Alors que la situation économique du pays est de plus en plus précaire, la population refuse toujours l’aide et les mesures d’austérité proposées par la BCE.

L’Irlande est dans le « top 3 » des plus hauts revenus par habitant en Europe. Son taux d’endettement est inférieur à celui de la France, de l’Allemagne ou de la Grande-Bretagne, mais le Tigre Celtique doit affronter de sérieux problèmes économiques. Le secteur bancaire irlandais ne peut plus être sauvé par l’état.

La presse allemande voit maintenant les États-Unis comme « un pays confus et craintif » (Der Spiegel).

Le magazine allemand, Der Spiegel, titrait récemment : « Une superpuissance sur le déclin : Est-ce la fin du rêve américain ? ». Les photos illustrant l’article montraient des usines américaines abandonnées, des files de chômeurs cherchant un emploi, des maisons saisies et des projets immobiliers interrompus, comme étant le sombre reflet de la vie aux États-Unis.

Le prix des denrées alimentaires continue d’augmenter à travers le monde et un milliard d’être humains souffrent de la faim dans le monde.

En septembre, les Nations Unies ont organisé une réunion spéciale concernant la hausse mondiale des prix de l’alimentation. Rien qu’aux mois de juillet et août, le prix des denrées alimentaires, à travers le monde, a augmenté de 5%. En Russie, l’impact de la sécheresse sur les récoltes de blé a conduit le pays à prolonger son interdiction des exportations étrangères.

La Grande-Bretagne et la France sont des nations sœurs. La France va-t-elle se rapprocher de la Grande-Bretagne ou s’impliquer davantage au sein de l’Europe ?

La semaine dernière, la France et la Grande-Bretagne ont conclu un pacte militaire historique. « “Aujourd’hui, nous ouvrons un nouveau chapitre dans la longue histoire de la coopération militaire et sécuritaire entre la Grande-Bretagne et la France”, a déclaré M. Cameron. M. Sarkozy a déclaré que ces accords montraient “un niveau de confiance entre nos deux nations jamais égalé dans l’Histoire. »

Des déclarations qualifiées de « pire forme d’antijuadïsme, frôlant même avec l’antisémitisme » par la Ligue Anti-diffamation.

Il y a deux semaines, lors du Synode des évêques, le Vatican a déclaré que les prétentions des Israéliens sur la Terre sainte et sur Jérusalem, comme une terre donnée par Dieu, n’avaient aucune légitimité biblique. Monseigneur Bustros a déclaré : « En tant que chrétiens, nous ne pouvons pas parler de la “Terre promise” comme d’un droit exclusif, un privilège pour le peuple juif […] Il n’y a plus de peuple élu ».