| Le Monde de Demain

Anarchie en Haïti



Au cours du premier semestre 2023, à cause des gangs en Haïti, « au moins 2.439 personnes ont été tuées et 902 autres blessées. De plus, au moins 951 personnes ont été kidnappées », selon les Nations Unies (dw.com/fr, 18 août 2023). Depuis l’assassinat en 2021 du dernier Président d’Haïti, l’anarchie s’est installée, 150 gangs rivaux s’affrontant pour contrôler la capitale du pays.

La dîme - la clé biblique de la sérénité financière

Tableau blanc : La dîme - la clé biblique de la sérénité financière

Vous arrive-t-il de rester éveillé la nuit, préoccupé par des questions financières ? Êtes-vous, comme beaucoup, fatigué de vous sentir accablé sous le poids des problèmes économiques ? Que devrions-nous faire en ces temps d’incertitude économique ? Eh bien, croyez-le ou non, la Bible apporte des clés financières éprouvées qui génèrent bénédictions et tranquillité d’esprit.

Vous arrive-t-il de rester éveillé la nuit, préoccupé par des questions financières ? Êtes-vous, comme beaucoup, fatigué de vous sentir accablé sous le poids des problèmes économiques ? Que devrions-nous faire en ces temps d’incertitude économique ?

Selon l’INSEE, au début de l’année 2018, 44,3% des ménages vivant en France étaient endettés. De nos jours, bon nombre de gens rencontrent des difficultés financières. Beaucoup se sentent impuissants et désespérés à cause de problèmes pécuniaires. Eh bien, croyez-le ou non, la Bible apporte des clés financières éprouvées qui génèrent bénédictions et tranquillité d’esprit. L’une d’entre elles concerne la loi de la dîme.

Dans cette vidéo, nous allons aborder ce que la Bible dit sur la dîme en quatre points simples. Analysons ces quatre points sur la loi de la dîme selon Dieu, car elle apportera à votre vie des bénédictions que vous ne pouvez pas vous permettre de manquer. Ne vous contentez pas de nous croire, mais vérifiez les versets que nous citons et prouvez-les par vous-même dans les pages de la Bible.

N°1 : La dîme représente un dixième

Le mot « dîme » est simplement un terme ancien signifiant « dixième ». La dîme désigne donc la pratique consistant à verser un dixième de ses revenus à Dieu, ou à l’utiliser à des fins prévues par Dieu. La pratique consistant à verser un dixième de ses revenus est mentionnée pour la première fois dans le livre de la Genèse. Lorsque Abraham revint après sa victoire sur les rois, il donna la dîme du butin à Melchisédek, qui était « sacrificateur du Dieu Très-Haut » (Genèse 14 :18-20). Abraham, qui est le père des fidèles (Romains 4 :16 ; Galates 3 :29), donne un exemple puissant à cet égard.

Une autre mention est faite lorsque Jacob fuit son frère Ésaü. Au cours de son voyage, il s’arrêta pour la nuit et Dieu lui apparut en songe. Après s’avoir réveillé, Jacob fit un vœu, en disant : « Si Dieu est avec moi et me garde pendant ce voyage que je fais […] l’Éternel sera mon Dieu […] et je te donnerai la dîme de tout ce que tu me donneras » (Genèse 28 :20-22). Il est important de noter ici que la loi de la dîme était observée par les fidèles serviteurs de Dieu bien avant qu’elle ne fût rappelée à la nation d’Israël sous l’ancienne alliance.

Plusieurs siècles plus tard, lorsque Dieu fit sortir la nation d’Israël d’Égypte, Il lui rappela de verser la dîme (Lévitique 27 :30, 32 ; Deutéronome 14 :22). Les récits bibliques montrent aussi que la loi de la dîme était pratiquée à l’époque de Jésus (Matthieu 23 :23) et qu’elle fut observée par l’Église du Nouveau Testament (1 Corinthiens 9 :13-14). En résumé, la loi biblique de la dîme consiste à verser un dixième de nos revenus à Dieu.

N°2 : La dîme appartient à Dieu

La Bible explique que le premier dixième de nos revenus appartient à Dieu, et à Dieu seul. Dieu dit aux Israélites :

« Toute dîme de la terre, soit des récoltes de la terre, soit du fruit des arbres, appartient à l’Éternel ; c’est une chose consacrée à l’Éternel […] Toute dîme de gros et de menu bétail, de tout ce qui passe sous la houlette, sera une dîme consacrée à l’Éternel » (Lévitique 27 :30, 32).

