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Jésus-Christ reviendra-t-Il ce soir ? Cherchons dans la Bible pour découvrir quels événements doivent avoir lieu avant Son second Avènement – et si un enlèvement secret des vrais croyants se produira subitement. Regardez cette épisode du Monde de Demain pour apprendre les signes prophétiques.
[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]
Il existe un mythe selon lequel le second Avènement de Jésus-Christ peut se produire à tout moment – peut-être même ce soir. Réalisez-vous, chers amis, qu’il s’agit d’une fausse doctrine ? Il ne reviendra pas ce soir – pas selon la parole de Dieu ! Mais attendez, me direz-vous, ne reviendra-t-Il pas dans le cadre d’un enlèvement secret qui peut se produire à tout moment pour protéger Ses véritables serviteurs de la grande tribulation ? Encore une fois, pas selon la Bible.
Dans l’émission du Monde de Demain d’aujourd’hui, au lieu de nous tourner vers un bestseller à caractère religieux tel que Les survivants, nous allons ouvrir la Bible et voir ce qu’elle dit réellement à ce sujet. Nous verrons que Jésus Lui-même énuméra des signes spécifiques qui doivent précéder Son retour. Quels sont ces signes ? Et quel est l’avertissement qu’Il donna au sujet du premier signe ? C’est très important !
Non, Jésus ne reviendra pas ce soir, ni demain, ni cette année, ni l’année prochaine ou l’année suivante. Vous ou moi pourrions mourir ce soir, et nous Le rencontrerions au moment où nous serons de nouveau conscients, mais Il ne reviendra pas ici-bas ce soir, ni même lors d’un enlèvement secret.
Restez avec moi car je reviendrai pour répondre à ces questions importantes, directement des pages de la Bible. Et je vous montrerai également ce que Jésus donna comme premier signe de la fin de cette ère, et tout aussi important, l’avertissement qu’Il donna qui accompagne ce signe.
Restez à l’écoute !
Nous vous souhaitons une chaleureuse bienvenue de la part de tous les membres du Monde de Demain, où nous posons des questions sérieuses et donnons des réponses solides, directement tirées des pages de la Bible. Nous sommes heureux que vous vous joignez à nous pour l’émission d’aujourd’hui, et nous souhaitons tout particulièrement la bienvenue à ceux d’entre vous qui nous rejoignent pour la première fois. Aujourd’hui, je pose et réponds aux questions suivantes :
Vous avez probablement entendu quelqu’un, peut-être un ministre de confession chrétienne, dire que Jésus pourrait revenir à tout moment – peut-être même ce soir. Sans parler du sujet de l’enlèvement pour l’instant, certains ont eu cette conclusion sur la base d’une mauvaise compréhension de Matthieu 24 :36 :
« Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul ».
Puis, nous lisons ce qui apparaît pour beaucoup comme une confirmation :
« Veillez donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra. Sachez-le bien, si le maître de la maison savait à quelle veille de la nuit le voleur doit venir, il veillerait et ne laisserait pas percer sa maison. C’est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l’homme viendra à l’heure où vous n’y penserez pas » (Matthieu 24 :42-44).
Personne ne connaît ni le jour ni l’heure, mais cela ne veut pas dire qu’Il peut revenir à tout moment. Ces versets doivent être compris selon le contexte dans lequel ils sont écrits – autrement dit, ce qui précède et ce qui suit. Si nous commençons au début de Matthieu 24, nous trouvons les disciples de Jésus posant des questions sur la destruction du temple et sur le moment de Son retour :
« Il s’assit sur la montagne des Oliviers. Et les disciples vinrent en particulier lui poser cette question : Dis-nous, quand cela arrivera-t-il, [c’est-à-dire, la destruction du temple] et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? » (Matthieu 24 :3).
Ses disciples comprirent qu’une série d’événements devait se dérouler avant le point culminant de la fin, et Il le confirma par une liste de signes à surveiller qui précéderaient Son retour. Un certain nombre de ces signes sont en cours, et ont été présents tout au long de l’Histoire humaine. C’est pourquoi Il nous dit :
« Gardez-vous d’être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin » (Matthieu 24 :6).
