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Le paganisme et le christianisme – dans quelle mesure des philosophies païennes ont-elles corrompu les doctrines du christianisme ? Quels sont les origines de certaines croyances attribuées au christianisme, telles que la vénération de Marie ? Dans cet épisode du Monde de Demain, nous analyserons cinq mythes que le christianisme adopta, mais qui sont réfutés par la Bible.
[Le texte ci-dessous est l’adaptation de la transcription de cette émission du Monde de Demain.]
La plupart des chrétiens pratiquants savent que Jésus donna Sa vie pour l’humanité, mais que savent-ils d’autre sur Jésus et pourquoi est-Il venu sur Terre en tant qu’être humain ? Dans l’émission Le Monde de Demain d’aujourd’hui, nous allons démystifier cinq mythes sur le Jésus de la Bible. Car Il est, comme l’a écrit Bruce Barton, L’Homme que personne ne connaît. Cette ignorance est d’autant plus surprenante, puisque la plus grande communauté religieuse du monde prétend Le vénérer. Jean 3 :16 est peut-être le verset le plus célèbre de tous, mais il dit quelque chose de très différent de ce que les gens pensent.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, les croyances communément admises au sujet de Jésus révèlent une grande méconnaissance du Sauveur du monde. Le premier mythe est une doctrine majeure que l’on retrouve dans certaines dénominations chrétiennes. C’est incroyable ce que les gens acceptent comme vérité simplement parce que c’est ce que leur dit leur conducteur religieux, sans jamais le vérifier par eux-mêmes à partir du seul livre faisant autorité sur la vie de Jésus.
Donc, le Mythe n°1 : la mère de Jésus est restée vierge toute sa vie. Ce mythe est lourd de conséquences. Les Écritures mentionnent que Jésus avait des frères et des sœurs, mais certains prétendent que ces versets font référence à des cousins ou à des disciples. Que devons-nous croire ? Devons-nous suivre les traditions qui nous ont été transmises et qui sont en contradiction avec des Écritures sans ambiguïté ? Ou devrions-nous croire la Bible ? À vous de juger !
Le faux récit selon lequel la mère de Jésus serait restée vierge pour toujours et Jésus n’aurait ni frères ni sœurs est solidement réfuté dans Jean 7 :
« Et ses frères lui dirent : Pars d’ici, et va en Judée, afin que tes disciples voient aussi les œuvres que tu fais. Personne n’agit en secret, lorsqu’il désire paraître : si tu fais ces choses, montre-toi toi-même au monde. Car ses frères non plus ne croyaient pas en lui » (Jean 7 :3-5).
Autant dire que l’expression « frères » ne désigne pas ici les disciples ! Cela ne signifie pas qu’Il n’a jamais fait référence à Ses disciples comme étant des frères, mais ici il est question de « frères » qui n’étaient pas des disciples. Un autre exemple scripturaire de Sa famille de sang se trouve dans Matthieu 12, où il y a une distinction claire entre Sa famille physique et Sa famille spirituelle :
« Quelqu’un lui dit : Voici, ta mère et tes frères sont dehors, et ils cherchent à te parler. Mais Jésus répondit à celui qui le lui disait : Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? Puis, étendant la main sur ses disciples, il dit : Voici ma mère et mes frères. Car, quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère » (Matthieu 12 :47-50).
Ces références aux frères physiques ne peuvent pas être facilement ignorées. Remarquons un autre passage sur ce sujet où les sœurs (donc au pluriel) sont mentionnées. Matthieu 13 raconte comment les citoyens de la région où Il grandit, étaient perplexes face à la sagesse et aux miracles qu’Il accomplissait :
« S’étant rendu dans sa patrie, il enseignait dans la synagogue, de sorte que ceux qui l’entendirent étaient étonnés et disaient : D’où lui viennent cette sagesse et ces miracles ? N’est-ce pas le fils du charpentier ? N’est-ce pas Marie qui est sa mère ? Jacques, Joseph, Simon et Jude, ne sont-ils pas ses frères ? Et ses sœurs ne sont-elles pas toutes parmi nous ? D’où lui viennent donc toutes ces choses ? » (Matthieu 13 :54-56).
Tout lecteur objectif, qui n’est pas influencé par des traditions non bibliques, reconnaît que Matthieu 1 :24-25 devrait régler la question une fois pour toutes :
« Quand Joseph fut réveillé de son sommeil, il fit comme l’ange du Seigneur lui avait commandé, et il prit sa femme. Mais il ne la connut point jusqu’à ce qu’elle eût enfanté son fils premier-né, et il lui donna le nom de Jésus » (Matthieu 1 :24-25, Ostervald).
