[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]

Hiroshima et le début de l’ère nucléaire

Le 6 août de l’année 2020 marqua le 75^e anniversaire de l’un des événements les plus dramatiques de l’Histoire de l’humanité : le largage de la bombe atomique sur la ville japonaise d’Hiroshima. Cette tragédie signifia non seulement la fin prochaine d’une guerre terrible et destructrice, mais aussi une nouvelle phase dans l’accomplissement des prophéties bibliques. Rejoignez-nous dès à présent au Monde de Demain pour jeter un regard sur Hiroshima, 75 ans après.

Des capacités destructives stupéfiantes

Bonjour, et bienvenue à notre nouvelle émission du Monde de Demain. Je suis heureux que vous soyez là. Aujourd’hui, nous allons revenir sur le bombardement d’Hiroshima, il y a déjà trois quarts de siècle. Nous allons examiner les implications de cet événement dans la prophétie biblique – et nous verrons comment les développements survenus depuis Hiroshima contribuent à brosser ce tableau prophétique.

Les années qui se sont écoulées au cours de la Seconde Guerre mondiale continuent de défiler et peu de gens se souviennent des détails de ce conflit. Mais les détails sont importants. Si vous aviez été là en septembre 1939, vous auriez assisté à l’invasion de la Pologne par l’Allemagne. Vous auriez vu la Pologne résister, avec des soldats montés sur des chevaux – commandant de multiples cavaleries pour la défense de leur nation. Projetez-vous jusqu’aux actions militaires finales de la guerre, et vous auriez vu les nuages des explosions atomiques en forme de champignon au-dessus des villes japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki en 1945.

En seulement six ans, l’humanité est passée d’une guerre à cheval, comme elle l’avait fait pendant des millénaires, au déchaînement de la puissance de l’atome dans une arme unique et horrible, capable d’annihiler des villes entières en un clin d’œil. Il est difficile de trouver un exemple plus étonnant illustrant la capacité de l’humanité à semer la mort, le chaos et la destruction sur elle-même.

Hiroshima représente un terrible tournant.

Bien sûr, depuis que l’homme explore la science, il utilise ses découvertes pour inventer de nouveaux moyens d’annihiler son prochain – et la bombe atomique qui dévasta Hiroshima fut la découverte d’une arme différente de toutes celles ayant jamais été utilisées. Nommée sous le nom de code Little Boy par ses créateurs, la bombe atomique tira parti de la découverte d’Einstein sur l’équivalence de la matière et de l’énergie. Autrement dit, la matière peut être convertie en énergie et l’énergie peut être convertie en matière. Dans le cas de Little Boy, la bombe contenait 64 kg d’uranium 235, un élément radioactif que le mécanisme de la bombe pouvait utiliser pour créer une réaction en chaîne, provoquant la division de certains atomes en atomes plus petits en quelques millisecondes. La division de ces atomes a converti une partie de la matière en énergie, libérant la même puissance destructrice que 16.000 tonnes de TNT.

Chose étonnante, la quantité de matière convertie nécessaire pour produire une telle explosion était équivalente à la taille d’un seul trombone à papier.

Mais quelle explosion ce fut. Presque toutes les structures urbaines dans un rayon d’un kilomètre autour de l’épicentre furent complètement détruites – la plupart par l’explosion initiale, et d’autres par la tempête de feu qui suivit et qui couvrit plus de 10.359 km².

Pour diverses raisons, les chiffres sont difficiles à fixer. Mais les estimations du nombre de personnes tuées sur le coup à Hiroshima sont de l’ordre de 70.000 à 80.000 personnes, et des dizaines de milliers d’autres sont mortes dans les semaines qui suivirent à cause des radiations, des brûlures et des blessures.

Après le bombardement d’Hiroshima, le président Harry Truman s’adressa au peuple américain en expliquant, à propos des Japonais, que « s’ils n’acceptaient pas maintenant nos conditions, ils pouvaient s’attendre à une pluie de ruines venant des airs, comme jamais vu auparavant sur cette Terre ».

