La problématique du mal | Le Monde de Demain

La problématique du mal

La problématique du mal

  Première diffusion : 2 janvier 2025

Notre monde est rempli de mal et de souffrance. Comment concilier ce mal et cette souffrance avec le fait que Dieu, le Créateur du monde, est bon et aimant ? Les philosophes se sont battus avec cette « problématique du mal » pendant des siècles. Rejoignez-nous dès à présent au Monde de Demain où nous vous donnerons la réponse de Dieu sur la problématique du mal.

[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Notre monde est rempli de mal et de souffrance. Comment concilier ce mal et cette souffrance avec le fait que Dieu, le Créateur du monde, est bon et aimant ? Les philosophes se sont battus avec cette « problématique du mal » pendant des siècles. Mais Dieu révèle la réponse à la question – la raison du mal et de la souffrance dans le monde – dans les pages de Sa parole. Cette réponse est peut-être la plus grande source d’espérance que l’esprit humain soit capable de comprendre.

Vous avez besoin de cette espérance.

Rejoignez-nous dès à présent au Monde de Demain où nous vous donnerons la réponse de Dieu sur la problématique du mal.

La problématique du mal : une “preuve” de la non-existence de Dieu ?

Bonjour et bienvenue au Monde de Demain, où nous vous donnons un sens à votre monde à travers les pages de la Bible. Le sujet d’aujourd’hui est l’un de ceux que nombre d’entre nous ont du mal à comprendre : Pourquoi le monde est-il autant rempli de mal et de souffrance si Dieu est bon et aimant ?

Tout en explorant la réponse biblique à cette question, nous vous donnerons l’occasion de demander votre propre exemplaire de l’une des brochures les plus inspirantes et les plus révélatrices que vous lirez dans votre vie – notre ressource gratuite, Quel est le but de la vie ?

Dans les cercles philosophiques, le sujet que nous abordons aujourd’hui est connu comme « la problématique du mal ». Il a été énoncé de bien des façons, mais nous pouvons le résumer ainsi : « Dieu est censé être tout-puissant et bon. Pourtant, le mal existe manifestement dans le monde entraînant beaucoup de douleur, de misère et d’agonie. Soit Dieu est trop faible pour faire quoi que ce soit, soit Il ne s’en soucie pas. Dans les deux cas, un Dieu faible ou un Dieu indifférent implique cette forme de réalité, il n’y a pas de Dieu du tout. »

L’existence du mal et de la souffrance prouverait donc (soi-disant) qu’il n’y aurait pas de Dieu. En bref, elle soutient qu’un Dieu tout-puissant et bon ne peut tout simplement pas exister, parce qu’il y a tellement de mal dans le monde et qu’Il ne fait rien pour y remédier. Si vous cherchez sur YouTube et sur des forums remplis de discussions inutiles sur Internet, vous verrez que la problématique du mal est brandie en quelque sorte comme si elle avait « fait tomber Dieu » !

Pourtant, en tant que prétendue « preuve » que Dieu n’existe pas, beaucoup reconnaissent depuis longtemps que la problématique du mal est une « preuve » insuffisante. De nombreux arguments ont été soulignés, notamment le fait que, pour vraiment exclure l’existence de Dieu, il faudrait prouver qu’il est impossible que Dieu ait une bonne raison de permettre au mal d’exister. Et ce n’est pas une mince affaire ! Par exemple, lorsque nos enfants grandissent, nous devons parfois les laisser subir les conséquences de leurs mauvais choix au lieu d’intervenir pour les prévenir des problèmes. Il serait naïf de qualifier de « mauvais parents » tous ceux qui agissent ainsi.

Le libre arbitre et la souffrance humaine

Dans les années 1970, l’argument du philosophe Alvin Plantinga, selon lequel la valeur du libre arbitre humain donne à Dieu une raison morale suffisante pour permettre le mal, a été largement perçu comme ayant « gagné la partie », pour ainsi dire – démontrant que, oui, il est possible que Dieu ait une bonne raison de permettre aux gens de choisir le mal. Si les humains sont libres de choisir, il n’est pas raisonnable de s’attendre à ce qu’ils choisissent toujours le bien.

