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Pourquoi essayer de bannir la Bible lorsqu’il est possible de bannir ses idées ? La culture de l’effacement lance des attaques contre ses concepts, les uns après les autres.
Dans notre société moderne garantissant la liberté religieuse, personne n’oserait vouloir effacer la Bible, n’est-ce pas ?
La Bible a été une puissante force qui a façonné d’importants aspects de la civilisation moderne. Nous constatons cependant qu’elle est de plus en plus ignorée et très peu de gens essaient désormais de mettre vraiment ses principes en application. La véritable signification des Écritures est évitée, reniée et rationalisée par un grand nombre de personnes. Cependant, même en suivant ses instructions de façon imparfaite, aucun autre livre n’a eu une telle influence dans l’édification de la civilisation moderne. De nombreuses cultures qui ont toujours rejeté la Bible ont accepté indirectement certains de ses principes en important des idées venues de l’Occident. La Bible a façonné nos pensées en termes d’économie, de finance, de gouvernement, de relations interraciales, de morale sexuelle, de structure familiale, de responsabilité individuelle, d’obligations sociales et bien d’autres facettes de notre civilisation. Même dans notre société de plus en plus séculière, elle continue de diriger notre mode de pensée.
Si quelqu’un voulait restructurer la civilisation – réécrire les normes des interactions humaines et de la compréhension de ce que nous sommes – il aurait besoin de supprimer la place de la Bible dans la sphère publique. Alors même que notre société ignore de plus en plus les Écritures, c’est plus facile à dire qu’à faire. Le temps a montré qu’il était très difficile de laisser ce livre de côté, car les concepts bibliques sont extrêmement intriqués dans la culture occidentale.
De nombreuses attaques ont été lancées contre la Bible. Depuis plusieurs décennies, elle est bannie des écoles publiques. Des siècles plus tôt, au Moyen Âge, les dirigeants catholiques ont lancé des persécutions pour empêcher qu’elle soit traduite dans les langues vernaculaires du peuple, préférant le latin pour se protéger, car les gens auraient constaté les différences flagrantes entre les enseignements de cette Église et les paroles claires contenues dans les Écritures.
Malgré les interdictions et les persécutions, la Bible reste le livre le plus imprimé dans le monde à ce jour. Au printemps 2021, la Société biblique suisse annonçait que la Bible a été traduite en 704 langues.1
Dans la plupart du monde occidental, il serait impensable de bannir le livre le plus populaire au monde. Impensable ? Pour l’instant seulement… Le simulacre de liberté religieuse fait que l’interdiction de la Bible serait considérée comme le summum de l’intolérance religieuse, même dans les cultures séculières où la Bible est rarement lue et où ses valeurs sont bafouées. Pour l’instant, la censure de la Bible serait inacceptable pour la majorité des gens dans le monde occidental.
Cependant, des réformateurs autoproclamés refusent tout obstacle sur la voie du changement qu’ils désirent infliger à notre monde. Ni l’opinion publique. Ni la logique. Ni Dieu. Et sûrement pas un livre.
C’est alors qu’entre en jeu la « culture de l’effacement » – un terme populaire désignant la tendance croissante de la société moderne à censurer les individus qui adoptent des points de vue impopulaires ou mal vus socialement. La culture de l’effacement a empoisonné de nombreuses universités, des lieux soi-disant dédiés aux discussions rationnelles et impartiales, où des intervenants sont de plus en plus rabaissés ou mis à l’écart suite à la réaction des étudiants. Un lieu où des professeurs ont été écartés ou licenciés pour avoir exprimé des points de vue considérés comme offensants. En fait, des acteurs, des journalistes, des politiciens, des scientifiques, des enseignants et bien d’autres ont perdu leur emploi à cause de la culture de l’effacement.
Nous entrons assurément dans une époque où règne une volonté incroyable de censurer et de bannir certaines informations dans des nations qui, jusqu’à peu, étaient considérées comme des exemples de la liberté d’expression et d’opinion.
Dans cet environnement oppressant, beaucoup y voient une opportunité : il n’est pas nécessaire de bannir la Bible, il suffit de purger du discours public tous les éléments reposant sur une vision biblique du monde. Vous n’avez pas besoin de bannir le livre si vous pouvez bannir les idées qui se trouvent dans le livre.
Ceux qui veulent remanier la société à leur image se sont adaptés et la culture de l’effacement s’attaque aux concepts bibliques, l’un après l’autre.
