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Dans notre monde séculier, rempli de sceptiques, Dieu est-Il encore pertinent ? Représente-t-Il une idée obsolète ou un Créateur vivant avec qui vous pouvez établir un lien personnel ? La bonne nouvelle est que Dieu est non seulement réel, mais Il est vivant et Il attend que vous entriez en contact avec Lui !
Les plus âgés d’entre nous se souviennent sans doute que les gens prenaient pour acquis le fait que la plupart des pays occidentaux étaient des « nations chrétiennes ». Les valeurs morales et les systèmes législatifs devaient beaucoup à la Bible et l’expression de la foi se révélait en public comme en privé. Mais tout cela a bien changé au cours des dernières décennies.
L’institut Gallup rapporta récemment que seulement 64% des habitants des États-Unis – une des nations les plus religieuses en Occident – étaient convaincus de l’existence de Dieu (Gallup.com, 8 novembre 2019). Dans le même temps, nous voyons de plus en plus de gens ne revendiquant aucune affiliation religieuse. En 2018, le journal La Croix a rapporté qu’une étude de l’Institut catholique de Paris et de l’université londonienne St Mary, menée dans 21 pays européens sur les 16-29 ans, avait révélé qu’une majorité de jeunes déclarent désormais être sans religion – par exemple, en Suisse (46%), en France (64%), en Belgique (65%) ou aux Pays-Bas (72%).
Que cela signifie-t-il pour la société ? Alors que la « chrétienté » dominait la pensée en Occident, l’absence de religion a inversé cette tendance. Le journal La Croix rapporte au sujet de cette étude :
« En France, [les jeunes] sont 64% à se déclarer sans religion, contre 23% de catholiques et 10% de musulmans, à nuancer au regard d’un sondage OpinionWay […] où 42% des 18-30 ans se disaient catholiques et 47% sans religion. Toutefois, ces précisions n’empêchent pas de constater que selon l’étude la référence religieuse s’estompe fortement. “Le constat est celui d’une situation de déclin généralisé de la pratique religieuse” […] Dans sept pays, plus de la moitié des personnes interrogées déclarent ne jamais assister à un office religieux (République tchèque, Pays-Bas, Espagne, Royaume-Uni, Belgique, France et Hongrie) » (“Les jeunes Européens de plus en plus loin des religions”, La Croix, 21 mars 2018).
Les « sans religion » représentent désormais le groupe le plus important dans la plupart des pays occidentaux !
Lorsque le magazine TIME publia sa célèbre une, en avril 1966, en demandant « Dieu est-il mort ? », c’était loin d’être la première fois que cette question était posée ou qu’une réponse y était apportée. Le philosophe allemand Friedrich Nietzsche avait répondu avec assurance 80 ans auparavant : « Dieu est mort : mais l'espèce humaine est ainsi faite qu'il y aura peut-être encore durant des millénaires des cavernes au fond desquelles on montrera son ombre. – Et nous – il nous faut aussi vaincre son ombre ! » (Le gai Savoir, Nietzsche, section 108, éditions Flammarion, traduction Patrick Wotling).
À présent, Nietzsche est mort, mais sa philosophie vit encore dans l’esprit des millions de gens qui non seulement ne croient pas en Dieu, mais qui haïssent même l’idée qu’un Dieu existe ! Au vingtième siècle, des millions d’êtres humains ont vécu et sont morts sous le contrôle d’États totalitaires qui proclamaient l’athéisme et qui travaillèrent d’arrache-pied pour empêcher leurs citoyens de croire dans un Être suprême. Même dans le monde occidental, l’athéisme est devenu à la mode, alors que les gens en sont venus à croire que la science, et non Dieu, leur apporterait un véritable salut.
Pourtant, au cours des dernières décennies, cette même science a fait des avancées considérables dans la compréhension de notre monde – et beaucoup de ces nouvelles connaissances soutiennent, voire requièrent, l’existence d’un concepteur intelligent et d’un esprit humain qui est davantage que le simple produit de processus biologiques ou chimiques.
Un siècle après la publication par le biologiste Charles Darwin de son ouvrage De l’origine des espèces en 1859, la communauté scientifique a commencé à être influencée par sa théorie de la sélection naturelle. Darwin lui-même reconnaissait que sa théorie ne prenait pas en compte des phénomènes naturels qui semblaient trop complexes à intégrer dans les mutations incrémentales et les sélections que sa théorie nécessitait, mais il était confiant que ces complexités seraient finalement expliquées. Depuis lors, les scientifiques cherchant à confirmer la théorie de Darwin ont proposé des explications évolutionnistes pour de nombreuses structures complexes. Mais comme pour la théorie de l’évolution, leurs explications sont également figées dans le monde des théories. Elles ne sont ni reproductibles ni observables. Ainsi, elles relèvent plus de la philosophie que de la science.