Le peuple devait prélever un dixième de ses revenus et le consacrer à Dieu. Ce passage cite succinctement les récoltes, les produits et le bétail. Mais lorsque Abraham donna la dîme, ce fut sur un butin, sur les biens et les possessions matérielles qui furent saisis. Jacob dit que de tout ce que Dieu lui donnerait, il verserait la dîme. La dîme par extension doit être prélevée sur tout profit. La loi de la dîme n’était pas réservée à la seule activité agraire. Dieu attend une dîme de tout type de profit agraire ou monétaire qu’Il nous accorde en tant que Ses enfants. Remarquez ce que Jésus dit lorsqu’Il confronta les pharisiens…

Dans Matthieu 23, Il les réprimanda pour leur diligence prétentieuse et leur attitude moralisatrice en disant :

« Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin, et que vous laissez ce qui est plus important dans la loi, la justice, la miséricorde et la fidélité : c’est là ce qu’il fallait pratiquer, sans négliger les autres choses » (Matthieu 23 :23).

Jésus dit que les qualités spirituelles telles que la miséricorde et la foi devraient être placées avant le paiement scrupuleux de la dîme sur chaque petite plante qui pourrait être récoltée dans votre jardin – surtout lorsque cette rigueur conduit à la propre droiture. Mais Il dit aussi de ne pas « négliger les autres choses » – de ne pas manquer de verser la totalité de la dîme comme Dieu l’ordonne !

Il ressort clairement de la Bible que les fidèles serviteurs de Dieu versent la dîme. La loi de la dîme n’est pas obsolète, et elle n’était pas réservée qu’aux Israélites sous l’ancienne alliance. Jésus Lui-même déclara que la dîme ne devait pas être négligée. Par conséquent, un dixième de nos revenus appartient à Dieu et doit Lui être remis. Maintenant, vous vous demandez peut-être, comment verser la dîme à Dieu ? Cela nous amène au troisième point.

N°3 : La dîme est remise aux représentants de Dieu, qui effectuent Son Œuvre

Abraham donna un dixième à Melchisédek, le sacrificateur du Dieu Très-Haut. C’était le représentant de Dieu ici-bas à cette époque. Plus tard, alors que Dieu travaillait avec la nation d’Israël, Il désigna Aaron et ses descendants comme sacrificateurs. Il désigna également les Lévites pour travailler dans le tabernacle. Par conséquent, pendant cette période, le peuple leur apportait leurs dîmes et offrandes.

Dieu dit dans Nombres 18 :21 : « Je donne comme possession aux fils de Lévi toute dîme en Israël, pour le service qu’ils font, le service de la tente d’assignation. » Des siècles plus tard, pendant les réformes d’Ézéchias, le peuple se vit rappeler sa responsabilité de soutenir l’Œuvre de Dieu et Ses représentants.

« [Ézéchias] dit au peuple, aux habitants de Jérusalem, de donner la portion des sacrificateurs et des Lévites, afin qu’ils observent fidèlement la loi de l’Éternel. Lorsque la chose fut répandue, les enfants d’Israël […] apportèrent aussi en abondance la dîme de tout » (2 Chroniques 31 :4-5).

Ainsi, puisque le ministère de Dieu à cette époque était un ministère physique – et que les Lévites accomplissaient le ministère du tabernacle comme leur travail, la dîme de Dieu leur revenait en tant que Ses représentants et serviteurs. Cependant, dans le Nouveau Testament, Dieu inspira l’apôtre Paul pour montrer que la loi de la dîme est maintenant changée de sorte que la dîme doit à nouveau être payée au sacerdoce spirituel de Dieu – le sacerdoce de Melchisédek à qui Abraham versa la dîme. Ce récit se trouve dans le septième chapitre de l’épître aux Hébreux.

Paul écrit également dans 1 Corinthiens 9 :13-14 :

« Ne savez-vous pas que ceux qui remplissent les fonctions sacrées sont nourris par le temple, que ceux qui servent à l’autel ont part à l’autel ? De même aussi, le Seigneur a ordonné à ceux qui annoncent l’Évangile de vivre de l’Évangile. »

Ici, Paul explique qu’il est approprié pour le ministère du Christ d’être à plein temps et de recevoir une subsistance du travail de la prédication de l’Évangile. Il compare cela au sacerdoce lévitique qui vivait des dîmes du temple. Jésus dit à Ses disciples : « Je bâtirai mon Église, et […] les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle » (Matthieu 16 :18).