Cependant, la problématique du mal n’est pas simplement d’ordre philosophique, n’est-ce pas ? Lorsque nous-mêmes ou ceux que nous aimons sont personnellement frappés par la douleur et la souffrance, les arguments des philosophes n’apportent qu’un piètre réconfort. Et ce monde est vraiment rempli de douleur et de souffrance.

Sur le plan personnel, combien de personnes ont été victimes de vols, d’agressions, de viols ou de meurtres ? Combien souffrent de la part de ceux qui profitent de leur souffrance ? Beaucoup d’entre vous qui nous regardent connaissent le fardeau de la maladie ou de l’infirmité. Il semble qu’aucun âge – jeune ou moins jeune – ne soit à l’abri de la maladie. Des maladies de toutes sortes frappent l’humanité, elles apportent douleur et chagrin même aux plus jeunes et aux plus innocents d’entre nous.

À plus grande échelle, combien de vies ont été ravagées par les fléaux que sont les massacres, l’esclavage, les génocides et les guerres ? Les êtres humains font preuve d’une créativité consternante dans leur capacité à générer de la souffrance à leurs semblables.

Au-delà de la cruauté de l’homme envers l’homme, il y a les séismes, les inondations, la sécheresse et la famine, les ouragans et les typhons, la peste, la pestilence et les parasites. La nature semble vouloir nous rappeler, encore et toujours, que nous ne contrôlons rien et que nos vies sont à la merci de forces impitoyables bien plus grandes que nous.

Que nous soyons assis au milieu de nos affaires brûlées dans les ruines fumantes que nous appelions autrefois notre maison, ou que nous tenions la main d’un fils ou d’une fille dans une chambre d’hôpital, souffrant d’une maladie que nous ne pouvons pas guérir, la problématique du mal et de la souffrance dans le monde est très réelle, et très personnelle.

Se remonter au tout début pour découvrir la raison de la souffrance

Pourquoi le mal existe-t-il ? Comment la souffrance s’inscrit-elle dans les plans d’un Dieu prétendument miséricordieux et aimant ? Nous avons un besoin au-delà de l’assurance abstraite des philosophes. Nous avons besoin de réponses concrètes. Dieu nous les fournit. Lorsque nous comprenons la raison d’être de l’humanité et le but de la vie, alors notre vie, et même nos souffrances prennent du sens, suscitent de l’espérance et, croyez-le ou non, même une joie profonde et inébranlable.

La meilleure façon de comprendre le but de la vie humaine est de remonter à son commencement – jusqu’au tout début, dans le livre de la Genèse. Ce faisant, nous comprenons que Dieu ne créa pas le monde pour qu’il soit un lieu de souffrance. Les chapitres 1 et 2 de la Genèse décrivent le monde créé par Dieu comme un paradis. Il nous raconte la création des premiers êtres humains, Adam et Ève :

« Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme » (Genèse 1 :26-27).

Contrairement à tous les animaux que Dieu créa, nous voyons qu’Il fit de l’être humain un reflet de Lui-même, partageant avec Lui Sa propre image et Sa ressemblance, avec la capacité de raisonner, de juger et d’avoir des valeurs morales. L’homme s’est vu attribuer un certain niveau de domination sur la création – encore une fois, il s’agit d’une image des capacités de Dieu, mais à une échelle beaucoup moindre.

On ne saurait trop insister sur l’importance d’être créé à l’image de Dieu. Nous lisons dans Genèse 5 :3 qu’Adam engendra un fils, Seth : « Adam, âgé de cent trente ans, engendra un fils à sa ressemblance, selon son image, et il lui donna le nom de Seth. » L’utilisation de cette expression n’est pas une coïncidence.