En l’absence de reddition, une autre bombe fut larguée sur la ville japonaise de Nagasaki trois jours plus tard, et 40.000 à 80.000 autres morts vinrent s’ajouter au bilan. Cinq jours plus tard, les Japonais capitulèrent et se rendirent sans condition.

L’humanité avait puisé dans certaines des forces les plus élémentaires de la nature et les avait déchaînées de la manière la plus destructrice qui soit.

Les deux attaques en elles-mêmes n’entrent pas dans la prophétie au-delà de la manière dont les événements de la Seconde Guerre mondiale reconfigurèrent les puissances mondiales. Cependant, les événements d’Hiroshima et de Nagasaki ont une signification prophétique qui ne doit pas être négligée.

Dans Matthieu 24, Jésus-Christ parle d’une époque encore à venir, mais pas très lointaine, durant laquelle la civilisation franchira un cap funeste. Après avoir averti les disciples de prier pour l’aide divine dans les temps à venir, Il dit :

« Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais. Et, si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés » (Matthieu 24 :21-22).

Notez-le. Jésus dit qu’il viendrait un temps unique dans toute l’histoire de l’humanité, impliquant une « grande détresse ». Jusqu’à quel point les choses s’aggraveraient-elles ? Encore une fois, Il dit que « si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés » (verset 22).

Jusqu’au 6 août 1945, il était peut-être difficile pour le public d’imaginer un conflit, une guerre et des armes si dévastatrices pour les peuples, qu’il aurait le potentiel d’anéantir tous les êtres vivants, au point que « personne ne serait sauvé ». Mais après le bombardement d’Hiroshima, ce verset et cette prophétie commencèrent à prendre une nouvelle perspective.

Imaginer l’auto-anéantissement de l’homme ne semblait soudain plus si difficile.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Dès lors que les pouvoirs de l’atome avaient été libérés, ils ne seraient plus jamais mis en cage. Bientôt, les armes les plus puissantes et les plus mortelles jamais utilisées dans un conflit deviendraient un jeu d’enfant.

La propagation des armes nucléaires et la course aux armes

En créant les armes atomiques, l’homme allait orienter certaines des forces les plus fondamentales de la nature pour détruire ses semblables.

Mais, même dans ce contexte, l’humanité n’était pas satisfaite du niveau de destruction qu’elle avait atteint. Les 75 années qui suivirent la destruction de ces deux villes furent marquées par une escalade de la puissance destructrice des armes qui dépasse l’entendement – rendant l’accomplissement des prophéties bibliques d’autant plus crédible.

Soucieuse de ne pas laisser aux États-Unis la détention exclusive de l’arme la plus dévastatrice qui soit, quatre ans après Hiroshima, l’Union soviétique testa sa propre arme atomique, baptisée « First Lightning » – mais appelée « Joe-1 » par les États-Unis, en référence à Joseph Staline. Peu après, la course aux armements était lancée, les superpuissances que sont les États-Unis et l’Union soviétique cherchant à créer des armes de plus en plus puissantes au cours de la guerre froide pour s’assurer que leur ennemi ne prenne pas le dessus.

Alors que les armes atomiques génèrent leur puissance de destruction par la fission, en divisant les atomes en atomes plus petits, une force encore plus grande est disponible par la fusion, en combinant deux atomes en un seul. C’est ce même processus qui alimente l’astre solaire au-dessus de nos têtes ! Une arme nucléaire basée sur la fusion – appelée bombe thermonucléaire ou « bombe à hydrogène » – avait la capacité d’être beaucoup plus puissante que ses géniteurs plus simples. Les États-Unis et l’Union soviétique se sont lancés dans une course pour développer les stocks les plus abondants des bombes les plus puissantes.

