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« Ce que je vous dis, je le dis à tous : Veillez » (Marc 13 :37).
En partie suite à la marche arrière des États-Unis sur le droit à l’avortement, et avec l’encouragement du président Emmanuel Macron, le Parlement français a voté à une écrasante majorité la proposition de loi modifiant la Constitution nationale de 1958 (vie-publique.fr, 9 mars 2024). L’avortement est désormais « consacré » comme un droit pour toutes les citoyennes françaises, grâce à la 25ème révision de la Constitution française ! La France est ainsi devenue la première nation au monde à faire de l’avortement un droit constitutionnel explicitement inscrit dans le marbre. La réaction du Parlement français après le vote s’est traduite par une ovation, tandis que le Vatican a rapidement réagi par une déclaration de protestation : « Il ne peut y avoir de “droit” à supprimer une vie humaine » (VaticanNews.va, 4 mars 2024).
Nos sociétés modernes et laïques sont de plus en plus centrées sur elles-mêmes. Cependant, la pratique consistant à tuer des enfants dans le ventre de leur mère, voire des nourrissons, n’est pas nouvelle. Alors que les commandements de Dieu interdisent les sacrifices d’enfants, les anciens Israélites tombèrent dans cette forme abominable d’adoration pratiquée par les nations païennes qui les entouraient. Aujourd’hui, les enfants ne sont plus sacrifiés à des divinités de la mythologie, mais sur l’autel de l’égo ! « Mon corps, mon choix » est la devise si souvent répétée par les partisans de l’avortement dans leur aversion pour tout enfant dont la vie pourrait interférer avec leurs propres désirs.
Les Français sont les descendants d’une des anciennes tribus d’Israël. Les décisions des législateurs français ouvriront-elles la voie aux tribus sœurs de la France ? La Bible déclare que « dans les derniers jours », les gens aimeront « le plaisir plus que Dieu » (2 Timothée 3 :1-5). Dieu avertit spécifiquement les nations modernes issues de l’ancien Israël qu’elles devront affronter de graves conséquences si elles se détournent de Dieu et transgressent Ses commandements (cf. Lévitique 26 et Deutéronome 28).
Fin 2018, l’Allemagne suspendait ses ventes d’armes à l’Arabie saoudite, suite au meurtre du journaliste Jamal Khashoggi qui aurait été commis par des agents du gouvernement saoudien. Mais l’attitude allemande à l’égard de l’Arabie saoudite est désormais plus favorable. Selon la ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, Riyad a contribué à empêcher la propagation du conflit entre Israël et le Hamas, à Gaza, en contribuant à la sécurité d’Israël (Le Monde, 8 janvier 2024). Fin décembre, l’Allemagne a approuvé l’exportation vers l’État du Golfe de 150 missiles guidés IRIS-T, capables d’effectuer des frappes air-air et sol-air. La ministre allemande des Affaires étrangères souhaite également reprendre la vente des Eurofighters Typhoon, le modèle d’avion de chasse récemment utilisé par l’Arabie saoudite pour abattre des missiles houthis visant Israël. Le royaume saoudien est considéré comme un marché important pour les ventes d’armes allemandes.
Il serait facile de conclure que la situation économique difficile de l’Allemagne est le motif de la reprise des ventes d’armes à l’Arabie saoudite. Cependant, le Psaume 83 évoque de manière prophétique une alliance temporaire, à la fin des temps, entre l’Allemagne (appelée Assyrie dans la prophétie biblique) et plusieurs nations du Moyen-Orient : « Venez, disent-ils, exterminons-les du milieu des nations, et qu’on ne se souvienne plus du nom d’Israël ! Ils se concertent tous d’un même cœur, ils font une alliance contre toi ; les tentes d’Édom et les Ismaélites, Moab et les Hagaréniens, Guebal, Ammon, Amalek, les Philistins avec les habitants de Tyr ; l’Assyrie aussi se joint à eux » (Psaume 83 :5-9). Cette décision de l’Allemagne pourrait avoir des implications bien plus profondes au Moyen-Orient.