Le message ultime des Écritures, soutenu de la Genèse à l’Apocalypse, est le suivant : Dieu créa l’homme dans le cadre d’un processus de reproduction et de croissance de Sa famille divine, avec l’intention de concevoir d’innombrables enfants ! La ressource gratuite d’aujourd’hui vous démontrera cette étonnante vérité sans l’ombre d’un doute. Dieu veut que l’homme partage un jour Son existence divine et glorieuse, en régnant et en créant à l’échelle du cosmos pour l’éternité !

C’est pourquoi, contrairement aux animaux, l’homme fut créé à l’image de Dieu et se vit attribuer des capacités et des responsabilités analogues, mais il lui manquait quelque chose d’essentiel. Alors que Dieu est Esprit, comme le dit Jésus dans Jean 4 :24, l’homme est physique, limité. Et contrairement à Dieu qui détient la vie éternelle inhérente en Lui, l’homme fut créé avec le potentiel de la vie éternelle, mais aussi de la mort éternelle. Parce qu’être un enfant de Dieu pour l’éternité exige un caractère saint et juste, et développer un caractère selon Dieu exige un choix.

Le choix d’Adam et Ève

Adam et Ève eurent donc la possibilité de choisir. Dieu planta dans le jardin un arbre qui pouvait leur donner la vie éternelle, et un autre qui représentait la connaissance du bien et du mal – et avec amour, Il leur conseilla lequel choisir. En choisissant le bon arbre, l’arbre de la vie, Dieu aurait pu continuer à œuvrer avec eux, à les instruire, à prendre soin d’eux. En revanche s’ils Le rejetaient, Lui et Ses instructions, ils finiraient par mourir, refusant la vie éternelle et l’obéissance à leur Créateur.

Vous pouvez lire le choix qu’ils firent dans Genèse 3. En bref, ils choisirent la désobéissance. Ils choisirent d’accepter les tentations du diable et de s’arroger le « droit » de décider ce qui est bien et ce qui est mal, ce qui est bon et ce qui est mauvais, par eux-mêmes. Ils rejetèrent les instructions divines, rejetèrent Dieu en tant que leur Créateur, rejetèrent le but qu’Il avait pour eux et rejetèrent la sollicitude qu’Il manifestait à l’égard de leur vie.

Toute la souffrance du monde découle de ce choix. Pourtant, il est facile de s’asseoir ici et de juger Adam et Ève. L’apôtre Paul dit clairement que chacun d’entre nous, à sa manière, a répété leur erreur dans sa propre vie. Comme il l’écrit dans Romains 3 : « Il n’y a point de juste, pas même un seul […] car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (versets 10, 23).

Pensez-y et soyez honnête avec vous-même. À un moment donné de votre vie, y avait-il une bonne chose à faire, et avez-vous choisi la mauvaise ? Y avait-il un bon choix à faire, et avez-vous opté pour un choix égoïste ? Y a-t-il jamais eu quelque chose que Dieu dit de faire, et avez-vous choisi de ne pas le faire – ou quelque chose que Dieu dit de ne pas faire, et l’avez-vous fait quand même ?

Chacun d’entre nous, à sa manière, n’a pas atteint la mesure du caractère divin et, par conséquent, n’a pas atteint Son but, qui est de devenir Son enfant. Le monde qui nous entoure reflète cette condition. Nous péchons et nous souffrons. Ceux qui nous entourent souffrent. Nos enfants souffrent. Nous excluons Dieu du monde qu’Il créa pour nous en Lui déclarant que nous pouvons le gérer sans Lui, et ce même monde devient alors un lieu de souffrance.