De nos jours, combien de gens comprennent que, même à l’époque de Darwin, il existait différentes façons d’interpréter les données découvertes ? Combien de scientifiques se souviennent-ils du nom d’Alfred Russel Wallace, un contemporain de Darwin largement reconnu à son époque comme le « codécouvreur » de l’évolution ? Lorsque Darwin entreprit son célèbre voyage pour les îles Galapagos, Wallace passa huit années à observer la faune et la flore sur le territoire actuel de l’Indonésie.
En 1855, il formula sa propre théorie de sélection naturelle et il envoya à Darwin un bref document à ce sujet. « Darwin était arrivé à la même conclusion des années auparavant et la lettre de Wallace l’incita à agir. Les deux hommes publièrent un article commun en 1858, débattant de la théorie de l’évolution et de la sélection naturelle » (NPR.org, 30 avril 2013).
Bien que Wallace ait abordé les mêmes questions biologiques que Darwin, il arriva à une conclusion différente. Il déclara qu’en étudiant le monde de la nature, « pour obtenir une explication quelque peu rationnelle de ces phénomènes, nous sommes contraints d’admettre l’action et la direction continues d’intelligences supérieures ; bien plus, que ces dernières ont probablement toujours agi pour un but unique, à savoir : le développement intellectuel, moral et spirituel des êtres vivants » (Le Monde de la Vie, 1914, librairie Kündig, page 430, traduction Caroline Barbey-Boissier).
Pour illustrer son point de vue, Wallace nous demanda d’imaginer un être extrêmement intelligent supervisant la construction d’une villa, d’un pont ou d’une ligne de chemin de fer, mais en ne voyant que le mouvement des matériaux et pas les ouvriers. Il imagina qu’un tel observateur déclarerait : « Nous connaissons les forces physiques et chimiques à l’œuvre dans ce monde étrange, et si nous prolongions suffisamment notre étude, nous verrions que les forces connues expliquent tout » (ibid., page 406).
Si nous voyons des individus effectuer quelque chose, mais que nous renions le travail intelligent de ces personnes et que nous étudions seulement les choses, nous passerions pour des fous. Cependant, c’est l’angle que Darwin et la majorité des scientifiques modernes ont choisi depuis plus d’un siècle – jusqu’à ce que des chercheurs aient commencé à faire des avancées dans la compréhension de la vie au niveau moléculaire. Voyez ce qu’a observé le biochimiste Michael Behe :
« À l’époque de Darwin, la science ne comprenait pas la fondation moléculaire de la vie. Ce n’est que maintenant, depuis une vingtaine d’années, que la science a suffisamment progressé pour examiner la vie dans les détails moléculaires nécessaires pour tester rigoureusement les idées de Darwin, en particulier […] les hypothèses voulant que la vie découle d’un contexte totalement aléatoire, et que des cycles répétés de mutations aléatoires et de sélection naturelle puissent construire des systèmes biologiques cohérents » (Darwin Devolves, 2019, page 256).
Que nous montrent ces détails moléculaires ? Dans sa célèbre illustration de l’improbabilité de la sélection naturelle sans un design intelligent, l’astronome Fred Hoyle avait observé qu’une cellule de levure et un avion gros-porteur avaient à peu près le même nombre d’éléments. Cependant, personne ne suggérerait sérieusement qu’un avion puisse évoluer spontanément à partir de ses pièces détachées. Hoyle écrivit que la probabilité que 2000 protéines (chacune contenant 200 acides aminés) se construisant seules, était à peu près la même qu’une tornade balayant une décharge publique puisse assembler un Boeing 747 (The Intelligent Universe, 1983, page 17).
Est-ce une coïncidence qu’au moment où la science découvre autant de preuves soutenant un design intelligent, la créativité humaine s’efforce de trouver des moyens de laisser Dieu en dehors de l’équation ? Certains parlent d’un « multivers » dans lequel notre Univers existerait en parallèle avec d’innombrables autres univers, la plupart d’entre eux ne supportant pas la vie comme le nôtre. Selon cette théorie, la probabilité qu’un univers puisse supporter la vie est de 1 pour plusieurs milliers de milliards, mais notre Univers se trouve en faire partie !
