Voici le but de la vie! | Le Monde de Demain

Voici le but de la vie!

Voici le but de la vie!

Nous venons dans ce monde sans rien savoir. Nous sommes arrivés involontairement un jour et nous nous retrouvons aujourd’hui quelque part, à un certain âge et à un certain stade de la vie, et nous sommes ce que nous sommes. Quelle énigme ! Mais à des moments donnés, souvent à l’adolescence ou en fin de vie, nous nous demandons : « À quoi ça sert ? » Dans cette émission du Monde de Demain, nous allons nous pencher sur la question la plus importante pour chacun d’entre nous : Qui suis-je ? Pourquoi suis-je né ? Quel est le but de la vie ? Quel est le plan de Dieu pour moi ?

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Le but de la vie vous préoccupe-t-il ?

Quel est le but de la vie ? Connaissez-vous la réponse ? Cela vous préoccupe-t-il ? Cette dernière question devrait éveiller nos sens. Pourquoi quelqu’un ne voudrait-il pas se sentir concerné par le but de son existence ?

Nous venons dans ce monde sans rien savoir. Nous sommes arrivés involontairement un jour et nous nous retrouvons aujourd’hui quelque part, à un certain âge et à un certain stade de la vie, et nous sommes ce que nous sommes. Quelle énigme ! Mais à des moments donnés, souvent à l’adolescence ou en fin de vie, nous nous demandons : « À quoi ça sert ? »

Chers amis, vous arrive-t-il de vous poser cette question ? Le cas échéant, pourquoi ?

Malheureusement, trop de gens ne semblent pas se sentir concernés. Mais nous, ici au Monde de Demain, nous essayons de vous apporter la réponse à cette question, et alors que des milliers de personnes commandent notre brochure qui l’explique, des milliers d’autres ne le font pas. Apparemment, il y a plus de gens qui s’intéressent à l’avenir du monde qu’à leur avenir éternel sur le plan personnel !

Dans cette émission du Monde de Demain, nous allons nous pencher sur la question la plus importante pour chacun d’entre nous : Qui suis-je ? Pourquoi suis-je né ? Quel est le but de la vie ? Quel est le plan de Dieu pour moi ?

Je répondrai à ces questions dans l’émission d’aujourd’hui, et je vous parlerai également de notre brochure qui donne l’explication la plus complète à partir des pages de la Bible. Assurez-vous donc d’avoir sous la main de quoi noter nos coordonnées en vue de commander votre exemplaire gratuit de la brochure Quel est le but de la vie ? Restez avec moi car je reviens d’ici cinq secondes pour répondre à cette question primordiale !

Je vous souhaite à tous une chaleureuse bienvenue de la part de l’équipe du Monde de Demain. Dans l’émission d’aujourd’hui, je répondrai à la plus importante de toutes les questions : « Quel est le but de la vie ? » La réponse se trouve dans les pages de la Bible, mais elle n’est pas ce que la plupart des gens pensent ! Ne vous imaginez pas flottant sur des nuages dans le cadre d’une retraite éternelle au paradis. Non, chers amis, c’est infiniment plus profond que cela !

Des philosophies humaines sur le sens de l’existence

Les philosophes et les théologiens débattent de cette question depuis des millénaires. Pourtant, le débat est loin d’être clos. Non, nous ne sommes pas laissés à nous-mêmes pour définir le sens de la vie. Il y a un but bien plus grand au-delà de ce que la plupart des gens peuvent imaginer.

Ceux qui adhèrent à la vision évolutionniste de l’origine de la vie, devenant ainsi athées et rejetant l’idée même de Dieu, n’ont pas de véritables réponses. Comment une existence purement physique et temporaire peut-elle avoir un sens ? Même si vous viviez mille ans et que vous trouviez un remède contre le cancer, à quoi cela vous servirait-il en fin de compte ? À votre mort, tous les espoirs, les rêves et les récompenses temporelles s’éteindraient à jamais dans les ténèbres si Dieu n’existait pas.

