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La plupart des gens veulent réussir. Mais que faut-il entendre par réussite ? Pour des millions d’individus, gagner de l’argent est synonyme de réussite. Au printemps 2000, l’indice boursier Dow Jones et l’indice NASDAQ ont atteint des sommets historiques. Les actions des nouvelles technologies augmentaient et les investisseurs se réjouissaient de la montée en flèche de leurs valeurs. Toutefois, du 24 mars 2000 au 17 novembre 2000, le marché s’est écroulé – et la valeur papier des actions a perdu 2,4 milliards de dollars (USA Today, 11 novembre 2000, page 83).
La confiance des consommateurs a plongé. Beaucoup d’espoirs d’enrichissement et de confiance dans ces choses matérielles ont été brisés, confirmant les paroles de sagesse, prononcées il y a des milliers d’années par le roi Salomon, qui nous mettait en garde en disant : « Ne te tourmente pas pour t’enrichir, n’y applique pas ton intelligence. Veux-tu poursuivre du regard ce qui va disparaître ? Car la richesse se fait des ailes, et comme l’aigle, elle prend son vol vers les cieux » (Proverbe 23 :4-5).
En quelques mois, au cours de l’année 2000, 2,4 trillions de dollars se sont fait des ailes et se sont volatilisés. Beaucoup de ceux dont la confiance était placée dans leurs comptes en banque furent terrassés par ce retournement. Où placez-vous votre confiance ? Qu’est-ce que le succès, pour vous ? Dans cet article, nous verrons ce que la Bible déclare au sujet des trois critères courants, qui définissent la réussite – la richesse, la position sociale et le plaisir des sens ; nous verrons comment ceux-ci contrastent avec le véritable succès.
Les magnats de la finance mondiale seraient-ils les individus qui auraient le mieux réussi ? Considérons-nous leur exemple comme un modèle ? Assurément, Dieu S’attend à ce que nous soyons des intendants avisés. Il S’attend à ce que nous fassions un bon usage des ressources naturelles et des talents qu’Il nous a donnés, afin d’aider les autres. Il espère que nous travaillerons pour gagner notre vie et subvenir aux besoins de notre famille. L’apôtre Paul nous donne ce conseil : « Car, lorsque nous étions chez vous, nous vous disions expressément : Si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus. Nous apprenons, cependant, qu’il y en a parmi vous quelques-uns qui vivent dans le désordre, qui ne travaillent pas, mais qui s’occupent de futilités. Nous invitons ces gens-là, et nous les exhortons par le Seigneur Jésus-Christ, à manger leur propre pain, en travaillant paisiblement » (2 Thessaloniciens 3 :10-12).
La possession de grandes richesses apporte-t-elle le vrai bonheur et le véritable succès ? L’ancien roi Salomon était fort riche et sage. Selon lui, rien ne lui manquait en ce monde. D’après 1 Rois 11 :3, il avait 700 femmes et 300 concubines ! Salomon réussit-il à écrire l’épitomé du bonheur ? Il a dit : « J’achetai des serviteurs et des servantes, et j’eus leurs enfants nés dans la maison, je possédai des troupeaux de bœufs et de brebis, plus que tous ceux qui étaient avant moi dans Jérusalem. Je m’amassai de l’argent et de l’or, et les richesses des rois et des provinces. Je me procurai des chanteurs et des chanteuses, et les délices des fils de l’hommes, des femmes en grand nombre. Je devins grand, plus grand que tous ceux qui étaient avant moi dans Jérusalem. Et même ma sagesse demeura avec moi » (Écclésiaste 2 :7-9).
Salomon voulut profiter de tout ce que la vie lui offrait. Mais quelle fut la conclusion de ses expériences ? « Tout ce que mes yeux ont désiré, je ne les en ai point privés ; je n’ai refusé à mon cœur aucune joie ; car mon cœur prenait plaisir à tout mon travail, et c’est la part qui m’en est revenue. Puis, j’ai considéré tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine que j’avais prise à les exécuter ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent, et il n’y a aucun avantage à tirer de ce qu’on fait sous le soleil » (Écclésiaste 2 :10-11).
