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Le monde est en train de sombrer dans le chaos. Non seulement le chaos de la guerre et du crime, mais aussi un chaos bien plus destructeur. Il s’agit d’un degré de confusion profond qui menace les fondements mêmes de la civilisation. Les nations et les sociétés ne pourront plus en supporter les conséquences très longtemps.
Visionnez sur notre site Internet les émissions contenues dans le DVD offert « Une culture en crise » :
[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]
N’ayez aucun doute : Ce monde est en pleine tourmente. Aujourd’hui, alors même que je parle, les fondations mêmes de la civilisation s’effondrent sous nos pieds, mais peu en ont la moindre idée. L’abîme d’iniquité qui s’ouvre sous nos pieds menace de nous engloutir, vous et moi, ainsi que tout ce qui nous est cher, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un monde que nous aurions du mal à reconnaître aujourd’hui. Il existe une solution – mais nous ne l’atteindrons pas si nous ne voyons pas d’abord la nécessité de le faire.
Permettez-moi d’aller droit au but : Le monde est en train de sombrer dans le chaos. Pas seulement le chaos de la guerre ou du crime – bien que nous en voyions beaucoup trop, c’est certain. Non, ce chaos est bien plus destructeur. Il s’agit d’un degré de confusion profond qui menace les fondements mêmes de la civilisation, et les nations – les sociétés – ne pourront pas supporter plus longtemps ses conséquences.
Nous allons examiner de nombreux exemples de cette confusion, aujourd’hui, et nous vous donnerons également l’occasion de demander le DVD gratuit offert dans cette émission, « Une culture en crise ». Son contenu est controversé, mais ses conclusions sont indéniables. N’oubliez pas de regarder votre écran pour trouver les coordonnées qui vous permettront de commander votre exemplaire gratuit.
Et notre culture est en crise. Nous sommes confrontés à un monde rempli d’un chaos qui menace de saper et de détruire la civilisation telle que nous la connaissons. Et la cause de ce désordre est claire. Nous abandonnons de plus en plus les desseins, les conseils et les limites fixés pour nous par un Créateur aimant. La Bible nous donne des instructions très importantes : « Le commencement de la sagesse, c’est la crainte de l’Éternel. Tous ceux qui pratiquent ses commandements sont vraiment sages » (Psaume 111 :10, Ostervald).
Pourtant, nous nous éloignons davantage de toute espèce de crainte de l’Éternel, de toute forme de respect ou de révérence à Son égard ou de tout désir de suivre Ses commandements et de Lui obéir, même s’Il dit dans le Deutéronome 10 :13 que ces commandements sont pour notre bien. C’est la tendance croissante à ignorer le dessein, les commandements et la volonté du Dieu tout-puissant qui nous conduit au chaos.
Par exemple, considérons le mariage et la famille – le noyau fondamental de la civilisation humaine. Il n’y a pas si longtemps, le mariage était une chose simple : un homme et une femme, unis par leur Créateur dans les liens sacrés du mariage. Et les relations sexuelles ne devaient avoir lieu que dans les limites protectrices du mariage. Ce n’est plus le cas. La sexualité humaine et l’institution du mariage sombrent dans la confusion la plus totale.
L’éthique sexuelle libertine de Woodstock et du mouvement de l’amour libre des années 60 ne nous a jamais vraiment quittés. La sexualité a commencé à être considérée comme distinct du mariage, et nous vivons aujourd’hui dans un monde où, littéralement, « tout est permis ». Mais la sexualité et le mariage ne peuvent pas vraiment être séparés, et l’approche du » tout est permis » dans la sexualité s’est transformée en une approche du « tout est permis » du mariage. Un nombre croissant de pays reconnaissent aujourd’hui non seulement le vrai mariage, le mariage biblique entre un homme et une femme, mais aussi ce que l’on appelle le « mariage » homosexuel – où un homme peut « épouser » un homme, et une femme « épouser » une femme.
Beaucoup célèbrent cette supposée « avancée » de notre culture, mais ils sont maintenant confrontés à un dilemme : lorsque vous déplacez la limite définie par le Créateur, où la replacez-vous ? Après tout, pourquoi s’arrêter à la définition du mariage pour n’inclure qu’une PAIRE de personnes ? Pourquoi pas trois personnes ? Pourquoi pas quatre ? Pourquoi pas un « mariage » de cinq personnes, avec deux femmes et trois hommes ?