Une autre approche créative a attiré l’attention lorsque le philosophe Nick Bostrom a publié en 2003 un article intitulé « Vivez-vous dans une simulation informatique ? » (Philosophical Quarterly, volume 53, n°211). Beaucoup ont considéré cela comme une idée marginale, voire un exercice intellectuel intéressant, mais certainement pas une alternative sérieuse. En bref, Bostrom suggérait qu’à moins que la plupart des civilisations de niveau humain n’aient commencé à disparaître avant d’être suffisamment avancées pour créer des simulations informatiques de personnes, ou qu’elles soient assez avancées mais qu’elles n’aient manifesté aucun intérêt pour mener de telles simulations, la vaste majorité des individus qui ont une identité individuelle le feraient dans le cadre d’une simulation informatique.
Voyez-vous ce que décrit Bostrom ? Selon sa logique, la vaste majorité des personnes serait le résultat d’un design intelligent – mais Bostrom n’aborde jamais l’idée d’un Créateur divin ! Il n’élimine pas non plus le besoin d’un tel Créateur, il contourne simplement cette étape. Mais comment ses simulateurs pourraient-ils exister ? Finalement, lorsque Bostrom ne dispose plus de simulateurs, eux-mêmes simulés, la question reste en suspens : comment ses présumés simulateurs ont-ils vu le jour en tant qu’êtres intelligents capables de faire fonctionner les simulations ? L’argument de Bostrom ne fait que renforcer le besoin d’un Créateur existant avant Sa création !
Le principe de la biogenèse – validé par toutes les expériences au cours de l’Histoire de l’humanité – affirme que la vie peut seulement provenir de la vie. Les scientifiques ont essayé de créer la vie à partir de l’inerte, mais ils ont lamentablement échoué ! Lorsque même la plus simple des cellules est incroyablement complexe, est-il raisonnable de penser que la vie pourrait provenir de l’inerte ?
Les lois peuvent-elles provenir de l’absence de lois et du hasard ? Les scientifiques savent qu’il existe des lois mathématiques complexes qui déterminent le mouvement et l’expansion de l’Univers. Qui est responsable de ces lois et de leur application dans notre Univers ? Le scientifique Patrick Glynn a écrit que tout devait être « “en place” dès le commencement – en allant des valeurs des forces fondamentales comme l’électromagnétisme et la gravité, jusqu’aux masses relatives des diverses particules subatomiques, en passant par le nombre de types de neutrinos à la seconde 1, ce que l’Univers devait déjà “savoir” à la seconde 10-43. Le moindre décalage dans une seule de ces innombrables valeurs ou dans la nature de leurs interactions aurait produit un univers très différent de celui dans lequel nous habitons – par exemple, sans étoiles semblables à notre Soleil, ou sans étoiles du tout, point final » (God : The Evidence, pages 7-8).
Oui, les lois de la physique existent depuis le tout début de l’Univers. Les scientifiques admettent qu’il ne pouvait pas en être autrement. Et ces lois sont si précises qu’elles permettent à notre Univers d’exister de nos jours – et nous à l’intérieur ! Mathématiquement, il est très improbable qu’un tel Univers ait pu apparaître par hasard avec les propriétés exactes permettant l’existence humaine.
De nombreux scientifiques, emprisonnés par leur philosophie du matérialisme et déterminés à fournir des explications qui excluent la création divine, ont inventé des théories fantaisistes pour expliquer la complexité qui nous entoure. Mais beaucoup d’entre elles manquent de suite logique ou formulent l’hypothèse qu’un événement mathématiquement improbable ait eu lieu par « coïncidence ». En comparaison, les théoriciens du design intelligent mettent en avant la « complexité irréductible » de nombreuses créatures vivantes et de processus comme une preuve que celles-ci ne peuvent pas être le produit d’une mutation aléatoire et d’une sélection naturelle.
Les évolutionnistes ont essayé de réfuter la « complexité irréductible » dans la nature, mais même les biologistes les plus créatifs ne peuvent échapper à la réalité des mathématiques. La plupart des arguments des scientifiques contre le design intelligent reposent sur des chaînes extraordinairement improbables d’événements, en proposant parfois que les mutations auraient pris plusieurs milliers de milliards d’années à s’effectuer – dans un Univers qu’ils estiment être vieux de seulement 14 milliards d’années !
Les évolutionnistes accusent parfois les créationnistes de proposer un « Dieu des lacunes » – un Dieu omnipotent qui serait responsable de tous les phénomènes incompris par la science. Cependant, même une organisation scientifique prestigieuse et reconnue comme le National Geographic ne peut pas éviter les controverses au sujet de la théorie de l’évolution, en reconnaissant que « les fossiles retrouvés sont comme un film de l’évolution dans lequel 999 images sur 1000 auraient été perdues dans la salle de montage » (National Geographic, novembre 2004, page 25). C’est bien la théorie de l’évolution – pas le design intelligent – qui repose sur un manque de preuves !