Considérez l’échelle de dévastation de ces armes en évolution. La bombe atomique que les États-Unis larguèrent sur Hiroshima en 1945 avait la puissance d’environ 16 kilotonnes de TNT, générant un champignon atomique qui s’étendait sur plus de 28.000 km². En 1952, les États-Unis testèrent Ivy Mike, leur première bombe thermonucléaire à hydrogène basée sur la fusion. Ivy Mike produisit une explosion d’environ 10 mégatonnes de TNT. C’est-à-dire 10 millions de tonnes de TNT. Elle fut suivie en 1954 par un essai de Castle Bravo, qui donna une explosion égale à 15 mégatonnes de TNT. C’est presque mille fois plus fort que l’arme larguée sur Hiroshima ! Le champignon atomique de Castle Bravo s’éleva à environ 40 kilomètres dans les airs.

Pour ne pas être en reste, en octobre 1961, l’Union soviétique testa une arme thermonucléaire qu’elle baptisa Ivan, ou Vanya, bien qu’en Occident, elle ait été appelée simplement la « Tsar Bomba ». À l’origine de la plus grande explosion artificielle de l’Histoire de l’humanité, la Tsar Bomba produisit une force explosive de 50 mégatonnes de TNT ! C’est plus de 3.000 fois plus puissant que la bombe qui anéantit Hiroshima ! En fait, la conception de la Tsar Bomba était prévue pour une explosion de 100 mégatonnes, et elle n’explosa qu’à la moitié de sa puissance.

Le champignon atomique formé par la Tsar Bomba atteignit plus de 60 km dans l’atmosphère – un témoignage des forces que l’homme apprenait à déchaîner.

À leur apogée, les États-Unis disposaient d’un arsenal d’environ 31.255 ogives nucléaires et l’Union soviétique d’environ 45.000. Chaque camp était prêt à les utiliser.

Gerald Weston, rédacteur en chef de la revue Le Monde de Demain, rédigea un article fascinant dans le numéro de mars-avril 2020 dans lequel il détailla à quel point la guerre froide est passée près d’un échange nucléaire total aux proportions cauchemardesques. Dans cet article, il fournit des détails sur le « Plan opérationnel unique intégré » des États-Unis, ou SIOP, dans lequel, en réponse à une attaque nucléaire des Soviétiques, les États-Unis utiliseraient toutes les armes à leur disposition, dans le but de détruire l’Union soviétique, la Chine et certaines autres nations communistes en une seule frappe. Son article peut être lu en ligne sur MondeDemain.org, et c’est une lecture passionnante.

Mais notre voyage depuis Hiroshima ne s’arrête pas là. Voyez-vous, les lois de la physique ne fonctionnent pas seulement chez deux nations concurrentes. Elles fonctionnent partout. Une fois que la façon de libérer la puissance destructrice de l’atome a été découverte, de nombreuses nations voulurent participer à la course aux armes.

En juillet 2019, l’Association de contrôle des armes fit état de l’arsenal nucléaire estimé de neuf nations :

• (Les) États-Unis : 6 185 (ogives nucléaires)
• (Le) Royaume-Uni : 200
• (La) France : 300
• Israël : 90
• Pakistan : 160
• Inde : 140
• Russie : 6 490
• Chine : 290
• (et la) Corée du Nord : 30

(“Nuclear weapons: Who Has What At A Glance”, Arms Control Association, ArmsControl.org/factsheets, juillet 2019).

Cette liste n’inclut pas des nations telles que l’Iran et d’autres qui ont exprimé leur intérêt pour des programmes d’armes nucléaires ou qui sont soupçonnées d’avoir de tels programmes.

Ces armes, si horribles dans leur capacité à détruire la vie humaine, sont à présent entre les mains de nombreux gouvernements aux motivations fort diverses. Plus il y a de nations qui les détiennent, plus le risque qu’elles soient utilisées est élevé, que ce soit intentionnellement ou accidentellement. Plus grand est le risque que d’autres nations s’en emparent. Certaines de ces nations sont soupçonnées de traiter avec des organisations terroristes, qui n’ont besoin que de matériel et de possibilités pour développer leurs propres armes.

Avec la possibilité pour des agents malhonnêtes de créer un dispositif nucléaire et de le faire exploser dans une grande zone métropolitaine – ou même une « bombe sale » qui ne détruit pas des bâtiments, mais disperse des émanations radiologiques – les probabilités d’un futur événement nucléaire semblent ne faire qu’augmenter.