L’homme le plus sage et le plus riche de son temps concluait que tous ses trésors ne pouvaient pas lui donner un bonheur durable. Il se procura une certaine satisfaction pour un temps, mais tout son plaisir et sa richesse n’étaient que « vanité et poursuite du vent » – futilité ou choses éphémères. Salomon ne parvint pas au véritable succès en accumulant les richesses, parce que ses possessions ne produisaient aucune valeur permanente. Il eut des satisfactions temporaires, mais son plaisir et ses richesses n’étaient en fait que « vanité et poursuite du vent » – futilité ou poursuite de l’insaisissable. Salomon ne connut pas la vraie réussite en accumulant les richesses, car ce qu’il possédait n’avait rien de permanent ! Quand vous mourrez, vous ne pourrez rien emporter avec vous ! Dans sa sagesse, Salomon constatait que les activités humaines, sauf celles venant de Dieu, n’étaient que vanité – futiles, et sans réelle importance.
Il y a plusieurs années, j’avais un ami qui était diplômé d’une des classes d’économie d’une université de l’est des États-Unis. Il avait sa Corvette décapotable, ses femmes et ses soirées… Mais il me confia qu’il lui manquait quelque chose. Sa richesse et les succès d’affaires ne lui procuraient pas le bonheur. Nous devons tous apprendre cette leçon fondamentale. Dans l’Évangile selon Luc, Jésus donna la parabole du riche insensé. Voyez si cette parabole ne décrit pas l’attitude générale de notre 21ème siècle. « Les terres d’un homme riche avaient beaucoup rapporté. Et il raisonnait en lui-même, disant : Que ferai-je ? car je n’ai pas de place pour rentrer ma récolte. Voici, dit-il ce que je ferai ; j’abattrai mes greniers, j’en bâtirai de plus grands, j’y amasserai toute ma récolte et tous mes biens ; et je dirai à mon âme : Mon âme, tu as beaucoup de biens en réserve pour plusieurs années ; repose-toi, mange, bois et réjouis-toi » (Luc 12 :16-19).
Cet homme riche avait placé sa confiance dans les biens matériels, qui lui procuraient une vie de plaisir. Mais notez l’interpellation qui lui fut faite aussitôt après : « Mais Dieu lui dit : Insensé ! cette nuit même ton âme te sera redemandée ; et ce que tu as préparé, pour qui sera-ce ? Il en est ainsi de celui qui amasse des trésors pour lui-même, et qui n’est pas riche pour Dieu » (Luc 12 :20-21). Nous devrons tous nous tenir devant Christ, pour rendre des comptes (2 Corinthiens 5 :10 et Romains 14 :10). Il est grand temps de nous repentir de notre convoitise, de notre débauche et de notre avidité.
Dans son article intitulé « Civilizing Greed, » Dinesh D’Souza écrivit sur « la réapparition de l’avidité dans la nouvelle économie » dans le contexte du capitalisme d’entreprise : « Plus qu’aucun autre groupe social, excepté peut-être le clergé, le chef d’entreprise est journellement guidé par la noble mission d’aider et de servir les autres […] La récompense d’un chef d’entreprise n’est que le bilan des vies qu’il a améliorées chez tous les hommes qui sont sous son commandement » ( « Civilizing Greed, » Dinesh D’Souza, San Diego Union-Tribune, 11 février 2001, page G1. C’est nous qui traduisons).
Les chefs d’entreprises – tous les hommes d’affaires et les autres – peuvent-ils vivre d’après cette norme ? Est-il possible d’observer le deuxième « Grand Commandement », que Jésus cita dans Matthieu 22 :39 : « Aime ton prochain comme toi-même » ?
D’Souza a écrit que Jim Collins, auteur du livre célèbre Built to Last, posait la question indignée : « Qu’est-il arrivé à l’idéal originel de la Silicon Valley consistant à produire ce qu’il y a de mieux pour pérenniser des sociétés et rendre le monde meilleur ? » Collins accuse les chefs d’entreprises actuels d’avoir oublié le plus grand but de leur fonction : « Tout ce que vous demandent les capitalistes cupides, se plaint-il, c’est d’accumuler d’obscènes quantités d’argent » (Ibid.).