Et puis :
« Tout cela ne sera que le commencement des douleurs » (Matthieu 24 :8).
Cependant, lorsque nous comparons ces signes donnés par Jésus dans Matthieu 24 avec les légendaires « quatre cavaliers » d’Apocalypse 6, nous devons conclure que des catastrophes telles que la guerre, la famine et la maladie prendront une plus grande importance dans un avenir proche, car elles sont des précurseurs du Jour du Seigneur lorsque le Christ reviendra. Et parmi les signes donnés, il serait bon de noter un signe très spécifique :
« C’est pourquoi, lorsque vous verrez l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint, – que celui qui lit fasse attention ! » (Matthieu 24 :15).
Remarquez que Jésus fait référence au prophète Daniel au sujet de ce signe. Nous lisons dans Daniel 12, où il est dit clairement qu’il s’agit des « temps de la fin », au verset 4, il est écrit :
« Toi, Daniel, tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu’au temps de la fin […] va, Daniel, car ces paroles seront tenues secrètes et scellées jusqu’au temps de la fin » (Daniel 12 :4, 9).
Daniel écrit un message qui révèle le temps spécifique qui passera entre le moment où cette abomination sera mise en place, et la fin – lorsque le Messie Jésus-Christ reviendra :
« Depuis le temps où cessera le sacrifice perpétuel, et où sera dressée l’abomination du dévastateur, il y aura mille deux cent quatre-vingt-dix jours » (Daniel 12 :11).
Cela fait 3 ans et 7 mois. Il y a trois accomplissements historiques impliquant l’abomination de la désolation. Deux sont au passé et le troisième est encore à venir :
Puisque cette dernière abomination destructrice n’a pas encore eu lieu, et qu’elle doit s’installer 1290 jours avant la fin, lorsque le Messie Jésus-Christ reviendra, nous savons qu’Il ne reviendra pas ce soir, ou, du moins, pas avant 3 ans et 7 mois. Mais ce n’est là qu’un seul signe. D’autres précèdent l’abomination de la désolation, comme le montrent Matthieu 24 et d’autres passages.
Quelle ironie, bien des gens concluent que Jésus peut revenir à tout moment alors que le chapitre qu’ils utilisent comme preuve est consacré à la description de ce qui doit d’abord arriver ! C’est dans le contexte de ces signes que Jésus nous mit en garde :
« Instruisez-vous par une comparaison tirée du figuier. Dès que ses branches deviennent tendres, et que les feuilles poussent, vous savez que l’été est proche. De même, quand vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l’homme est proche, à la porte » (Matthieu 24 :32-33).
C’est seulement après avoir donné cette parabole du figuier qu’Il mentionne que personne ne connaîtrait le jour ou l’heure exacte.
Qu’en est-il d’un enlèvement secret qui pourrait se produire à n’importe quel moment ? Et, quel est le premier signe que Jésus donna pour indiquer la fin de cette ère et quel est l’avertissement qui accompagne ce premier signe ?
Le passage le plus souvent utilisé pour défendre un enlèvement secret se trouve dans 1 Thessaloniciens 4 :
« Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui sont décédés, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n’ont point d’espérance. Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu’il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont décédés » (1 Thessaloniciens 4 :13-14).
Voici le contexte : Il parle de ceux qui sont morts dans la foi. Et pourquoi ceux qui connaissent la vérité n’ont-ils pas à s’affliger comme d’autres qui n’ont pas d’espérance ? Cette espérance réside bien sûr, dans la résurrection des morts. Paul donne ensuite cet autre encouragement et cette explication :
« Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d’après la parole du Seigneur : nous les vivants, restés pour l’avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont décédés. Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement » (1 Thessaloniciens 4 :15-16).
Remarquez l’ordre de la résurrection – ceux qui sont déjà morts seront ressuscités en premier. Pourtant, la doctrine artificielle de l’enlèvement prétend que l’enlèvement protège les croyants de la grande tribulation en les emmenant au ciel. Pourquoi enlever les morts ? Ont-ils besoin d’être protégés ? Et n’oublions pas quand la résurrection se produit :
« Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu… » (1 Thessaloniciens 4 :16).
