« Les Allemands n’en sont peut-être pas conscients, mais ils ont désespérément besoin de la direction morale d’une famille royale réinstituée [a déclaré] l’arrière-arrière-petit-fils du dernier Kaiser, le prince Philip Kiril de Prusse. » Le prince Philip, qui est un vicaire protestant, « croit qu’une famille royale avec un droit divin conféré par Dieu pourrait apporter ce qu’il manque à l’Allemagne ».

C’est ainsi qu’un infirmer australien a plaidé coupable pour la pire tuerie de l’histoire de la Nouvelle-Galles du Sud. En 2011, il avait mis le feu à la maison de retraite où il travaillait – apparemment pour masquer son vol de médicaments. Le feu dévorant a rapidement tué onze résidents et en a « blessé grièvement » huit autres (9News, 27 mai 2013).

La mystérieuse « marque de la bête » a fasciné des générations d’amateurs et d’experts en religion. Beaucoup ont essayé de résoudre ce mystère à leur façon, en déployant une panoplie d’idées pittoresques mais erronées. Depuis la monnaie jusqu’aux codes à barres, les spéculations ont associé tout et n’importe quoi avec la marque de la bête. Mais la Bible donne la définition de ses propres symboles et ce qu’elle révèle concernant la marque de la bête devrait attirer notre attention, surtout si l’on tient compte de la situation en Europe.

Mahomet est mort en 632 apr. J.-C. et ses disciples s’opposèrent au calife suivant (dirigeant de l’islam). Ceux qui croyaient à la dynastie de Mahomet choisirent son cousin et beau-fils, Ali, qui finit par être assassiné. Se sentant menacés, les partisans d’Ali se séparèrent de la majorité (sunnite) et s’appelèrent eux-mêmes le parti d’Ali ou Shiat Ali – d’où vient le nom chiite (Time, 16 septembre 2009).

Une expression anglophone dit que « les oiseaux les plus matinaux ramassent les vers et la deuxième souris mange le fromage ». Au-delà de leur aspect amusant, ces paroles ont un fond de vérité pour chacun d’entre nous