Il semblerait que la cupidité se soit bien installée. Toutefois, ne devrions-nous pas plutôt nous demander si elle n’a jamais été dehors ? Vous vous rappelez peut-être le film Wall Street, dans lequel l’acteur Michael Douglas tenait le rôle du financier Gordon Gekko, qui disait que « la convoitise est une bonne chose » – une déclaration tirée de la réalité et citée du financier américain Ivan F. Boesky qui disait aux diplômés de Berkeley que « la convoitise est bonne en soi […] Je pense que la convoitise est une chose saine. Vous pouvez convoiter et vous sentir encore bien dans votre peau ».
La Bible condamne avec force cette philosophie. Elle nous rappelle que « l’amour de l’argent est une racine de tous les maux ; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments » (1 Timothée 6 :10). Vous ne pouvez pas être cupide et vous sentir bien dans votre peau. La convoitise ou la cupidité est une forme d’idolâtrie d’après Colossiens 3 :5. L’adoration des richesses est une idolâtrie, qui est un péché, dont l’amende est la mort. « Car le salaire du péché c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur » (Romains 6 :23).
La confiance dans les profits financiers mène au chagrin, à la tristesse, à l’idolâtrie et à la mort. Comme l’a dit Jésus : « Gardez-vous avec soin de toute avarice ; car la vie d’un homme ne dépend pas de ses biens, serait-il dans l’abondance » (Luc 12 :15). De quoi est faite votre vie ? Êtes-vous tombé dans le piège de la cupidité et de la convoitise des richesses ? Essayez-vous de devenir riche ? Comme beaucoup d’investisseurs en Bourse l’ont appris à leurs dépends, Proverbe 23 :5 sonne juste : « Veux-tu poursuivre du regard ce qui va disparaître ? Car la richesse se fait des ailes, et comme l’aigle, elle prend son vol vers les cieux. »
Dans l’Écclésiaste, le roi Salomon a écrit, sur sa fin, des leçons auxquelles nous devrons prêter attention. Il commença ce livre par ces mots : « Paroles de l’Écclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem. Vanité des vanités, dit l’Écclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité. Quel avantage revient-il à l’homme de toute la peine qu’il se donne sous le soleil ? Une génération s’en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours » (Écclésiaste 1 :1-4).
Le mot « vanité », au singulier ou au pluriel, revient 35 fois dans le livre de l’Écclésiaste. Le thème de la futilité et de ce qui est sans importance revient constamment dans ce livre. Avez-vous déjà eu le sentiment que la vie n’avait pas de sens ou qu’elle était ingrate ? Salomon poursuit : « Toutes choses sont en travail au-delà de ce qu’on peut dire ; l’œil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se lasse pas d’entendre » (Écclésiaste 1 :8).
L’humanité a-t-elle jamais été satisfaite de ce qu’elle possède ? A-t-elle jamais dit : « J’en ai suffisamment » ? La vanité, dans l’Écclésiaste, consiste en ce qui est sans valeur durable. La clé de la vraie réussite consiste d’abord à comprendre ce que représente la vie ! Pourquoi sommes-nous sur terre ? Quelle est notre ultime destinée ? La littérature publiée par le Monde de Demain peut vous aider à trouver la réponse à ces questions vitales
La sagesse du monde nous enseigne à grimper les échelons de la société aux dépens des autres, quelle que soit la façon de s’y prendre. Beaucoup de gens visent les positions les plus élevées de la société. Même la mère de Jacques et de Jean, qui étaient deux disciples de Jésus, alla Lui demander que soient attribuées d’importantes fonctions à ses fils, dans le Royaume : « Ordonne, lui dit-elle, que mes deux fils que voici, soient assis, dans ton royaume, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche. Jésus répondit : vous ne savez ce que vous demandez » (Matthieu 20 :21-22). Il expliqua ensuite que ces places étaient destinées à ceux que Dieu le Père Lui-même avait choisis (verset 23).