Le professeur de philosophie Thaddeus Metz résume une multitude de théories sur le but de la vie émises par des théologiens et des philosophes, et il mentionne ce qui suit : « Une forme extrême de naturalisme est apparue récemment, selon laquelle l’existence de Dieu […] réduirait nécessairement le sens de la vie » (“The Meaning of Life,” Thaddeus Metz, Stanford Encyclopedia of Philosophy, 9 février 2021).

En d’autres termes, selon leur explication, l’existence de Dieu enlèverait tout sens à la vie ! Le professeur Metz expose ensuite plusieurs théories avancées pour arriver à cette conclusion absurde. La première théorie postule que l’existence de Dieu nous placerait dans une relation maître/serviteur ou parent/enfant au sein de laquelle « notre indépendance ou notre dignité en tant que personnes adultes serait violée ».

Autrement dit, l’existence d’un Dieu signifierait que nous ne pourrions plus être notre propre « patron ». Nous devrions rendre des comptes à un Dieu omniscient, et les athées et les agnostiques s’insurgent contre une telle idée. Le professeur Metz évoque un autre raisonnement du type « Dieu, ne me dis pas ce que je dois faire ! » :

« Un autre argument important pour penser que Dieu nuirait au sens de la vie fait appel à la valeur de la vie privée […] L’omniscience de Dieu [le fait qu’Il sache tout] nous empêcherait inévitablement de contrôler l’accès d’un autre individu aux détails les plus intimes de notre personne, ce qui, pour certains, équivaut à une vie moins riche de sens qu’une vie avec un tel contrôle » (ibid.).

Sans Dieu, il ne peut y avoir de sens au-delà de la mort

En dehors de la révélation de Dieu, la discussion est vaste, parfois technique et, bien sûr, dénuée de sens ! Sans Dieu, il ne peut y avoir de sens au-delà de la mort, dans une existence temporaire et bien trop courte. Mais, comme on pouvait s’y attendre, il y a certains qui s’opposent à l’idée même de la vie éternelle. Selon le professeur Metz : « Il a été avancé que la vie immortelle deviendrait inévitablement ennuyeuse […] rendant la vie inutile selon de nombreuses théories subjectives et objectives » (ibid.).

Une communauté importante de Juifs religieux à l’époque de Jésus croyait également qu’il n’y avait pas d’avenir après la mort. Notez le célèbre échange entre les sadducéens et Jésus lorsqu’ils L’interrogèrent sur la résurrection : « Le même jour, les sadducéens, qui disent qu’il n’y a point de résurrection, vinrent auprès de Jésus, et lui posèrent cette question » (Matthieu 22 :23).

Lorsque l’apôtre Paul fut interrogé devant le sanhédrin à ce sujet, il provoqua presque une émeute entre les pharisiens et les sadducéens :

« Paul, sachant qu’une partie de l’assemblée était composée de sadducéens et l’autre de pharisiens, s’écria dans le sanhédrin : Hommes frères, je suis pharisien, fils de pharisiens ; c’est à cause de l’espérance et de la résurrection des morts que je suis mis en jugement […] Car les sadducéens disent qu’il n’y a point de résurrection, et qu’il n’existe ni ange ni esprit, tandis que les pharisiens affirment les deux choses » (Actes 23 :6, 8).

Certains chrétiens de Corinthe étaient influencés par de telles philosophies. La première épître de Paul à ces frères aborde en détail la question de la résurrection des morts au chapitre 15, et explique en toute logique la futilité de la vie si elle ne concerne que le temps présent :

« Car si les morts ne ressuscitent point, Christ non plus n’est pas ressuscité. Et si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés, et par conséquent aussi ceux qui sont morts en Christ sont perdus. Si c’est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes » (1 Corinthiens 15 :16-19).

Les plaisirs temporaires ne procurent pas le bonheur durable

Expliquant ensuite l’absurdité de la retenue si nous vivions seulement pour l’instant présent, Paul aboutit à cette conclusion naturelle : « Si c’est dans des vues humaines que j’ai combattu contre les bêtes à Éphèse, quel avantage m’en revient-il ? Si les morts ne ressuscitent pas, mangeons et buvons, car demain nous mourrons » (1 Corinthiens 15 :32).