Pourtant, même au milieu de tout ce mal, de toute cette souffrance, le dessein de Dieu demeure. En effet, la Bible dit dans Proverbes 26 :2 : « Comme l’oiseau s’échappe, comme l’hirondelle s’envole, ainsi la malédiction sans cause n’a point d’effet. » La raison pour laquelle nous souffrons est le péché – la désobéissance à un Dieu qui nous aime trop pour nous empêcher d’apprendre, en tant que civilisation, ce que signifie de s’ériger en maître du « bien et du mal » au lieu d’accepter les conseils d’un Dieu aimant qui a de bien meilleurs projets pour nous. Si nous examinons la souffrance dont nous faisons l’expérience, nous constatons qu’elle est entièrement due au choix de l’humanité de désobéir à Dieu.

Nous souffrons également des conséquences des actions des autres

Parfois, nous souffrons à cause de nos propres péchés. Nous le constatons dans de nombreux problèmes qui nous affligent : les dépendances, les maladies sexuellement transmissibles, certains cas de pauvreté et de vies gâchées. Mais nous souffrons également des conséquences des péchés des autres, tout comme un caillou lancé sur la surface d’un lac perturbe l’eau dans toutes les directions. Nos sociétés subissent les ravages de maladies qui n’existeraient pas si nous observions la loi divine comme notre guide en matière de santé, et si nous nous tournions vers le Dieu des cieux qui a le pouvoir de guérir et de bénir. La création subit des désastres, l’humanité refuse de se tourner vers le Créateur, Celui qui peut contrôler les forces de la nature qui nous échappent.

La raison pour laquelle Dieu ne se contente pas de claquer des doigts et d’arranger les choses prend tout son sens lorsque nous considérons le but de notre vie en premier lieu. Les êtres humains ne sont pas simplement des « animaux de compagnie » pour Dieu – des jouets amusants dont Il prend soin en s’assurant que nous sommes nourris, hydratés et heureux en permanence. Il cherche à faire de nous des membres de Sa famille – des enfants à part entière et glorieux de la divine Famille de Dieu ! Et contrairement aux animaux domestiques, nous avons un rôle à jouer dans ce but – nous devons apprendre à penser comme Dieu, à réagir comme Dieu… et à choisir comme Dieu !

Nous sommes ici pour développer en nous la pensée et le caractère de Dieu Lui-même – croître afin de Le refléter à l’intérieur de soi de la même manière qu’Il nous créa pour Le refléter à l’extérieur, à Son image et à Sa ressemblance.

Les leçons de la souffrance

Lorsque nous comprenons cela, notre souffrance prend du sens, car nous savons que ce que nous apprenons dans cette souffrance, la façon dont nous réagissons au mal dans le monde et le caractère divin que nous développons font partie d’une récompense éternelle qui dépassera de loin toute douleur et angoisse que nous connaîtrons jamais dans cette vie. Lorsque nous comprenons cela, la façon dont nous croissons dans nos épreuves contribue à cet avenir glorieux.

L’apôtre Paul parle de ce temps à venir, et de cette existence à venir, dans Romains 8 :18 :

« J’estime que les souffrances du temps présent ne sont point comparables à la gloire à venir qui doit être révélée en nous » (Martin).

Paul dit que comparer la lumière de la plus petite allumette à la lumière du soleil, ou un grain de poussière à une chaîne de montagnes, aurait plus de sens que de comparer les souffrances de cette vie à la gloire que Dieu construit en ceux avec lesquels Il œuvre pour développer Son propre caractère juste. Poursuivons :

« Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise à la vanité – non de son gré, mais à cause de celui qui l’y a soumise – avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu » (versets 19-21).

Dieu veut donner l’ensemble de la création, l’Univers entier, à Ses enfants glorifiés – vous et moi, si nous nous repentons et nous nous soumettons à Jésus-Christ pour permettre à Dieu le Père de se reproduire et de mettre en œuvre Son caractère en nous ! Paul écrit que toute la création – l’ensemble de la réalité créé – attend la liberté et la gloire qui viendront avec la révélation des enfants de Dieu lors du retour du Christ !

« Or, nous savons que, jusqu’à ce jour, la création tout entière soupire et souffre des douleurs de l’enfantement » (verset 22).

