Conséquences des infections sexuellement transmissibles

Euractiv fait état d’une étude récente publiée dans la très respectée revue The Lancet, qui « révèle que la prévalence mondiale de l’infection génitale par le VPH (virus du papillome humain) chez les hommes est de 31% pour tous les VPH et de 21% pour les VPH à haut risque. Ces résultats sont basés sur les données de 65 études menées entre le 1er janvier 1995 et le 1er juin 2022 » (17 août 2023). Cela signifie que près d’un homme sur trois dans le monde est infecté par ce virus sexuellement transmissible et incurable !

Il existe de nombreuses souches différentes de VPH et douze d’entre elles sont cancérigènes. Ces infections provoquent des cancers chez les hommes et les femmes. Le cancer le plus souvent associé à l’infection au VPH chez les femmes est le cancer du col de l’utérus. La plupart des infections au VPH ne présentent aucun symptôme, de sorte que les personnes sexuellement actives qui sont infectées transmettent souvent le virus à d’autres sans le savoir. Une autre conséquence possible de l’infection au VPH est la stérilité.

Le virus du papillome et d’autres infections sexuellement transmissibles surviennent parce que les individus ont de multiples partenaires sexuels. Alors que les experts en santé publique et les politiciens tentent de freiner ces maladies avec des médicaments et des appareils, ils négligent le seul outil de prévention parfait : les relations sexuelles monogames entre un mari et son épouse. Dieu connaissait ce puissant outil de prévention depuis le début, et c’est l’une des raisons pour lesquelles Il ordonne de s’abstenir de relations sexuelles en dehors du mariage ! Alors que l’humanité considère les commandements de la Bible comme étant sévères et contraignants, Dieu les a conçus comme une bénédiction pour ceux qui obéissent à Ses lois (Deutéronome 10 :13). Pour en savoir plus sur ce sujet, lisez ou écoutez notre article très instructif « Il est possible de mettre fin au sida ».