Par conséquent, quelque part aujourd’hui ici-bas, les vrais ministres de Dieu poursuivent Son œuvre de prédication de l’Évangile et de paître Ses brebis. Chercher où l’œuvre de Dieu est accomplie est une chose que nous devons tous faire et prouver par nous-mêmes.

N°4 : Dieu bénit ceux qui versent la dîme

Il est important de se rappeler que tout appartient à Dieu. Dieu dit : « car toute la terre est à moi » (Exode 19 :5). Lorsqu’Il réprimanda Job, Il demanda : « De qui suis-je le débiteur ? Je le paierai. Sous le ciel tout m’appartient » (Job 41 :2). Moïse rappela aux Israélites : « Voici, à l’Éternel, ton Dieu, appartiennent les cieux et les cieux des cieux, la terre et tout ce qu’elle renferme » (Deutéronome 10 :14). David écrivit : « À l’Éternel la terre et ce qu’elle renferme, le monde et ceux qui l’habitent ! » (Psaume 24 :1).

L’homme n’est qu’un résident temporaire sur la Terre et il ne possède rien de façon permanente. Tout ce qu’une personne acquiert dans cette vie, c’est uniquement parce que Dieu le lui a octroyé en premier lieu. Dieu dit par l’intermédiaire de Moïse au sujet des richesses : « car c’est lui qui te donnera de la force pour les acquérir, afin de confirmer, comme il le fait aujourd’hui, son alliance » (Deutéronome 8 :18). Par conséquent, Il est de Son droit de prélever une partie de tout ce que nous gagnons. Mais lorsque nous versons un dixième à Dieu, Il nous bénit.

Proverbes 3 :9-10 dit : « Honore l’Éternel avec tes biens, et avec les prémices de tout ton revenu : alors tes greniers seront remplis d’abondance, et tes cuves regorgeront de moût. » Jésus, se référant aux nécessités physiques de la vie, dit : « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu », ce qui inclut le respect de la loi de la dîme, alors « toutes ces choses vous seront données par-dessus » (Matthieu 6 :33).

Remarquez ce que Dieu dit à la nation d’Israël lorsqu’elle négligeait de verser la dîme : Tout d’abord, Il les réprimandait pour leur désobéissance en disant :

« Un homme trompe-t-il Dieu ? Car vous me trompez, et vous dites : En quoi t’avons-nous trompé ? Dans les dîmes et les offrandes. Vous êtes frappés par la malédiction, et vous me trompez, la nation tout entière ! » (Malachie 3 :8-9).

Dieu est très mécontent lorsqu’une personne ou une nation néglige de payer la dîme. Ne pas remettre à Dieu ce qui Lui appartient, c’est en fait Le spolier. Nous prenons et gardons quelque chose qui ne nous appartient pas.

Mais Dieu lance alors un défi au peuple et lui dit :

« Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison ; mettez-moi de la sorte à l’épreuve, dit l’Éternel des armées. Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux. Si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance » (Malachie 3 :10).

Dieu nous lance un défi de Le mettre à l’épreuve sur ce point. Remettez à Dieu ce qui Lui appartient, et regardez-Le vous apporter des bénédictions comme vous n’en avez jamais reçues auparavant. Il poursuit :

« Pour vous je menacerai celui qui dévore, et il ne vous détruira pas les fruits de la terre, et la vigne ne sera pas stérile dans vos campagnes […] Toutes les nations vous diront heureux, car vous serez un pays de délices, dit l’Éternel des armées » (Malachie 3 :11-12).

Ces versets sont une promesse solennelle de notre Créateur de bénir ceux qui versent fidèlement la dîme – ceux qui sont prêts à faire de Dieu leur partenaire financier !

Toutefois, cela ne signifie pas que ceux qui versent la dîme ne connaîtront jamais d’épreuves économiques. Cela ne signifie pas non plus que Dieu rendra riches tous ceux qui versent la dîme ! Dieu veut absolument que Son peuple soit prospère et en bonne santé (cf. 3 Jean 1 :2). Mais, Il sait aussi qu’il n’est pas toujours bon d’être riche (1 Timothée 6 :9-10, 17-19) ! La richesse peut être une pierre d’achoppement pour le salut. Sous la nouvelle alliance, alors que Dieu appelle des gens à la conversion spirituelle, les bénédictions divines seront principalement du genre spirituel – plus de force spirituelle, de sagesse et d’amour de Dieu – et la vie éternelle dans le Royaume de Dieu (2 Pierre 1 :5-11).