Ce n’est qu’après que la trompette aura retenti et que les morts seront ressuscités, que ceux qui sont vivants à ce moment-là seront changés :
« Ensuite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur » (1 Thessaloniciens 4 :17).
Ensuite, Paul ramène le sujet à l’objectif de ce passage :
« Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles » (1 Thessaloniciens 4 :18).
Pourtant, le sujet n’est pas une sorte d’enlèvement fait en secret, dont il n’est jamais question dans ces versets, mais la manière de se réconforter mutuellement lors de la mort des frères. De plus, le Nouveau Testament est absolument cohérent en ce qui concerne l’avènement du Christ – Il revient au son d’une trompette, au sens propre ou au sens figuré, mais ce n’est pas n’importe quelle trompette. Remarquons ce détail fourni dans 1 Corinthiens 15 :
« Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés » (1 Corinthiens 15 :51-52).
Vous avez remarqué qu’il est bien mentionné : « à la dernière trompette. » Et cela nous conduit au livre de l’Apocalypse où nous y trouvons sept trompettes qui annoncent des catastrophes naturelles et des guerres, avec un événement spectaculaire qui se produit au retentissement de la dernière, la septième trompette. Lisons-le dans Apocalypse 11 :
« Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient : Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux siècles des siècles » (Apocalypse 11 :15).
Jusqu’à présent, nous avons vu que Jésus ne reviendra pas n’importe quand. Et que le passage le plus souvent évoqué n’a rien à voir avec un enlèvement secret.
Voyons à présent la question suivante : Quel est le premier signe que Jésus donna en prélude à Son second Avènement ?
Peut-être connaissez-vous déjà la réponse, mais plus important encore, connaissez-vous aussi l’avertissement que Jésus donna avec ce signe ? Et en quoi cet avertissement vous concerne-t-il ?
Trois chapitres de la Bible, écrits par trois auteurs différents, relatent ce que l’on appelle la prophétie du mont des Oliviers : Matthieu 24, Marc 13 et Luc 21.
Nous constatons que Jésus et Ses disciples quittèrent le temple et se rendirent sur le mont des Oliviers, situé de l’autre côté d’une étroite vallée. En chemin, les disciples furent émerveillés par la beauté du temple. C’est alors que Jésus les informa :
« Voyez-vous tout cela ? Je vous le dis en vérité, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée » (Matthieu 24 :2).
Comme il fallait s’y attendre, les disciples voulurent savoir quand cela se produirait et, alors qu’ils étaient assis sur la montagne, ils posèrent cette double question :
« Dis-nous, quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? » (Matthieu 24 :3).
La réponse contenait un premier accomplissement et un dernier accomplissement.
Le premier accomplissement concernerait la destruction du deuxième temple, dont nous savons par l’histoire qu’elle eut lieu en 70 apr. J.-C. Curieusement, certains érudits pensent que toute la prophétie ne s’applique qu’aux événements de 70 apr. J.-C., mais même un enfant peut comprendre que cette prophétie contient aussi un accomplissement à la fin des temps. Lisons à nouveau la dernière partie du verset 3 :
« Et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? »
Nous savons que le second Avènement n’a pas eu lieu en 70 apr. J.-C., ni la fin de l’ère. Nous savons également que certaines spécificités de cette prophétie ne peuvent s’appliquer qu’au moment du retour du Christ. À titre d’exemple, lisez les versets 21 et 22 :
« Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais. Et, si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés » (Matthieu 24 :21-22).
Il ne peut y avoir qu’un seul temps comme celui-ci, parce qu’il est écrit, « et qu’il n’y en aura jamais ». Le livre de l’Apocalypse, écrit vers les années 90, après la destruction de Jérusalem, décrit une période de troubles mondiaux bien plus graves que tout ce que l’humanité n’ait jamais connu. Daniel 12 parle de la pire de toutes les époques et la rattache au temps de la résurrection des morts lors du retour du Christ :
« Et ce sera une époque de détresse, telle qu’il n’y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu’à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. Plusieurs de ceux qui dorment dans la poussière de la terre se réveilleront, les uns pour la vie éternelle, et les autres pour l’opprobre, pour la honte éternelle » (Daniel 12 :1-2).