Un des principes bibliques les plus attaqués concerne la vie avant la naissance. Les Écritures montrent clairement que la vie humaine n’est pas une vie animale, mais qu’elle est faite à l’image de Dieu (Genèse 1 :26). La célèbre déclaration biblique concernant les jugements équitables pour les crimes – « vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent » – est donnée par Dieu dans le contexte d’un homme blessant une femme enceinte et causant du tort ou faisant perdre la vie à son enfant à naître (Exode 21 :22-25). Dieu mentionne à de multiples occasions qu’Il considère un embryon ou un fœtus comme un être humain à part entière et Il s’arroge le mérite de la création de cet individu (par ex. Job 31 :15 ; Psaume 139 :13-14 ; Jérémie 1 :5).
Ceux qui s’attachent au concept biblique de la vie avant la naissance se rendent compte qu’il est de plus en plus difficile d’en parler publiquement.
En 2018, une candidate au Sénat américain, Marsha Blackburn, essaya de publier une campagne de publicité sur Facebook, mettant en avant sa position anti-avortement. Initialement, Facebook refusa de publier les annonces, déclenchant des accusations de censure politique. Plus tard, des responsables de Facebook s’excusèrent de façon officielle en déclarant que le retrait de cette campagne était une erreur de leur part, mais d’autres ont subi la même mésaventure sans recevoir aucune excuse. La célèbre « Marche des femmes » à Washington réunit des milliers de féministes, venues des quatre coins du pays, qui souhaitent faire avancer ce qu’elles considèrent être une législation et des droits bénéfiques pour les femmes. Mais elles refusent que soient présentes les féministes qui s’opposent à l’avortement et qui croient au concept biblique de la vie infantile avant la naissance. Cette situation a été décrite en janvier 2019 dans le journal The Atlantic :
« Des femmes anti-avortement ont été exclues de la marche nationale. Bien qu’un certain nombre de groupes féministes se décrivant pro-vie [le mouvement anti-avortement aux États-Unis] se soient inscrits pour sponsoriser et défiler au sein de la Marche des femmes originelle, ceux-ci ont été supprimés de la liste officielle des soutiens de la marche à cause de leurs opinions anti-avortement. »2
Comme cet article le souligne, cette exclusion est ironique car des femmes dirigent de nombreuses organisations politiques puissantes qui s’opposent à l’avortement. Mais aux yeux des organisatrices de la Marche des femmes, le besoin de rejeter toutes celles qui adoptent des principes bibliques concernant la vie avant la naissance l’a emporté sur toutes les autres considérations, peu importe toutes les autres idées « pro-femme » qu’elles pourraient avoir en commun. Pour elles, le fait de croire qu’un enfant devrait être respecté avant même sa naissance, en tant qu’être humain fait à l’image de Dieu, est une raison suffisante pour rejeter toutes ces personnes qui soutiendraient la manifestation.
En mars 2021, Dr Joshua Swamidass a écrit une lettre ouverte intitulée « Un compromis sur le créationnisme »3 qui semblait, en apparence, tresser une couronne de laurier aux institutions scolaires enseignant l’idée que Dieu a créé la vie sur la Terre. Mais une lecture plus attentive révèle que son intention est tout le contraire. Swamidass recommande que les écoles qui enseignent toute forme de créationnisme « qui se détache des normes nationales » doivent « mentionner de façon très visible » la présence d’une telle instruction sur les transcriptions et les documents afin de s’assurer que ces cours ne soient pas autorisés dans l’obtention de diplômes scientifiques reconnus.
Il existe assurément des théories erronées du « créationnisme » qui ignorent à la fois les preuves bibliques et scientifiques, mais l’expression « qui se détache des normes nationales » est trop souvent synonyme de « qui n’accepte pas l’évolution comme étant l’origine de la vie ».
Le fait de reconnaître qu’il existe des preuves scientifiques significatives soutenant un design intelligent derrière l’origine et la diversité de la vie a porté atteinte à de nombreuses carrières professionnelles. Cette position est bien trop proche de la description biblique de Dieu pour pouvoir être autorisée.
Par exemple, lorsqu’il a été révélé que le microbiologiste Scott Minnich, qui a conduit des expérimentations donnant du crédit aux théories du design intelligent, allait témoigner en faveur du design intelligent devant un tribunal, le président de son université a rédigé une lettre envoyée à tout le corps enseignant, au personnel et aux étudiants, déclarant que seule l’évolution était « acceptable pour être enseignée dans [les] cours de biophysique ». La lettre impliquait que le fait d’être en désaccord avec l’évolution était seulement possible en cas de raisons philosophiques ou religieuses, contredisant ainsi la recherche du Dr Minnich, et elle interdisait effectivement tout commentaire disant le contraire dans les cours de science de l’université.4
Dr Minnich est loin d’être le seul. Richard Sternberg, détenteur de deux doctorats, a affronté une persécution professionnelle pour avoir autorisé la publication d’un article scientifique allant dans le sens du design intelligent. Après avoir exprimé son soutien public à l’idée que des preuves scientifiques corroborent une origine intelligente de la vie, le paléontologue Dr Günter Bechly a été poussé à démissionner de son poste de curateur dans un musée, après 17 ans de bons et loyaux services, ainsi que de nombreux articles publiés.5
Le thème de leurs messages est le même : la moindre once d’information biblique sur les origines de la vie et de la diversité, ainsi que le moindre désagrément avec le dogme de l’évolution est suffisant pour mériter l’effacement.