William Baude, professeur adjoint de droit à l’université de Chicago, s’est penché sur cette question, dans une tribune libre publiée dans le New York Times en juillet 2015 dans laquelle il a écrit :
« S’il n’y a pas d’importance dans le sexe opposé en matière de mariage, y a-t-il de l’importance dans le chiffre deux ? […] Le point essentiel est que nous devrions nous rappeler que les objections les plus solides d’aujourd’hui finissent parfois par sembler insignifiantes des décennies plus tard. […] Au fur et à mesure que nous assistons à de nouvelles expériences de familles non nucléaires, nos opinions sur le mariage pluriel pourraient également changer […] Nous devons reconnaître qu’une fois que nous abandonnons les contraintes rigides de l’Histoire, nous ne pouvons pas être sûrs de savoir où l’avenir nous mènera. »
Il a parfaitement raison, mais il a tort sur un point : nous n’avons pas abandonné les « contraintes rigides de l’Histoire ». Nous avons abandonné la direction et les limites fixées par un Dieu aimant.
Et nous récoltons le chaos, car le concept même de « famille » est déformé, méconnaissable et de plus en plus vide de sens.
Fin 2016, l’Ontario, au Canada, a adopté une loi retirant les termes « mère » et « père » des certificats de naissance, car cela présume trop. En fait, ils autorisent désormais jusqu’à quatre parents à être inscrits pour un enfant – chacun agissant aux yeux de la loi comme le parent légal de l’enfant.
Si cela ne semble pas assez bizarre, considérez l’argument de Gary Marchant, du Centre de la loi, de la science et de l’innovation de l’université de l’État de l’Arizona. Dans un article intitulé « Intelligence artificielle, je me marie avec toi », publié sur Slate, il affirme que le fait de redéfinir le mariage pour y inclure les « mariages » entre personnes de même sexe ouvre de façon réaliste la voie aux gens pour qu’ils se marient avec des machines et des robots. Il a écrit :
« La question se résume au “droit fondamental” d’une personne dans une société libre de choisir la nature des relations et du style de vie qu’elle choisit de poursuivre, à condition qu’elle ne nuise pas déraisonnablement aux autres dans l’exercice de ses choix. Le mariage robot-homme ne concerne pas les droits des robots ; il concerne le droit d’un humain à choisir d’épouser un robot. »
En abandonnant le dessein de Dieu, nous sommes devenus – en l’espace d’une seule génération – une civilisation dans laquelle la famille et le mariage sont devenus tellement insignifiants que les enfants peuvent à présent avoir quatre parents et que les juristes soutiennent que les gens ont le droit d’épouser des machines !
Et, croyez-le ou non, la confusion de la société est encore plus profonde. Nous allons y revenir dans un instant.
Mais d’abord, je dois prendre un moment pour vous donner l’occasion d’obtenir le DVD gratuit d’aujourd’hui « Une culture en crise ». Ce DVD contient une collection de certaines de nos émissions les plus puissantes à ce jour. En fait, beaucoup d’entre vous qui nous regardez aujourd’hui n’ont pas vu certaines de ces émissions parce qu’elles ont été interdites sur certaines chaînes de télévision en raison de la force de leur contenu. Mais nous ne nous laisserons pas intimider. « Une culture en crise » examine certains des sujets les plus controversés de notre époque à la lumière de la raison et de la parole de Dieu. Obtenez votre exemplaire gratuit dès aujourd’hui.
Alors que nous examinons de près la civilisation qui sombre dans le chaos, nous passons de la destruction du mariage et de la famille à quelque chose d’encore plus basique, et à des changements qui sont peut-être encore plus dévastateurs.
Considérez le mouvement croissant des « transgenres ». Il semble qu’une civilisation qui a produit des penseurs tels que René Descartes, Albert Einstein et Léonard de Vinci ne parvienne soudain plus à déterminer quelles toilettes les hommes et les femmes doivent utiliser.
