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Une étude de l’Union européenne sur la corruption gouvernementale a révélé que ce problème coûtait plus de 120 milliards d’euros chaque année à l’Union.
« En Croatie, République Tchèque, Lituanie, Bulgarie, Roumanie et Grèce, entre 6 et 29% des sondésont répondu avoir été sollicités pour recevoir ou payer au moins un pot-de-vin, au cours des 12 derniers mois. Les taux de corruption étaient également élevés en Pologne (15%), Slovaquie (14%) et Hongrie (13%) », souvent dans le domaine médical. Parmi les raisons citées pour ces forts taux de corruptions, on lit que « les règles en place sur les conflits d’intérêts ne sont pas bien mises en application » et que « la qualité des enquêtes sur la corruption varie beaucoup à travers l’UE » (BBC, 3 février 2014).
Aucune mention n’était faite au manque de caractère et à la malhonnêteté des élus politiques. Ésaïe révèle qu’à la fin des temps, les dirigeants seront « des bergers qui ne savent rien comprendre ; tous suivent leur propre voie, chacun selon son intérêt, jusqu’au dernier » (Ésaïe 56 :11). Les non-Israélites et leurs dirigeants possèdent également ce défaut de caractère. Est-ce surprenant que « la création » espère être « affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu » (Romains 8 :20-21) ?
Le Christ reviendra bientôt et le monde aura finalement un Dirigeant qui « jugera avec équité » (Ésaïe 32 :1 ; 11 :4) et la force motrice de Son règne sera l’avenir et les besoins des peuples. Pour en apprendre davantage sur cet avenir passionnant, lisez notre article Un gouvernement parfait à venir.