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Malgré cela, des gens continuent de militer pour que cette méthode soit abandonnée. En se basant sur le fait que la Constitution des États-Unis protège les citoyens de tout traitement cruel ou châtiment exceptionnel, certains prétendent qu’il subsiste un risque, aussi minime soit-il, que le criminel ressente de la douleur avant de mourir, même si la procédure est correctement appliquée. Ces groupes réclament notamment que cette procédure soit déclarée « cruelle et exceptionnelle », et par conséquent interdite, s’il existe un risque même infime de sensation de douleur ou de souffrance.
Parallèlement, nombre de ces mêmes personnes, réclamant la fin de la peine de mort et la garantie absolue que de violents criminels reconnus coupables puissent quitter ce monde sans souffrir, ne montrent aucune considération pour la vie intra-utérine et pour la douleur que des enfants pas encore nés pourraient ressentir lors d’un avortement.
Pourtant, les recherches médicales commencent à montrer que la douleur peut être ressentie extrêmement tôt dans le cycle de croissance de l’enfant en cours de développement. Jusqu’à peu, il était « communément admis » que la sensation de douleur n’était pas possible avant le troisième trimestre, lors du développement avancé du cortex cérébral. Cependant, comme le rapporte l’article intitulé « La première douleur », paru dans le New York Times Magazine du 10 février 2009, il est maintenant reconnu que l’enfant, pendant son développement intra-utérin, peut ressentir de la douleur bien plus tôt que cela – peut-être 13 semaines plus tôt, pendant le dernier mois du premier trimestre.
A cause de ces observations faites sur le terrain, lors d’interventions chirurgicales fœtales et d’expériences sur des enfants souffrant d’hydranencéphalie (l’absence totale du cortex cérébral), il faut complètement revoir les anciennes hypothèses. Certains en arrivent même à penser que la sensation de douleur serait encore plus importante pour les enfants pas encore nés.
Bien entendu, toutes ces questions sur la douleur lors des premières phases du développement ne se posent même pas pour la technique d’avortement par naissance partielle, une technique horrible et meurtrière pratiquée lors du dernier trimestre de grossesse.
Pardonnez-moi pour la description explicite à venir, mais la vérité est explicite : pourquoi ceux trouvant qu’il est moralement acceptable de perforer la nuque d’un enfant partiellement né avec des ciseaux afin d’affaisser le cerveau en aspirant son contenu sont souvent les mêmes qui protesteraient avec véhémence si une procédure similaire était appliquée pour des meurtriers ou des violeurs dont la culpabilité est prouvée ?
Pourquoi se battent-ils pour le droit à une mort paisible et sans souffrance pour les criminels les plus violents alors qu’ils approuvent dans le même temps que les cerveaux ou les corps des plus innocents d’entre nous soient déchiquetés ?
C’est parce qu’ils ne craignent pas Dieu ! Ils ne Le connaissent même pas ! Ils ne connaissent pas Ses lois, Ses voies, Sa pensée ou Son sens de la justice. Mais le jour viendra où ils connaîtront tout cela. De nos jours, nombreux sont ceux qui ne connaissent pas le Dieu qui crée la vie dans l’utérus, mais le moment arrive bientôt où Dieu se révèlera Lui-même à ces personnes. Pour l’instant, Dieu ne fait qu’observer le massacre de ces innocents, mais le moment viendra où Il agira d’une manière totalement différente à « l’égard […] des méchants » (Psaume 82 :2-3).
Mais vous n’avez pas besoin d’attendre ce jour pour connaître ce grand Dieu. Étudiez nos brochures gratuites, comme Croyez-vous au véritable Évangile ? ou Qu’est-ce qu’un vrai chrétien ?, et faites la connaissance de Celui qui crée la vie dans l’utérus et du Messie qui établira bientôt sur cette terre un Royaume de gloire et de paix, ainsi qu’un gouvernement qui fera la différence entre les criminels et les enfants.