On pourrait penser que la capacité de dévaster des villes entières en une seule attaque, sans parler de la capacité de lancer des centaines, voire des milliers d’attaques de ce type en même temps, mettrait un terme au désir de l’humanité de causer des dommages, mais ce n’est pas le cas. La prophétie donne un aperçu des types d’attaques que nous pourrions voir à l’avenir.

La guerre et la dévastation à une échelle apocalyptique 

Considérez l’avertissement de Dieu à diverses nations d’aujourd’hui, comme la Grande-Bretagne, les États-Unis et d’autres nations de descendance britannique, consigné dans Ézéchiel 6 :6 :

« Partout où vous habitez, vos villes seront ruinées, et vos hauts lieux dévastés ; vos autels seront délaissés et abandonnés, vos idoles seront brisées et disparaîtront, vos statues du soleil seront abattues, et vos ouvrages anéantis. »

Il dit la même chose dans Ézéchiel 12 :20 : « Les villes peuplées seront détruites, et le pays sera ravagé. Et vous saurez que je suis l’Éternel. »

Il convient de noter que les frappes nucléaires ont la capacité non seulement de détruire des villes entières, mais aussi de rendre des zones inhabitables pendant un certain temps en raison de la radioactivité. Apocalypse 9 parle d’un conflit entre deux puissances impliquant le feu, la fumée et le soufre, qui causera la mort d’un tiers de l’humanité (versets 17-18). On ne peut s’empêcher de relier ces descriptions avec un affrontement impliquant des armes nucléaires.

Mais pourquoi limiter notre réflexion à l’armement nucléaire ? Loin d’être satisfaite par la possibilité de se renvoyer mutuellement à l’âge de pierre, l’humanité a continué d’inventer des moyens toujours plus terribles de tuer au cours des 75 années qui ont suivi Hiroshima. Lorsqu’il s’agit du désir de détruire son prochain, l’imagination de l’homme est sans limites.

Prenons l’exemple des armes chimiques. L’utilisation de produits chimiques dans des guerres a une longue histoire, mais plus l’homme progresse scientifiquement et technologiquement, plus il est capable de fabriquer et de répandre des armes terribles. Les agents neurotoxiques peuvent tuer ou causer des dommages permanents en attaquant le système nerveux des individus de manière horrible et douloureuse. D’autres produits chimiques ont la capacité de rendre aveugle, de mutiler, de brûler les poumons ou de défigurer horriblement le corps.

Considérons également les armes biologiques. La bactérie responsable de l’anthrax – capable de provoquer des cloques terribles, de la fièvre et de la douleur – fut déjà utilisée dans des conflits, notamment dans des attaques terroristes aux États-Unis en 2001 qui tuèrent cinq personnes.

Aujourd’hui, avec la possibilité de manipuler les organismes génétiquement, les armes biologiques semblent prêtes à devenir une redoutable source de mort et de souffrance.

Comparons les armes biologiques aux prophéties des jours à venir. Dans Apocalypse 9, Jésus inspira à Jean d’écrire au sujet d’armes qui tourmenteront les hommes, mais ne les tueront pas forcément :

« Il leur fut donné, non de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq mois ; et le tourment qu’elles causaient était comme le tourment que cause le scorpion, quand il pique un homme. En ces jours-là, les hommes chercheront la mort, et ils ne la trouveront pas ; ils désireront mourir, et la mort fuira loin d’eux. » (Apocalypse 9 :5-6)

Le quatrième des fameux cavaliers de l’Apocalypse, représente la maladie et la peste, causant la mort d’un quart de l’humanité lors des événements qui s’étendent au long de la grande tribulation (Apocalypse 6 :8).

Les armes chimiques ou biologiques pourraient-elles jouer un rôle dans ces fléaux et souffrances à venir ? Seul le temps nous le dira.

Ce que nous savons est suffisamment grave. Revenons à la déclaration de Jésus sur la grande tribulation. Il déclara : « Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais » (Matthieu 24 :21).