Bien que l’expression « fils premier-né » ne signifie pas nécessairement qu’il y avait d’autres enfants, il y a certainement matière à déduction. Mais surtout, ceux qui étudient la Bible savent que, l’expression « ne la connut point » est un euphémisme pour les relations sexuelles, comme on le voit dans Genèse 4 : « Adam connut Ève, sa femme ; elle conçut, et enfanta Caïn » (v. 1) ; et puis au verset 17 : « Caïn connut sa femme ; elle conçut, et enfanta Hénoc » ; et après au verset 25 : « Adam connut encore sa femme ; elle enfanta un fils, et l’appela du nom de Seth ».
Mes amis, au lieu de suivre aveuglément les traditions d’une Église, consultez la Bible pour vérifier ce qu’elle dit ! Mais vous vous demandez peut-être : « Pourquoi est-il important de savoir que Marie n’est pas restée vierge à vie et que Jésus a eu des demi-frères et des demi-sœurs ? »
La raison se trouve dans le Mythe n°2 : la mère de Jésus est notre intercesseur. Marie était la mère de Jésus et les Écritures indiquent qu’elle était une femme vertueuse. Mais le rôle de Marie a été grossièrement corrompu de façon blasphématoire. La Bible ne mentionne nulle part son « immaculée conception ».
Les non-catholiques pensent souvent à tort que l’immaculée conception fait référence à la conception du Christ, mais cette doctrine sans fondement biblique fait plutôt référence à Marie. Voici ce qu’explique une source catholique :
« L’Immaculée Conception est un dogme catholique qui affirme que Marie, dont la conception s’est déroulée normalement, a été conçue sans le péché originel ou sa tache. C’est ce que signifie “immaculée” : sans tache » (« Immaculée Conception et Assomption », Catholic Answers).
Mais, où en trouve-t-on la preuve ? Certainement pas dans la Bible ! D’où vient cette doctrine ? Ce que beaucoup ne réalisent pas, c’est à quel point le christianisme a été profondément, et très rapidement, corrompu par des doctrines païennes bien antérieures à la naissance du Christ. De nombreuses sources historiques montrent que le culte de Marie est né du transfert des traditions des déesses païennes à la mère de Jésus. Ce fait est bien établi.
En voici un exemple tiré de l’historien de l’Église très respecté, Jesse Lyman Hurlbut. Écrivant sur l’origine du culte de Marie, il déclare :
« Vers l’an 405, les images des saints et des martyrs ont fait leur apparition dans les églises, où elles ont été adorées. Le culte de la vierge Marie a ainsi pris la place de celui de Vénus et de Diane » (L’histoire de l’Église chrétienne, Hurlbut, page 64, éditions Vida. Traduction Philippe Le Perru).
La Bible ne dit nulle part que Marie a été conçue de manière immaculée. Nulle part, on ne lit qu’elle est restée une vierge à vie. Nous lisons tout le contraire. Nulle part dans la Bible, il n’est question de Marie comme intercesseur entre Dieu et les hommes. Cette fonction est réservée à Jésus Lui-même, et non à Marie, ni aux prêtres humains. Il est Celui par qui nous nous approchons du Père. Il l’a déclaré la nuit où Il a été trahi. Nous lisons : « Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14 :6).
Jésus dit que si nous demandons en Son nom, Il le fera (Jean 14 :13-14). Vous n’avez pas besoin d’aller voir Sa mère pour faire appel à Lui. « Tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai » (Jean 14 :13-14).
C’est par le nom de Jésus-Christ, et non par celui de Marie, que nous prions à Dieu. Il n’y a pas le moindre appui dans la Bible de l’adoration de la mère de Jésus. Pas un seul verset n’indique que nous devrions utiliser le nom de Marie pour approcher Jésus ou Son Père. La simple vérité est que, comme le prouvent de nombreuses sources historiques, le culte de Diane, d’Ishtar et d’autres déesses a été transféré à Marie. Lorsqu’elle se réveillera à la résurrection, elle sera stupéfaite de voir comment le culte des déesses païennes lui a été transposé.