L’expression « Église athée » semble être un oxymore. Pourtant, leur fréquentation augmente, tandis que celle des Églises traditionnelles ne cesse de diminuer (The Conversation, 11 janvier 2024). Les Églises athées tentent de donner aux personnes non religieuses un sentiment de communauté et d’appartenance, habituellement généré par la fréquentation des Églises traditionnelles. Les réunions des Églises athées comportent souvent des chants de groupe, un message ou une conférence sur un sujet spécifique, au lieu d’un sermon, ainsi des programmes de soutien social. Certaines de ces Églises pratiquent le « dé-baptême », c’est-à-dire qu’une personne renonce à son ancienne croyance en Dieu.
Bien que l’idée d’une assemblée religieuse athée puisse sembler étrange et paradoxale, les participants en louent les avantages et affirment même que le fait d’y participer a changé leur vie. Les membres heureux citent l’encouragement et le sentiment d’appartenance comme raisons de leur présence continue.
Dieu demande à Son peuple de L’adorer, en se présentant devant Lui en tant que groupe de croyants chaque semaine, pendant le sabbat du septième jour. Dieu intègre à ce culte de nombreux avantages psychologiques et émotionnels en guise de bénédictions découlant de l’obéissance. La plupart des religions du monde ont une pratique hebdomadaire similaire, y compris le christianisme dominant, bien qu’il ait changé le jour d’adoration du sabbat de Dieu au dimanche païen. Satan, le dieu de ce siècle (2 Corinthiens 4 :4), est un spécialiste de la falsification et il inspire les gens à incorporer leur propre marque dans le culte religieux, en le faisant à leur manière. Une telle contrefaçon n’est pas surprenante. L’apôtre Paul avertit qu’il y aurait « des temps difficiles » à la fin de cette ère, notant que les gens pratiqueront une « apparence de la piété » tout en reniant « ce qui en fait la force » (2 Timothée 3 :1- 5). Nous voyons désormais cette tendance se développer au sein du christianisme dominant, ainsi que chez les athées.
Pour certains, la science est une sorte de divinité toute-puissante qui explique tout. De nombreux scientifiques conclurent ainsi avec arrogance avoir révélé toutes les connaissances sur certains aspects de notre Univers. Pourtant, de nouvelles découvertes démontrent souvent à quel point ces conclusions sont insensées. Comme la Bible l’indique à propos des êtres humains impies : « Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous » (Romains 1 :22).
La BBC a récemment rapporté que « des scientifiques de l’université du Lancashire central ont découvert une gigantesque structure en forme d’anneau dans l’espace », d’un diamètre de 1,3 milliard d’années-lumière (17 janvier 2024). Cet « anneau gigantesque » est composé de multiples galaxies et d’amas de galaxies. Il est « si grand qu’il remet en question notre compréhension de l’Univers ». Selon un des principes directeurs de l’astronomie, appelé principe cosmologique, des structures aussi grandes ne devraient pas exister, car toute la matière est censée être répartie uniformément dans l’Univers. Pourtant, il s’agit de la septième structure massive (qui, là encore, ne devrait pas exister) découverte dans l’Univers ces dernières années. Comme l’a humblement fait remarquer le découvreur de deux de ces structures, « leur très grande taille, leur forme distinctive et leur proximité cosmologique doivent sûrement nous dire quelque chose d’important – mais quoi exactement ? » Un professeur de physique de l’université de Warwick déclare également qu’il « est incroyablement difficile de concevoir un mécanisme susceptible de produire ces structures. Les auteurs spéculent donc que nous voyons une relique du premier Univers où des vagues de matériaux de haute et basse densité sont “gelées” dans un milieu extragalactique. » Bien qu’il soit « incroyablement difficile de concevoir » un tel mécanisme, le Dieu qui créa l’Univers continue de montrer aux scientifiques qui ne croient pas en Lui qu’Il est capable de les surprendre et de réfuter leurs hypothèses.
Voici ce que le Dieu de la Bible dit des sages et des puissants de ce monde : « En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables » (Romains 1 :20). Lorsque nous considérons la création à travers le prisme de la Bible, les découvertes scientifiques apparaissent souvent plus clairement. Comme le fit remarquer à juste titre le roi David : « Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, la lune et les étoiles que tu as créées : qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? » (Psaume 8 :4-5).