Nous devons faire attention à cet avertissement ! Jésus-Christ, le Sauveur, le Fils de Dieu, nous garantit qu’il y aura un temps de souffrance à venir qui sera si mortel et destructeur qu’il n’y a jamais eu une époque comme celle-ci, et qu’il n’y en aura plus jamais !

Comprenons-nous ce que cela signifie ? Cela signifie qu’il sera pire que l’Holocauste de la Seconde Guerre mondiale. Pire qu’Hiroshima. Pire que Nagasaki. Pire que les champs d’extermination des Khmers rouges. Pire que les purges, les meurtres de masse et les famines infligés par Joseph Staline. L’homme s’infligera des souffrances, des douleurs et des guerres qui éclipseront ces autres circonstances.

Oui, il est facile d’imaginer que nous sommes devenus plus civilisés au cours des 75 années qui ont suivi Hiroshima. Mais à vrai dire, nous ne sommes pas plus civilisés aujourd’hui qu’à cette époque. L’humanité est sur le point de refaire à une beaucoup plus grande échelle ce qu’elle fit subir à ces deux villes japonaises en 1945.

Mais, si cela est, en effet, prophétisé, y a-t-il quelque chose que nous puissions faire ? Suis-je, êtes-vous, simplement destinés à endurer ces calamités ? Ou pouvons-nous sauver nos vies – les vies de nos enfants ? Pouvons-nous échapper à ce qui va arriver ?

Le Sauveur du monde nous sauvera de nous mêmes

Nous avons commencé notre discussion aujourd’hui par les bombes atomiques larguées sur Hiroshima et Nagasaki, il y a plus de 75 ans. La société débat encore pour savoir si le bombardement de ces deux villes était justifié ou non. Pourtant, il n’y a aucun débat sur le fait que notre capacité à causer la mort et la destruction ne fit que croître au cours de ces 75 années, à tel point qu’Hiroshima et Nagasaki semblent minuscules et inoffensives en comparaison de la souffrance que nous sommes en mesure de causer à présent.

La prophétie nous garantit qu’un temps viendra où les souffrances que l’humanité s’infligera à elle-même – par la guerre, la violence, la destruction, la peste et la maladie – seront les pires jamais connues dans toute l’Histoire de l’humanité – un temps où, à moins que Dieu n’intervienne, Jésus dit qu’aucune chair ne resterait en vie.

Que pourrons-nous faire lorsque de tels événements se précipiteront vers nous, poussés par les vents de la prophétie ?

Heureusement, Jésus ne se contenta pas de prédire l’avenir. Il nous enseigna aussi ce qu’il faut faire pour nous y préparer.

Jésus nous dit d’observer les temps dans lesquels nous vivons – et de faire attention à nous-mêmes – et d’agir en conséquence : « Veillez donc et priez en tout temps, afin que vous ayez la force d’échapper à toutes ces choses qui arriveront, et de paraître debout devant le Fils de l’homme » (Luc 21 :36).

Il décrit ce qui pourrait nous rendre indignes dans de nombreux passages, tels que Luc 6 :46 : nous demandant : « Pourquoi m’appelez-vous Seigneur, Seigneur ! et ne faites-vous pas ce que je dis ? »

L’apôtre Jean écrivit en nous disant dans 1 Jean 2 :4 que « Celui qui dit : Je l’ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n’est point en lui. »

La solution ne consiste pas à se cacher dans un abri anti-bombes, à s’éloigner de la civilisation ou à stocker des provisions pour le « Jour du jugement dernier ». La façon de se préparer pour les temps à venir, et d’être trouvé digne par Dieu d’échapper à ces choses, est simplement de se repentir, de discerner les temps dans lesquels nous sommes, de nous examiner nous-mêmes, et de nous engager à obéir à Dieu et à Ses commandements sous Jésus-Christ. Dans la mesure où vous voulez faire ces choses, nous, ici au Monde de Demain, sommes prêts à vous aider.

Cela inclut l’envoi du DVD gratuit d’aujourd’hui intitulé : « Échappez à la grande tribulation », alors n’oubliez pas de commander votre exemplaire dès aujourd’hui !