Voyons à présent le Mythe n°3 : l’Évangile de Jésus concerne seulement Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection. Ne vous méprenez pas. Il s’agit certainement d’une bonne nouvelle, et le mot « Évangile » signifie « bonne nouvelle ». Mais quel Évangile Jésus a-t-Il proclamé pendant les trois ans et demi avant Sa crucifixion ? Comment se fait-il que si peu de gens connaissent et comprennent ce message, alors qu’il est si clairement énoncé dans les Écritures ? N’est-il pas étrange que la plupart des chrétiens ne puissent pas vous dire ce que la Bible révèle sur le message de Jésus à l’humanité ?
L’Évangile de Jésus ne parlait pas seulement de Sa mort, de Son ensevelissement et de Sa résurrection – bien que cela fasse partie de la bonne nouvelle. L’Évangile ne parlait pas d’aller au ciel. Il parle d’un royaume de Dieu régnant sur le monde et devant être établi sur la Terre. Voici le début de Son ministère :
« Après que Jean eut été livré, Jésus alla dans la Galilée, prêchant l’Évangile de Dieu. Il disait : Le temps est accompli, et le royaume de Dieu est proche. Repentez-vous, et croyez à la bonne nouvelle » (Marc 1 :14-15).
Vous rendez-vous compte que la plupart des nombreuses paraboles de Jésus concernaient ce Royaume ? « Il dit encore : À quoi comparerons-nous le royaume de Dieu, ou par quelle parabole le représenterons-nous ? » (Marc 4 :30). Le terme « royaume de Dieu » se trouve 67 fois dans la version Louis Segond, Nouvelle édition de Genève. Évidemment, je n’ai pas le temps de toutes les couvrir, mais la proclamation de ce message était l’une des raisons pour lesquelles Jésus dit qu’Il fut envoyé ici-bas :
« Mais il leur dit : Il faut aussi que j’annonce aux autres villes la bonne nouvelle du royaume de Dieu ; car c’est pour cela que j’ai été envoyé » (Luc 4 :43).
Il prit cette mission très au sérieux : « Ensuite, Jésus allait de ville en ville et de village en village, prêchant et annonçant la bonne nouvelle du royaume de Dieu » (Luc 8 :1). Mais c’est quoi précisément ce Royaume que Jésus proclama ? En quoi cela vous concerne-t-il ? Contrairement à la doctrine largement répandue d’aller au ciel, Son message concernait une famille divine gouvernant sur la Terre – une famille dans laquelle vous pouvez naître. Pourquoi, alors qu’il y a tant de choses dites à ce sujet dans la Bible, si peu de gens assimilent le message de Jésus ?
Cela nous amène au Mythe n°4 : La récompense de ceux qui seront sauvés consiste en une paisible retraite dans les cieux. Nous l’avons souligné à maintes reprises dans nos émissions du Monde de Demain et dans nos autres publications Mais permettez-moi de passer rapidement en revue avec vous les pages de la Bible. Dans une prophétie relative au futur, Zacharie 14 nous dit : « L’Éternel sera roi de toute la terre ; en ce jour-là, l’Éternel sera le seul Éternel, et son nom sera le seul nom » (Zacharie 14 :9).
Mais Jésus ne sera pas seul à gouverner. Apocalypse nous dit que Jésus sera le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs : « Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs » (Apocalypse 19 :16). Qui sont ces rois et ces seigneurs sur lesquels Jésus sera Roi et Seigneur ? Les Écritures révèlent la réponse. En parlant des douze tribus d’Israël, le prophète Ézéchiel nous dit :
« J’établirai sur elles un seul berger, qui les fera paître, mon serviteur David ; il les fera paître, il sera leur berger. Moi, l’Éternel, je serai leur Dieu, et mon serviteur David sera prince au milieu d’elles. Moi, l’Éternel, j’ai parlé » (Ézéchiel 34 :23-24).
En plus, lorsque les disciples de Jésus demandèrent ce qu’ils gagneraient à Le suivre, Il leur donna cette réponse directe :
« Jésus leur répondit : Je vous le dis en vérité, quand le Fils de l’homme, au renouvellement de toutes choses, sera assis sur le trône de sa gloire, vous qui m’avez suivi, vous serez de même assis sur douze trônes, et vous jugerez les douze tribus d’Israël » (Matthieu 19 :28).
Nous avons donc le Christ comme Roi sur toute la Terre, David comme roi sur tout Israël, et les douze apôtres – chacun dirigeant l’une des douze tribus d’Israël sous David. C’est ce que révèle la Bible, mais qu’en est-il de vous et de moi ? Qu’est-ce que cela représente pour nous ? Le message de Jésus était-il de vivre une bonne vie, de s’amuser autant que possible avant de mourir, avant de prendre une retraite au paradis ? Pas du tout ! La récompense qu’Il offre se trouve ici même sur Terre pour régner avec Lui et aider à résoudre les problèmes qui existent ici-bas – pour apporter la paix, le bonheur et la prospérité à tous les hommes partout dans le monde.