Si nous versons fidèlement la dîme, Dieu nous promet des bénédictions. Il ne nous bénira pas toujours immédiatement. Il se peut que nous devions Lui obéir et faire preuve de foi pendant un certain temps. Mais si nous Le servons, si nous Lui obéissons et si nous Lui faisons confiance, Dieu respectera Sa part du pacte. La Bible montre donc que Dieu bénira ceux qui versent fidèlement la dîme. Il s’agit d’une loi vivante. Nous pouvons croire la Bible ! La voie de Dieu est réelle. Elle fonctionne ! Elle est conçue pour nous ! Qu’en est-il de vous ? Versez-vous la dîme ? Si vous respectez cette loi biblique et que vous la voyez fonctionner dans votre propre vie, faites-le-nous savoir dans les commentaires ci-dessous.

De nos jours, de nombreuses personnes sont stressées et se débattent sous le poids des problèmes économiques. Dieu nous offre une solution à ces problèmes.

Le Grand Dieu qui nous a créés – qui nous a octroyé la vie, nos talents, notre esprit, la force avec laquelle nous travaillons et la terre même et les matériaux que nous utilisons dans notre travail – exige que nous Lui versions le premier dixième de notre revenu. Dieu ne considère pas la dîme comme un « cadeau » de notre part. La dîme que nous versons à notre Créateur est un montant très nominal – un dixième – que Dieu exige en tant que notre Créateur, notre Pourvoyeur, notre Propriétaire, et notre Protecteur ! Un dixième de tout type de croissance récoltée appartient à Dieu. Lorsque nous mettons en pratique la loi de la dîme, nous avons une plus grande tranquillité d’esprit sur le plan financier et recevons des bénédictions que nous ne pouvons pas nous permettre de manquer !

Si vous aimeriez en apprendre davantage sur le sacerdoce spirituel de Melchisédek et comment identifier les serviteurs de Dieu qui accomplissent Son Œuvre, commandez gratuitement notre brochure Le peuple de Dieu et la dîme.

Qu’est-ce que la grâce divine?

Tableau blanc : Qu’est-ce que la grâce divine?

Qu’est-ce que la grâce divine ? Dans cette vidéo, nous allons donc expliquer la grâce divine en cinq points simples. Étudiez ces cinq points, car c’est vraiment l’un des traits les plus merveilleux de Dieu et l’un des plus beaux aspects de Son plan de salut.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de ce tableau blanc du Monde de Demain.]

Qu’est-ce que la grâce divine ? Dans le tout dernier verset de la Bible, l’apôtre Jean écrivit : « Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec tous ! » (Apocalypse 22 :21). L’ultime pensée de Dieu dans la Bible était axée sur la grâce divine accordée à Son peuple.

Ce verset, ainsi que beaucoup d’autres, montre l’importance de ce sujet. Dans cette vidéo, nous allons donc expliquer la grâce divine en cinq points simples. Étudiez ces cinq points, car c’est vraiment l’un des traits les plus merveilleux de Dieu et l’un des plus beaux aspects de Son plan de salut. Et, s’il vous plaît, ne vous contentez pas de nous croire, mais vérifiez ces versets en les prouvant par vous-même dans les pages de la Bible. Commençons tout d’abord par une définition simple :

N°1 : La grâce est le pardon gratuit et une faveur imméritée que Dieu accorde à ceux qui Le cherchent

Dieu, dans Son amour, Sa miséricorde et Sa bonté, est prêt à nous pardonner nos péchés, aussi terribles soient-ils, lorsque nous nous repentons et nous nous tournons vers Lui.

Le péché est la transgression de la loi divine (1 Jean 3 :4), et la Bible montre du début à la fin à quel point le péché est horrible, pervers, mauvais et néfaste. La Bible montre également que nous avons tous péché (Romains 3 :9-12, 23) et que le salaire du péché est la mort éternelle (Romains 6 :23). Par conséquent, nous méritons tous de mourir à cause de nos péchés, mais par la grâce divine, nous pouvons être pardonnés, purifiés et sauvés de la mort éternelle. C’est précisément pour cette raison que Dieu offrit Son Fils en sacrifice, pour sauver les êtres humains de leurs péchés (Matthieu 1 :21 ; Jean 3 :16).