La Bible déclare que Dieu a fait du sexe et du genre une question simple. Dans Matthieu 19, Jésus-Christ cita le livre de la Genèse et dit :
« N’avez-vous pas lu que Celui qui les créa les fit dès le commencement homme et femme, et qu’il dit : À cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair ? » (Matthieu 19 :4-5, Neuchâtel)
Au lieu de « homme » et « femme », ceux qui cherchent à influencer l’opinion publique nous disent de plus en plus que le genre est un spectre fluide avec de multiples options – et que l’on peut même changer d’un genre à l’autre ! Le mouvement « transgenre » nous dit que même si vous êtes né garçon, si vous pensez être une fille, alors vous l’êtes ! Et même si vous êtes née fille, si vous pensez être un garçon, alors vous l’êtes. Ce que vous êtes n’a plus d’importance – ce qui compte, c’est ce que vous pensez être… ce que vous ressentez…
À présent, comprenez bien : je n’essaie pas de minimiser ou de diminuer la souffrance de nombreuses personnes transsexuelles. Beaucoup d’entre elles vivent une agonie sincère en se regardant dans le miroir, confuses et effrayées. Elles ne savent pas toujours pourquoi elles ont ces sentiments, et beaucoup d’entre elles se tourmentent à cause de leurs sentiments. Mais sous prétexte d’être « progressiste » et « éclairée », la société abandonne ces personnes qui ont besoin d’aide.
Considérez l’avertissement de Dr Paul McHugh, professeur émérite de psychiatrie à la faculté de médecine de l’université Johns Hopkins. Pendant 25 ans, il fut le psychiatre en chef de l’hôpital Johns Hopkins. Dans une tribune pour le Wall Street Journal et publiée pour la première fois en 2014, il expliqua sans détour la situation désespérée de la population transgenre :
« Les transsexuels souffrent d’un trouble de “l’hypothèse” comme ceux d’autres troubles connus des psychiatres. Chez les transsexuels, l’hypothèse désordonnée est que l’individu diffère de ce qui semble être donné par la nature, à savoir sa masculinité ou sa féminité. Les personnes souffrant d’anorexie et de boulimie ont d’autres types d’hypothèses désordonnées, où l’hypothèse qui s’écarte de la réalité physique est la croyance par des personnes dangereusement minces qu’elles sont en surpoids. »
Dans le cas d’une personne anorexique, par exemple une jeune femme qui dépérit et devient dangereusement maigre mais qui est pleinement convaincue dans son esprit qu’elle est en surpoids ou obèse, la société réagit encore avec amour et compassion. Nous ne sommes pas d’accord avec elle sur le fait qu’elle est en surpoids ou obèse simplement parce qu’elle est totalement convaincue dans son esprit qu’elle l’est ! Nous cherchons à l’aider à surmonter sa confusion pour voir la vérité. Nous cherchons à l’aider à voir la réalité… Nous cherchons à lui sauver la vie.
Dans le même article, Dr McHugh met en lumière une étude suédoise de 2011 portant sur les personnes transgenres qui ont choisi de subir une opération chirurgicale dite de « changement de sexe », afin que leur corps corresponde à ce qu’elles croient être dans leur esprit. Bien que la Suède soit l’une des nations les plus favorables au monde à l’homosexualité et aux modes de vie transgenres, l’étude a montré que des difficultés mentales étaient fréquentes après la chirurgie, et que le taux de décès par suicide de ces personnes atteignait presque vingt fois celui de la population non transgenre ! Vingt fois plus élevé !
Mais plutôt que de ralentir, la société continue de foncer à toute vapeur vers l’abîme. En juin 2016, Scientific American a évoqué la possibilité de greffer sur des hommes des utérus. Et, de plus en plus, nous entendons parler de familles qui choisissent de donner des bloqueurs d’hormones à leurs très jeunes enfants afin d’empêcher la puberté et de faciliter une future opération de changement de sexe. Dr McHugh a des mots clairs pour les parents qui font un tel choix :
« Étant donné que près de 80% de ces enfants abandonneraient leur confusion [de genre] et se développeraient naturellement dans la vie adulte s’ils n’étaient pas traités, ces interventions médicales sont proches de la maltraitance des enfants. »
Contrairement à une société qui se consacre à ignorer la réalité – où même les mots « garçon » et « fille » ont perdu leur sens – Jésus-Christ a déclaré : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres » (Jean 8 :32, Neuchâtel)
Il n’y a pas de liberté dans la confusion de genre que nous voyons de plus en plus adoptée autour de nous. Seulement des vies brisées, et une profonde descente vers le chaos.
J’aimerais vous dire que nous avons fini de descendre dans le terrier du lapin, mais dans notre prochain segment, nous verrons que la confusion va tout droit au cœur même de ce que signifie être un humain.