L’ancien roi Salomon explora le but de la vie à travers le vin, les femmes et la musique, mais il découvrit qu’aucun de ces moyens n’apportait un bonheur durable. Quel était le sens de tout cela ? Il finit par conclure que tout n’était que vanité et poursuite du vent :

« J’aurai le même sort que l’insensé ; pourquoi donc ai-je été plus sage ? Et j’ai dit en mon cœur que c’est encore là une vanité. Car la mémoire du sage n’est pas plus éternelle que celle de l’insensé, puisque déjà les jours qui suivent, tout est oublié. Eh quoi ! Le sage meurt aussi bien que l’insensé ! Et j’ai haï la vie, car ce qui se fait sous le soleil m’a déplu, car tout est vanité et poursuite du vent » (Ecclésiaste 2 :15-17).

Aucun d’entre nous ne pourrait jamais égaler Salomon en matière de vin, de femmes et de musique. Pas plus qu’en matière de fortune et de réalisations. La plupart de ceux qui adoptent cette approche découvrent que ce qui était censé leur apporter le bonheur ne l’est pas. Songez à l’existence des nombreuses célébrités qui, en apparence, ont tout. Certains se droguent, d’autres enchaînent les mariages ratés. Pensez, par exemple, au cas tragique de Johnny Depp et d’Amber Heard. Ils possèdent tous les deux la beauté, la célébrité et la fortune, mais il semble qu’ils n’aient jamais été vraiment heureux.

Il ne s’agit pas de dire que toutes les personnes riches ont un mariage raté ou que la célébrité rend automatiquement malheureux, mais que les plaisirs temporaires ne procurent pas le bonheur durable et qu’à moins qu’il y ait un Dieu qui puisse nous ressusciter de la tombe, tout ce que nous faisons dans cette vie est temporaire.

Comment être certain qu’il existe une vie après la mort ?

Comment être certain qu’il existe une vie après la mort ? Si certains affirment avoir vécu une expérience de mort imminente, un seul être est ressuscité à la vie éternelle après trois jours et trois nuits dans la tombe, et ce, il y a près de 2000 ans.

Paul répond à cette question dans le « chapitre de la résurrection », c’est-à-dire 1 Corinthiens 15, en dressant une liste de ceux qui virent Jésus après Sa crucifixion et Sa résurrection. Il affirme : « Ensuite, il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois, dont la plupart sont encore vivants, et dont quelques-uns sont morts » (1 Corinthiens 15 :6).

Paul écrivit cette épître moins de 25 ans après la crucifixion de Jésus, affirmant que la plupart de ces cinq cents personnes étaient encore en vie. Quelle crédibilité aurait eue Paul, ou son épître, si cela n’était pas vrai ? Il existe d’autres preuves.

Selon Jean 7 :5, les demi-frères de Jésus ne croyaient pas en Lui avant la crucifixion, mais ils devinrent ensuite de fidèles disciples. Jacques devint le chef de la congrégation de Jérusalem et rédigea l’épître de Jacques. Un autre demi-frère, Jude, devint également croyant et rédigea l’épître qui porte son nom.

De plus, l’Histoire montre que parmi les douze apôtres (Mathias ayant remplacé Judas Iscariote), seul Jean ne mourut pas en martyr. Beaucoup d’hommes et de femmes sont morts en martyrs pour une cause à laquelle ils croyaient, mais combien auraient persévéré jusqu’à la mort s’ils savaient que cette cause avait été un mensonge ? Les douze apôtres de Jésus savaient que Sa résurrection était vraie.

Où réside la différence entre l’homme et les animaux ?