Ainsi, la grâce divine est Sa volonté de payer la peine que nous méritons par le sacrifice de Son Fils afin que nous puissions être pardonnés et libérés de la mort éternelle. Cette grâce divine est un don gratuit. Nous ne la méritons pas et nous ne pouvons pas la gagner, elle ne peut être acceptée que par la foi. Dieu est prêt à offrir ce précieux don à ceux qui se repentent et Le cherchent vraiment. « Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie » (Éphésiens 2 :8-9).

N°2 : La grâce réconcilie les croyants avec Dieu

Le péché provoque une séparation entre l’homme et Dieu. Il rompt la relation. Lorsque nous péchons, nous ne sommes plus en relation avec Lui.

Comme le dit Ésaïe 59 :2 : « Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu ; ce sont vos péchés qui vous cachent sa face et l’empêchent de vous écouter. » Cependant, par la grâce divine, la relation peut être rétablie. Par Sa grâce, nous pouvons être réconciliés avec Lui. C’est ce qu’on appelle la justification. La grâce divine est donc un don merveilleux, car sans elle, nous ne pourrions jamais rétablir notre relation avec Dieu à cause du péché.

L’apôtre Paul explique que les chrétiens sont « gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ » (Romains 3 :24). « Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ » (Romains 5 :1-2). Tite 3 :5-7 ajoute : « Il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde […] afin que, justifiés par sa grâce, nous devenions héritiers dans l’espérance de la vie éternelle. » La grâce divine est un don précieux qui rétablit la paix et une relation juste entre Dieu et les hommes. Elle nous remet en conformité avec Lui.

N°3 : La grâce est rendue possible par le sacrifice de Jésus-Christ

L’épître aux Hébreux 9 :28 dit « de même Christ, qui s’est offert une seule fois pour porter les péchés de beaucoup ». Romains 3 :23-25 dit :

« Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. C’est lui que Dieu a destiné à être, par son sang pour ceux qui croiraient, victime propitiatoire. »

Comme nous l’avons mentionné dans le premier point, Dieu donna Son Fils en sacrifice pour payer la pénalité que chaque être humain mérite après avoir péché. Ce n’est que par le sang versé du Christ que nos péchés sont expiés.

Ainsi, lorsqu’une personne se repent et accepte la grâce divine par la foi en la vie et le sacrifice de Jésus-Christ, et qu’elle est baptisée, elle est alors purifiée de tous ses péchés passés. Comme l’explique 1 Jean 1 :7 : « Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. »

Ce processus de repentance et d’acceptation de la grâce divine par la foi dans le sacrifice du Christ est le seul moyen d’être justifié et réconcilié avec Dieu. C’est donc l’une des étapes les plus importantes du salut.

C’est pourquoi l’apôtre Jean écrivit que Dieu le Père envoya Son Fils pour être le « Sauveur du monde » (1 Jean 4 :14).

N°4 : La grâce est un trait de caractère fondamental de Dieu le Père et de Jésus-Christ

1 Pierre 5 :10 décrit Dieu comme « le Dieu de toute grâce ». En décrivant le membre de la Famille divine qui est devenu Jésus-Christ, Jean 1 :14 dit : « la Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. » 1 Timothée 1 :14 déclare : « La grâce de notre Seigneur a surabondé. »

Le trône même de Dieu est magnifiquement décrit comme le « trône de la grâce ». « Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins » (Hébreux 4 :16).

Ces versets montrent que la grâce est un aspect clé du caractère parfait de Dieu le Père et de Jésus-Christ. Elle est inhérente à leur nature et à leur identité. Par conséquent, nous devons comprendre la grâce pour comprendre pleinement qui est Dieu et comment entretenir une bonne relation avec Lui.

Alors que nous avons décrit quelques-uns des merveilleux aspects de la grâce de Dieu, considérons aussi quelques avertissements très sérieux. Bien que la grâce soit un don gratuit, il y a des exigences que Dieu requiert d’une personne lorsqu’elle accepte Sa grâce.

N°5 : Une mauvaise compréhension de la grâce divine peut conduire à une attitude incorrecte et à des conséquences mortelles

L’avertissement le plus évident vint de l’apôtre Paul dans le livre des Romains. Dans cette épître, il consacra beaucoup de temps à expliquer la grâce divine, et il avertit son auditoire à plusieurs reprises de ne pas mal comprendre son message. Il écrivit :

« Que dirons-nous donc ? Allons-nous persister dans le péché afin que la grâce se multiplie ? Certainement pas ! Nous qui sommes morts pour le péché, comment pourrions-nous encore vivre dans le péché ? » (Romains 6 :1-2, Segond 21).