Puis, Jésus donna une clé pour accéder à la vraie réussite. « Vous savez que les chefs des nations les tyrannisent, et que les grands les asservissent. Il n’en sera pas de même au milieu de vous. Mais quiconque veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur : et quiconque veut être le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave. C’est ainsi que le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour donner sa vie comme la rançon de beaucoup » (Matthieu 20 :25-28).
Qui est le plus grand ? Celui qui domine sur les autres de par sa position ? Non ! Le plus grand est le véritable serviteur – celui qui se préoccupe vraiment des autres et qui se met à leur service ! Notez que le fils de Dieu, Jésus de Nazareth, prit de petits enfants dans Ses bras. Il S’agenouilla pour laver les pieds de Ses disciples (voir Jean 13). Jésus-Christ sacrifia Sa vie pour nous tous ! « Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous » (Romains 5 :8). Jésus était un exemple de service, de sacrifice et d’amour. « Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie » (Romains 5 :10).
Quelle que soit la position que vous puissiez avoir, elle ne vous conduira jamais à la vraie réussite, à moins de l’utiliser pour servir autrui. Jésus a défini ce qu’était le service : « Le plus grand parmi vous sera votre serviteur » (Matthieu 23 :11). Notez également cet avertissement destiné à ceux qui briguent le siège de chef : « Quiconque s’élèvera sera abaissé, et quiconque s’abaissera sera élevé » (verset 12). On mesure la réussite de quelqu’un par le degré des services qu’il est disposé à fournir aux autres. La fausse réussite découle du principe de prendre pour soi – l’une des mauvaises tendances de la nature humaine !
La supériorité intellectuelle – l’accumulation des connaissances – est une autre fausse impression du succès. Dieu nous demande d’employer notre esprit à apprendre les vraies valeurs et la vraie connaissance. À moins d’accepter de devenir humble, selon la Bible, la connaissance des choses matérielles mène à la vanité intellectuelle – à un sentiment de supériorité allant jusqu’à l’arrogance. Comme Paul l’a écrit dans 1 Corinthiens 8 :1, la connaissance enfle. En général, toute forme d’éducation qui rejette Dieu n’est que vanité. Paul a écrit : « Que nul ne s’abuse lui-même : si quelqu’un parmi vous pense être sage selon ce siècle, qu’il devienne fou, afin de devenir sage. Car la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu. Aussi est-il écrit : Il prend les sages dans leur ruse. Et encore : Le Seigneur connaît les pensées des sages, Il sait qu’elles sont vaines » (1 Corinthiens 3 :18-20). Combien de fois n’avons-nous pas vu de soi-disant « experts » utiliser leur savoir pour pervertir ou rejeter la pure vérité des Écritures ? En vérité, « la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu ». En écrivant aux Grecs de Corinthe, dont l’apôtre Paul avait discerné qu’ils cherchaient la sagesse, il écrivit : « Les Juifs demandent des miracles et les Grecs cherchent la sagesse : nous, nous prêchons Christ crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les païens, mais puissance de Dieu et sagesse de Dieu pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs. Car la folie de Dieu est plus sage que les hommes, et la faiblesse de Dieu est plus forte que les hommes » (1 Corinthiens 1 :22-25).
La véritable connaissance – la connaissance durable qui est contraire à la vanité – n’est accessible qu’à ceux qui s’humilient pour vivre par la sagesse divine, au lieu de la sagesse du monde. Jésus fit cette prière : « Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants » (Matthieu 11 :25). Les enfants en Christ posséderont la sagesse et la connaissance supérieures. « La crainte de l’Éternel est le commencement de la sagesse ; tous ceux qui l’observent ont une raison saine » (Psaume 111 :10).