Pendant quelque temps, il fut possible d’acheter sur le site d’Amazon le livre de Ryan Anderson Quand Harry est devenu Sally : une réponse au mouvement transgenre, paru en 2018. Mais ce livre est désormais banni de leur site. Sachant que la part de marché d’Amazon dans le commerce de détail approche les 50% aux États-Unis, une telle interdiction a un impact considérable sur les ventes !
En réponse aux questions formulées par quatre sénateurs américains, Amazon a expliqué qu’il interdisait à la vente tous les livres qui « représentent l’identité LGBTQ+ comme une maladie mentale ». Mais il suffit de lire le livre pour se rendre compte que l’auteur n’y fait aucune déclaration de ce genre. Anderson se focalise précisément sur la question d’aider au mieux ceux qui souffrent de confusion à propos de leur genre, en présentant des études qui démontrent que les chirurgies modifiant le corps et les traitements hormonaux à vie engendrent des issues négatives. Ce livre conteste en particulier le processus de « transition de genre » chez les enfants, en particulier parce que la confusion de genre se résorbe généralement toute seule avec l’âge. Les estimations montrent que le nombre d’enfants présentant une « dysphorie de genre », qui disparaît tout simplement avec l’âge, sans aucune intervention, est compris entre 80 et 95%.
Mais l’enseignement biblique de Jésus-Christ, montrant que « Dieu fit l’homme et la femme » dès le commencement de la création (Marc 10 :6 ; cf. Genèse 1 :27), est une cible de choix pour ceux qui veulent réinventer la société. Reniant le fait que Dieu ait planifié cet aspect inhérent et binaire dans la création, ils pensent que le « sexe » et le « genre » se situent sur un « spectre » de caractéristiques malléables que l’humanité est libre de redéfinir selon les dogmes du moment et que la Bible fait obstacle à ces dogmes. Que les enseignements s’opposant à ces dogmes soient étayés ou non par des études scientifiques, ils sont retirés du « marché des idées » et, dans le cas d’Amazon, du marché tout court.
La plupart de ceux qui cherchent à faire interdire de la vie publique les enseignements de la Bible ne cherchent pas à détruire le monde ou la civilisation. Beaucoup ont leur propre vision d’une société juste, équitable et « bonne ». Ils considèrent simplement les Écritures comme un obstacle dans leur quête.
Mais de tels rêves ne sont que des illusions. Bien que les enseignements bibliques aient rarement été totalement acceptés par quelque nation que ce soit, le fait est que de nombreuses fondations de la société civile reposent sur des principes présents dans la Bible. Bien qu’ils aient été mis en pratique de façon imparfaite, ces principes sont au cœur de ce qui rend notre monde moderne civilisé, sûr et sain.
Nous tournons le dos à la Bible à nos risques et périls.
La phrase la plus célèbre du philosophe Friedrich Nietzsche est peut-être : « Dieu est mort ! » Ces trois mots l’ont rendu très populaire dans les milieux athées et le philosophe lui-même ne croyait pas en Dieu. Cependant, le contexte de son infâme déclaration est souvent oublié et il est intéressant de noter ses observations sur ce qu’implique de vivre dans un monde sans Dieu. Nietzsche reconnaissait que sans Dieu, la civilisation ne possède plus de bases sur lesquelles reposent la morale objective et le sens de la vie. Les nombreuses valeurs morales qui rendent possible la vie civilisée, comme l’honnêteté, la miséricorde, la compassion et l’altruisme, n’ont plus aucune base pour être considérées comme des « valeurs morales ». Le résultat est le nihilisme, l’idée que l’existence est vide de sens et inutile.
Comme de nombreux autres « ingénieurs sociaux » de notre époque, Nietzsche adopta l’arrivée du nihilisme car il pensait qu’il pourrait être surmonté et qu’une société sans Dieu pourrait découvrir, d’une manière ou d’une autre, comment redéfinir ses valeurs afin d’atteindre son potentiel ultime.
Bien entendu, Nietzsche n’a jamais terminé son projet de réinventer toutes les valeurs, car c’est une quête insensée. Dès que nous décidons que nous savons mieux que Dieu, que nous n’avons pas besoin de Lui pour déterminer les « vraies » valeurs de notre monde, nous nous retrouvons dans un bateau à la dérive au milieu d’une tempête. Il n’existe aucun fantasme utopique au-delà du nihilisme découlant du rejet du Dieu de la Bible. Il n’existe alors qu’un monde de compétition animale, brutal et vide de sens, où chaque individu ne cherche qu’à survivre.