Savez-vous pourquoi les capacités mentales de l’homme sont tellement supérieures à celles des animaux ? Plusieurs animaux ont un cerveau plus gros, mais aucun n’arrive à la cheville de l’homme pour ce qui est de la capacité à raisonner, à penser et à innover. Aucun animal ne peut concevoir un plan pour aller sur la Lune et en revenir. Aucun animal ne peut construire un télescope, une télévision ou un ordinateur. Oui, je sais, votre chien est assez extraordinaire, mais il y a quelque chose de fondamentalement différent entre vous deux.

Qu’est-ce qui fait la différence ? Comment se fait-il que l’homme puisse construire des machines pour aller plus haut, plus vite et plus loin que n’importe quel autre animal ? Comment se fait-il qu’avec toute notre intelligence, nous ne puissions pas nous entendre avec nos semblables ? Pourquoi les divorces ? Pourquoi des guerres entre les nations ? Pourquoi les gens s’escroquent-ils, se volent-ils et se matraquent-ils les uns les autres ?

Dieu a créé l’homme d’après Sa propre espèce divine

Nous commençons notre recherche de la réponse dans le premier chapitre de la Bible. Nous y trouvons le dessein de Dieu pour l’humanité :

« Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme » (Genèse 1 :26-27).

Combien de personnes lisent ce passage sans y réfléchir profondément ? En langage clair, Dieu n’a pas créé l’homme d’après une espèce animale, mais d’après Sa propre espèce (c’est-à-dire l’espèce divine). Nous sommes différents des animaux parce que nous avons été créés à l’image et à la ressemblance de Dieu. Relisez Genèse 1 :26-27. Lisez-le pour vous-même et réfléchissez à ce qu’il signifie et demandez-nous simplement notre brochure gratuite Quel est le but de la vie ? qui explique ce sujet en détail.

Le libre arbitre et notre capacité de faire des choix

Dieu nous a créés à Son image, avec une capacité étonnante de penser, de raisonner et de faire des choses merveilleuses. Mais pourquoi ne nous conduisons-nous pas de manière vertueuse ? L’élément manquant est expliqué dans Genèse 2. Nous y découvrons que l’être humain, disposant du libre arbitre, est capable de faire des choix :

« L’Éternel Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement » (Genèse 2 :16-17).

L’humanité a reçu la capacité de choisir entre ce qui est juste et ce qui est mauvais, entre le bien et le mal. Remarquez comment cela est précisé plus tard pour la nation entière d’Israël : « J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité » (Deutéronome 30 :19).

Alors que nous avons envoyé des hommes sur la Lune et que nous les en avons ramenés sains et saufs, nous n’arrivons toujours pas à nous entendre les uns les autres. Il y a trop de mariages ratés, trop de meurtres, de viols et d’agressions, trop de guerres qui réduisent à néant les espoirs et les rêves de millions de personnes.

Parfois, les gens se demandent pourquoi Dieu, avec toute Sa puissance, ne met-Il pas fin aux atrocités qui se produisent ici-bas. Mais lesquelles de ces mêmes personnes sont prêtes à reconnaître la volonté de Dieu en toutes choses ?

L’idée que Dieu a créé l’homme à Son image est vraiment profonde, et ce thème se retrouve tout au long des Écritures. En regardant le ciel étoilé, David se demandait pourquoi Dieu s’intéressait à lui, homme insignifiant : « Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ? » (Psaume 8 :5)

Le livre des Hébreux reprend cette question et l’explique :

« Tu [c’est-à-dire Dieu] as mis toutes choses sous ses pieds [c’est-à-dire ceux de l’homme]. En effet, en lui soumettant toutes choses, Dieu n’a rien laissé qui ne lui soit soumis. Cependant, nous ne voyons pas encore maintenant que toutes choses lui soient soumises. Mais celui qui a été abaissé pour un peu de temps au-dessous des anges, Jésus, nous le voyons couronné de gloire et d’honneur à cause de la mort qu’il a soufferte ; ainsi par la grâce de Dieu, il a souffert la mort pour tous. Il convenait, en effet, que celui pour qui et par qui sont toutes choses, et qui voulait conduire à la gloire beaucoup de fils, ait élevé à la perfection par les souffrances le Prince de leur salut » (Hébreux 2 :8-10).

