nous entrons dans l’époque que la Bible appelle « la fin du monde » (Matthieu 24 :3), le « temps de la fin » (Daniel 12 :4) et le « temps d’angoisse pour Jacob » (Jérémie 30 :7).

Jésus a déclaré que cette époque serait caractérisée par le faux christianisme, la violence ethnique, les guerres et les bruits de guerres, les famines, les épidémies et les catastrophes naturelles (Matthieu 24 :4-7 ; Marc 13 :5-8 ; Luc 21 :8-11). Nous lisons aussi que tout cela ne sera que le commencement des douleurs. Il existe une bonne nouvelle, mais notre monde devra endurer des choses terribles au préalable ! Jésus avait prédit une autre tendance qui commence à apparaître : ceux qui choisiront de suivre Sa voie seront haïs par toutes les nations à la fin des temps. Les véritables chrétiens seront persécutés, voire tués (Matthieu 24 :9) ! Comment cela pourrait-il avoir lieu dans des sociétés civilisées ?

Désormais, la réponse devient évidente. Certes, dans plusieurs pays musulmans, il était déjà dangereux de proclamer le nom du Christ. Mais qu’en est-il des démocraties occidentales ? Le politiquement correct (la censure et la mort de la liberté d’expression) fait qu’il devient rapidement illégal d’exprimer certains points de vue bibliques. Certaines parties de la Bible sont déjà qualifiées « d’incitation à la haine » au Canada ! Au Royaume-Uni et aux États-Unis, des entreprises sont visées ou ont été détruites par la « police de la pensée » moderne.

Où se trouve la bonne nouvelle ? Comment pouvons-nous changer cela ? La réponse est que nous ne pouvons pas changer la situation, mais Dieu peut le faire ! Un nouveau monde se profile à l’horizon ! La même source qui a prophétisé la chute de l’humanité annonce aussi un espoir pour l’avenir. Pour la plupart des gens, cela semble trop beau pour être vrai. Est-ce vraiment le cas ?

 

La bonne nouvelle

Jésus-Christ, le plus grand Prophète de l’Histoire, a prévenu que l’humanité s’autodétruirait s’Il n’intervenait pas directement de façon surnaturelle (Matthieu 24 :21-22).

Le prophète Zacharie a décrit l’apogée de la mauvaise gouvernance humaine : « Voici, le jour de l’Éternel arrive, et tes dépouilles seront partagées au milieu de toi. Je rassemblerai toutes les nations pour qu’elles attaquent Jérusalem […] L’Éternel paraîtra, et il combattra ces nations […] Ses pieds se poseront en ce jour sur la montagne des Oliviers, qui est vis-à-vis de Jérusalem, du côté de l’orient » (Zacharie 14 :1-4). Cette prophétie décrit ensuite la montagne qui se fendra en deux, ouvrant une large vallée de laquelle sortiront des eaux vives. Il s’agit assurément de la description d’un événement à venir, car rien de tel n’a encore eu lieu. Une grande bataille aura lieu entre les nations de ce monde et Jésus-Christ à Son retour. Il vaincra ces armées et « l’Éternel sera roi de toute la terre » (verset 9).

Après avoir maté cette rébellion, Jésus ordonnera aux survivants parmi les nations de faire ce que la plupart des prétendus chrétiens refusent de faire : observer les fêtes et les Jours saints bibliques. « Tous ceux qui resteront de toutes les nations venues contre Jérusalem monteront chaque année
pour adorer le roi, l’Éternel des armées, et pour célébrer la fête des tabernacles » (verset 16). Cette prophétie prévient que la sécheresse s’abattra sur les nations qui n’observeront pas la Fête et qu’elles recevront des plaies si elles continuent à se rebeller contre cet ordre (versets 17-19). À Son retour, le Christ attirera l’attention de l’humanité et Il empêchera l’extinction de l’espèce humaine (Matthieu 24 :21-22).

La Bible décrit à de nombreuses reprises cette époque formidable. Un de ces versets inspira l’artiste Evgueni Voutchetitch à créer le don de l’Union soviétique aux Nations « Unies » en 1959. Cette statue en bronze, qui représente un homme transformant une épée en outil agricole, s’appelle « Transformons les épées en charrues ». L’origine de cette phrase se trouve dans Ésaïe 2 :4.

Benjamin Franklin, un des « pères fondateurs » des États-Unis est connu pour avoir dit avec scepticisme : « Ceux qui transforment leurs épées en charrue finissent généralement par labourer pour ceux qui ont conservé leur épée. » Il est facile de comprendre pourquoi tant de gens partagent le même scepticisme de nos jours. La paix ne peut pas coexister avec notre nature humaine, mais que se passerait-il si celle-ci changeait ? Comme cela peut-il se produire ?

 

Un nouvel espoir

Après avoir vaincu Ses ennemis, le Christ supprimera une puissante influence spirituelle qui a séduit l’humanité dès ses débuts. Peu de gens comprennent la réalité et la puissance de cet être connu sous le nom de Satan le diable. La Bible le qualifie de « dieu de ce siècle » (2 Corinthiens 4 :4), et de « prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion » et qui dirige « le train de ce monde » (Éphésiens 2 :2). Le Jour des Expiations, un des Jours saints bibliques, révèle que nous pouvons seulement être en « unité » avec Dieu et avec les autres lorsque Satan est mis à l’écart (Lévitique 23 :27 ; Apocalypse 20 :1-3). La séduction et la rébellion actuelles prendront rapidement fin après sa mise à l’écart. C’est alors qu’une nouvelle ère de paix, de prospérité, de bonne santé et d’harmonie deviendra réalité.

AUTRES ARTICLES DANS CETTE REVUE

Voir +