Certains se lancent à la recherche du plaisir comme s’il s’agissait du but ultime de la vie. Le roi Salomon, qui « possédait tout », a écrit : « J’ai dit en mon cœur : allons ! Je t’éprouverai par la joie, et tu goûteras le bonheur. Et voici, c’est encore là une vanité » (Écclésiaste2 :1). De nos jours, la société cherche le plaisir à travers la liberté sexuelle, l’abus de drogues et d’alcool et par toutes les formes possibles de stimulation. L’apôtre Jean avertit : « N’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est point en lui ; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. Et le monde passe, et sa convoitise aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement » (1 Jean 2 :15-17). La vraie réussite demeure – elle n’a pas de fin – tandis que la convoitise et l’orgueil auront une fin, et ceux qui s’y seront adonnés en paieront le prix.
Les maladies sexuellement transmissibles sont en augmentation aux États-Unis et ailleurs. Le livre des Proverbes contient l’avertissement d’un père à son fils qui encourage à fuir les prostituées : « Car les lèvres de l’étrangère distillent le miel, et son palais est plus doux que l’huile ; mais à la fin elle est amère comme l’absinthe, aiguë comme un glaive à deux tranchants. Ses pieds descendent vers la mort, ses pas atteignent le séjour des morts […] Eloigne-toi du chemin qui conduit chez elle, et ne t’approche pas de la porte de sa maison […] De peur que tu gémisses près de ta fin, quand ta chair et ton corps se consumeront » (Proverbe 5 :3-11).
Des millions, voire des milliards de gens, se laissent séduire par les tentations sexuelles. Ils sèment pour la chair et, comme Galates 6 :8 nous met en garde, ils moissonnent la corruption. Dieu a encadré la sexualité dans le mariage. Il veut que nous jouissions pleinement de la vie selon Ses lois et Ses préceptes. Jésus-Christ est venu afin que nous ayons la vie, et que nous l’ayons en abondance (Jean 10 :10). La voie divine est attrayante ; elle nous permet également d’éviter des lendemains tristes et douloureux. « C’est la bénédiction de l’Éternel qui enrichit, et il ne la fait suivre d’aucun chagrin » (Proverbe 10 :22).
Après avoir profité de tout, le roi Salomon en vint à cette conclusion finale : « Du reste, mon fils, tire instruction de ces choses ; on ne finirait pas, si l’on voulait faire un grand nombre de livres, et beaucoup d’étude est une fatigue pour le corps. Ecoutons la fin du discours : Crains Dieu et observe ses commandements. C’est là ce que doit faire tout homme. Car Dieu amènera toute œuvre en jugement, au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal » (Écclésiaste 12 :14-16).
Certaines religions enseignent qu’il est impossible d’observer les commandements divins. Elles trouvent des arguments surprenants pour excuser leur manque de soumission à Dieu et au Christ. Cependant, l’apôtre Paul déclare : « Je puis tout par celui qui me fortifie » (Philippiens 4 :13). La Bible révèle les lois invisibles et immuables qui régissent la vie. Lorsque nous sommes en harmonie avec ces principes et ces instructions, nous recevons des bénédictions. Du commencement à la fin de la Bible, vous constaterez que l’obéissance au mode de vie divin amène des bénédictions, et que la désobéissance à Ses voies conduit aux malédictions. Les critères du monde pour le succès – les biens matériels, la puissance, la position sociale et le plaisir – ne produisent que chagrin, souffrance, échec et la mort. Ceux pour qui la réussite se mesure d’après la satisfaction de soi, la glorification de soi et le centrage sur soi-même se nuisent à eux-mêmes et aux autres.
La véritable réussite ne vient que par le Sauveur du monde, qui nous a enseigné à vivre de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. Lorsque nous réalisons cela par la force du Saint-Esprit – qui est un don divin accordé à ceux qui se repentent et qui sont baptisés – nous pouvons vivre dans la joie et connaître le véritable succès, tout en aidant les autres à s’approcher du Royaume et de la famille de Dieu. Jésus a dit à Ses disciples : « Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement » (Matthieu 10 :8). Nous nous efforçons de faire cela par nos articles, par nos programmes télévisés et radiophoniques, par notre Cours de Bible, nos brochures et nos enregistrements qui sont destinés à éduquer tous ceux qui prêtent l’oreille à la vérité biblique, afin de réussir dans cette vie, hériter le Royaume, et connaître la vraie réussite pour l’éternité.