Dans la parabole des mines, Jésus se décrit comme un homme de haute naissance qui se rend dans un pays lointain pour être investi d’un royaume. Ses serviteurs sont chargés d’effectuer leurs responsabilités pendant Son absence. Il leur demande des comptes à Son retour et fournit des récompenses en fonction de leur rendement. Voici les récompenses telles qu’elles sont décrites dans Luc 19 :
« Le premier vint, et dit : Seigneur, ta mine a rapporté dix mines. Il lui dit : C’est bien, bon serviteur : parce que tu as été fidèle en peu de chose, reçois le gouvernement de dix villes. Le second vint, et dit : Seigneur, ta mine a produit cinq mines. Il lui dit : Toi aussi, sois établi sur cinq villes » (Luc 19 :16-19).
Cela ne ressemble pas à une retraite ennuyeuse, flottant sur des nuages avec peu de choses à faire, ou à fixer le visage de Dieu dans une transe céleste pour toujours sans aucune œuvre à accomplir !
La plupart des gens ont l’idée que Celui que nous connaissons comme Dieu le Père, était un Dieu dur et exigeant, mais que Jésus est venu avec un message d’amour dans le Nouveau Testament. Il est vrai que le message de Jésus est un message d’amour, mais il en était de même des Écritures de l’Ancien Testament avant Son premier Avènement.
Souvenez-vous de la réponse de Jésus au docteur de la loi qui lui demandait : « Quel est le plus grand commandement de la loi ? » Jésus lui répondit :
« Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée [Cela provient de Deutéronome 6 :5]. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même [cela provient de Lévitique 19 :18]. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes » (Matthieu 22 :37-40).
Comment se fait-il que les gens croient à ce cinquième mythe communément admis sur le Jésus-Christ de la Bible, selon lequel Jésus ne serait pas en accord avec le message de l’Ancien Testament ? Aussi choquant que cela puisse paraître, les Écritures révèlent que Jésus était en fait, tenez-vous bien, le Dieu de l’Ancien Testament ! Ne me croyez pas sur parole. Prouvez-le dans la Bible ! Notez ce que l’apôtre Jean a révélé sur la relation entre le Père et Celui qu’on appelle la Parole :
« Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle » (Jean 1 :1-3).
Qui était donc la Parole ? « Et la Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père » (Jean 1 :14). Le membre de la famille de Dieu appelé la Parole, qui a fait toutes choses et sans qui rien n’a été fait, n’est autre que Jésus-Christ. Vérifiez dans la Bible (Jean 1 :1-14). Mais c’est loin d’être la seule preuve que Jésus était le Dieu de l’Ancien Testament :
« C’est à moi, le moindre de tous les saints, qu’a été donnée cette grâce d’annoncer, parmi les Gentils, les richesses incompréhensibles de Christ, et de mettre en évidence devant tous, quelle est la dispensation du mystère caché de tout temps en Dieu, qui a créé toutes choses par Jésus-Christ » (Éphésiens 3 :8-9, Ostervald).
Besoin de plus de preuves ? Considérez : « Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu’il a établi héritier de toutes choses ; par lui il a aussi créé l’univers » (Hébreux 1 :1-2).
Toujours pas convaincu ? Qui créa les anges ? Qui créa Adam et Ève, nos premiers parents ? Paul répond à cette question :
« Le Fils est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création. Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui. Il est la tête du corps de l’Église ; il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier » (Colossiens 1 :15-18).
Mais il y a plus. Il n’y a pas de déclaration plus forte que celle que l’on trouve dans 1 Corinthiens 10 :
« Frères, je ne veux pas que vous ignoriez que nos pères ont tous été sous la nuée, qu’ils ont tous passé au travers de la mer, qu’ils ont tous été baptisés en Moïse dans la nuée et dans la mer, qu’ils ont tous mangé le même aliment spirituel, et qu’ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ » (1 Corinthiens 10 :1-4).
Ce n’est pas étonnant que Jésus ait proclamé être le Seigneur du sabbat puisque c’est Lui qui créa le sabbat pour l’humanité !
Aujourd’hui, nous avons démystifié cinq mythes communément admis sur le Jésus de la Bible. Pourquoi ces mythes sont-ils promus dans les Églises, alors qu’ils sont facilement démystifiés dans les pages de la Bible ?
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« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. »