L’apôtre Paul avait annoncé prophétiquement une telle époque dans une de ses lettres adressées au jeune évangéliste Timothée :
« Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l’argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là » (2 Timothée 3 :1-5).
Sommes-nous capables d’admettre que cette description correspond de plus en plus à notre monde ? Brutal. Blasphématoire. Impitoyable. Incapable de se contrôler. Focalisé sur soi et sur les plaisirs. Ayant un semblant de dévotion, avec une passion et un zèle semblables à la religion, mais reniant la puissance de la véritable piété.
La prophétie de Paul est comme un miroir tendu à notre monde qui s’éloigne de plus en plus de la Bible. Une multitude de nouvelles idéologies – comme l’identité politique, le changement climatique, la refonte sociale et économique, l’anarchie sexuelle et genrée, ainsi que les théories raciales – sont prêtes à agir comme de nouvelles religions et à recruter des fidèles zélés. Entre-temps, nos villes sombrent de plus en plus dans le chaos et nos concitoyens semblent prêts à considérer leurs voisins à peu près comme des animaux, uniquement en raison de différences d’opinion au sujet de tel ou tel politicien ou de l’efficacité des vaccins.
Nous devenons brutaux. Nous vivons dans un monde à feu et à sang, car il est impossible de bannir la parole de Dieu de la civilisation sans en subir les conséquences.
En fin de compte, ces efforts finiront par échouer. La Bible ne sera pas bannie de façon permanente, car il est impossible de réduire au silence le Dieu tout-puissant. Jésus-Christ a prophétisé qu’à l’approche de Son retour, Son message du Royaume de Dieu à venir sera prêché dans le monde entier (Matthieu 24 :14). Ce message inclut non seulement la bonne nouvelle de Son retour, mais aussi l’avertissement que les voies et les opinions de cette « génération perverse » (Actes 2 :40) seront supplantées à Son retour par la vérité objective, la morale biblique et un respect renouvelé pour ce qui vient de Dieu.
Cela ne signifie pas que la prédication de ce message dans le monde sera toujours simple. Au contraire ! Alors que nous voyons actuellement une certaine résistance au message biblique de la part des milieux séculiers, l’époque viendra où la religion même opposera une résistance encore plus forte, une version du « christianisme » approuvée par un État qui tiendra le monde entier sous sa coupe.
L’apôtre Jean a écrit au sujet de cette puissance religieuse mondiale, ainsi que de son union impie avec des puissances politiques, économiques et militaires. Dans une vision pour l’avenir – notre avenir – Jean vit comment ces entités mondiales dominantes, religieuse et politique, proféreront « des paroles arrogantes et des blasphèmes » contre le vrai Dieu et feront la guerre à ceux qui vivent selon les vérités bibliques et les enseignent (Apocalypse 13 :5-7).
À l’approche de cette époque, ceux qui prêchent la vérité biblique pourraient être de plus en plus marginalisés, en comprenant ce que l’apôtre Pierre proclama lorsque les obligations envers Dieu et les lois des hommes entrent en conflit : « Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes » (Actes 5.29).
Non, Jésus-Christ ne sera censuré ni par des partisans du sécularisme qui cherchent à réduire au silence toutes les opinions qui s’opposent à leur vision illusoire du monde, ni par les mastodontes religieux qui cherchent à écraser tous ceux qui osent révéler au grand jour leur corruption de la véritable foi chrétienne. Dès le premier siècle de notre ère, alors que le corps des croyants du Christ affrontait une résistance croissante des gouvernements et des dirigeants qui voulaient les empêcher de parler « sur la justice, sur la tempérance, et sur le jugement à venir » (Actes 24 :25), des règlements, des lois et des restrictions barraient déjà le chemin à la prédication de l’Évangile du Royaume de Dieu. Mais ce message sera proclamé.
Effacer la Bible est un art très subtil que de nombreuses forces dans le monde manient habilement en tant qu’instruments involontaires du diable. Mais en fin de compte, la parole de Dieu ne sera pas effacée et Sa voix ne sera pas réduite au silence. Tout ce que nous pouvons vous dire est de continuer à suivre nos publications pour en avoir la preuve.
1 “La Bible traduite dans toujours plus de langues, malgré le coronavirus”, communiqué de presse, Société biblique suisse, 24 mars 2021
2 “Women Are Not a Monolith”, The Atlantic, 19 janvier 2019
3 “A Compromise on Creationism”, The Wall Street Journal, 4 mars 2021
4 “Scott Minnich”, FreeScience.today/story/scott-minnich, 16 janvier 2018
5 “Günter Bechly”, FreeScience.today/story/gunter-bechly, 11 novembre 2017