Voilà, mes amis, la réponse à la question du mal et de la souffrance – voir cette souffrance non pas comme une condition permanente, mais comme une phase passagère qui, tout comme les douleurs de l’accouchement, sert un but qui finalement apportera une telle joie et bonheur que cette souffrance ne reviendra plus jamais à l’esprit !

Un tel fait devrait nous rappeler les paroles de Jésus, prononcées lors de la dernière Pâque de Son ministère terrestre :

« La femme, lorsqu’elle enfante, éprouve de la tristesse, parce que son heure est venue ; mais, lorsqu’elle a donné le jour à l’enfant, elle ne se souvient plus de la souffrance, à cause de la joie qu’elle a de ce qu’un homme est né dans le monde » (Jean 16 :21).

Et quelle joie encore plus profonde lorsque cette naissance sera celle d’un nouvel être dans la Famille de Dieu, élargie et glorifiée !

Dieu comprend nos souffrances et Il est compatissant

Mes amis, Dieu ne nous regarde pas silencieusement souffrir dans un froid et obscur lointain. Pour ceux qui sont prêts à Lui soumettre leur vie, à se repentir de leurs péchés et à se tourner vers Son Fils, en acceptant Son magnifique dessein pour leur vie, Il est présent lors de nos souffrances – œuvrant en nous selon Son dessein, construisant en nous un avenir et créant en nous une existence glorieuse qui durera à jamais.

L’un des deux membres de la Famille divine, Celui que Jean 1 :1 appelle la Parole, le Logos, a daigné devenir comme Sa création, comme nous. Devenir l’Homme Jésus-Christ. Il vint et, contrairement à nous, Il suivit parfaitement les lois et le mode de vie de Son Père. Son obéissance à Dieu ne Lui suscita pas les louanges des hommes, mais leur haine, leur mépris et leur violence. Le prophète Ésaïe décrit les souffrances que le Messie endurerait dans cette vie :

« Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance […] ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé […] il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités […] Il a été maltraité et opprimé, et il n’a point ouvert la bouche, semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie » (Ésaïe 53 : 3-7).

Celui dont la vie d’amour et de générosité ne méritait que louanges et adoration eut droit, au contraire, aux moqueries, aux menaces, aux coups, à l’abandon, à la torture et à l’exécution. En dépit de tout cela, Il resta fidèle à Dieu, Son Père.

Comme l’explique Philippiens 2, bien qu’Il ait existé sous la forme de Dieu, Il était prêt à se dépouiller de Sa gloire et à devenir comme nous afin de pouvoir souffrir comme nous :

« Et, étant trouvé en figure comme un homme, il s’est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu’à la mort, et à la mort de la croix » (Philippiens 2 :8, Darby).

Après avoir fait cela, Dieu l’a ressuscité, Il retrouva la gloire qu’Il avait mise de côté et l’existence qu’Il avait auparavant. Depuis les cieux, Il se rend disponible pour vivre à nouveau Sa vie par l’intermédiaire de Son Esprit en ceux qui sont prêts à se repentir, à obéir et à accomplir le dessein de Dieu pour leur vie en Le suivant.

Des douleurs de l’enfantement

Pour ceux qui le font, alors ces temps de mal et de souffrance peuvent être vécus pour ce qu’ils sont vraiment – de simples douleurs de l’enfantement avant qu’ils ne naissent, eux aussi, dans la Famille de Dieu et dans la gloire que Jésus-Christ a dès à présent avec Son Père, et qui sera révélée à Son retour. Un temps où ils Le rejoindront dans Son Royaume pour commencer à bâtir un nouveau monde, et finalement un Univers, qui ne connaîtra plus jamais le mal et la souffrance.

L’apôtre Jean fut informé en vision de cette situation finale :

« Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu » (Apocalypse 21 :3-4).

Puisse Dieu envoyer bientôt Son Fils pour résoudre, une fois pour toutes, la véritable problématique du mal !


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