Dimanche dernier, le 28 octobre, marquait le 50ème anniversaire de l’annonce par le Premier ministre soviétique Nikita Khrouchtchev du retrait des batteries de missiles positionnées à Cuba, à seulement 150 km des côtes des États-Unis. Après des semaines de tension et de crainte, le monde a poussé un « ouf de soulagement » collectif, alors qu’un cosmocide nucléaire venait d’être évité. Ou était-il juste retardé ?