Des fils de Dieu et cohéritiers du Christ

La Bible révèle l’existence d’un plan et d’un objectif bien plus ambitieux que de monter au ciel pour prendre sa retraite et contempler le visage de Dieu pour l’éternité. Pourquoi, chers amis, les êtres humains n’acceptent-ils pas ce que la Bible dit clairement ? L’apôtre Paul n’est pas vague au sujet de notre avenir. Il explique dans Romains 8 :14-15 que nous sommes fils de Dieu et cohéritiers du Christ : « Car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Et vous n’avez point reçu un esprit de servitude pour être encore dans la crainte ; mais vous avez reçu un Esprit d’adoption, par lequel nous crions : Abba [signifiant papa] ! Père ! »

Remarquez ce qu’il dit ensuite : « L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu » (Romains 8 :16).

Avez-vous compris ? Nous avons été créés pour devenir des enfants de Dieu. L’homme, comme le montre Genèse 1, a été créé à l’image et à la ressemblance de Dieu, non pas selon une quelconque espèce animale, mais selon celle de Dieu ! Croyez-vous ce que la Bible dit clairement ? Remarquez encore : « Si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : Héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d’être glorifiés avec lui » (Romains 8 :17).

Dans les générations précédentes, nous comprenions que les mots « homme » ou « humanité » représentaient à la fois les hommes et les femmes dans de tels contextes ; mais si quelqu’un est offensé par cette subtilité, notez que les femmes ne sont pas exclues du plan divin : « Je serai pour vous un Père, et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout-puissant » (2 Corinthiens 6 :18).

L’union entre l’Esprit Saint de Dieu et notre esprit humain nous rend enfants de Dieu

Mais comment est-ce possible ? Remarquez à nouveau dans Romains 8 :16 : « L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. »

Nous trouvons dans ce verset deux esprits : L’Esprit de Dieu et « notre esprit ». C’est en cela que réside la différence entre la pensée de Dieu et celle de l’homme. Humainement parlant, nous ne pensons pas comme Dieu pense. Sans Son Esprit agissant en nous, bien qu’intelligents sur le plan matériel, nous manquons d’amour véritable et de maîtrise de soi. C’est pourquoi nous possédons naturellement ce que nous appelons la nature humaine :

« Or, les œuvres de la chair sont évidentes ; ce sont la débauche, l’impureté, le dérèglement, l’idolâtrie, la magie, les rivalités, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes, l’envie, l’ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d’avance comme je l’ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le royaume de Dieu » (Galates 5 :19-21).

Mais cela signifie-t-il que nous ne pourrions jamais penser comme Dieu pense ? Paul nous donne la réponse :

« Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au cœur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment. Dieu nous les a révélées par l’Esprit. Car l’Esprit sonde tout, même les profondeurs de Dieu » (1 Corinthiens 2 :9-10).

Paul explique ensuite pourquoi il existe une différence entre le cerveau animal et celui de l’homme : « Qui donc, parmi les hommes, connaît les choses de l’homme, si ce n’est l’esprit de l’homme qui est en lui ? » (1 Corinthiens 2 :11). De même, cela explique la différence entre l’esprit humain et l’Esprit de Dieu : « De même, personne ne connaît les choses de Dieu, si ce n’est l’Esprit de Dieu » (1 Corinthiens 2 :11).

Nous lisons ici au sujet de deux esprits. L’esprit de l’homme, qui donne au cerveau humain une puissance intellectuelle bien supérieure à celle des animaux, mais sans l’Esprit de Dieu demeurant en nous, nous ne pouvons pas comprendre les choses de Dieu, tout comme mon chien Marcus ne pourrait comprendre le calcul ! Pour être créés à l’image et à la ressemblance de Dieu, pour penser comme Dieu pense, ces deux esprits doivent s’unir :

« Car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu […] L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d’être glorifiés avec lui » (Romains 8 :14, 16-17).

OUAOH – « nous sommes enfants de Dieu […] héritiers […] de Dieu, et cohéritiers de Christ ».


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