Plus tard, il demanda :

« Quoi donc ! Pécherions-nous, parce que nous sommes, non sous la loi, mais sous la grâce ? Loin de là ! Ne savez-vous pas qu’en vous livrant à quelqu’un comme esclaves pour lui obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché qui conduit à la mort, soit de l’obéissance qui conduit à la justice ? » (Romains 6 :15-16).

Lisons à nouveau le verset 16 dans la version de la Bible en français courant, qui le présente dans un langage plus simple :

« Vous le savez bien : si vous vous mettez au service de quelqu’un pour lui obéir, vous devenez les esclaves du maître auquel vous obéissez ; il s’agit soit du péché qui conduit à la mort, soit de l’obéissance à Dieu qui conduit à une vie juste » (Romains 6 :16, BFC).

Paul plaida à plusieurs reprises pour que son auditoire ne pense pas que la puissance et la magnificence de la grâce de Dieu signifient que la loi de Dieu n’est plus en vigueur ou que le péché (c’est-à-dire la transgression de la loi de Dieu) peut être pris à la légère. Paul mit également en garde avec zèle dans 1 Corinthiens 6 :9-10 que ceux qui refusent de se repentir et qui continuent à pratiquer le péché n’hériteront jamais le Royaume de Dieu.

Jude fit un avertissement similaire : « Car des hommes dont la condamnation est depuis longtemps annoncée dans l’Écriture se sont infiltrés parmi nous. Ils n’ont aucun respect pour Dieu et travestissent en débauche la grâce de notre Dieu » (Jude 1 :4, Semeur).

Certains tombèrent dans le piège contre lequel Paul les avait mis en garde. Ils pervertissaient la grâce divine en pensant qu’il s’agissait d’un permis de pécher ou d’une liberté de ne pas obéir à Dieu. Cette réaction est exactement le contraire de ce que Dieu attend de Ses disciples.

Malheureusement, malgré les avertissements de Paul, de Jude et d’autres serviteurs de Dieu, la grâce divine fut largement incomprise au premier siècle et l’est encore aujourd’hui. Cela a conduit de nombreuses personnes à réagir de manière inappropriée à la grâce divine. Ce manque de discernement a empêché beaucoup de gens à comprendre la nécessité d’obéir aux lois de Dieu avec zèle, et d’éviter de retomber dans le péché, à cause duquel le Fils de Dieu s’est livré Lui-même pour nous sauver de la mort éternelle !

Oui, nous devons nous repentir et nous efforcer d’obéir à la loi de Dieu en laissant Jésus-Christ vivre en nous par Son Saint-Esprit ! La repentance et l’obéissance nous aident à ne plus pratiquer le péché à l’avenir.

Il est également important de se rappeler que le fait d’obéir à Dieu ne supprime absolument pas la culpabilité et ne nous purifie pas des péchés passés. L’obéissance ne paie pas la peine de mort encourue par nos péchés passés. Seul le sang versé du Christ, le Fils de Dieu, peut payer à notre place l’amende de nos péchés.

La grâce de Dieu nous purifie donc des péchés passés (et nous réconcilie avec Dieu), mais cela ne signifie pas que la loi est abolie ou que nous sommes libres de pécher dans le présent ou à l’avenir. Au contraire, accepter la grâce de Dieu et chercher à Lui obéir dans le présent et à l’avenir sont les deux faces d’une même médaille qui doivent toujours aller de pair.

 Si vous souhaitez en savoir plus sur le pardon divin et l’importance qu’il a dans votre vie, consultez notre Tableau blanc « Comment être pardonné(e) ? » Pour en apprendre davantage sur la repentance et le baptême bibliques, commandez gratuitement notre brochure Devriez-vous être baptisé ?

Comment le Nouveau Testament fut-il établi?

Tableau blanc : Comment le Nouveau Testament fut-il établi?

Comment le Nouveau Testament fut-il établi ? Quand le canon fut-il finalisé ? Dans cette vidéo, nous allons donc relier trois passages pour découvrir comment le Nouveau Testament fut établi et finalisé dès le premier siècle. C’est en comprenant comment le canon du Nouveau Testament vit le jour que nous pouvons être sûrs que les bons livres furent choisis et que les imposteurs furent écartés.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de ce tableau blanc du Monde de Demain.]