Avant cela, permettez-moi de faire une brève pause pour vous donner une nouvelle occasion de demander le DVD gratuit proposé aujourd’hui, « Une culture en crise ». Ce matériel est sans compromis et honnête – si honnête que certaines chaînes de télévision ont refusé de diffuser une partie de son contenu. Vous devez voir ce que d’autres ont essayé de vous cacher. Votre exemplaire est déjà payé et ne vous coûte rien. Vous le demandez, et nous vous l’envoyons, sans aucune autre obligation. Commandez votre DVD dès aujourd’hui.
Pour toute la confusion dont nous avons parlé jusqu’à présent dans l’émission d’aujourd’hui, la confusion que nous allons examiner à présent est peut-être la plus fondamentale et la plus dommageable de toutes.
La société a oublié ce que cela signifie d’être un être humain. Les êtres humains sont-ils différents des animaux, ou même des plantes ? Vous serez surpris de ce que l’humanité ne semble plus comprendre et de la profondeur de la confusion dans laquelle beaucoup se trouvent désormais.
Une fois encore, la parole de Dieu est claire. Dans Genèse 1, nous lisons au sujet de la création de l’humanité : « Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance… Et Dieu créa l’homme à son image ; il le créa à l’image de Dieu ; il les créa mâle et femelle » (Genèse 1 :26-27, Ostervald).
Mais l’idée que l’homme est unique et créé à l’image de Dieu est en train de disparaître de notre société – et le chaos et la confusion en sont le résultat.
Par exemple, regardez la fascination croissante pour les piercings extrêmes et les tatouages. Lorsque vous ne voyez pas votre corps comme un reflet de l’image sacrée de votre Créateur, il n’y a aucun respect pour son intégrité en tant que chose à entretenir et à préserver. Dans un article fascinant publié sur le site de la BBC en avril 2016, une jeune femme nommée Tass Cambitzi, qui se faisait péniblement enlever chacun de ses dix-huit tatouages, a fait une observation intéressante sur la culture du tatouage à laquelle elle avait adhéré. Elle a déclaré à la BBC : « J’étais entourée de beaucoup de personnes endommagées, et c’est un thème commun – je déteste le dire – mais les personnes endommagées se marquent de tatouages. » Lorsque nous ne nous considérons pas comme étant faits à l’image de Dieu, les portes pour devenir une personne endommagée s’ouvrent en grand.
En perdant de vue la création spéciale que représente l’humanité, nous ne voyons plus la différence entre nous et le monde animal. En décembre 2013, une organisation appelée Nonhuman Rights Project a intenté des poursuites à New York pour obtenir des droits pour quatre chimpanzés, demandant au tribunal de les reconnaître comme des « personnes morales autonomes ». De plus en plus, la philosophie de beaucoup reflète les mots infâmes de la militante des droits des animaux Ingrid Newkirk, qui a déclaré : « Un rat est un cochon qui est un chien qui est un garçon. »
Mais le chaos et la confusion sont encore plus graves ! Il y a plusieurs années, la Suisse a notoirement ajouté un sens des « droits des plantes » à ses considérations juridiques, et un comité fédéral d’éthique a produit un rapport en avril 2008 sur la nécessité de respecter la « dignité » inhérente des plantes.
Lorsque nous considérons le chaos moral que représente une telle pensée, d’autres éléments croissants de confusion et de désordre dans notre société ne sont pas étonnants…
Le DVD gratuit que nous enverrons à tous ceux qui en feront la demande aujourd’hui – « une culture en crise » – comporte un segment spécial consacré à la question de l’avortement. Il traite de la question avec sensibilité et avec des faits d’une manière que vous n’avez probablement jamais vue auparavant, et je vous encourage à vous procurer votre exemplaire gratuit.
Mais arrêtons-nous un instant et considérons les statistiques flagrantes. L’institut Guttmacher est une organisation pro-avortement qui cherche à rendre compte avec précision des statistiques sur l’avortement et, en mai 2016, il a indiqué que sur la période de 2010 à 2014, il y eu 56 millions d’avortements dans le monde chaque année. Cela équivaut approximativement à une attaque terroriste du 11 septembre toutes les demi-heures, tous les jours, toute l’année, sans interruption. Rien qu’aux États-Unis, on compte 2900 avortements par jour – ce qui équivaut à près d’une attaque du 11 septembre chaque jour.