Les évolutionnistes matérialistes sont confrontés au phénomène de la conscience humaine qui met au défi bon nombre de leurs suppositions. L’auteur et philosophe John Searle a écrit au sujet du mystère persistant entourant la conscience humaine : « Nous ne savons pas comment l’expliquer. Comparez la conscience et la physique. Nous sommes plutôt bons en physique, même s’il nous reste des domaines déconcertants, comme la mécanique quantique. Nous n’avons pas de théorie adéquate sur la manière dont le cerveau provoque un état de conscience et nous n’avons pas de théorie adéquate sur la façon dont la conscience s’intègre dans l’Univers » (Closer to Truth, Robert Kuhn, 2000, page 5).
Les philosophes se demandent depuis longtemps : « Comment pouvons-nous prouver que quelque chose existe autre que notre propre esprit ? » Le solipsisme est une philosophie proposant que le moi soit la seule réalité et que rien d’autre n’existe vraiment. Comment pouvons-nous être certains qu’il y ait une intelligence en dehors de notre propre esprit ? Comme les scientifiques Wallace et Behe l’ont proposé, une façon d’y arriver est de chercher les signes qu’un autre esprit a agi. Mais comment pouvons-nous regarder les choses physiques qui nous entourent et conclure qu’un autre esprit a agi ? Ce ne sont pas les choses autour de nous qui nous convainquent de l’intelligence des autres, mais le but dans lequel ces choses sont arrangées. Les bruits, une fois arrangés dans un but, peuvent former des paroles permettant de communiquer des idées. La pierre, le métal et le bois, une fois arrangés dans un but, peuvent permettre d’édifier un bâtiment. Si vous reconnaissez les preuves d’arrangements intentionnels que vous ne comprenez pas entièrement, votre esprit ne peut pas être le seul esprit dans l’Univers, car vous venez de détecter une intelligence supérieure à la vôtre !
L’idée que le monde autour de nous fournit des preuves d’un design intelligent n’a pas été découverte par des scientifiques comme Wallace et Behe. Il y a environ 2000 ans, l’apôtre Paul déclara aux chrétiens à Rome : « En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables » (Romains 1 :20). En reconnaissant l’arrangement intentionnel du monde qui nous entoure, nous pouvons détecter une intelligence – l’intelligence divine de notre Créateur !
Les scientifiques matérialistes ont beau penser que leur esprit est une illusion, un simple sous-produit de la « chair » dont notre corps est fait, ils renient entièrement l’existence d’une dimension de l’esprit. C’est un problème ancien et la Bible y accorde beaucoup d’attention. L’apôtre Paul parla du rapport entre l’esprit et les humains en posant la question : « Qui donc, parmi les hommes, connaît les choses de l’homme, si ce n’est l’esprit de l’homme qui est en lui ? » (1 Corinthiens 2 :11). Paul ne parlait pas d’une âme immortelle, mais de l’esprit humain. Cet esprit permet aux êtres humains de connaître « les choses de l’homme ». Les animaux ne peuvent pas comprendre « les choses de l’homme ». Bien que l’instinct animal soit un formidable mécanisme leur permettant d’accomplir des choses remarquables, ils ne peuvent pas au niveau des humains. La différence qualitative entre l’esprit humain et le cerveau animal est énorme. L’instinct animal est souvent remarquable, mais seul l’être humain peut envisager des dimensions physiques multiples invisibles. Et si les scientifiques peuvent théoriser 10 dimensions physiques invisibles (ou davantage), est-ce difficile pour un observateur objectif de considérer la dimension spirituelle ?
Les physiciens utilisent des instruments de mesure imposants comme le Grand collisionneur de hadrons pour comprendre les dimensions physiques invisibles. Que devons-nous faire pour comprendre la dimension spirituelle ? Nous avons besoin de l’Esprit de Dieu ! C’est la seule façon de comprendre « les choses de Dieu » (1 Corinthiens 2 :11). Comment recevons-nous l’Esprit de Dieu ? Le Jour de la Pentecôte, au début de l’Église du Nouveau Testament, l’apôtre Pierre proclama à son auditoire de plusieurs milliers de personnes : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit » (Actes 2 :38).