De toute évidence, il ne peut y avoir deux époques pires que tout ce qui a précédé ou suivi.
Quel est donc le premier signe donné par Jésus ? Juste après que les disciples demandèrent quels seraient les signes de Son Avènement, nous lisons dans Matthieu 24 :
« Jésus leur répondit : Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens » (Matthieu 24 :4-5).
Donc, le premier signe que Jésus décrivit concernait une séduction religieuse. Pas n’importe quelle séduction religieuse, mais celle des chrétiens. Jésus fit cette mise en garde à ce sujet :
« Prenez garde que personne ne vous séduise » (Matthieu 24 :4).
Si vous rouliez de nuit sur une route sombre, et qu’un panneau vous informe que le pont est impraticable, ne prendriez-vous pas l’information au sérieux en cherchant une autre route ? Pourquoi donc si peu de personnes ne prennent-elles pas Ses avertissements au sérieux ? Relisons à nouveau Matthieu 24 :4-5 :
« Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens. »
Analysons cette déclaration faite par Jésus :
« Plusieurs viendront sous mon nom ».
Ce n’est pas un petit nombre, mais un grand nombre qui viendra en utilisant Son nom, mais qu’est-ce que cela signifie ? Si quelqu’un frappe à votre porte et crie : « Ouvrez au nom de la loi », il prétend représenter la loi et son autorité. Lorsque des ministres du culte « viennent sous le nom de Jésus », ils prétendent Le représenter et avoir Son autorité. En outre, ces imposteurs disent :
« C’est moi qui suis le Christ ».
Ce faisant :
« Ils séduiront beaucoup de gens ».
Il y a quelques individus dérangés qui prétendent être le Christ, mais très peu de gens les suivent. Les faux ministres du culte séduisent beaucoup de gens lorsqu’ils prétendent représenter le Christ, tout en affirmant que Jésus de Nazareth est le Christ. L’affirmation « c’est moi qui suis le Christ » doit être comprise à partir du contexte. Prise isolément, elle pourrait signifier que ces séducteurs prétendent être le Christ, mais le contexte montre qu’ils prétendent être des représentants du Christ et proclament que Jésus est le Christ – souvenez-vous que Christ est l’orateur ici. Avec de telles tactiques, ils séduisent, non pas un petit nombre, mais un grand nombre. C’est pourquoi Jésus introduit ce premier signe en disant :
« Prenez garde que personne ne vous séduise » (Matthieu 24 :4).
Peu de personnes prétendant être Jésus en séduiront beaucoup, mais si quelqu’un en chaire prétend le représenter, en disant que Jésus est le Christ, c’est une autre affaire, et c’est ce que nous voyons. Le faux christianisme commença presque immédiatement après la mort et la résurrection de Jésus, et prit complètement le contrôle de l’Empire romain au quatrième siècle et continue jusqu’à aujourd’hui.
L’apôtre Paul décrit le problème à plus d’une reprise. Examinons ce que Paul écrivit à ceux de Corinthe :
« Toutefois, de même que le serpent séduisit Ève par sa ruse, je crains que vos pensées ne se corrompent et ne se détournent de la simplicité à l’égard de Christ. Car, si quelqu’un vient vous prêcher un autre Jésus que celui que nous avons prêché, ou si vous recevez un autre Esprit que celui que vous avez reçu, ou un autre évangile que celui que vous avez embrassé, vous le supportez fort bien » (2 Corinthiens 11 :3-4).
Ces gens étaient des croyants, mais ils supportaient des ministres qui les séduisaient avec un faux Christ et un Évangile différent – un christianisme à l’esprit très différent. Il poursuit sa mise en garde contre ces séducteurs :
« Ces hommes-là sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres de Christ. Et cela n’est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n’est donc pas étrange que ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice. Leur fin sera selon leurs œuvres » (2 Corinthiens 11 :13-15).
Réfléchissez un instant. Se pourrait-il que vous ayez été séduit ? Demandez-vous si la croyance en l’enlèvement secret n’est pas l’une des nombreuses séductions dont beaucoup sont victimes. Ne vous laissez pas séduire, quelle que soit la popularité de cette idée.