Dès que la vie humaine n’est plus vue comme sacrée, elle devient bon marché. Mais la confusion ne fait qu’empirer. Ayant rejeté la définition divine du caractère sacré de la vie humaine, les experts en éthique tirent la sonnette d’alarme : on ne sait plus où tracer la limite à partir de laquelle tuer devient un meurtre.
En février 2012, les éthiciens Alberto Giubilini et Francesca Minerva ont publié un article qui a suscité une vaste controverse. Il était intitulé : « L’avortement après la naissance : pourquoi le bébé devrait-il vivre ? » Ils affirmaient que s’il est moralement acceptable de tuer un enfant dans l’utérus, il est tout aussi acceptable de tuer un nouveau-né même APRÈS sa naissance. Cependant, si ce document a suscité la controverse, c’est en partie parce que sa logique était solide et irréfutable, comme l’ont admis même de nombreux partisans de l’avortement. L’avortement et l’infanticide sont moralement équivalents.
Voilà le désert moral chaotique dans lequel nous nous trouvons ! Si la vie humaine n’est pas sacrée et que nous ne sommes tous que des animaux, qu’importe si nous tuons nos enfants ? Si la vie humaine n’est pas sacrée, quelle différence cela fait-il de savoir avec qui ou quoi nous nous marions ou avons des relations sexuelles ? Si la vie humaine n’est pas sacrée, qu’importe si je demande à un médecin de découper mon corps et de me faire ressembler au sexe opposé ? En fait, qu’importe si cela m’apporte la misère, la dépression et le suicide ? Si la vie humaine n’est pas sacrée, quelle différence cela fait-il si je défigure mon corps avec des piercings extrêmes ou des tatouages ? Si la vie humaine n’est pas sacrée, pourquoi devrais-je avoir plus de droits qu’un chimpanzé ou un chat domestique ? Ou plus de droit à la vie qu’un plant de tomate ? Si la vie humaine n’est pas sacrée, quelle différence cela fait-il si notre monde sombre dans le chaos ?
Mais la vie humaine est sacrée. Nous sommes faits à l’image de Dieu. Et Il a la solution au chaos que nous créons. Nous discuterons de cette solution dans notre dernier segment.
Comment pouvons-nous éviter cette chute dans le chaos ? Vous savez, la Bible commence par un récit intéressant qui contient une leçon importante sur cette question précise. Commençons la lecture dans Genèse 1 :1-2 :
« Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. »
Les mots « informe et vide » du verset 2 sont traduits à partir des deux mots hébreux tohu et bohu. Ils indiquent un état chaotique et désolé. Après la création originale du monde, et pour des raisons que nous avons expliquées dans d’autres programmes, la Terre se trouvait dans un état de dévastation, de ruine et de chaos – tohu et bohu.
De ce chaos, Dieu refaçonna le monde que nous connaissons et dans lequel nous vivons aujourd’hui. Comment fit-Il cela ? Il le fit en établissant des limites divinement ordonnées qui apportent de l’ordre au chaos. Réfléchissez-y.
Dans Sa sagesse, Dieu mit de l’ordre dans le chaos en créant des limites là où il n’y en avait pas. Comme nous l’avons déjà lu, dans Genèse 1 :26-27, Dieu sépara l’homme des animaux, déclarant que seul l’homme est fait à Son image et le plaçant au-dessus des animaux. Il créa l’homme et la femme, distincts mais semblables – là encore, une limite et un ordre.
Puis, le dernier jour de cette semaine, Il créa une autre limite, en séparant Son propre jour, le sabbat, des six autres jours.
Un monde décrit dans Genèse 1 :2 comme étant dans un chaos total est – au moment où vous arrivez à Genèse 2 :3 – un paradis ordonné et paisible qui jouit de son premier sabbat avec son Créateur. Alors que Dieu passe en revue tout ce qu’Il a façonné à partir du chaos cette semaine-là, Genèse 1 :31 nous dit : « Dieu vit tout ce qu’il avait fait et voici, cela était très bon. »
Dieu reste, aujourd’hui encore, tout aussi capable de prendre le chaos et de le transformer en quelque chose de « très bon ». Ses lois et Son mode de vie sont décrits dans la Bible comme une lampe à nos pieds et une lumière sur notre chemin. Et ceux qui procurent l’ordre dans le chaos le cherchent toujours comme leur guide.
Je prie pour que vous le cherchiez dans ce monde de chaos et de confusion et que vous récoltiez les bénédictions de l’ordre et de la clarté dans votre vie et dans celle de votre famille.