L’évolution ne peut pas expliquer l’esprit, elle en renie plutôt son existence – bien que la plus grande réalité ne soit pas l’existence matérielle, mais bien celle de l’esprit. « Car les choses visibles sont passagères, et les invisibles sont éternelles » (2 Corinthiens 4 :18). Jésus-Christ proclama aussi cette vérité : « Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité » (Jean 4 :24). Les scientifiques ont fait des découvertes formidables, mais leurs outils sont limités. Si Dieu n’a pas ouvert leur esprit à comprendre les choses de l’Esprit, ils ne peuvent pas discerner spirituellement la réalité de ce qu’Il accomplit sur Terre. « Mais l’homme naturel n’accepte pas les choses de l’Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c’est spirituellement qu’on en juge » (1 Corinthiens 2 :14).
Beaucoup de ceux qui s’interrogent sur la création physique de l’Univers ratent l’aspect le plus stupéfiant de la création divine. Certes, Dieu a créé l’univers physique, mais avec les êtres humains, Il est en train de créer le chef-d’œuvre spirituel de la création : Son caractère juste et saint, qui devient le caractère des véritables chrétiens humbles et soumis. Dieu a créé une loi physique précise pour créer l’Univers, mais Il a aussi établi une loi spirituelle pour former le caractère des êtres humains. Jésus donna les deux « grands commandements » (Matthieu 22 :36-39) qui magnifient les Dix Commandements consignés dans Exode 20 et Deutéronome 5. Ces lois spirituelles sont aussi réelles que les lois physiques qui régissent l’Univers.
Les philosophes affirment que Dieu est mort. Mais la plupart d’entre eux sont morts, tandis que Dieu est vivant. Psaume 14 :1 nous donne une perspective limpide de cette réalité : « L’insensé dit en son cœur : Il n’y a point de Dieu ! »
Pouvez-vous prouver que Dieu existe ? Oui, c’est possible ! Non seulement vous pouvez savoir que Dieu existe, mais vous pouvez « savoir que vous savez » qu’Il est vivant ! Comment pouvez-vous avoir cette assurance ? Certes, c’est une bonne chose de comprendre les points logiques et philosophiques que nous avons passés en revue dans cet article – la raison et la logique ne sont pas ennemies de la foi lorsqu’elles sont bien utilisées. Cependant, nous avons vu qu’une grande partie de la « science » moderne ne mérite pas ce qualificatif, car celle-ci ne propose pas des expériences reproductibles qui pourraient prouver ou infirmer des théories telles que l’évolution et le design intelligent. Cependant, vous pouvez mener une expérience vitale par vous-même et examiner personnellement les résultats. Cette expérience se trouve dans la Bible : « Si nous gardons ses commandements, nous savons par cela que nous l’avons connu » (1 Jean 2 :3). Vous pouvez prouver l’existence de Dieu en adoptant le mode de vie qu’Il a révélé dans la Bible et à travers Son Fils, Jésus-Christ. Vous pourrez ainsi prouver par vous-même que Dieu est vivant et qu’Il est souverain – non seulement dans l’immensité de l’Univers, mais aussi dans les plus petits détails de votre vie (Matthieu 10 :29-31).
Cependant, vous ne pouvez pas mener cette expérience à moitié et espérer déterminer la vérité à ce sujet : « C’est de là aussi que tu chercheras l’Éternel, ton Dieu, et que tu le trouveras, si tu le cherches de tout ton cœur et de toute ton âme » (Deutéronome 4 :29). Cherchez le Dieu vivant de tout votre cœur et de toute votre âme, et vous Le trouverez !
Existe-t-il un Dieu aimant et attentif qui est impliqué dans la création de l’Univers et de la vie que celui-ci contient – et qui intervient actuellement dans la vie des êtres humains et dans les événements mondiaux ? Pouvez-vous réfuter les arguments des détracteurs disant que « Dieu est mort » ? Pouvez-vous prouver que Dieu est vivant ? Oui, c’est possible !
Ce Dieu vivant veut que nous pensions comme Il pense. Il veut que nous possédions Sa nature et Son caractère. C’est pourquoi Il a envoyé Son Fils, Jésus-Christ, pour nous donner l’exemple d’une vie et d’un caractère divins, ainsi que pour nous sauver de notre nature pécheresse. Dieu veut que nous ressemblions à l’image et à la nature aimante du Christ (Romains 8 :29).
La plus grande erreur de Darwin fut de bannir l’existence d’un but dans la vie. Mais la vérité est que vous et moi avons été créés pour un grand objectif. Non seulement notre Créateur est vivant, mais Il veut que nous soyons proches de Lui pour l’éternité, en tant que membres de Sa propre famille ! Allez-vous Lui répondre ?