Comment le Nouveau Testament fut-il établi ? Quand le canon fut-il finalisé ? Beaucoup suggèrent que ce n’est qu’au 4ème siècle apr. J.-C. que certains conciles et comités décidèrent finalement quels livres seraient acceptés et lesquels seraient rejetés. Mais est-ce exact ? La Bible montre en fait que le canon du Nouveau Testament fut déterminé bien avant par les apôtres eux-mêmes.

Dans cette vidéo, nous allons donc relier trois passages pour découvrir comment le Nouveau Testament fut établi et finalisé dès le premier siècle. Veillez à regarder jusqu’à la fin, car c’est en comprenant comment le canon du Nouveau Testament vit le jour que nous pouvons être sûrs que les bons livres furent choisis et que les imposteurs furent écartés. Ne vous contentez pas de nous croire, consultez ces versets et prouvez-les par vous-même dans les pages de la Bible.

Premier passage – 2 Pierre 3 :14-16

« C’est pourquoi, bien-aimés, en attendant ces choses, efforcez-vous d’être trouvés sans tache et sans reproche devant lui dans la paix. Et croyez que la longue patience de notre Seigneur est votre salut, comme Paul notre frère bien-aimé vous l’a aussi écrit, selon la sagesse qui lui a été donnée ; et comme il le fait dans toutes ses épîtres, quand il y parle de ces choses ; parmi lesquelles il en est de difficiles à entendre, que les personnes ignorantes et mal assurées tordent, comme les autres écritures, à leur propre perdition » (Ostervald).

Tout d’abord, il est important de noter que 2 Pierre constitue la dernière épître de Pierre, rédigée avant son exécution, mais également peu de temps après la mort de Paul. Elle fut donc écrite entre le milieu et la fin des années 60 apr. J.-C. À cette époque, Pierre fit référence aux écrits de Paul d’une manière qui indique qu’ils étaient complets, en mentionnant d’ailleurs « toutes ses épîtres ». Il les égala aux « autres Écritures ». Ce faisant, Pierre qualifie clairement les épîtres de Paul comme faisant partie des Écritures, en les considérant comme étant au même niveau que les Écritures appelées aujourd’hui « l’Ancien Testament ». Cela montre que les épîtres de Paul étaient déjà reconnues au moment de la rédaction de la seconde épître par Pierre comme faisant partie de la parole inspirée de Dieu et cela avant la destruction du second temple en 70 apr. J.-C.

Deuxième passage – 2 Pierre 1 :12-18

À partir du verset 12, l’apôtre Pierre écrit : « Voilà pourquoi je prendrai soin de vous rappeler ces choses […] aussi longtemps que je suis dans cette tente […] j’aurai soin qu’après mon départ vous puissiez toujours vous souvenir de ces choses. »

À cette époque-là, des hommes impies (Jude 1 :4) et de faux docteurs (2 Pierre 2 :1) se glissèrent dans l’Église, et même des imposteurs rédigèrent de fausses épîtres au nom des apôtres (2 Thessaloniciens 2 :1-3). Ces individus déformaient et pervertissaient la vérité. Pierre, conscient de sa mort prochaine, savait que le seul moyen d’assurer un registre de ce qu’il avait enseigné était de laisser une compilation officielle des livres reconnus comme des Écritures inspirées.

Pierre compila un dossier permanent pour « rappeler ces choses » de façon puissante à l’Église. C’est donc l’apôtre Pierre qui commença à rassembler les livres du Nouveau Testament. Cela aurait inclus toutes les épîtres de Paul, qui, comme nous l’avons déjà vu, étaient définies comme faisant partie d’ores et déjà des Écritures à cette époque-là (2 Pierre 3 :14-16). Cela incluait également trois des quatre Évangiles, le livre des Actes, écrit par Luc, et les épîtres de Jacques et de Jude, les frères de Jésus. Paul qualifie les paroles de Jésus d’» Écriture », quand il reprend une citation de Luc 10 :7 dans 1 Timothée 5 :18.

Retournant à 2 Pierre 1, à partir du verset 16, Pierre passe brusquement de la première personne du singulier, « je », à la première personne du pluriel, « nous ». Il écrit :

« Ce n’est pas, en effet, en suivant des fables habilement conçues, que nous vous avons fait connaître la puissance et l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ, mais c’est comme ayant vu sa majesté de nos propres yeux. Car il a reçu de Dieu le Père honneur et gloire, quand la gloire magnifique lui fit entendre une voix qui disait : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection. Et nous avons entendu cette voix venant du ciel, lorsque nous étions avec lui sur la sainte montagne » (2 Pierre 1 :16-18).

Qui donc est le « nous » auquel Pierre fait référence ? Eh bien, des personnes solidement établies dans la doctrine, qui ne suivent pas « des fables habilement conçues », mais qui prêchent l’Évangile du Royaume de Dieu en faisant connaître aux autres « la puissance et l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ. » Elles devaient être aussi des témoins oculaires de la vision de la transfiguration de Jésus sur la sainte montagne. Cela nous amène au…

Troisième passage – Matthieu 17 :1-5

« Six jours après, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques, et Jean, son frère, et il les conduisit à l’écart sur une haute montagne. Il fut transfiguré devant eux ; son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière. » Ces trois disciples furent les témoins oculaires de la transfiguration du Christ dans Sa gloire, lorsqu’ils étaient avec Lui sur la montagne.

Pierre donc se référait soit à Jacques, soit à Jean, le frère de Jacques, quand il dit « nous » dans 2 Pierre 1. Mais il n’aurait pu parler de Jacques, car ce dernier avait déjà été martyrisé lorsque Pierre rédigea sa deuxième épître, selon Actes 2 :12. Le seul autre à avoir vu la transfiguration du Christ est donc l’apôtre Jean. Dans sa dernière lettre, Pierre expliquait que lui et Jean – mis pour « nous » – étaient les seuls toujours en vie à détenir « d’autant plus certaine la parole prophétique » (2 Pierre 1 :19).

En d’autres termes, Pierre indiquait à ses lecteurs que lui et Jean étaient les deux disciples désignés par le Christ pour laisser à la postérité une compilation des livres inspirés du Nouveau Testament faisant autorité qui guiderait la communauté des disciples tout au long des générations à venir, bien après la mort des premiers apôtres. C’est donc l’apôtre Jean qui compléta et finalisa par ses écrits le canon du Nouveau Testament qui compte 27 livres, dont cinq lui sont attribués et auraient été écrits environ trois décennies après la mort de Pierre. Cela indiquerait que Pierre, avant sa mort, rassembla un canon de 22 livres (correspondant exactement au même nombre de livres que l’Ancien Testament, selon la façon juive de compter ces livres). Les 22 livres que Pierre rassembla comprennent trois des Évangiles et le livre des Actes, les épîtres de Paul, Jacques et Jude, et ses propres épîtres.

L’apôtre Jean compléta ensuite le canon du Nouveau Testament en ajoutant ses cinq livres – un Évangile, trois épîtres et le livre de l’Apocalypse – pour un total de 27 livres. Les 22 livres des Écritures hébraïques ajoutés aux 27 livres des Écritures grecques, font 49 en tout – soit sept fois sept, le nombre que Dieu utilise pour symboliser l’achèvement ou la perfection !

Le Nouveau Testament est fiable. Le fait que certains des principaux apôtres de Jésus écrivirent sous inspiration et canonisèrent le Nouveau Testament, moins de cent ans après la mort de Jésus, apporte de la crédibilité au Nouveau Testament. Les Écritures révèlent que le Nouveau Testament ne fut pas élaboré par un comité ou un conseil, des siècles plus tard. La version finale du Nouveau Testament fut établie par Dieu au 1er siècle, par l’intermédiaire de Ses apôtres.

Tout cela avait été annoncé par la prophétie d’Ésaïe plusieurs siècles auparavant : « Enveloppe cet oracle, scelle cette révélation, parmi mes disciples » (Ésaïe 8 :16). De nos jours, les saints, les membres de la maison de Dieu, continuent à être « édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus-Christ lui-même étant la pierre angulaire » (Éphésiens 2 :20).

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Polarisation de la mer de Chine méridionale



« La Chine a exigé une seconde fois des Philippines qu’elles retirent un navire de guerre échoué sur un banc de sable contesté par les deux pays asiatiques. Ce navire de guerre, qui date de la Seconde Guerre mondiale, est aujourd’hui utilisé comme avant-poste militaire. La demande de la Chine fait suite au rejet par les Philippines de sa précédente requête » (Le Matinal, 9 août 2023).

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